Je le
croyais « lâché », il est totalement isolé !
Un « petit-post » conçu entre deux portes
(d’avion et de locaux) à l’occasion d’une remaniement ministériel qui aura
mis beaucoup plus de temps que prévu pour accoucher.
C’est là l’absolument incroyable : D’habitude,
ils se précipitent tous pour « en être » (ça fait bien sur un CV) et
on prend un peu de recul – sous prétexte de vérifier la situation fiscale des impétrants
– histoire de donner un peu de temps au temps.
Admettons qu’il faille plus d’une poignée de minutes
pour faire le tour du casier judiciaire/fiscal (la case obligée de l’HATVP chargée
de pointer du doigt les conflits d'intérêts) du candidat pressenti (qu’on est
censé connaître depuis des années de bourlingage), sage précaution depuis
l’affaire « Kaka-zut-Hack » qui aura plombé le quinquennat de
« Tagada-à-la-fraise-des-bois » (même s’il y avait plein d’autres casseroles
qui ont pu jouer ce rôle), mais deux semaines, c’est pour le moins
« significatif » (comme en disent les commissaires aux comptes quand
ils émettent des réserves sur la certification d’un bilan d’entreprise).
Notez qu’il fallait déjà attendre huit mois entiers, à
la faveur des canicules de l’été dernier que Delphine Gény-Stephann, nommée
secrétaire d’État à Bercy, chargée de la promotion de la loi Pacte, là où le
délai légalement « normé » n’est que d’un mois, pour avoir une idée
du montant de son patrimoine. 16 Méga Euros, bien
plus que « Jupiter » (mais lui ça ne
se voit pas), deux fois plus que le propriétaire de la « Dépêche
du Midi » et ex-sinistre des Collectivités locales de « Gras-Nul-Laid »,
« Jean-Mi-Bel-Lait » (8 millions). Bien plus que « Nico-Hurle-haut »
(7,2 millions), « Mumu-Pénis-chaud » (7,5 millions) ou « Fafa-l’empoisonneur »
(5 millions).
Il faut dire qu’elle et son mari cumulent les mandats
dans les Conseils d’Administration prestigieux : Le privilège des castes,
en l’occurrence, celle de « l’X ».
On ne prenait donc pas autant de précautions l’année
dernière : Ce n’est donc qu’un faux-nez, on ne vous fera pas croire le
contraire, naturellement.
Pour expliquer ce « retard à l’allumage »,
on vous aura dit qu’il y a « bisbille » « Phi-Lippe » et le
« Jupiter ». Eh attendez, il s’agissait seulement de remplacer le
futur maire de Lugdunum, le « papa-gâteau » de la macronie, par un
« homme de confiance » avec « un réseau » au moins aussi solide
que l’ex avec ses « frères-en-maçonnerie ».
Premier flic de « Gauloisie-policière », ce
n’est pas à mettre entre les mains de toutes les mains.
Et là, surprise : Ils n’ont pas ça sous le coude…
Pour « Hurle-haut », il y avait pléthore et
un jeu de « chaises musicales » à suivre, qui s’était bien passé,
faisant toute une ribambelle « d’obligés-ravis ».
Mais pas là.
D’ailleurs, pour faire « bon-poids », on
vous aura expliqué qu’il ne s’agit plus de remplacer « poste-pour-poste »,
mais que « le remaniement concernera
plusieurs ministères ».
Là, comme ça, en pleine relance des réformes qui ont
mis tant de temps à être ébauchées, en pleine discussion du budget desdits
ministères ?
Curieux tout de même…
Les sortants quasi-officiels quand je trace ces lignes
sont : « Nie-saine » (Culture), « Travers » (Agriculture), « Mais-hard »
(Cohésion des territoires).
Logique pour la première : La commission requise
n’avait pas fait son travail jusqu’au bout et n’avait pas repéré les affaires
de constructions illégales.
Quand je pense que « Hurle-Haut » s’était
senti obligé de démissionner de ses fonctions & mandats civils, pour ne pas
faire tâche et pollueur…
« Travers », c’est bien le signe que sa
réforme de l’alimentation bat de l’aile.
Quant à la cohésion des territoires, je ne sais même
pas qui c’est…
D’autant que s’il s’agit de déplacer les villes à la
campagne (et inversement), on n’aura jamais les moyens d’une pareille
utopie !
Et puis on vous rapporte que là où « ça coince »,
c’est justement pour l’Intérieur.
Confusion la plus totale : Selon le « Canard déchaîné »,
« Jupiter » aurait refusé le principe d’un duo (ministre plein
exercice, plus ministre délégué) à savoir « Dard-à-la-main » et « Pêche-naze »,
préfet, ancien directeur de la PJ d’abord et l’homme de la sécurité routière
(et les 80 km/h) proposé par le premier des sinistres : « Autant nommer Sarkozy à l’Intérieur ».
Ah ?
Il revient, le « Bling-bling » ?
Ça m’étonnerait compte tenu de toutes les procédures
qu’il a au kul…
Et puis « Pasquale » est mort : Exit
l’idée !
À l’Intérieur, le Président aurait voulu « Castagneur »,
le encore « sinistre des relations avec le Parlement » quand je
prends l’avion.
Je vous rappelle qu’il est aussi le président du parti
des « rêveurs-même-plus-en-marche », après avoir été un excellent
porte-la-parole en tous genres.
Une « personnalité de confiance » à n’en pas
douter, puisque c’est lui le gardien de tous les secrets du
« parti ».
Mais voilà qu’une fois descendu de la passerelle d’une
des portes que j’empruntais, on me fait savoir qu’il veut ce poste à tout prix et
que s’il ne l’obtient pas, il démissionnera lui aussi de son actuel
portefeuille (information qui sera démentie le soir même à la télé) !
Un « ami » de plus qui te fait le coup de la
démission, tu appelles ça une « personne de confiance » ?
On a aussi évoqué « Le-Soce-Riant »
(Affaires étrangères), recherchant « le modèle » de
« Blagueur » à « Les-Ducs-à-Sion », dont l’assimilation au
monde politique est jugée réussie. Les noms du procureur de Paris « Molle-Inse »,
de la directrice de la PJ « Mimi-Balle-Stasi », de
« Casse-tex », délégué interministériel aux grands événements sportifs,
dont les JO de 2024, encore un ex de l’entourage de « Bling-bling ».
Décidément, ce dernier devient incontournable :
C’est un poste qu’il aura occupé à ses côtés avec son Kärcher…
Et puis ce sera de toute façon l’occasion d’une valse
de jeux de « chaises-musicales », manifestement difficile à
orchestrer.
Ensuite, « Jupiter » doit revenir d’Arménie
(où il est allé rendre un second hommage à Aznavour).
On sera donc plus savant dès après.
Mais la leçon va être amère : Le duo de
l’exécutif aurait essuyé « au moins
cinq refus » de personnes approchées dans l’intermède !
Plus une pléiade qui ont fait savoir qu’ils « n’iraient pas » alors qu’on ne leur
demandait rien… Dont des « McMoDem », – même si ceux-là pouvaient encore
récupérer un ou deux portefeuilles – comme « Marc Fesse-no », leur
chef de file à l’Assemblée, pressenti, entre autres, pour l’Agriculture, Mathieu
Klein, ancien porte-la-parole de « Menuet-Valse » (ex-futur-maire de
Barcelone) à la primaire de 2017, resté depuis président du conseil
départemental de Meurthe-et-Moselle, qui aura décliné l’invitation via Twitter.
Fabuleux, n’est-ce pas ?
Ils se défilent tous tels des rats quittant un navire
en perdition…
Mais que s’est-il passé ? Il y a encore deux
semaines, on misait sur un calendrier réglé comme du papier à musique : Une
démission du locataire de Matignon annonçant un remaniement large dans la foulée,
puis un discours de politique générale avec vote de confiance devant
l’Assemblée.
En haut lieu, ils étaient même plusieurs à vanter les
mérites de ce modus operandi censé
lancer « l’an II » du quinquennat, ce fameux nouveau souffle tant attendu pour permettre
à « Jupiter » de reprendre la main.
C’est que la machine s’est grippée, vous dit-on.
Des ministres qui démissionnent, des personnalités qui
refusent d’entrer au gouvernement… c’est le monde à l’envers ! Voilà qui en dit
long, en tout cas, sur les difficultés à recruter de cette majorité vraiment très
– trop ? – éclectique, et dépourvue d’un vivier dans lequel puiser. « Ce remaniement qui traîne, c’est aussi parce
qu’on manque de personnalités ».
Eh oui c’est ça que de sortir de la
« cuisse-de-soi-même » !
Autre écueil, et non des moindres, les réticences du
Premier ministre à en passer par une démission. « Il y a eu une bagarre très forte avec le président pour qu’il fasse ce
discours de politique générale. Mais Édouard Philippe n’avait pas envie d’un
vote de confiance qui l’affaiblisse », assure un membre du premier cercle
présidentiel.
Le locataire de Matignon n’ignore sûrement pas qu’il
aurait récolté moins que les 370 voix rassemblées, juste après sa nomination,
le 4 juillet 2017, lors de son premier – et unique – discours de politique
générale.
Et puis quoi dire de neuf pour mobiliser et
séduire ?
Rien…
« Ça casserait
le nouveau souffle si le gouvernement était affaibli avec des pertes en ligne à
l’Assemblée qui sont inévitables », abonde un vieil ami du Premier sinistre.
D’autant qu’il n’oublie pas, non plus, l’affront fait à « Fer-rang »
le 12 septembre dernier, élu président de l’Assemblée avec 99 voix de moins que
son prédécesseur en juin 2017, « Rugby » devenu depuis
« sinistre-des-pollueurs ».
D’autres évoquent enfin un chef de Gouvernement « affaibli dans cette séquence », « incapable de faire valider ses arbitrages
auprès du président de la République ». « Cela ouvre une crise qui fragilise et ridiculise le Premier ministre
», se lâche même un sinistre de premier rang. Il faut dire que le chef du
gouvernement s’était posé en « facteur de stabilité » dans les jours
de vacillement qui ont suivi la démission de « Gégé-la-Colombe ».
Du coup, pas de dém’, pas de discours, pas de dépôt de
motion de censure, pas de vote de confiance…
« Quand je
vois un 01 qui s’affiche sur mon téléphone, je me dis que c'est peut-être qu’on
a un poste au gouvernement à me proposer ! » L’anecdote, signée d’une
députée « LREM-même-pas-en-rêve » est « évidemment à prendre sur le ton de la blague ». Mais elle dit beaucoup
plus quant à la situation actuelle entre parlementaires de la majorité :
Ce sont tous des incapables !
C’est la seule réponse qui me vient à l’esprit…
Je m’explique : Le roi est nu.
« Jupiter » a monté son parti en quelques
mois, sans
rien que poussé par l’ambition des maîtres du monde et de quelques
autres que de mettre la main sur la façade atlantique.
Qu’il a donc fallu recruter des inconnus, leur faire
passer des tests et des entretiens poussés. C’est « Beau-Raie-l’Eau »,
actuel directeur général du parti, et quelques autres qui s’en sont chargés
dans l’ombre.
J’ai d’ailleurs noté que ce dernier refaisait surface
à l’occasion des prochaines européennes. D’ici qu’il soit intégré à la nouvelle
équipe, il n’y a pas loin : Il va atteindre l’âge de la retraite, ce qui le rendra disponible et complètera utilement sa pension de retraite sur le dos des kon-tribuables…
Et ils cherchaient des « béni-oui-oui », pas
des « cadors » qui auraient pu faire de l’ombre, comme l’ont fait « Bébé-Roux »
et « Serre-naze » dès qu’ils ont été nommés « sinistre ».
Résultat, le vivier est désespérément vide de talents
éprouvés.
Le drame existentialiste…
« Jupiter » est en fait « isolé » !
Totalement…
Mais ce n’est que passager : On devrait voir
venir quelques « grosses-têtes » qui ont su se faire remarquer depuis
juin 2017.
On en reparle dans les jours qui viennent.
Que ça va être d’une grosse rigolade.
Moâ, j’arrive à London aux aurores : Je vais
découvrir tout ça dans la presse, alors que vous…
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