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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 31 octobre 2018

Joyeux anniversaire !

Quinze ans et toutes ses dents…
 
Au Royaume-Uni, il y a des limitations de vitesse. Dans les centres urbains, la vitesse maximale est 30 mph (48 km/h). Sur les routes d’une seule voie, elle est de 60 mph (97 km/h) pour les véhicules légers et 40 mph (64 km/h) pour les poids lourds de plus de 7,5 tonnes. Ce qui fait que tout le monde conduit à cette allure-là tellement il est parfois difficile d’effectuer un dépassement en toute sécurité.
Sur les « motorways » (autoroutes) et sur les routes en deux voies, la vitesse maximale est 70 mph (113 km/h) (sauf indication contraire sur les panneaux de signalisation).
Et c’est sur les autoroutes qu’on rencontre le plus de « radar-tronçon » : On te photographie à l’entrée (les appareils sont situés au-dessus de la chaussée) et on te vous flashe sans te le vous dire à la sortie…
Alors que je n’en ai rencontré que sur la route de Saint-Malo en « Gauloisie-perverse ». Mais il paraît qu’il y en a d’autres ailleurs. D’où l’intérêt du régulateur de vitesse…
En UK, si la limite de vitesse est dépassée de 10 % + 1 mph (ex : dans une zone 60 mph, 60 + 60/10 + 1 = 67 mph), l’utilisateur court le risque d'être condamné.
Et les amendes vous poursuivent jusque sur le continent.
En « Gauloisie-sécuritaire » elle est de 5 km/h (6 à partir de 110 km/h, 7 à partir de 130…)
 
En « Gauloisie-routière », il y a quinze ans (c’est ce que l’on fêtait samedi dernier), un lundi de grisaille, « Bling-bling », alors « sinistre de l’Intérieur & des cultes » inaugurait le premier radar automatique fixe sous le pont sur la N 20 à La Ville-du-Bois (Essonne). C’était le 27 octobre 2003…
Toujours en service, ce vaillant vétéran a crépité 33.171 fois en 2017 ! Si à l’époque, cet outil de « contrôle automatisé » avait les faveurs de deux tiers des Gauloisiens, depuis les proportions se sont inversées. Et cet été, après la mise en place de la limitation à 80 km/h, beaucoup ont été tagués, brûlés, vandalisés.
En « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » ils servent de cible pour des tirs au « gros pruneau » ou au plomb de chasse : C’est plus sympa !
Ils ont pourtant indéniablement fait baisser la mortalité. « En 10 ans, entre 2003 et 2012, les radars ont permis de sauver 23.000 vies », assure-t-on mordicus à la sécurité routière. Mais on reste loin de l’objectif de 2.000 décès pour 2020 : 3.684 personnes ont été tuées sur les routes l’an dernier et l’effet radars semble désormais s’essouffler.
« Avec le déploiement de mobiles ou des leurres qui par principe ne sont pas localisés au même endroit, on assume d’installer des radars pour faire baisser la vitesse », pointe le délégué interministériel à la sécurité routière. « Chaque radar implanté sur des axes à fort trafic ne sera peut-être pas à l’endroit qui a totalisé le plus de morts. Mais c’est scientifiquement prouvé, moins les autos roulent vite et moins il y a de morts sur les routes. »
Rhôôôô la lapalissade.
Quand les autos ne rouleront plus, il va se passer quoi si chacun sera cantonné dans son « sweet-home » ?
Et l’envolée des royalties alors ?
 
 
Notez qu’en « 2013, les Bonnets rouges ont détruit les radars bretons. La mortalité n’a pas bondi pour autant sur ces zones. C’est la preuve que les radars ne servent à rien. En tout cas pas à sauver des vies », tranche l’association 40 millions d’automobilistes qui plaide pour qu’on les démonte.
Au contraire, la Ligue contre la violence routière réclame des appareils embarqués plus nombreux et plus efficaces. Particulièrement sur les nouvelles portions à 80 km/h. « Sinon nous allons manquer l’objectif de cette mesure. À savoir 400 morts en moins. »
Alors quid ?
 
Les radars ont-ils fait baisser le nombre de morts sur les routes ?
« Sans aucun doute, l’effet des radars a été et reste bénéfique », assure un « chercheur » de l’Institut gauloisien des sciences et technologies des transports, de l’aménagement et des réseaux (Iffstar). Avec un de ses collègues il a calculé que, à la suite de leur installation, le nombre de blessés a baissé de 7,3 %.
Yes !
Pas énorme…
D’autant que maintenant ils se tuent à patinettes électriques….
Mais lui-même nuance son assertion : « Il semble que cet effet ralentisse. »
Ah oui, c’est comme le chômage, cette histoire-là ?
 
Les automobilistes ont appris à contourner le système. Les gendarmes parlent d’« effet splash » : Les fraudes se déplacent vers les zones moins contrôlées.
Personnellement, je me demande comment ils savent (puisqu’ils ne sont pas là) ? Alors les autorités ont dû innover. D’abord avec les « doubles faces », capables de flasher par-derrière pour pincer les deux-roues, qui n’ont pas de plaque à l’avant. Puis avec les dispositifs furtifs dans des voitures banalisées…
Des effets de l’imagination au pouvoir…
 
Par ailleurs, les flasheurs sont logiquement positionnés sur les routes où l’on a enregistré le plus de tués ou de blessés. C’est la règle, mais ce n’est pas la seule. On les installe aussi de manière préventive pour faire baisser la vitesse avant un virage en épingle par exemple. Et à proximité des ponts et tunnels ça crépite dur. « Parce que dans ces lieux sensibles, chaque accident peut entraîner une catastrophe, personne ne veut se retrouver avec un nouveau tunnel du mont-Blanc » sur les bras, vous expliquera-t-on.
Celui du « sous la Manche », bien sûr, ça n’a rien à voir…
 
Au centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema), on ausculte aussi les radars. « On compare le nombre d’accidents à proximité de la zone contrôlée 5 ans avant sa mise en service et 5 ans après ». Et, surprise, « selon l’analyse de notre cellule data, les données étant très lacunaires, ces évaluations sont à prendre avec des pincettes. »
Kon, ça…
On ne saura pas.
 
Mais tout cela reste imprécis : « Les axes où l’on meurt le plus ne sont pas ceux que l’on pense » souligne un accidentologue. « Une belle nationale toute droite avec une bonne visibilité rassure les automobilistes, mais la mortalité est plus importante sur ces belles routes qui sont très passantes. »
Encore une lapalissade…
La Sécurité routière le sait et aura donc tendance à les truffer de « flasheurs », plutôt que de les répartir sur une route de montagne.
 
Et alors, qu’est-ce qui justifie leur présence sur les autoroutes pour le moins les mieux sécurisées des routes ? C’est l’un des reproches des antiradars, « la preuve que ces moyens de contrôle sont surtout des moyens de racket » puisque rapporté au nombre « d’usager », le risque d’accident est plus faible que sur une nationale ou une départementale, alors que le trafic très important a un effet multiplicateur : On y installe donc ces instruments de contrôle seulement pour réduire la vitesse.
Par ailleurs, chaque année, une poignée de radars seulement sont désactivés ou déménagés, presque toujours quand on crée un rond-point ou des dos-d’âne qui obligent à ralentir. Les enquêtes montrent pourtant qu’il y a parfois plus d’accidents autour de certains radars qu’avant leur implantation.
Un hasard ?
Ça me fait penser à ce feu-rouge installé à Calvi (il y en a eu deux), parce que « une sous-préfecture qui se respecte, ça doit avoir un feu-rouge ! »
Deux morts plus tard là où il n’y en avait jamais eu, des heures d’embouteillage là où il n’y en avait pas, la mairie a fini par les démonter : De l’argent foutu par les fenêtres.
 
Mais tout le monde est d’accord pour dire qu’ils font baisser la vitesse. Entre 2002 et 2012, ceux qui roulent 40 km/h au-dessus des limites autorisées ont quasi disparu. La vitesse moyenne a plongé, passant de 89,5 km/h à 79,3 km/h, ont calculé des chercheurs. Même s’il semble que les « Gauloisiens » ont un peu ré-appuyé sur le champignon depuis…
Curieux, non ?
Toujours à Calvi, la route nationale devant le campement de la légion est passé de 90 à 70 km/h depuis des années (une zone d’expérimentation) a été équipée d’un rond-point et d’un radar (pour protéger l’approche d’un passage-piéton) : Il y a toujours trois morts par an…
 
En 2016, par rapport à 2011, le compteur moyen avait grimpé de 6 km/h sur les autoroutes. « On est face à l’effet saut de kangourou. Parce qu’ils connaissent l’emplacement des radars sur leur trajet quotidien, parce qu’ils sont signalés sur leur téléphone, beaucoup ralentissent dans la zone de contrôle puis foncent après. »
Toujours aussi pressés, finalement.
 
En 2017, les recettes des radars se sont élevées à 1,013 milliard d’euros. Selon le projet de loi de finances, l’État pense empocher 1,23 milliard d’euros en 2019. Soit + 56 % en quatre ans !
Mazette…
Et les autorités prévoient que la modernisation du parc avec des engins plus performants rapportera encore plus gros !
Sans compter que, sur le réseau passé de 90 à 80 km/h, le nombre d’amendes devrait bondir.
Mais non, pas du tout « pompe à fric » : On l’a dit, pas d’impôt nouveau (une promesse de « Jupiter ») mais une augmentation des taux !
Autre source de revenu, les étrangers verbalisés en hexagonie, de plus en plus nombreux à être contraints de payer leurs prunes, grâce à des accords internationaux.
 
On sait par ailleurs que les dix radars les plus « performants » sont tous situés sur des autoroutes. Le champion toutes catégories se trouvant en Haute-Savoie, sur l’autoroute A40, dans le sens Chamonix-Mont-Blanc – Mâcon. Il a crépité… 125.074 fois en 2017. Soit l’impressionnante moyenne de 340 fois par jour !
Tous les jours… qu’il vente ou qu’il pleuve.
Il est suivi d’un radar installé en Meurthe-et-Moselle sur l’A31 (120.991 dossiers) et d’un autre sur l’A10 dans l’Essonne. À l’inverse, le moins actif, sur la D 534 au niveau de Lamastre (Ardèche), n’a flashé qu’une seule fois en 2017 !
De l’argent qui tombe des poches des contribuables comme s’il en pleuvait (tellement ils sont riches…) qui, paraît-il sont allées à 91,2 % à la lutte contre l’insécurité routière (soit 924,5 millions d’euros), assurait encore la semaine dernière le ministère de l’Intérieur.
En fait, ça va aux sociétés concessionnaires qui exploitent le bidule et « l’investissement contre l’insécurité routière » sert à entretenir les machines dégradées et à en acheter de nouvelles !
Le reste désendette l’État…
 
En réalité, dans un rapport publié en mai, la Cour des comptes constate que si, certes, la majorité de l’argent a bien été affecté à l’Agence de financement des infrastructures de transport de Gauloisie (Afitf) et aux collectivités locales, rien ne dit qu’elles ont effectivement utilisé ces sommes pour rendre les routes plus sûres.
Exception notable : Les recettes issues du 80 km/h. La loi de finances prévoit qu’elles seront affectées aux hôpitaux spécialisés dans la prise en charge des accidentés.
Voilà qui va soulager l’assurance-maladie, branche prestation en nature : Les toubibs vont être heureux !
Notez également qu’en 2017, 9.343.729 points ont été perdus pour excès de vitesse : Rien à voir avec la sécurité routière, au contraire, puisque ça pousse les « dangereux » à conduire sans permis.
Mais ces chiffres faramineux font oublier que 80 % des automobilistes ont encore tous leurs points.
Cherchez l’erreur…
 
Sur ce, le racketeur-national (à savoir l’État, c’est-à-dire vous-même) table sur 4.700 radars automatiques en service fin 2019 (feux rouges et passage à niveau compris). Ce n’est pas beaucoup plus qu’aujourd’hui. Mais il faut ainsi s’attendre à une avalanche de radars autonomes, de cabines « double sens » ou « double face », mais aussi à l’élargissement de la privatisation des radars mobiles.
On attend aussi l’apparition des radars super performants : les tourelles. À 4 m de haut, ce qui les rendra aussi plus difficile à couvrir de peinture, ces engins sont capables de détecter 32 véhicules en même temps, sur huit voies différentes. Ils seront également capables de détecter le non-respect des distances de sécurité, le dépassement par la droite, le défaut de port de la ceinture ou encore l’usage du téléphone au volant !
Ultraperformant on vous a dit…
 
Et puis depuis dès aujourd’hui les radars « mobiles » ont fait leur apparition et sont pilotés par des agents privés (payés une misère) qui sillonnent toute la Normandie. Dix sont déployés, quinze le seront à la fin de ce mois (demain), vingt d’ici la fin de l’année (avant Noël). Ces armes anti-excès de vitesse devaient arriver rapidement sur toutes les routes du pays mais, sans être à l’arrêt, le dispositif est sûrement un peu ralenti depuis qu’il est visé par une plainte d’Anticor pour favoritisme, avec l’ouverture d’une enquête au Parquet national financier (PNF).
Je vous le dis : L’imagination en vient à transformer quelques volontaires en « délateur-assermentés » : Fabuleux !
 
Souvenez-vous, il y a trois ans de ça, le maire de Linas (Essonne) s’était offusqué des carambolages causés, selon lui, par deux radars de feu sur la N 20. Il avait donc installé une signalisation pour alerter les automobilistes. « L’objectif n’est pas d’avoir moins de tôles froissées, mais moins de victimes tuées ou de blessés graves. Ce qu’on obtient en réduisant les vitesses d’impact », commentait alors la Délégation à la sécurité routière. « On ne peut entrer dans une logique où l’on dirait que des outils de mesure de vitesse pourraient être à l’origine d’accidents », s’agace un autre.
Pourtant souvenez-vous, je vous avais rapporté cet incident vécu sur mon autoroute des vacances (A6) : Ce jour-là, c’est chargé mais ça roule à bonne allure vers le sud sans à-coups, pépère.
Quand tout à coup 107,7 annonce un ralentissement de 4 kilomètres un peu en aval. Prudent, je me mets en alerte (autrement dit je me réveille et débranche le pilote automatique de mon « tas-de-boue-à-roulettes ») et effectivement, une file s’entasse devant mon moteur.
20 minutes, pas à pas, pare-chocs contre parechoc.
Et puis je passe le niveau de l’aire de repos située du côté d’Époisses pour reprendre une allure normale, route dégagée : En fait, une voiture de gendarme flashait à tire-la-Rigault le trafic remontant vers Paris et tout le monde les regardait faire depuis 20 minutes…
Inutile de dire qu’on faisait tous ensuite appel de phare sur appel de phare pour prévenir les « usagers » arrivant en face.
10 minutes plus tard, 107,7 annonçait un accident en amont du ralentissement, avec intervention des pompiers : Grave, le « truc ».
20 minutes plus tard, 107,7 annonçait la formation de deux bouchons en amont de l’accident, dans les deux sens de circulation !
Et quand je suis arrivé sur Lyon, un second accident (avec deux bouchons en formations en amont) avait eu lieu jusque-là où flashaient les gendarmes : Une bonne journée pour eux !
Combien de personne la paire de gendarme avait-elle tué ou estropié à vie ?
On ne saura jamais.
Mais à part ça, ce n’est aucunement dangereux : Au contraire, ils justifiaient ainsi leur présence sur le terrain, les sagouins !
 
Ceci dit, en UK, même si je n’ai pas les données, il semble que les chauffards soient plus prudents. Alors qu’en Allemagne, sauf exception, il n’y a pas de limitations de vitesse sur les autoroutes et que la limite est de 100 km/h sur les routes secondaires.
Devinez quoi ?
En 2015, on décomptait 3.461 décès en « Gauloisie-routière », 3.459 en Teutonnie (et ils sont nettement plus nombreux), 3.428 en « Ritalie-des-Fangio » et des grosses cylindrées, 2.938 chez les « polaks », 1.893 chez les « Roms » et seulement 1.806 chez les « Roastbeef », un peu plus qu’en « Hispanie » (1.689) !
 
Le reste, c’est de l’arnaque, à 1,23 Md€ de « contribution volontaire » : Taux de tué pour 100.000 habitants ? 5,18 en Gauloisie-sécuritaire. À comparer au taux US : 10,91 !
Et au 2,77 en UK…
Et si ça n’est pas de l’arnaque, ça y ressemble fortement…
Merci « Bling-bling » et joyeux anniversaire au passage : 15 ans, c’est encore l’adolescence…
Tout l’avenir reste devant.

2 commentaires:

  1. Quinze ans! Et pas une annonce dans la presse! Heureusement que tu es là. Je m'en fous car je ne conduis pas. Mais je sais que la baisse de la mortalité automobile provient des progrès des voitures. Par contre, il y a plus d'estropiés. Un expert des assurances m'a précisé que ça coûte bonbon aux compagnies.
    Vlad

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    1. Des voitures, c'est clair (la sécurité passive, les airbags, la ceinture de sécurité, tout-ça/tout-ça) et les équipements routiers même si beaucoup laissent à désirer.
      Moi, je trouve que les gens sont clairement plus prudent qu'il y a 40 ans. En réalité, il s'agit surtout de "lisibilité" et de "prévisibilité" des comportements sur la route : Il devient très rare de se faire surprendre par un type qui déboule sans l'avoir repéré dans le rétroviseur, ou que tu sois surpris par un freinage d'urgence devant toi.
      Reste la plaque de verglas, la tâche d'huile, mais le mek qui zigzague, tu restes sagement derrière en attendant qu'il se plante.

      Et les radars n'y sont strictement pour rien, effectivement !
      En revanche, que c'est bon pour la finance-pue-blique : C'est autant de moins de déficit à financer par d'autres prélèvements...

      Bien à toi !

      I-Cube

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