GPA
pour toutes ?
Première question :
Supposons que vous connaissiez une femme qui est enceinte, mais qui a déjà
huit enfants, dont trois sourds, deux aveugles et un mentalement attardé ; de
plus, cette femme a la syphilis.
Lui recommanderiez-vous d’avorter?
Répondez mentalement, puis lisez la seconde question.
Deuxième question :
Il est temps d’élire le Président du Monde et votre vote sera
déterminant.
Voici les données concernant les trois principaux candidats :
Le candidat « A » est associé à des politiciens véreux et consulte des
astrologues. Il a eu deux maîtresses. Il fume comme une cheminée et boit huit à
dix martinis par jour.
Le candidat « B » a déjà été viré deux fois, il dort jusqu’à midi, fumait
de l’opium au collège et boit un quart de litre de whisky chaque soir.
Le candidat « C » est un héros de guerre médaillé. Il est végétarien, boit
une bière occasionnellement et n’a jamais eu d’histoires extra-conjugales.
Parmi ces trois candidats, lequel choisiriez-vous (honnêtement) ?
Faites d’abord votre choix, ne trichez pas, puis lisez la réponse
ci-dessous.
Le candidat « A » est Franklin D. Roosevelt.
Le candidat « B
» est Winston Churchill.
Le candidat « C » est Adolf Hitler.
Comme quoi, il faut toujours se méfier des personnes qui ont une vie trop
saine…
…Au fait, à propos de la question de l’avortement : Si vous avez répondu «
oui », vous venez de tuer Ludwig Van Beethoven.
De Jean-Marc :
« – Quand Pinocchio a-t-il
découvert qu’il était en bois ?
– En se masturbant. Il a
failli prendre en feu ! »
Définition d’un macho selon Jean-Marc
: Après une fellation, c’est le gars qui demande à la fille :
« Alors, comblée ?
Heureuse ? »
Une dame se présente au bureau de son assureur.
« – Mon mari est mort. Je viens
toucher le capital-décès !
– Mais Madame, votre mari
ne s’était assuré que contre l’incendie !
– Justement, c’est pour
cela que je l’ai fait incinérer… »
Une heure du matin.
Sur un trottoir, Jean-Marc
complètement ivre essaye de faire rentrer sa clé dans un lampadaire.
Un agent de police, qui faisait sa ronde, s’approche et lui dit gentiment
:
« – N’insistez pas monsieur,
personne n’habite ici…
– Ben si ! Tu vois pas que y’a de la lumière
au premier ? »
Au moment où les policiers emmènent un bandit qu’ils viennent d’arrêter,
la femme du voyou lui dit :
« Oh ! Chéri, si tu dois être
parti pour une dizaine d’années, au cas où j’aurais des enfants, en ton absence,
dis-moi tout de suite quels prénoms tu aimerais me voir leur donner. »
Du temps où l’armée ne recrutait pas encore parmi la gent féminine… Jean-Charles
faisait marcher sa sœur, Lucile, qui voulait se déguiser en homme pour se faire recruter.
Jean-Charles lui dit :
« – Mais dis-moi, tu sais que
tu devras t’habiller avec les garçons et prendre la douche avec eux !
– Oui, je sais.
– Et tu ne penses pas
qu’ils vont découvrir le pot-aux-roses ?
– Si, mais qui parlera ? »
On vient d’amener au commissariat de police un type ayant à son actif un
nombre incroyable d’accidents de la route et d’infractions en tout genre.
Très énervé, le policier s’adresse à l’automobiliste :
« – Mais enfin, rendez-vous
compte qu’en trois mois outre les mauvais stationnements, les excès de vitesse
et le reste, vous avez renversé 19 personnes ?
– Non, vous vous trompez,
j’en ai renversé 17 seulement car il y en a une que j’ai renversée 3 fois. »
« – Monsieur, c’est quoi la
récession ?
– Ben… c’est quand le
voisin perd son emploi.
– Et la dépression ?
– C’est quand vous perdez
votre emploi.
– Et la Grande Crise ?
– C’est quand votre femme
perd son boulot. »
Un homme entre deux-âges est arrêté par un barrage de police vers 2 heures
du matin.
Le policier lui demande où il va à cette heure de la nuit.
Jean-Marc répond :
« Je me rends à une conférence
sur l’abus d’alcool et ses effets sur le corps humain, ainsi que ceux du tabac
et des soirées tardives. »
Le policier pas convaincu demande alors :
« – Vraiment, et qui est-ce qui
donne cette conférence à une heure pareille ?
– Comme d’habitude, ça va
être ma femme. »
Dans la série des « revenues » (nombreuses cette semaine) :
Premier jour d’école dans une classe américaine. L’institutrice présente à
la classe un nouvel élève, Sakiro Suzuki (le fils du boss de Sony).
Le cours commence.
L’institutrice :
« Bon, voyons qui maîtrise
l’histoire de la culture américaine. Qui a dit : « DONNEZ-MOI LA LIBERTÉ OU LA
MORT ? »
Pas un murmure dans la salle.
Suzuki lève la main :
« – Patrick Henry, 1775, à
Philadelphie.
– Très bien Suzuki ! …Et
qui a dit : L’ETAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE PEUT PAS SOMBRER ?
– Abraham Lincoln, 1863 à
Washington », répond Suzuki…
L’institutrice regarde les élèves et dit :
« N’avez-vous pas honte ? Suzuki est
japonais et il connaît l’histoire américaine mieux que vous ! »
On entend alors une petite voix au fond de la classe :
« – Allez tous vous faire f…,
connards de Japonais !
– Qui a dit ça ? » s’insurge l’institutrice.
Suzuki lève la main et sans
attendre, dit :
« Général Mc Arthur, 1942, au
Canal de Panama et Lee Iacocca, 1982, lors de l’assemblée générale de General
Motors. »
Dans la classe plongée dans le silence, on entend un discret :
« Y’m’fait vomir, l’hostie… »
L’institutrice de hurler : « Qui
a dit ça ? »
Et Suzuki:
« George Bush Senior au premier
Ministre Tanaka pendant un dîner officiel à Tokyo en 1991. »
Un des élèves se lève alors et crie :
« Suce-moi la graine ! »
Et Suzuki, sans ciller :
« Bill Clinton à Monica
Lewinsky, 1997 dans le bureau ovale de la Maison Blanche à Washington. »
Un autre élève lui hurle alors :
« Suzuki, espèce de tas de
merde ! »
Et Suzuki :
« Valentino Rossi, lors du Grand
Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002. »
La salle tombe littéralement dans l’hystérie, l’institutrice perd
connaissance, la porte s’ouvre et le directeur de l’école apparaît :
« MERDE, j’ai encore jamais vu
un bordel pareil ! »
Et Suzuki :
« Paul Martin, à Ottawa, en
2003, après s’être fait raconter l’affaire des commandites par Jean Chrétien. »
Un général et un amiral qui ne peuvent pas se blairer se retrouvent
ensemble chez le barbier de l’état-major chez qui ils se font raser tous les
matins.
Tous les deux ont fini d’être rasé en même temps, et à la fin du rasage,
le troufion qui rasait le général s’apprête à lui passer un peu d’après-rasage…
Mais le général s’écrie :
« – Pas de ce machin sur moi
malheureux ! Sinon, ma femme va croire que j’ai été chez les putes… »
Alors l’amiral se tourne vers son troufion barbier et lui dit :
« Vas-y tu peux m’en mettre à
moi, ma femme ne sait pas ce que ça sent une pute, elle ! »
Deux copines se rencontrent après une dizaine d’années de séparation puisque
que l’une a vécu à l’étranger.
« – Alors, et ton mari ?
– Je te dis, c’est un
ange.
– Chanceuse, le mien est
toujours en vie. »
Jean-Marc en ballon dirigeable s’est égaré.
Il perd de l’altitude et aperçoit une femme au sol.
Il descend et lui crie :
« Excusez-moi, pourriez-vous
m’aider ? J’ai promis à un ami de le rejoindre d’ici une heure et je ne sais
pas où je me trouve. »
La femme au sol répond :
« – Vous êtes dans un ballon à
environ 10 mètres au-dessus du sol. Vous vous trouvez entre 40 et 41 degrés de
latitude Nord et entre 59 et 60 degrés de longitude Ouest.
– Vous devez être
ingénieure », dit Jean-Marc.
« – C’est vrai »,
répond la femme, « comment le
savez-vous ?
– Eh bien tout ce que
vous m’avez dit est techniquement correct, mais je n’ai aucune idée de ce que
je dois faire de vos informations, et le fait est que je ne sais toujours pas
où je suis. En toute franchise, vous ne m’avez pas beaucoup aidé. Vous avez
tout au plus retardé mon voyage !
– Et vous, vous devez
être patron », répond la femme.
« – C’est vrai »,
répond Jean-Marc, « mais comment le
savez-vous ?
– Eh bien, vous ne savez
ni où vous êtes, ni où vous allez. C’est grâce au hasard et à beaucoup de vent
si vous êtes dans votre position actuelle. Vous avez fait une promesse sans
avoir aucune idée de comment vous alliez pouvoir la tenir, et vous attendez que
des gens situés en dessous de vous résolvent vos problèmes. Le fait est que
vous êtes exactement dans la même situation qu’avant notre rencontre sauf que
maintenant, c’est de ma faute ! »
Dans l’originale il s’agissait d’un « politique »
et d’un énarque…
Des paroles qu’une femme n’entendra jamais de la bouche d’un homme !
Jamais… Jamais… Jamais !
« Je sais que tu voudrais faire
l’amour, mais ce soir, je n’ai besoin que de tendresse, ma chérie… »
« J’ai assez bu de bière ce
soir, donne-moi un jus de fruit avec un zeste de citron… »
« Merveilleux ! Ta mère vient
passer 3 jours avec nous ! »
« Je me demande si la voisine
sait que ses rideaux sont ouverts quand elle prend sa douche ! Je pense qu’on
devrait lui dire ! »
« Laisse… Je vais faire la
vaisselle ce soir ; tu as eu une grosse journée avec les enfants. Va te
reposer, mon amour ! »
« Je crois bien que je vais
jeter tous mes Playboy ; ça fait un bon bout de temps que je ne les regarde
plus ! »
« Il y a beaucoup trop de
nudité dans ce film ! Allons-nous-en ! »
« Seigneur, on va être en
retard pour la messe !!! »
« Tu devrais avertir ta sœur ;
quand elle se penche, on voit ses seins ! »
« Oh ! … Ces oignons ; ils me
font pleurer ! Passe-moi un papier mouchoir… Sniff Sniff ! »
Non-non, ce n’est pas pour demain… mesdames !
Mais bon week-end à vous mesdames (et aux autres) tout de même !
I3
Pour l'avortement, j'ai pensé qu'une fois que c'est lancé, il faut suivre médicalement et ne le faire que si une grave malformation est avérée. Un peu une réponse de normand.
RépondreSupprimerPour la deuxième question, je suis fier: j'ai choisi Winston! La description me l'a tout de suite rendu sympa. Je n'ai pas fumé de l'opium, mais c'était normal à une époque. Et je préfère le whisky au martini. Mais tu es sûr qu'il ne buvait qu'un quart de litre chaque jour?
Ce doit être mon côté plébéien. La description d'Hitler faisait trop bobo pour moi. Ils sont au pouvoir. On voit ce que ça donne.
Bien à toi.
Salut Vlad !
SupprimerJustement, à propos de malformation, je crois que son père avait un pied bot.
De toute façon, lui a fini sourd comme un pot...
Churchill était sobre en journée. En revanche, au soir il s'assommait à l'alcool.
Un quart de litre, c'est suffisant.
Déjà qu'avec deux verres - bien plein - je dégage assez vite : Essaye, tu verras...
Hitler "Ecololo-bobo", voilà qui en présume pour beaucoup !
lol...
Non la morale de cette "histoire d'en rire", c'est que rien n'est écrit à l'avance : Et le cours de première année de médecine commence d'ailleurs comme ça (en général) : Tout est en devenir, y compris la maladie !
Bonne fin de week-end !
I-Cube
Rien n'est écrit d'avance. En France, tout dépend de ta naissance. Mais bon, la possibilité existe.
SupprimerEt c'est l'essentiel, justement !
SupprimerEt là, on ne se situe pas sur le plan sociologique, mais celui de la physiologie : Les antécédents ont notablement plus d'impact, je te l'accords.
Quoique souviens toi de de Stephen Hawking : Il devait mourir à 28 ans et puis, et puis...
Bien à toi !
I-Cube