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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 30 octobre 2018

Quand on nait « autiste-dogmatique »,

On en devient « soce-trisomique ».
 
La preuve : L’annulation de la piétonnisation des quais de Seine, le dernier épisode du feuilleton des berges de Seine a continué par un nouveau camouflet pour la ville de Paris-sur-la-plage et « Sœur-Âne », avant qu’elle n'ait eu gain de cause sur le fil, cette mairesse adulée des foules en délire !
C’est dire si c’est assez édifiant et qu’ils sont si kons au final.
 
Lundi en huit, la Cour administrative d’appel a confirmé l’annulation de la piétonnisation des quais de la rive droite et ce qui reste intéressant c’est que dans son arrêt, la cour non seulement confirme le jugement du tribunal administratif qui, le 21 février 2018, avait annulé la délibération votée par le Conseil de Paris le 26 septembre 2016 pour créer une aire piétonne en lieu et place des 3,3 km de la voie Georges-Pompidou (Ier et IVème arrondissement), mais le juge d’appel va plus loin en annulant aussi « par voie de conséquence », l’arrêté de piétonnisation pris en réplique par la maire de Paris le 18 octobre 2016, des fois que le TA n’ait pas bien compris la règle de droit applicable, même si le même TA aura finalement validé le dernier épisode juste après, des fois qu’il n'ait pas bien compris.
Amusant.
 
Dans une première décision, le tribunal administratif avait annulé la délibération de la mairie, estimant que l’étude d’impact du projet « comportait des inexactitudes, des omissions et des insuffisances ».
Alors même que lors de l’audience en appel, début octobre, le rapporteur public avait conclu lui à l’annulation du jugement du tribunal administratif de Paris et au rejet des requêtes présentées par les opposants.
Un avis que n’a pas suivi la Cour d’appel administrative.
 
Dans son arrêt, la Cour estime en effet ce que nous savions, que « l’étude d’impact a délibérément occulté une partie notable des incidences du projet sur les émissions de polluants atmosphériques et les nuisances sonores ».
Et reproche à l’Hôtel de ville d’avoir « limité l’analyse des effets sur la pollution à une bande étroite autour des berges, sans en étudier l’impact sur les principaux axes de report de trafic (…) sans en étudier l’impact sur les principaux axes de report de trafic, en ne prenant pas suffisamment en compte les effets négatifs dus au phénomène prévisible de congestion du trafic et en s’abstenant d’évaluer les nuisances sonores nocturnes ».
Eux, les « parigots », ils savent le bordel : Le quartier se vide de ses habitants et les habitués n’y viennent plus et contournent le problème laissant la place aux touristes et à leurs cars…
 
Naturellement, cet état des faits (un fait reste incontournable au-delà de toutes les opinions possibles qui restent « variables » aux dogmes ambiants de son choix du moment) est d’ailleurs confirmé par une étude publiée par le « Parisien-des-libérés » qui note qu’après une augmentation massive du nombre de voitures sur les quais hauts entre 2016 et 2017, dû à un report, les comportements semblent avoir peu changé. « Comme nous l’avions déjà constaté en février 2017 ».
« Les capteurs de la mairie de Paris, dont nous révélons les chiffres, montrent que les automobilistes se sont rabattus principalement sur les quais hauts et le boulevard Saint-Germain… et ne les ont plus quittés.
On note ainsi 631.733 passages sur 30 jours en septembre 2015, puis 749.247, l’année suivante. En 2018, il y avait encore 730.161 passages de véhicules.
Idem quais de la Mégisserie, où on passe de 900.584 passages sur 30 jours en septembre 2015, puis 1.319.496 en septembre 2016 et 1.247.704 en septembre 2018.
Les données ne peuvent toutefois être comparées qu’entre les différents mois de septembre. En effet, certains mois, les capteurs de la ville de Paris sont restés muets… »
Et de conclure que « l’évaporation de la circulation » vantée par la mairie ne se traduit donc pas dans les chiffres.
 
Et question pollution ? « Si l’on se tient aux capteurs d’AirParif, les moyennes N02 (dioxyde d’azote) ont plutôt augmenté sur le quai des Célestins ».
Airparif tempère : « Comparer ces données est difficile, car on ne prend pas en compte les conditions météorologiques ».
Reste que l’association de surveillance de la qualité de l’air note dans son étude dédiée aux conséquences de la fermeture des voies sur Berges, que « sur la station du quai des Célestins, l’augmentation est plus marquée, avec + 9 % entre août 2016 et août 2017, que sur les autres stations parisiennes ».
Une augmentation des émissions qu’Airparif lie « vraisemblablement » à la hausse du nombre de véhicules. Depuis, comme par hasard, aucune étude n’a été commandée à AirParif, ni par la ville, ni par la région, sur le sujet.
 
Quant aux nuisances sonores, le quotidien note que la seule étude sur le sujet a été commandée à BruitParif par la région Ile-de-France. Rendue en septembre 2017, elle relève des hausses de bruits importantes sur les quais hauts. + 2,2 db (plus qu’un quadruplement, échelle logarithmique oblige) sur les quais de la Mégisserie, + 1,4 dB (presque un triplement du volume sonore) sur celui des Célestins et plus généralement, des niveaux sonores dépassant les valeurs limites réglementaires, de jour comme de nuit sur 60 % des 90 points de mesure.
Le bruit a en revanche nettement diminué sur les quais bas ainsi qu’en façade des îles Saint-Louis et de la Cité, là où ne vivent que 3.500 personnes…
Merci pour eux !
Ils seront bientôt privés de véhicule (hors les bus et peut-être les camions de livraison, mais ce n’est pas sûr) et même de mairie d’arrondissement, pour la peine.
 
Évidemment les autistes-trisomiques, ça osent tout (c’est d’ailleurs comme ça qu’on les reconnaît). Juste après le premier adjoint de « Sœur-Âne » (un « soce » au moins aussi dogmatique que la patronne), aura annoncé la décision de la Ville de se pourvoir en cassation devant le Conseil d’État : « Nous aurions aimé un dénouement heureux dès aujourd’hui » qu’il précise, le coquin…
« Nous allons devoir patienter encore un peu avant de clore le volet administratif de cette mesure emblématique et d’utilité publique» en soulignant toutefois des « avancées » comme le caractère « facultatif de l’étude d'impact » reconnu par la cour administrative. Ce qu’il trouve « cocasse ».
Pourvoi en cassation sur je ne sais pas quel motif de droit.
Je pense qu’il n’a rien compris au droit administratif et devrait retourner à la fac en formation accélérée sur le sujet.
En effet, rappelant que les conclusions du rapporteur public, présentées début octobre, étaient « intégralement en faveur de la Ville », il pourrait peut-être se poser les bonnes questions.
Je dis ça, je ne dis rien : Quand on est un « autiste-trisomique » de l’intérêt général, on ne se refait pas…
 
Après un premier camouflet du tribunal administratif, en mars dernier invalidant la fermeture des berges de 2016, la mairie de Paris avait pris un autre arrêté en catastrophe. Prudente, la mairie ne parlait plus de circulation ou de lutte contre la pollution, mais mettait en avant … le patrimoine : Le document indiquait que « l’interdiction de circulation des véhicules à moteur sur les quais bas des berges de la Seine contribue à préserver l’authenticité et l’intégrité du bien classé » au patrimoine mondial. Selon le document, « la circulation compromet également la valorisation du site à des fins esthétiques et touristiques ». C’est la légalité de ce second document du 6 mars, que le tribunal administratif a jugé correct la semaine dernière : Le bon motif, quoi !
Je n’attends même pas la décision pour vous dire que c’est « tout-paris », dans son ancien périmètre d’avant-Haussmann, qui devrait être « préservé » des voitures, bus, cars et camions pour être classé.
Vivement qu’on en revienne aux voitures à crottin de cheval (et aux taxi-aériens), histoire de rigoler.
Les vélos, il faudra obliger au port du casque intégral : 5 morts et 40 blessés grave depuis le début de l’année, c’est beaucoup, beaucoup trop !
 
Et puis, sournois, le premier-adjoint tout neuf de préciser : « Nous avons gagné la bataille culturelle des berges de Seine. Même les élus d’opposition ne réclament plus le retour des voitures », observe l’élu.
C’est aller un peu vite en besogne, me semble-t-il : L’opposition a dénoncé « un double désaveu judiciaire », tandis que le groupe PPCI (Parisiens, progressistes, constructifs et indépendants) a fustigé «une méthode sans concertation» et « des dossiers mal préparés» en amont…
Effectivement, tout en estimant que « la Ville a fait n’importe quoi dans cette affaire et abouti à des résultats à l’opposé de l’objectif fixé », le maire du Ier (un démocrate-Républicain) qui faisait partie des opposants ayant saisi le tribunal administratif, n’est évidemment pas d’accord : « La réouverture des berges à la circulation améliorerait la qualité de l’air dans le centre de Paris ».
À voir…
 
Quant à la région « Île-de-Gauloisie » qui faisait partie des requérants au tribunal contre le premier arrêté, pour elle, c’est un jugement « particulièrement sévère » qu’a rendu la cour administrative d’appel, soulignant que l’étude d’impact a « délibérément occulté » une partie des incidences du projet de piétonnisation, « la cour laisse entendre que les nuisances liées à la fermeture des voies sur berge ont été sciemment cachées », pointe-t-on du doigt dans l’entourage de la présidente.
Si la région a depuis abandonné le terrain judiciaire – elle n’a pas attaqué le deuxième arrêté municipal – elle a toujours préféré contester l’absence de concertation à l’origine du projet de piétonnisation : « Cette décision confirme que notre recours était fondé », poursuit un responsable francilien, pour qui la région « se concentre désormais sur la création de 1.000 places de parking relais à tarif réduit », avec pour objectif de « gagner la bataille de la pollution ».
Là, j’ai la solution (soufflée par Aguigui-Mouna) : Il proposait de détourner le cours de la Seine (probablement vers la Somme) et de bétonner son lit pour y faire une vaste autoroute jusqu’au Havre et parquer les bagnoles en-dessous…
Bon, il est mort et ses bonnes idées avec lui (qui se baladait avec un réveil rue Mouffetard les jours de marché « pour réveiller les consciences ») : Un érudit vous dis-je !
Ambiance.
 
Pour parvenir à stopper la pollution aérienne, il faudrait enrayer les vents-contraires qui importent par épisodes récurrents la pollution depuis les centrales au charbon allemandes et interdire tous les véhicules à moteur explosif dans un vaste rayon autour de la kapitale.
Le mieux, et le plus radical, serait même d’interdire aux parisiens de venir mourir par empoisonnement dans l’enceinte du périphérique (et peut-être même au-delà) en vidant la ville de tous ses habitants…
Radical !
Il apparaît néanmoins comme déterminé : « Il ne reste plus qu’à trouver le bon cadre juridique pour que cette piétonnisation soit pérenne ».
Bon courage !
Et quand je pense à tout le pognon piqué dans la poche des parigots pour ouvrir la voie Pompidou à la circulation et soulager les quais hauts, ça me rend malade
 
Bref, encore une « mesure-phare » d’un mandat qui n’en finit pas, qui tue à petit-feu la vie économique des parigots priés de casquer plus qu’ailleurs (avec demain le péage urbain) avec toutes les mesures prises pour leur pourrir la vie depuis les années 2000.
Vous le savez, j’en veux, mais vous ne savez pas combien, à mon « cousin-Jean » (Tiberi) de n’avoir pas pu faire campagne pour faire élire le « bâfreur de pizza » ou la « Panaf-à-roulette », peu importe, laissant la porte ouverte à ces « démago-bobo-écololos » qui se la pètent en permanence.
Notez que sauf si je suis éjecté de London-City, ce n’est plus vraiment mon problème, mais le vôtre, les 2 millions de parigots, les 12 millions de franciliens qui vivent autour et traversent la ville pour venir y bosser, les 10 millions de touristes/an qui persistent à trouver ça « incontournable » dans une vie.
Beaucoup de monde pour une vitrine en piteux état, mis à sac par « dogmatisme-soce-écololo-bobo »…
Pas vous, quoi.
 
En réalité, Paris, ça se mérite : Henry IV en disait que ça valait bien une messe. Pour vous, sauf à être dans les « petits-papiers » d’un élu, votre 18 m² vous coûtera 300 K€, plus les frais et les charges et les impôts-locaux et les péages à venir jusque dans votre assiette.
J’admire l’immense fatuité des « sachants-trisomiques » qui pensent ainsi votre bonheur de vivre à votre place.
Eux, ils s’en foutent, ils ont des logements de fonction, sont payés grassement pour ça et en plus, ce n’est pas avec leur pognon mais le vôtre !
Alors pourquoi se gêner ?

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