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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 10 octobre 2018

Elle a eu 60 ans la semaine dernière !

Ou comment on vous prépare à sa prochaine mouture…
 
Naturellement, c’est sans le dire ouvertement après un premier échec de sa réforme « préprogrammée » par « Jupiter », en début d’été dernier.
C’était pourtant une « transformation » jugée « archi-urgente ». Elle devait avoir lieu à la rentrée…
Le mois de septembre est dépassé : Ce sera (peut-être) pour janvier prochain.
Bref, le calendrier n’est pas tenu et pour cause : Il y a eu l’affaire « Benne-Allah » (probablement « téléguidée », même si je ne sais pas encore par qui) dans le but manifeste de « retarder » l’opération.
 
Et voyez comme l’opération est « récupérée » que c’est pratiquement magnifique : « Jupiter », après s’être fait mis « un doigt » en pays ultra-marin (c’est plus discret que les quenelles, mais ça a fait buzz), s’être fait engueuler par « Bibi » qui l’a sommé d’arrêter ses konneries de gamin imberbe, il est allé jusque devant le Conseil constitutionnel (présidé par « Fafa-l’empoisonneur » du temps où il avait été le « plus jeune premier ministre du pays, désormais dépassé par le « plus jeune Président »…) pour faire la leçon aux « Sages ».
Là encore, ce n’est pas bien grave : Il s’agit de politique politicienne.
En revanche, ce qu’il l’est probablement plus, c’est la flopée de titres et d’études sur le sujet, bien loin des préoccupations quotidiennes des « Gauloisiens », faut-il reconnaître.
Mais on les « façonne » par petites-touches…
 
D’abord le bilan d’une sexagénaire :
 
Elle aura survécu à la guerre d'Algérie qui l’a fait naître, aux turbulences de mai 1968, à une pléthore de scandales politico-judiciaires, et même à trois piégeuses cohabitations.
Et, n’est-ce pas légitime pour la prochaine fois, le texte a été remodelé à 24 reprises par autant de révisions !
 
La feuille de route originelle était pourtant claire : Mettre fin à l’instabilité gouvernementale chronique de la IVème République ; redonner du pouvoir à l’exécutif pour équilibrer les institutions, trouver enfin une stabilité constitutionnelle et institutionnelle.
Et deux volontés : Celle du leader de la « Gauloisie-libre », et celle de « Michel Deux-braies ». Celui-là voulait un régime vraiment parlementaire. Pour lui, le Premier ministre et son gouvernement devaient jouer un rôle essentiel, bien plus que le président de la République. Il soutenait que le président était la clé de voûte des institutions, et la Constitution le posait en arbitre au-dessus des partis. Mais Charles de Gaulle s’est toujours vu en capitaine, dirigeant directement la politique de l’État (avec notamment un « ministère du plan », résurgence du communisme soviétique).
C’est comme ça qu’en 1962, il y grave l’élection du président de la République au suffrage universel direct !
Ce qui change tout : L’arbitre ira vendre sa soupe tous les 7 ans…
La disposition avait déjà été envisagée quatre ans plus tôt, avant d’être écartée. Parce que « la crise algérienne pour laquelle on a rappelé De Gaulle est finie. Dans la classe politique surgit une idée qu’on pourrait résumer comme ça : ‘‘Merci, mais le job a été fait, vous pouvez retourner à Colombey’’ ».
Et visé par un attentat au Petit-Clamart, le chef de l’État sent de surcroît que sa personne même est attaquée. « Il pense que s’il était légitime pour résoudre la crise algérienne, il a désormais besoin d’un renfort de légitimité » en dit un constitutionnaliste.
C’est ce qu’on m’avait appris en cours de droit du même nom, soulignant alors (mais c’était avant la première cohabitation) le danger « présidentialiste ».
Perso, je n’ai jamais bien compris où était les nuances entre « présidentialiste », régime « présidentiel » et les dangers que ça pouvait présenter, puisque ça avait plutôt bien fonctionné jusque-là…
 
Sur les 24 révisions constitutionnelles, certaines sont surtout techniques, d’autres ne font que préciser de précédentes modifications, et une dizaine d’entre elles sont liées à des engagements internationaux.
On aura noté l’élection présidentielle au suffrage universel, la première révision ; le renforcement du Conseil constitutionnel et plus tard la QCP ; le quinquennat présidentiel ; les lois sur la parité et la prise de parole du président devant le Parlement réuni en Congrès : Là, il plonge direct dans l’arène !
Mais il faut reconnaître quatre changements majeurs : Outre l’élection du président au suffrage universel direct décidée en 1962, il y a la possibilité créée en 1974 de saisir le Conseil constitutionnel pour un groupe de 60 députés ou sénateurs (qui ne se sont pas gênés), le quinquennat présidentiel inscrit en 2000, le basculement du calendrier électoral (les législatives viennent « confirmer » les présidentielles) et l’apparition des questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) en 2008.
« Aucune ne transforme le régime. Toutes vont dans le sens de la maturation du système démocratique ».
« La Constitution a changé mais on n’a touché ni à la fonction présidentielle ni au parlementarisme rationalisé. On a simplement modernisé, adapté la Constitution aux circonstances actuelles », approuve le fiston « Jean-Loup-Deux-Braies ».
Le président gouverne, le Premier ministre exécute et s’occupe de ‘‘l’intendance’’. « Lui c’est lui, moi, c’est moi » en disait « Le Chi »  parlant de son « premier-sinistre » du moment.
 
Et puis, la semaine dernière, pour accompagner la « manip », on nous balance un sondage Odoxa-Dentsu consulting où l’on interroge le public quant au meilleur président de ces 40 dernières années. C’est « Mythe-errant » qui arrive en tête (31 %), devant « Le Chi » (26 %). « Jupiter », actuel chef de l'État est avant-dernier dans ce classement…
Il a encore ses preuves à faire et c’est mal-barré.
Le général De Gaulle a été écarté de l’enquête puisqu’il est systématiquement en tête de ce type de classements.
Et puis encore un autre dans la foulée, qui révèle qu’une courte majorité de citoyen ne tient plus à la Vème République. Les réfractaires absolus sont deux fois plus nombreux que ceux qui y sont très attachés. Et dans le détail, 20 % des personnes interrogées ne sont pas du tout attachées à ce système, alors que seulement un sur neuf (11 %) se dit « très attaché » à la Vème République.
Comme quoi, je suis largement « minoritaire » : J’ai l’habitude, ne vous en faites pas pour moi…
Dans le détail, les sympathisants « LRD » sont une large majorité (68 %) à y être attachés. Les sympathisants « P.Soce » (56 %) tout comme ceux de « LREM-même-pas-en-rêve » (66 %) y sont majoritairement favorables. En revanche, les sympathisants « insoumis » de « Mes-Luches » (60 %) et du « Air-Haine » de « Marinella-tchi-tchi » (73 %) y sont très hostiles.
Expliquez-moi comment on arrive à seulement 11 % de « très attachés » ?
Ou alors les « démago-populistes » sont déjà largement majoritaires dans ce pays qui est le mien (que j’aime tant mais qui me le rend si mal…)
 
Et on continue de vous faire « la leçon » : 53 % des interrogés jugent que le Sénat n’a pas un rôle utile. En revanche, 66 % trouvent l’Assemblée nationale utile, ils sont encore 64 % à penser la même chose pour le Premier ministre, alors que « Tagada-à-la-fraise-des-bois » suggère de supprimer la fonction.
Toujours à la masse celui-là, même quand il ne pleut pas…
Quand même stupide : Le parc de trois hectares en plein 7ème arrondissement est quand même plus sympa et plus vaste que celui du palais « rive-droâte » de l’Élysée.
Un tiers des sondés estime que c’est notre système qui empêche ces institutions et acteurs d’avoir une quelconque utilité.
Également, ce sont les sympathisants « LRD » (72 %), PS (83 %) et « LREM-même-pas-en-rêve » (89 %) qui sont les plus convaincus de l’utilité de l’Assemblée nationale, contre 42 % pour le « Air-Haine ».
Et de conclure brillamment que vous demandez finalement plus de « parlementarisme ».
Pour aller dans le sens du vent (de l’Histoire) de « Jupiter », puisque vous seriez plus de 8 sur 10 pour la réduction d’un tiers des effectifs parlementaires (84 %) et pour la limitation à trois mandats consécutifs pour un élu (84 %).
Pour ma part, j’irai à deux d’affilée, pas plus et en mutualisant tous les « mandats » d’un même homme (qui règlerait le problème des cumuls en gardant les avantages et éliminant les inconvénients). Maintenant, expliquez-moi comment à moins nombreux ils vont devoir travailler plus !
Mais près de deux tiers (65 %) approuvent également l’introduction d'une dose de proportionnelle aux élections législatives et, chose curieuse, les moins enthousiastes sur le sujet sont les sympathisants « Air-Haine » (38 % y sont opposés) qui aspire à une proportionnelle intégrale.
Là, pour tout vous dire, je suis totalement contre : Il suffit de jeter un œil chez nos voisins où la mesure existe (plus ou moins aménagée), jusque dans les régions septentrionale d’Europe, et vous constaterez le « boxon » qui empalent toutes les initiatives.
Personnellement, je pense que les britanniques sont excellents sur le sujet (tout comme les « ricains ») : Un seul tour, d’accord, mais au scrutin majoritaire par circonscription.
Et là, on irait droit au bipartisme (ce qui n’empêche nullement d’en voir un troisième arriver entre deux scrutins).
 
Encore plus fort : Si 62 % des personnes interrogées estiment que l’élection présidentielle constitue « un moment démocratique particulièrement fort », ils sont 59 % à juger notre système politique comme étant moins efficace que celui des Espagnols, Italiens, Allemands et Britanniques qui eux ont un système parlementaire !
Cherchez l’erreur… parce que eux, parfois, nous envient bien…
Par ailleurs, ce sondage révèle que l’élection au suffrage universel direct, mis en place il y a 56 ans en « Gauloisie-élective » est perçue comme un « handicap » pour notre pays : Quasiment une personne sur deux « seulement » est attachée au suffrage universel (53 % sont attachés à cette élection, 44 % ne le sont pas) alors que les même viennent de dire que c’est « un moment fort ».
Vous avez suivi la manœuvre ?
Et si on revenait au mode originel d’élection du Président, via un collège de grands électeurs (naturellement « choisis » ou désignés par le parti dominant) ?
 
Et encore quelques paradoxes : Vous (à 49 %) estimez qu’à moyen terme, notre système rend plus difficile la capacité à mener des réformes fondamentales sur la longueur. Notre système favoriserait « les dérives d’un pouvoir trop personnel » pour 62 % d’entre vous.
Une élection qui rend même un peu « fous » les hommes politiques visant la plus haute fonction de l’État : C’est l’avis de 71 % des sondés.
Vous suivez toujours ?
Sachez que les parlementaires ont déjà validé ou débattu, au cours des derniers mois, certaines dispositions de la révision constitutionnelle telle que la suppression du terme « race » de notre Constitution pour le remplacer par le mot « sexe », dans le souci de promouvoir la lutte contre les discriminations…
Là, moi j’adore : Le délit de racisme n’existe plus, mais l’altérité sexuelle devient un crime contre la constitution.
Ou alors, je n’ai rien compris… une fois de plus !
 
D’autres mesures sont souhaitées par l’exécutif ou les parlementaires, comme l’accélération de la procédure parlementaire (ils seront moins nombreux, on ne leur demandera plus de réfléchir pour être plus « productifs » et on les assomme d’un boulot supplémentaire) ; la possibilité, pour le président, de formuler des réponses à l’opposition dans le cadre d’une prise de parole devant le Congrès ; la reconnaissance du principe de laïcité (déjà dans la loi : Il deviendrait constitutionnel !) ou encore une féminisation du texte.
Alors que d’autres parlementaires appellent par ailleurs à former une assemblée constituante…
 
Ceci dit, fort de ces « sondages » et analyses, mais encore des travaux parlementaires déjà actés, « Jupiter » s’est fendu d’un vibrant hommage au texte de 1958, probablement pour mieux légitimer sa réforme constitutionnelle dont il souhaite discuter en janvier.
« Le 4 octobre 1958 était promulguée une Constitution née du sursaut de la nation face au risque de délitement. Ce n’était pas une Constitution faite en temps de paix (…), elle était destinée à affronter les défis du monde tel qu’il était. »
Il aurait changé tant que ça ? Les risques de guerre n’existent plus ? Que font donc nos soldats en OPEX ?
Ce texte « révolutionnaire », qu’il considère comme ancré dans « un héritage constitutionnel et une tradition philosophique qui ont façonné la France », est une base inflexible.
Et sa prochaine « transformation » est, selon lui, « la meilleure garantie de sa pérennité ».
« Jupiter » s’est alors efforcé de décrire trois « défis » à relever qui nécessitent une grande réforme.
 
– Celle de la légitimité de la classe politique, d’abord. « Quand le peuple ne se sent plus représenté, il s’agit d’une érosion mortelle », a-t-il affirmé.
Une occasion de vanter le renouvellement de l’Assemblée nationale – parité, rajeunissement, diversité socioprofessionnelle – consécutif à la vague « En marche-même-pas-en-rêve » de juin 2017.
Et de proposer ses solutions pour « oxygéner notre vie politique » : Non-cumul des mandats dans le temps, dose de proportionnelle aux élections législatives, réforme du Conseil économique et social qui « offrira une caisse de résonance nouvelle à une société multiple ».
Là, s’il y a bien une « troisième chambre » parfaitement inutile, même si les « Gauloisiens » n’ont rien contre, d’après nos sondeurs, c’est bien celle-là : À la masse…
 
– Retour aux fondamentaux du « jupitérisme » de la campagne électorale, il a fustigé « certaines mauvaises habitudes qui ont été prises, créant des rigidités peu intelligibles ». Il tient donc à ce que l’Assemblée nationale puisse légiférer plus rapidement, et voir son travail de contrôle et d’évaluation renforcé. Symbole de cette volonté de mettre en avant la Chambre basse – quand certains lui reprochent de vouloir l’affaiblir dans un style de gouvernance ultra-verticale –, il a annoncé que les ministres devront, au moins une fois par an, faire un bilan de leur action devant les commissions parlementaires : « Aiguillé par le Parlement, le gouvernement fournira un meilleur travail. Et réciproquement », a-t-il conclu. On peut toujours rêver de faire mieux dans la précipitation et sous la pression, mais en général, c’est l’inverse qui se passe !
 
– Enfin, comme « dans un monde vécu comme inégalitaire (…), une société vue comme bloquée, les Français attendent des droits », le président de la République a insisté sur la réforme de la justice.
Outre le fait de vouloir supprimer la Cour de justice de la République, il est revenu en toile de fond sur la nomination du procureur de la République, qui faisait débat ces jours-ci. En deux mots, l’exécutif doit garder les rênes : « L’indépendance n'interdit pas – je dirais même commande – une articulation de l’autorité judiciaire et des autres pouvoirs publics. Elle ne saurait être hors de tout. Son lien avec le pouvoir exécutif ne saurait être complètement rompu. In fine, c’est le pouvoir exécutif qui doit rendre des comptes. »
Qui, dans l’exécutif ?
 
Et comme on ne se refait pas, d’en rajouter une couche : « Je sais l’impatience et l’exigence, la tyrannie de l’immédiateté, le règne de l’image et le goût pour l’écume des jours. Aucun président de la Vème République n’en a été préservé. Qu’on ne prétende pas gouverner la France si on n’est pas prêt aux déferlantes et aux vents contraires. Il convient de garder le cap, et les institutions nous le permettent. » Il nous ferait presque pleurer.
Ceci dit, il en manque.
 
– D’abord la lutte contre l’abstention : Quelle légitimité d’un président voire seulement d’un député, quand il est élu avec à peine plus de la moitié des votants ?
Ce qui fait tout au plus 24 % des inscrits au bout du bout.
Rappelons qu’en Belgique, le vote est obligatoire sous peine d’amende…
Perso et inversement, je prélèverai bien un « impôt-citoyen » en plus tous les ans (10 boules par contribuable) qui serait remboursé à chaque scrutin pour les personnes qui se déplacent…
 
– Ensuite, si les « sinistres » auront des comptes à rendre tous les ans aux commissions parlementaires, que se passe-t-il quand la députation saborde une commission ou qu’elle est incapable de prendre une sanction ?
On veut renforcer le rôle du Parlement ou le niquer, lui et ses avis ?
 
– Et le Président, il reste « irresponsable » de sa politique, en toute hypothèse ? Où va-t-on évoluer vers une censure du locataire de l’Élysée ?
Mais dans cette et hypothèse (réponse aux critiques devant le Congrès), pourquoi ne pas aller jusqu’au bout et élire celui-ci au sein du Congrès, éventuellement élargi aux membres du Conseil Économique, Social et Environnemental (ces « sages » désignés et jamais élus), plus les élus européens, tous ceux qui ont un mandat électif « national »…
Et on reviendrait alors à l’esprit et la lettre originelle de la Cinquième !
Ce qui vous attend, finalement, même si on ne le vous chante pas encore : Parce que ça emmerde le citoyen, ça coûte cher, et qu’en plus c’est quand même plus facile de se faire élire par ceux-là-même qu’on aura placé là pour ce faire.
 
Conclusion (provisoire) : Tout va dépendre des élections européennes de mars prochain. Si les vents sont favorables, puisque cette ultime réforme n’est pas pour ce 2 décembre prochain.
Pour le même 2 décembre, mais en 2019 alors ?

On aura gagné un an, ce qui n’empêche pas le népotisme ambiant de prospérer sans limite…


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