Réduction
de la taxe d’habitation.
Bien enflés des hémorroïdes, dites donc !
Jusqu’au feu et au sang, j’imagine…
Même les dames ?
Rôôôh !
Ce n’est pourtant pas les « voies
naturelles », à ce qui me semble.
Mais il paraît qu’à sec, ça procure de
l’orgasme-prostatique (dont hélas nos « bien-aimées-dames » ne sont
pourtant pas dotées…).
D’ailleurs si ça vous manque, vous
n’avez qu’à vous en faire greffer une, tiens donc : C’est pour votre bien !
Moâ, j’adore la dernière trouvaille de
« Jupiter », parti loin en pays ultra-marin la semaine pour éviter de se faire
lyncher au moment de l’annonce.
Faut dire qu’à son retour, v’la-t’y-pas
que Charles (« Az-n’a-vour ») clamse et que « Gégé-la-Colombe »,
il lui colle sa démission, qu’il refuse d’enregistrer : C’est anticipé
pour le « maître des horloges » jupitérien, mais ce n’est qu’un faux-départ de plus : Il y en aura un de vrai.
Une prochaine fois.
Curieux d’ailleurs, les miennes, on ne
me les a jamais refusées…
Il n’aurait plus manqué que ça, tiens
donc !
Ceci dit, passons encore qu’il vous
matraque au portefeuille « en même temps » qu’il vous annonce des
réductions d’impôt et de taxe comme nous l'avons vu jeudi dernier.
La CSG, c’était compensé par la baisse
de vos cotisations chômage, pas tout-à-fait en même temps, mais qu’importe, n’est-ce pas.
Oui, certes, le retraité, il n’est pas
trop dans les statistiques des « chômeurs » pour en être
définitivement exclu… mais on va faire « un geste » pour quelques-uns.
Rassurez-vous, seulement les plus
miséreux.
Et si ce n’est pas vraiment « en même
temps », c’était du promis-craché-juré, ça allait venir : La preuve !
Il a d’ailleurs envoyé son
« sinistre de la finance », « Pruneau-le-Mer » vous
expliquer en long, en large, en travers et dans les grandes profondeurs qu’il
fallait être patient, que les réformes entreprises depuis le début de quinquennat
allaient enfin produire des effets bénéfiques !
D’ailleurs les premiers effets – certes
conjoncturels et « déconnectés » desdites mesures – sont arrivés tels
qu’on a pu en dire que « Jupiter » avait la chance des cocus comme
pour mieux mériter le surnom de « Luky-Manu » : Baisse du
chômage (tel qu’il suffisait de traverser la rue pour se faire embaucher), la
croissance s’accélérant (avant de se faire dépasser par l’inflation).
Vous y avez cru ?
Oui : Les indicateurs avancés et
mis en exergue tendaient à le démontrer.
Sauf que, sauf que, le pouvoir d’achat,
lui, il a plongé et que le chômage, lui, il a calé…
C’était au retour de vos vacances.
Notez, ce n’est pas fini. Votre
« petit-pouvoir-d’achat » de futurs « sans-dents » va
continuer à s’effondrer, assommé par la flopée d’augmentation des
« petites-taxes » qu’on allait détruire à petit feu : 22 en
moins en un an, il faudra 40 ans pour qu’on les détruise toutes, à ce rythme-là…
On allait tailler dans les effectifs de
la fonction publique, promis-craché-juré : Une poignée de postes
disparaîtront. À ce rythme-là, il faudra presqu’un demi-siècle pour atteindre
les objectifs de campagne.
Les dépenses publiques – la mère de
toutes les réformes dont il paraît que vous êtes rétifs à l’aborder – allaient
fondre. Elles augmentent en 2018 et augmenteront encore en 2019.
On ne vous dit plus que c’est à cause
de l’Europe – ce serait contreproductif à l’avant-veille des élections du
Parlement européen – mais on va y revenir autour des débats du budget des
« ritaliens » et une fois passé les échéances. On ne vous dit pas
encore qu’on ne peut pas faire autrement, sauf que là, c’est vrai !
Tant qu’on n’aura pas taillé dans la
sphère de compétence étatique, personne ne pourra de toute façon y arriver…
Au contraire, on va vous expliquer que
le pouvoir exécutif se mêle de tout à coups d’annonces fantastiques des
réformettes dont on vous a bassiné depuis un an (sans aborder en aucune façon les
« ultimes-urgentes ») jusqu’à vous faire payer plus cher ce que vous
mettez dans votre bagnole, dans votre verre, dans vos poumons, dans vos
dépenses obligées et même dans votre assiette : C’est bon pour les
recettes de TVA (et quelques « indirects »)…
Cocus ? Mais non, vous n’avez pas
tout vu !
Votre impôt sur le revenu va être
calculé directement sur votre feuille de paye que ça ne changera strictement
rien à vos charges fiscales, alors de quoi vous plaignez-vous, puisque vous ne
vous occuperez plus de rien et qu’on pourra vous en piquer plus sans que vous ayez à faire un chèque ?
Sauf pour vos « niches-de-riche »
qui coûtaient déjà plus de 100 milliards l’année dernière :Une blinde discrète !…
D’autant qu’on va supprimer votre taxe
d’habitation, promis-craché-juré et « en même temps » !
Vous y avez cru ?
Premièrement et pour faire bonne
mesure, ça ne concerne que les résidences principales (faut pas non plus
dékonner avec les résidences « de loisirs » et les sur-taxations qui
vont avec) ; deuxièmement, ça ne concerne que les bas-revenus (dont vous êtes
probablement) et, cerise sur le gâteau, troisièmement, ça ne concernera que 30
% du montant à payer en 2018 et non pas 100 % (comme affiché) !
Autant de plus en 2019 et 35 % en
2020 : Promesse électorale « démagogique » pour ne pas dire
« populiste », obligeant !
Ce n’est pas une suppression, mais
seulement une réduction…
D’ailleurs, si j’ai bien compris, c’est
comme ça que c’est libellé sur vos avis.
Il y a des nuances, comme ça, qui vous
auraient échappées ?
Bé vous n’avez qu’à vous en prendre à
vous-mêmes si vous ne comprenez rien à la pensée « jupitérienne » !
Attend, vous savez compter ou
pas ?
Entre 100 % (pour 80 % des « moins
riches ») et 70 % de 80 % des « sans-dents », il n’y a pas
vraiment égalité…
Plutôt un mensonge éhonté !
Et vous avalez sans broncher la potion
« Jupitérienne » pourtant prévue de longue date – puisque les avis
d’imposition étaient déjà imprimés – avant de vous l’annoncer entre deux
voyages présidentiels « aux frais de la princesse ».
Hein, les avis émis en octobre pour un
paiement en novembre, ils sont issus des « rôles » signés par les
préfets en août, dans les torpeurs estivales pour que les imprimantes se
mettent à fonctionner…
Tout le monde savait donc dans les
administrations et pas un seul n’a « fuité » pour une fois !
Vous découvrez au passage de l’heure
d’hiver – probablement
un des derniers – qu’en fait de vous faire baiser, vous êtes les premiers à
avoir été bien niqués !
Moâ, j’adore…
J’ai exilé mon pays (celui que j’aime
tant et qui me le rend si mal…) il y a un peu plus de quatre ans pour des
raisons politiques, la peur du « F.haine » au ventre (je les connais
si bien) : Le « front
du refus » (ce post-là et les sept suivants) n’est plus que l’ombre de
lui-même.
Il a fleuri outre-Rhin, jusqu’en
Autriche, en « Ritalie », il va revenir en mars prochain, et n’ayant
pas obtenu le statut de réfugié politique en Angleterre, j’en suis à me réjouir
à avoir été un « exilé fiscal », finalement.
Tout simplement parce que la fiscalité,
c’est le sang du pouvoir étatique : Tu supprime l’impôt, il n’y a plus
aucun moyen de payer la puissance publique et on en revient rapidement à l’état
sauvage du racket.
En revanche, tu deviens le champions du
monde du prélèvement obligatoire de la puissance publique, tu réinventes les
jacqueries, voire si tu as le malheur de convoquer des états-généraux pour
« consentir » à l’impôt, le dernier qui a fait ça, il en a perdu la
tête pour l’éternité, ce qui devrait empêcher qu’on vous demande votre avis
pour encore quelques siècles !
Bref, tous cocus : Plus de taxe
d’habitation (mais quelle idée !!!) et puis la revoilà qui ne disparaît
pas comme promis-craché-juré et « en même temps »… mais plus tard !
D’ici qu’elle reste « à vie »,
au moins pour partie (et pas seulement les taxes des trottoirs et chaussées, ni
d’enlèvement des ordures ménagères, ni des taxes de raccordement et que sais-je
encore comme la redevance télé, dont il n’a jamais été question de les rayer
des effectifs à acquitter), « Jupiter » finira au bout d’une
pique !
Ce gars-là se fout de votre tronche,
mais alors pire que ses prédécesseurs : Une exonération qui se limite à 30
%, ce n’est rien de plus qu’un abattement de recouvrement.
Pas autre chose.
Enfin, peu importe : Si vous avez
reçu « l’abattement », c’est que vous êtes considéré comme proche des
« sans-dents ».
Ça devrait vous réjouir.
Moâ, j’ai pas : Je n’habite plus
là…
Mais quel message pour tous, qui clive
ainsi entre « derniers de cordée » et « riches » !
Au moins, on pense à vous, ça devrait
vous conforter.
À l’occasion, ça me fait penser (je
crois vous en avoir déjà fait une mention) à un « ex-futur-boss » qui
m’avait dragué à une époque lointaine pour mes talents : « Moi, je ne parle qu’aux gens qui payent au
moins 50 briques d’impôt ».
Lui, il savait « cliver »…
Je lui ai répondu, avant de me
tirer de là : « Faut être kon vraiment
pour ne pas savoir « optimiser » avec ce montant-là ! »
(ou un « truc » comme ça).
Demain ce sera : « Tu payes de la taxe d’habitation ou pas ? »
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