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septembre 2008 : Explications de texte à « ma petite sœur » !
Il s’agit d’un double
billet qui lui était adressé sur le « blog d’avant ». J’ai pu
remettre la main dessus et vous les livre pour mieux comprendre à la fois ma
« production ultérieure » (notamment « Opération
Juliette-Siéra » désormais disponible en librairie), tout comme pour
aborder, après une « remise en perspective historique » (n’y sont
rapportés que des éléments que vous pouvez vérifier par ailleurs), ce qui se
passe aujourd’hui en « Gauloisie-impétueuse ».
C’est assez symptomatique
pour être rappelé.
Affaires de famille « corses » et
grandes « manip »...
Avertissement important : Doit-on vous rappeler que toute
ressemblance avec des personnages existants, ayant existé ou à exister n’est
que pure coïncidence.
Tout rapprochement avec des lieux, des dates, des faits
réels ou supposés ne peut être que l’œuvre de personnages qui chercheraient à
nuire à l'auteur de ce délire : Ils seront seuls à en être responsables devant
la justice de leur pays !
Il est né en 1955. Il est le fils d’un noble catholique hongrois, « P. S.
de N-B », réfugié en France après avoir fui l’Armée rouge, et « d’Andrée M. »,
une roturière juive originaire de Thessalonique.
Après avoir eu leurs trois enfants (« G. », « N. » et « F. »), le couple
divorce.
« P. » se remarie avec une aristocrate, « Christine de G. », dont il aura
deux enfants (« P-O. » et « C. »).
« N. » ne sera pas élevé par ses seuls parents, mais balloté dans cette
famille recomposée.
Sa mère est devenue la secrétaire « d’Achille P. ». Après avoir co-fondé
le SAC, le garde du corps du Général a poursuivi une brillante carrière
politique.
Il a été élu député et maire de « N./S. », la plus riche banlieue résidentielle
de la Capitale, puis président de l’Assemblée nationale.
Malheureusement, en 1972, le cousin « Achille P. » est gravement mis en
cause. Aux États-Unis, le magazine Time révèle l’existence d’une organisation
criminelle secrète, dite « l’Union corse », qui contrôlerait une grande partie
du trafic de stupéfiants entre l’Europe et l’Amérique, la fameuse « French
connexion » qu’Hollywood devait porter à l'écran.
S’appuyant sur des auditions parlementaires et sur ses propres investigations,
« Time » cite le nom d’un chef mafieux, « Jean V. », arrêté quelques années
plus tôt au Canada, et qui n’est autre que le délégué commercial de « Ch. P. »
pour la société d’alcool « R. » (des pastagas du même nom).
On évoque le nom de plusieurs familles qui dirigeraient « l’Union corse »,
dont les « Achille P. » qui nie vertement, mais doit renoncer à la présidence
de l’Assemblée nationale et échappe même à un « suicide ».
En 1977, « P. S. » se sépare de sa seconde épouse, « Christine de G. »,
laquelle se lie alors avec le n° 2 de l’administration centrale du département
d’État des États-Unis. Elle l’épouse et s’installe avec lui aux USA. Le monde
étant petit, son mari n’est autre que « Frank W. Jr. », fils de « Frank W. Sr.
» actif au sein des services d’espionnage US.
Les fonctions de « Junior » à la CIA ne sont pas connues, mais il clair
qu’il y joue un rôle important.
« N. S. », qui reste proche de sa belle-mère, de son demi-frère et de sa
demi-sœur, commence à se tourner vers les États-Unis où il « bénéficie » des
programmes de formation du département d’État.
À la même période, « N. S. » adhère au parti du Général. Il y fréquente d’autant
plus rapidement « Ch. P. » que celui-ci n’est pas seulement un leader national,
mais aussi le responsable de la section départementale des H-de-S.
En 1982, « N. S. » ayant terminé ses études de droit et s’étant inscrit au
barreau de la Capitale, épouse la nièce « d’Achille P. ». Son témoin de mariage
est « Ch. P. ».
En qualité d’avocat, Maître « N.S. » défend ainsi les intérêts des amis «
Corsi » de ses mentors.
Il acquiert même une propriété sur l’île de beauté, à Vico, et imagine de
« corsicasiser » son nom en remplaçant le « y » par un « i » (ignorant que le « y » des noms
corses sont une marque de personnes cultivées…).
Notons que la « famille d’Achille P. » est originaire d’Ajacciu, alors que
celle de « Ch. P » est d’Evisa, dans la vallée de Porto, pas très loin de Vico.
Pour être encore plus précis, le patron des affaires de sécurité de la
Présidence, à l’époque de « Jacques Ch. » n’est autre que « Ph. M. », ancien
Préfet de police de la Capitale, ayant fait « ses armes » au « RG » aujourd’hui
dissout dans la fusion organisée depuis la Présidence, avec la DST.
« Ph. M. » est aussi « Grand maître absolu » de la GLNF, obédience
maçonnique de réputation « hard », et natif d’Evisa…
Alors même que « Jacques Ch. » serait également un « frère », mais d’obédience
Suisse, encore plus « hard », dit-on…
L’année suivante, « N.S. » est élu maire de N./S. en remplacement de son
bel-oncle, « Achille P. », terrassé par une crise cardiaque en pleine séance de
nuit, après avoir doublé tout le monde au poteau.
Cependant, « N. S. » ne tarde pas à tromper sa femme : il est comme ça !
Dès 1984, il poursuit une liaison cachée avec « C. » l’épouse d’un célèbre
animateur de télévision de l’époque, « Jacques M. », dont il a fait la
connaissance en célébrant leur mariage en qualité de maire de sa banlieue.
Cette double vie dure cinq ans, avant que les amants ne quittent leurs
conjoints respectifs pour construire un nouveau foyer.
« N. S. » est également le témoin de mariage, en 1992, de la fille de «
Jacques Ch. », « Cl. », avec un éditorialiste d’un quotidien du matin. Il n’aurait
pu s’empêcher de séduire « Cl. » (qui dément véhémentement) et de mener une
brève relation avec elle, tandis qu’il vit officiellement avec « C. ».
Le mari trompé de « Cl. » se suicide en absorbant drogues et médicaments.
Pour quelle raison au juste ?
La rupture est brutale et sans retour entre les « Ch. » et « N. S. ».
En 1993, le parti au pouvoir perd les élections législatives. Le président
« F. M. » refuse de démissionner et entre en cohabitation avec un Premier
ministre de droite.
« Jacques Ch. », qui ambitionne la présidence et pense alors former avec «
Ed. B. » un tandem comparable à celui du « Général et de G. P. », refuse d’être
à nouveau Premier ministre (pour en avoir gardé un mauvais souvenir et à deux reprises) et laisse la place à
son « ami de trente ans », « Ed. B ».
Malgré son passé sulfureux, « Ch. P. » redevient ministre de l’Intérieur,
mais affublé d’un « fidèle » « R. P. » (Un
schéma similaire avec « Castagneur/Nu-Nez »).
S’il aurait conservé la haute main sur la supposée marijuana marocaine, il
aurait profité de sa situation pour légaliser ses autres activités en prenant
le contrôle des casinos, jeux et courses en Afrique francophone.
Il tisse aussi des liens en Arabie saoudite et en Israël et deviendrait
même officier d’honneur du Mossad.
« N. S. », quant à lui, est ministre du Budget et porte-parole du
gouvernement.
À Washington, « Fr. W. Jr. » a pris la succession de « Paul W. » comme
responsable de la planification politique au département de la Défense. Personne
ne remarque les liens qui l’unissent au porte-parole du gouvernement.
C’est alors que reprend au sein du parti du Général la tension que l’on
avait connu trente ans plus tôt entre les « historiques » et la droite
financière, incarnée par « Ed. B ».
La nouveauté, c’est que « Ch. P. » et avec lui le jeune « N. S. » trahissent
« Jacques Ch. » pour se rapprocher du « courant Rothschild ».
Tout dérape ! Le conflit atteindra son apogée en 1995 lorsque « Ed. B. »
se présentera contre son ex-ami de trente ans, « Jacques Ch. » à l’élection
présidentielle suivante, et sera battu dès le premier tour.
Surtout, suivant les instructions de Londres et de Washington, le
gouvernement « Ed. B. » ouvre les négociations d’adhésion à l’Union européenne
et à l’OTAN des États d’Europe centrale et orientale, affranchis de la tutelle
soviétique.
Rien ne va plus dans le parti du Général où les amis d’hier sont près de
s’entre-tuer. Pour financer sa campagne électorale, « Ed. B. » tente de faire
main basse sur la caisse noire du parti du Général, qui serait cachée dans la
double comptabilité d’un pétrolier national (aujourd’hui disparu). À peine le
vieux « Étienne L. » mort (l’ancêtre par qui beaucoup transitait : encore un
Corsu !), les juges perquisitionnent la société et ses dirigeants sont
incarcérés.
Mais « Ed. B. », « Ch. P. et « N. S. » ne parviendront jamais à récupérer
le magot.
La longue traversée du désert commence.
Tout au long de son premier mandat, « Jacques Ch. » tient « N. S. » à
distance. L’homme se fait discret durant tout ce temps. Discrètement tout
autant, il continue pourtant à nouer des relations dans les cercles financiers,
hors « la bande à F. P. », milliardaire aussi, mais ami de longue date de «
Jacques Ch. ».
En 1996, « N. S. » ayant enfin réussi à clore une procédure de divorce qui
n’en finissait pas se marie avec « C. ». Ils ont pour témoins les deux
milliardaires « Martin B. » et « Bernard A. » (l’homme le plus riche du pays).
On peut imaginer que par ailleurs, bien avant la crise irakienne, « Frank
W. Jr. » et ses collègues de la CIA planifient la destruction du courant du
Général et la montée en puissance de « N. S. ».
Ils agissent en trois temps :
1 – D’abord, l’élimination de la direction du parti du Général et la prise
de contrôle de cet appareil.
2 - Puis, l’élimination du principal rival de droite et l’investiture du
parti Général à l’élection présidentielle.
3 - Enfin, l’élimination de tout challenger sérieux dans l’opposition de
manière à être certain d’emporter la prochaine élection présidentielle
programmée pour 2007.
Pendant des années, les médias sont tenus en haleine par les révélations
posthumes d’un promoteur immobilier.
Avant de décéder d’une grave maladie, il a enregistré, pour une raison
encore jamais élucidée, une confession vidéo. Pour une raison encore plus
obscure, la « cassette » échoue dans les mains d’un hiérarque du Parti d’opposition,
« D. S-K » (devenu depuis directeur d’une banque mondiale... pour services
rendus ?), qui la fait parvenir indirectement à la presse.
Si les aveux du promoteur ne débouchent sur aucune sanction judiciaire
pour être « abracadabrantesque », ils ouvrent une boîte de Pandore qui n’épargne
personne, même pas le « cousin J. T. » successeur de « Jacques Ch. » à la
mairie de la Capitale (encore un Corsu… mais de Corti).
La principale victime des affaires successives sera le Premier ministre d’alors,
« Alain J. ». Pour protéger « Jacques Ch. », il assume seul toutes les infractions
pénales. La mise à l’écart « d'Alain J. » laisse la voie libre à « N. S. » pour
prendre la direction du parti du Général.
« N.S. » exploite alors sa position pour contraindre « Jacques Ch. » à le
reprendre au gouvernement, malgré leur haine réciproque. Il exige soit
l’Intérieur, soit les Finances, deux postes clés : dans l’un, il contrôle les
préfets et de le renseignement intérieur qu’il utilise pour noyauter les grandes
administrations. Dans l’autre, il voit « passer les sous ».
Il sera ministre de l’Intérieur.
Il s’occupe aussi des « affaires corses ». Le préfet « Cl. É. » a été assassiné.
Bien qu’il n’ait pas été revendiqué, le meurtre a immédiatement été interprété
comme un défi lancé par les indépendantistes à la République.
Après une longue traque, la police parvient à arrêter un suspect en fuite,
« Yvan C. », fils d’un député de gauche. Piétinant allègrement la présomption d’innocence,
« N. S. » annonce cette interpellation en accusant le suspect d’être
l'assassin. C’est que la nouvelle est « trop belle » à deux jours du référendum
que le ministre de l’Intérieur organise en Corse pour modifier le statut de l’île.
Quoi qu’il en soit, les électeurs rejettent le projet de « N.S. » qui,
selon certains, favorise les intérêts mafieux locaux.
Bien qu’« Yvan C. » ait ultérieurement été reconnu coupable, il a toujours
clamé son innocence et aucune preuve matérielle n’a encore été trouvée contre
lui. Étrangement, l’homme s’est muré dans le silence, préférant être condamné
que de révéler ce qu’il sait.
La thèse qui circule entre les murs d’Ajacciu (et même au-delà) est que le
préfet « Cl. É. » n’a pas été tué par des nationalistes, qui ne faisaient qu’apporter
un « concours » logistique et un « plastron » à l’auteur des coups de feu
mortels, mais abattu par un tueur à gage, immédiatement exfiltré vers l’Angola
où il émargeait dans la sécurité du groupe pétrolier disparu. Le mobile du crime
serait précisément lié aux fonctions antérieures de « Cl. É », responsable des
réseaux africains de « Ch. P. » au ministère de la Coopération.
Quant à « Yvan C. », il serait un ami personnel de « N. S. » depuis bien
des décennies. D’ailleurs, leurs enfants se sont fréquentés dans la cité
Napoléonienne (et la même école).
Puis une nouvelle affaire éclate, destinée à déstabiliser un autre
concurrent potentiellement dangereux : de faux listings circulent qui accusent
mensongèrement plusieurs personnalités de cacher des comptes bancaires au
Luxembourg, chez « Clearstream », la banque des banques. Parmi les
personnalités ainsi diffamées : « N. S. ».
Cette affaire est ridicule : « Clearstream » est un établissement de
compensation entre Banques. Rien à voir avec une banque d’affaire ou de dépôt :
il n’y a pas de compte courant de personnes physiques extérieures à la banque
elle-même !
Et pourtant la justice du pays mord à l’hameçon et les média s’emballent…
« N. S. » dépose plainte et sous-entend que son rival de droite à l’élection
présidentielle, le Premier ministre « D. de V. », a organisé cette machination
du temps où il était ministre des affaires étrangères. Et il ne cache pas son
intention de le faire jeter en prison.
En réalité, les faux listings auraient été mis en circulation par des
membres de la Fondation franco-américaine, dont « John N. » était président et
dont « Frank W. Jr. » est administrateur.
Ce que les juges voudraient encore ignorer, c’est que les listings ont été
fabriqués à Londres par une officine commune de la CIA et du MI6, « H. & Co
», dont « Frank W. Jr. » est également administrateur.
« D. de V. » se défend de ce dont on l’accuse, mais il est mis en examen,
assigné à résidence et, de facto,
écarté provisoirement de la vie politique.
La voie est donc libre pour « N. S. ».
Reste à neutraliser les candidatures d’opposition. Les cotisations d’adhésion
au parti socialistes sont réduites à un niveau symbolique pour attirer de
nouveaux militants grâce à « J. L. » (ancien ministre qui se défend encore d’être
un « ami » objectif de « N. S. »… jusqu'au prochain remaniement ministériel,
après les élections européennes ? D’autres avant lui, et non les moindres,
ayant bien franchi le pas…) (Ce ne sera
finalement pas fait : il pantouflera ailleurs aux frais de la République).
Des milliers de jeunes prennent leur carte. Parmi eux, des milliers de
nouveaux adhérents sont en réalité des militants du Parti trotskiste «
lambertiste » (du nom de son fondateur Pierre Lambert, desquels seraient issu un
ancien Premier ministre, qui n’a jamais démenti).
Cette petite formation d’extrême gauche s’est historiquement mise au
service de la CIA contre les communistes staliniens durant la Guerre froide.
Elle est l’équivalent du « SD/USA » de « Max Sh. », qui a formé les
néoconservateurs aux USA.
Ce n’est pas la première fois que les « lambertistes » infiltrent le Parti
de gauche : « L. J. » et « J-Ch. C. », le principal conseiller de « D. S-K »
cité plus haut en sont.
Des primaires sont organisées au sein du Parti pour désigner son candidat
à l’élection présidentielle. Deux personnalités sont en concurrence : « L. F. »
et « S. R ».
Seul le premier représente un danger pour « N.S. ». « D. S-K » entre dans
la course avec pour mission d’éliminer « L. F. » au dernier moment. Ce qu’il
sera en mesure de faire grâce aux votes des militants « lambertistes »
infiltrés, qui portent leurs suffrages non pas sur son nom, mais sur celui de «
S.R. ».
L’opération est possible parce que « D. S-K » est depuis longtemps sur les
« payrolls » des États-Unis. En Europe, tout le monde ignore qu’il donne des
cours à Stanford, où il a été embauché par le prévôt de l’université d'alors, «
C. Rice » soi-même, devenue ministre des affaires étrangères de l’administration
US en place.
D’ailleurs, dès sa prise de fonction, « N. S. » et cette dernière
remercieront « D. S-K » en le faisant nommer à la tête de la Banque du Monde.
Le soir du second tour de l’élection présidentielle, lorsque les instituts
de sondages annoncent sa victoire probable, « N. S » prononce un bref discours
à la Nation depuis son QG de campagne.
Puis, contrairement à tous les usages, il ne va pas faire la fête avec les
militants de son parti, mais il se rend au Fouquet’s.
La célèbre brasserie des Champs-Élysées, qui était jadis le rendez-vous de
« l’Union corse » est aujourd’hui la propriété du casinotier « D. D. ». Il a
été mis à disposition du nouveau Président élu pour y recevoir ses amis et les
principaux donateurs de sa campagne.
Une centaine d’invités s'y bousculent, les hommes les plus riches de
France y côtoient les patrons de casinos.
Il s’efforce ensuite de passer place de la Concorde, puis s’offre quelques
jours de repos bien mérités. Conduit en Falcon-900 privé à Malte, il s’y repose
sur le « P », le yacht de 65 mètres de son ami « V. B. », un milliardaire formé
à la Banque Rothschild.
Enfin, « N. S. » est investi Président de la République. Le premier décret
qu’il signe n’est pas pour proclamer une amnistie, mais pour autoriser les
casinos de ses amis « D. D. » et compagnie à multiplier les machines à sous.
Il forme son équipe de travail et son gouvernement. Sans surprise, on y
retrouve un bien trouble propriétaire de casinos et le lobbyiste des casinos de
l'ami « D. D. ».
« N. S. » s’appuie avant tout sur quatre hommes :
- « Cl. G », secrétaire général du palais de l'Élysée. C'est l’ancien bras
droit de « Ch. P. ».
- « F. P. », secrétaire général adjoint de l’Élysée. C’est un
associé-gérant de la Banque Rothschild.
- « J-D L. », conseiller diplomatique. Mais aussi fils de l’ancien
directeur de l’Agence juive. Ambassadeur de France à l’ONU, il fut relevé de
ses fonctions par « Jacques Ch. » qui le jugeait trop proche de « G.W.B ».
- « A. B. », l’homme de l'ombre. Son nom n’apparaît pas dans les annuaires.
Il est chargé des services de renseignement. Ancien Grand-Maître du Grand
Orient de France (la principale obédience maçonnique du pays), il serait aussi
l’ancien n°2 de la National Security Agency états-unienne en Europe.
Entre-temps « Frank W. Jr. », a été nommé envoyé spécial du président «
G.W.B » pour l’indépendance du Kosovo. Ce dernier insiste pour que « B. K. »
soit nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission prioritaire
: l’indépendance du Kosovo et la liquidation de la politique arabe des prédécesseurs.
« B. K. » a débuté sa carrière en participant à la création d'une ONG
humanitaire. Grâce aux financements de la National Endowment for Democracy, il
a participé aux opérations de « Zbigniew B. » en Afghanistan, aux côtés d’Oussama
Ben Laden et des frères Karzaï contre les Soviétiques.
On le retrouve dans les années 90 auprès d’Alija Izetbegoviç en
Bosnie-Herzégovine.
De 1999 à 2001, il a été Haut représentant de l’ONU au Kosovo.
Sous le contrôle du frère cadet du président Hamid Karzaï, l’Afghanistan
est devenu le premier producteur mondial de pavot.
Le suc est transformé sur place en héroïne et serait transporté par l’US
Air Force à Camp Bondsteed (Kosovo). Là, la drogue serait prise en charge par
les hommes d’Haçim Thaçi qui l’écouleraient principalement en Europe et
accessoirement aux États-Unis.
Les bénéfices seraient notamment utilisés pour financer les opérations
illégales de la CIA.
Karzaï et Thaçi sont des amis personnels de longue date de « B. K », qui
certainement ignore leurs activités criminelles malgré les rapports
internationaux qui y ont été consacrés.
Pour compléter son gouvernement, « N. S. » nomme « Ch. L. », ministre de l’Économie
et des Finances. Elle a fait toute sa carrière aux États-Unis où elle a dirigé le
prestigieux cabinet de juristes Baker & McKenzie.
Au sein du Center for International & Strategic Studies de « Dick Ch.
», elle a co-présidé avec « Zbigniew B. » un groupe de travail qui a supervisé
les privatisations en Pologne.
Elle aurait aussi organisé un intense lobbying pour le compte de Lockheed
Martin contre les l’avionneur français Dassault.
Nouvelle escapade durant l’été. « N.S. » et « C.S. », la maîtresse
supposée de l’un ou de l’autre ou des deux selon d’horribles rumeurs et leurs
enfants se font offrir des vacances états-uniennes à Wolfenboroo, non loin de
la propriété du président en exercice « G.W.B. ».
La facture, cette fois, serait payée par « Robert F. A », un banquier d’affaires
italo-new-yorkais, sioniste et néo-conservateur pur sucre qui s’exprime dans
Commentary, la revue de l’American Jewish Committee.
La réussite de « N.S. » rejaillit sur son demi-frère « P-O ». Sous le nom
américanisé « d’Oliver », il est nommé par « Frank C. », qui fut le n°2 de la
CIA après avoir été recruté par « Frank W. Sr. », directeur d’un nouveau fonds
de placement du Carlyle Group, la société commune de gestion de portefeuille
des familles de « G.W.B. » et des Ben Laden.
Sans qualité personnelle particulière, il est devenu le 5ème «
noueur de deals » dans le monde et gère les principaux avoirs des fonds souverains
du Koweït et de Singapour.
Enfin, « N.S. » entraine le pays dans une adhésion sans condition à l’OTAN
et soutient l’envoi de soldats en Afghanistan aux côtés des GI US…
La cote de popularité du président est alors en chute libre dans les
sondages. L’un de ses conseillers en communication, « Jacques S. », préconise
de détourner l’attention du public avec de nouvelles « people stories ».
L’annonce du divorce avec « C. » est publiée par Libération, le journal de
son ami « Ed. de Rothschild », pour couvrir les slogans des manifestants un
jour de grève générale.
Plus fort encore, le communiquant organise une rencontre avec l’artiste et
ex-mannequin, « Carla B. ».
Quelques jours plus tard, sa liaison avec le président est officialisée et
le battage médiatique couvre à nouveau les critiques politiques. Quelques
semaines encore et c’est le troisième mariage de « N.S. ». Cette fois, il
choisit comme témoins « Mathilde A. » (l’épouse de « Robert F. A » cité plus
haut) et « Nicolas B. », ancien directeur de cabinet « d’Édouard B. » devenu
associé-gérant chez Rothschild.
Depuis, celui-ci tombé en disgrâce pour avoir eu le malheur de déplaire au
fils de « N.S. », il est recasé au Consulat de la côte ouest des USA.
Marrantes ces petites « affaires de famille », devenues « secrets de
polichinelle » !
D’autant que reste le mystère de l’enfant à naître de la Garde des Sceaux…
pas encore totalement élucidée malgré les
« faux-nez » lancé par l’actualité judiciaire.
Car en plus, ce n’est que la partie visible d’un iceberg qui remonte à la
seconde guerre mondiale.
Mais il suffit pour aujourd’hui.
C’était il y a dix de ça, ça n’a pris aucune ride,
et aujourd’hui le « monde d’après » nous ressert les recettes du
« monde d’avant » !
Notamment le couple
« Castagneur/Nu-Nez » faisant immanquablement penser au couple
« Ch. P./R.P. ». À la différence près que si Pandraud avait été
Directeur de la Police Nationale, c’était aussi un élu de Seine-Saint-Denis….
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