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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 31 août 2025

Fin d’année (1/3)

Rétrocession des Chagos (1/2)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Pendant ce temps-là, dans les Services, on s’interroge et on prend en compte l’avancée technologique que représente le démonstrateur « Nivelle 3.1 », à savoir un avion-fusée réutilisable à volonté qui démarre depuis n’importe quel plan d’eau ou n’importe quel aérodrome capable de lui délivrer du kérosène, comme un avion de ligne, ainsi que de l’oxygène liquide.
Quelques ingénieurs auront dû réviser leur opinion autour de ce carburant qu’ils n’estimaient pas assez puissant pour être utilisé dans la conquête spatiale.
Pas assez puissant, certes, et c’est d’ailleurs confirmé avec la « station-service orbitale » mis en œuvre grâce à SpaceX qui utilise du méthane comme carburant… mais finalement opérationnel, le méthane nécessitant, comme l’hydrogène liquide, le roi des carburants, une usine de cryogénisation à proximité du lieu de fabrication qui doit être proche du lieu d’utilisation.
L’avantage du méthane, c’est qu’il est plus dense que l’hydrogène, donc se contente de réservoirs plus petits et donc moins lourds, mais il est moins puissant. En revanche l’hydrogène, même liquide et cryogénisé, ne se conserve pas indéfiniment : un isotope le réchauffe infinitésimalement, tel qu’on ne l’utilise jamais sur des moteurs de satellite de stabilisation d’orbite. Les réservoirs se videraient tout seuls en quelques semaines…
De son côté, le kérosène aura toujours été considéré comme un carburant, certes abondant, mais bas-de-gamme. Un peu comme le diesel par rapport aux carburants des moteurs de F1. D’ailleurs, aucun avion sauf un prototype, ne vole avec un moteur diesel, ni aucune F1 non plus…
Bref, le concept surprend et suscite l’admiration : c’est l’époque !
La plupart des innovations dans le domaine spatial est désormais l’apanage d’entreprises privées qui tentent d’éprouver des solutions techniques jadis écartées par les ingénieurs des agences spatiales aux budgets quasiment illimités !
 
Les informations techniques circulent facilement entre les laboratoires occidentaux, en revanche, on est furieux à Moscou comme à Pékin de devoir se contenter des dossiers de presses divulgué par Gustave qui n’en dit pas assez pour répondre à toutes les questions techniques qui peuvent se poser.
L’essentiel c’est de savoir que « ça marche » et que le porteur de projet reste Paul de Bréveuil. Nom de code universellement connu depuis ses exploits en Afghanistan[1] : « Charlotte ». Une spécificité dans le monde du renseignement, plutôt contraint de se dissimuler et de rester anonyme et invisible…
C’est aussi lui qui aura fourni des cyborgs à l’effigie de Poutine et du frère et de la sœur des Kim, dirigeant la Corée du Nord.
À Moscou, on se rappelle aussi qu’il y a actuellement une opération de « recrutement », en cours, assez complexe, « Volga noire », qui semble ne pas donner les résultats escomptés puisque « l’amnésique » aura oublié au passage ce qu’on lui aura appris à Minsk, quand il y était hospitalisé.
Le ministre aura été obligé de convoquer le colonel Ivan Sergueïovitch qui dirige l’opération sous le contrôle « scientifique » du neuropsychiatre biélorusse, le professeur Dimitri Vesemtorvich qui œuvre également dans un des hôpitaux militaires de Moscou et travaille accessoirement pour le service allié du GRU.
Il s’agit, après avoir été menacés de mutation sur le front au Donbass à faire face au « hachoir ukrainien », de mettre les bouchées doubles et de rattraper le temps perdu.
Pour cela, le capitaine Isaac Navivoski a une idée qui sera validée par sa hiérarchie : d’après les renseignements recueillis par une des femmes de ménage du Kremlin-Bicêtre, il y a du nouveau dans les effectifs de l’entourage de « Charlotte ».
Or, on doit pouvoir jouer « double jeu » avec ces nouveaux venus…
Qui ne tente rien n’obtient rien…
 
Mais ce qui pose problème, notamment à Londres, c’est d’essayer de comprendre pourquoi le prototype qui aura réussi sa mise en orbite d’un seul tenant est positionné aux Chagos alors même que les négociations avec les Mauriciens pour la rétrocession des îlots sont en passe d’aboutir avec le nouveau gouvernement issu des élections à l’Île Maurice.
Celui-ci accepte de reconnaître, et même de renouveler, le bail concédé aux USA par la couronne britannique, sur l’atoll de Diego Garcia, mais à aucun moment il n’était apparu comme « stratégique » de protéger les installations et intérêts d’un électeur de la « Chambre haute » des Lords, qui plus est médaillé de la GCVO pour d’éminents services rendus par la défunte reine Elisabeth II[2].
Comprendre l’intérêt de cette position géographique, à quelques nautiques de l’équateur, c’est d’une évidence limpide : c’est là que la planète donne un « coup de pouce » notoire aux mises en orbite avec sa rotation vers l’Est à raison de 40.000 km par jour, soit environ 463 m/seconde dans la bonne direction qui se rajoute à la vitesse fournie par les moteurs de l’engin de lancement.
C’est tout de même plus de 6,4 % de la vitesse finale de mise en orbite fournis par la seule rotation du globe et c’est gratuit…
À des latitudes plus septentrionales, cet avantage diminue en fonction du cosinus de l’angle du lieu de lancement fait avec l’équateur de la planète, pour devenir nul aux pôles.
 
En plus, c’est un lieu totalement isolé, au Nord de l’archipel qui ne peut pas être approché discrètement sauf à utiliser un sous-marin : autrement dit, l’espionnage doit s’y faire soit par interprétation d’images satellite, soit par interception de communications radio-hertziennes, soit avec du personnel arrivé sur place, forcément trié sur le volet…
Et Lady Joan aura fait circuler quelques notes d’information pas trop mal documentées rappelant les objectifs de « Sir Paul » sur ce bout de « poussière d’empire » dans les années à venir qui doit accueillir le premier ascenseur spatial.
Disons dans plusieurs décennies.
Rappel de données que Paul aura partagé avec tous ses visiteurs, étatsuniens, australiens, britanniques et même le Président Makarond quand celui-ci aura fait un tour à Mayotte et la Réunion[3]
En bref, quand il a s’agit de revenir sur les détails de la rétrocession, si la bagarre sur Diego Garcia avait été rude, sur l’atoll de Paul, il n’y aura eu aucune discussion, à la grande surprise postérieure du gouvernement britannique : Paul avait déjà négocié sont rattachement et sa tranquillité, moyennant quelques fonds et concessions qui n’auront rien coûté au Trésor de sa très gracieuse Majesté régnante de la maison des Windsor en la personne de Charles III…
Ce sont les effets concrets du travail de Lady Joan qui aura su tirer le meilleur parti des instructions de Paul lors de son passage pour les fêtes de fin d’année à bord d’Eurydice, la goélette de Paul, mouillant à Maurice à cette occasion[4].
Et finalement, heureusement qu’elle a suivi ses indications de ne verser aucun pot-de-vin à quiconque, car personne ne se doutait alors qu’il y aurait eu une « alternance » politique à la tête du pays à ce moment-là.
 
Idem côté britannique : le gouvernement travailliste, arrivé au pouvoir en juillet 2024, a finalement reconnu le 3 octobre la souveraineté de la république de Maurice sur l’archipel des Chagos, qui revendiquait le territoire depuis son indépendance. « 56 ans après notre indépendance, notre décolonisation est complétée. Aujourd’hui notre hymne national peut résonner encore plus fort sur tout notre territoire », a salué à cette occasion le nouveau Premier ministre mauricien Pravind Jugnauth.
Cette cession du territoire survient après une augmentation des pressions internationales sur Londres. Pour rappel, un avis consultatif de la Cour Internationale de Justice en février 2019 jugeait alors que le détachement de l’archipel des Chagos de la république de Maurice était « illicite » et que le processus de décolonisation du territoire « n’a pas été validement mené à bien ».
À la suite de la publication de cet avis, le 22 mai 2019, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait adopté une résolution demandant le retrait de l’administration britannique dans les six mois, ainsi que le retour de la population d’origine de l’archipel.
 
La question de la souveraineté des îles Chagos restait jusque-là un sujet très controversé en raison du sort de cette population d’origine. On rappelle qu’entre 1966 et 1973, le Royaume-Uni avait organisé l’expulsion de jusqu’à 2.000 autochtones, soit l’intégralité de la population de l’archipel, afin de permettre la construction de la base de Diego Garcia, utilisée par les forces armées américaines et britanniques.
« Il s’agit d’une lutte de longue haleine qui a duré pendant plus de 40 ans et beaucoup de nos concitoyens sont décédés », a indiqué le dirigeant du Groupe des Réfugiés de Chagos, cité par le Guardian. « Mais aujourd’hui, c’est un signe de reconnaissance de l’injustice faite aux Chagossiens qui ont été forcés de quitter leurs maisons ».
Le nombre de Chagossiens qui décideront de retourner sur l'île est pourtant et pour l’instant inconnu, ces derniers s’étant installés à l’étranger depuis des décennies. D’autant que les personnes originaires de Diego Garcia ne pourront pas y retourner en raison de la présence de la base militaire anglo-américaine qui est maintenue, car la république de Maurice a accepté de la laisser en place comme condition de la cession de l’archipel.
 
Pour mémoire, cette base ne s’étend que sur 30 kilomètres carrés, soit près de 4 fois moins de surface d’une ville comme Paris, mais constitue une installation clé pour Washington dans l’Océan Indien : située à quelques milliers de kilomètres de distance du continent africain comme du sous-continent indien, elle permet aux forces situées sur place d’intervenir dans un vaste périmètre, et abrite navires comme bombardiers à longue portée.
Après le 11 septembre, des appareils américains ont ainsi été envoyés en Irak et en Afghanistan directement à partir de Diego Garcia, là où la France faisait patrouiller le Charles de Gaulle et son groupe de combat.
La base se distingue par une autre particularité : le manque d’information l’entourant. « Il y a un niveau de secret qui semble aller au-delà de ce que l’on voit dans d’autres endroits ». Aucun vol commercial ne peut y atterrir, et les journalistes y sont interdits : le seul moyen de s’y rendre est d’être en possession d’un permis réservé aux personnes en lien avec la base et/ou les autorités britanniques.
 
Quant à l’atoll de Paul, jamais aucun chagossien ne s’y est installé : il n’y a pas d’eau potable et seuls quelques abris de pêcheur ont pu exister au fil des siècles… Mais aucune habitation permanente n’aura été signalée avant l’arrivée de la fondation Milton, celle qui finançait un laboratoire de recherche biologique P4 par 40 mètres de profondeur, aura installé la première piste d’aviation pour avion de tourisme aux côtés de l’embarcadère montée sur pilotis et la seule maison de maître de l’île que Florence aura transformé en petit hôtel de réception[5]
Par conséquent aucune revendication possible d’un « droit au retour » pour des îliens locaux n’est envisageable…
En revanche Paul leur offrira des « postes réservés » sur les chantiers qui modifient en profondeur l’urbanisme de l’île…
 
Cette rétrocession aura été également l’occasion pour quelques éléments de la République islamique des Maldives de faire entendre des revendications de rattachement.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. l’épisode « Opération Juliette-Siéra » des « Enquêtes de Charlotte » aux éditions I3
[2] Cf. l’épisode « Parcours olympiques » des « Enquêtes de Charlotte » aux éditions I3
[3] Cf. l’épisode « Dans le sillage de Charlotte » des « Enquêtes de Charlotte » aux éditions I3
[4] Cf. chapitres précédents.
[5] Cf. l’épisode « Ultime récit » des « Enquêtes de Charlotte », en attente de publication aux éditions I3

samedi 30 août 2025

Contexte politique (6/6)

L’épisode Barnier
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
À la même époque, Michel Barnier déjà plusieurs fois ministre et commissaire européen, négociateur en chef du Brexit pour l’Union européenne, aura remplacé Attal le démissionnaire début septembre, le 5 exactement.
C’est un « politique » expérimenté, septuagénaire bien marqué par les formations gaullistes, UDR, RPR, UMP, LR, au moins depuis 1973. Une belle carrière : il est élu député pour la première fois en 1978. Localement, il s’implique en particulier dans l’organisation des Jeux olympiques d’hiver de 1992 à Albertville.
Il a été plusieurs fois ministre, de l’Environnement, des Affaires européennes, des Affaires étrangères, de l’Agriculture et de l’Alimentation, deux fois commissaire européen, aux politiques régionales puis au Marché intérieur et Services financiers et même vice-président de la Commission européenne.
Et en 2016, il est chargé par l’Union européenne de mener les négociations liées au Brexit puis de négocier les relations ultérieures avec le Royaume-Uni.
Candidat au congrès des Républicains de 2021 pour l’élection présidentielle de 2022, il est éliminé de justesse à l’issue du premier tour de cette primaire interne, arrivant en troisième position avec 23,9 % des voix.
 
Dans le cadre de la crise politique ouverte avec la dissolution anticipée de 2024, il apparaît comme une valeur sûre de la continuité de l’État et le Président Makarond le nomme Premier ministre avec pour mission de former une majorité de circonstance autour des prochaines lois de finances pour 2025.
Il forme donc un gouvernement minoritaire, soutenu par EPR et LR, qui est renversé en décembre suivant à la suite de son recours à l’article 49.3 de la Constitution pour la loi de financement de la Sécurité sociale.
Avec trois mois et huit jours passés à Matignon, c’est le Premier ministre le plus éphémère de la Cinquième République !
C’est pourtant un homme d’expérience : comme il est dit, à la fin de ses études supérieures, il se consacre à la politique, après avoir adhéré dès l’adolescence à l’Union des démocrates pour la République (UDR), le parti gaulliste. Il est d’abord cadre de l’Union des jeunes pour le progrès (UJP), le mouvement officiel des jeunes gaullistes.
Puis il est successivement chargé de mission au cabinet de Robert Poujade, ministre de l’Environnement (1973-1974), conseiller général de la Savoie pour le canton de Bourg-Saint-Maurice (1973-1999), « plus jeune conseiller général de France à 22 ans ».
Chargé de mission au cabinet de Pierre Mazeaud, secrétaire d’État chargé de la Jeunesse et des Sports (1974-1976), conseiller technique au cabinet d’Antoine Rufenacht, secrétaire d’État auprès du Premier ministre (1976-1977), puis secrétaire d’État au Commerce et à l’Artisanat (1977-1978).
À l’issue des élections législatives de 1978, il est élu député de la Savoie. À 27 ans, il est le plus jeune député de l’Assemblée nationale.
Il est alors réélu aux élections législatives de 1981, marquées par une « vague rose » après l’élection de Francis Thieriment à la présidence de la République.
En septembre 1981 il compte parmi les députés de droite qui rompent la discipline de groupe et votent en faveur de l’abolition de la peine de mort. Le 20 décembre suivant, il fait partie des 155 députés, la quasi-totalité de son groupe parlementaire, qui votent contre l’abrogation de l’alinéa 2 de l’article 331 du Code pénal réprimant toute relation homosexuelle avec un mineur de plus de quinze ans par exception à la disposition générale qui n’interdit les relations sexuelles qu’avec mineur de moins de 15 ans.
L’année suivante, il vote contre le projet de loi prévoyant le remboursement de l’IVG par la Sécurité sociale.
 
En 1982, afin de reprendre le conseil général de la Savoie à la gauche, une entente politique prenant le nom d’Union pour la Savoie entre la droite et le centre est passée, sous l’égide, entre autres, de Michel Barnier, et il procède à la distribution des investitures aux élections cantonales.
Il devient alors le plus jeune président de conseil général de l’histoire de la Savoie et dès son élection à la présidence de cette collectivité locale, il s’associe au triple champion olympique Jean-Claude Killy pour porter la candidature et organiser les Jeux olympiques d’hiver de 1992, co-présidant avec lui le comité d’organisation des Jeux d’Albertville.
En 1995, alors qu’il est au gouvernement, il est élu sénateur de la Savoie. Il n’exerce pas son mandat du fait de ses fonctions gouvernementales et est réélu en 1997. Et il quitte le Sénat après sa nomination comme commissaire européen en 1999.
À l’époque, il fait partie des sénateurs qui votent contre le projet de loi instituant le Pacte civil de solidarité (PACS), union civile ouverte aux couples de sexes différents ou de même sexe.
 
Pour tenter d’être complet sur ce nouveau premier ministre multi-compétent, on le sait attentif aux questions écologiques où dès 1986 il engage une politique de protection de l’environnement en Savoie et publie, quatre ans plus tard, un rapport parlementaire intitulé Chacun pour tous et cent propositions pour l'environnement.
Il est ainsi nommé ministre de l’Environnement dans le gouvernement Balladur en mars 1993 et fait voter entre autres la « loi Barnier », qui comprend notamment la création de la Commission nationale du débat public pour les grands projets d’infrastructures et instaure le début du fameux principe de précaution.
Cette loi institue également une fiscalité écologique, la « taxe Barnier », afin de faire participer les passagers de transport maritime à la protection légale d’espaces naturels.
Il est également à l’origine du Plan Loire Grandeur Nature (PLGN), adopté par le comité interministériel en janvier 1994.
Michel Barnier soutient Édouard Balladur lors de la campagne présidentielle de 1995. Mais Rakchi, vainqueur de l’élection présidentiel, accepte malgré tout sa nomination dans le gouvernement d’Alain Juppé, au motif des « grandes qualités du bonhomme » alors que tous les autres soutiens du perdant auront à traverser « leur désert ».
 
La construction européenne est un autre engagement fort de sa carrière et le conduit au ministère délégué aux Affaires européennes de 1995 à 1997. À ce titre, il est le chef de la délégation française pour la négociation du traité d’Amsterdam. Au sein du gouvernement, il s’attache à deux priorités : la présence française dans tous les pays d’Europe centrale, orientale et baltes et l’explication de l’Europe aux citoyens.
Nommé commissaire européen le 16 septembre 1999, il a la responsabilité d’animer la politique régionale et de cohésion. Il est chargé, par ailleurs, de la réforme des institutions et de la Convention sur l’avenir de l'Europe : lors du Conseil européen de décembre 2001, il est désigné, avec son collègue António Vitorino, pour représenter la Commission européenne au sein du présidium de la Convention sur l’avenir de l’Europe, présidée par Valéry Giclard-des-Tains. Cette convention se fixe pour objectif d’élaborer une proposition de constitution pour l’Union européenne, « la plus simple et lisible possible », pour lui permettre de répondre aux enjeux de l’élargissement de l’UE tout en renforçant sa dimension politique.
C’est dans ce cadre que Barnier se voit confier la présidence du groupe de travail sur la défense européenne.
Il est ensuite nommé ministre des Affaires étrangères dans le troisième gouvernement de Raffarin en mars 2004, lors du remaniement après la défaite de la droite aux élections régionales.
Il obtient la libération de deux journalistes enlevés par l’Armée islamique en Irak après 124 jours de captivité, en décembre 2004. Il est également impliqué dans l’action diplomatique française visant la libération de Florence Aubenas. Celle-ci est libérée après 157 jours de captivité.
Le 9 octobre 2004, il signe l’accord à l’origine de la création du laboratoire P4 de Wuhan, lieu d’origine probable mais non avoué de la pandémie de Covid-19.
Il est ensuite nommé au Conseil d’État à la mi-septembre 2005, au tour extérieur, comme d’un pantouflage de pré-retraité.
Toutefois, en février 2006, il est nommé vice-président du groupe Mérieux Alliance, holding regroupant un ensemble de sociétés dans le domaine de la biologie qu’il quitte en juin 2007, lors de son retour au gouvernement.
En 2006, il est également conseiller spécial du président de la Commission européenne, José Manuel Durão Barroso. Il présente au Conseil européen, le 9 mai 2006, un rapport proposant la création d’une force européenne de protection civile.
Devenu conseiller politique de l’UMP le 6 mars 2006, il se rapproche de Krasosky et lui apporte son soutien lors de la campagne pour l’élection présidentielle de 2007. Entendu comme témoin dans l’affaire Clearstream en octobre 2006, il met en cause Dominique Pindevil l’accusant de s’être livré à une sorte d’enquête parallèle dans ce dossier impliquant Krasosky[1].
À la suite des élections législatives de 2007, il devient ministre de l’Agriculture et de la Pêche du deuxième gouvernement de François Fouillions. Il reste en fonction jusqu’à son élection au Parlement européen en juin 2009.
Il est alors vice-président du Parti populaire européen (PPE) réélu à cette fonction avec l’Irlandaise Lucinda Creighton. Après son élection comme député européen, Michel Barnier devient président de la délégation française au groupe du Parti populaire européen et rejoint la commission des affaires constitutionnelles
De 2010 à 2014, il est vice-président de la Commission européenne et, au sein de la seconde commission Barroso, il est commissaire européen au Marché intérieur et aux Services.
Il est candidat à la candidature au sein du PPE pour briguer le poste de président de la Commission européenne. Il est toutefois battu par l’ancien Premier ministre du Luxembourg Jean-Claude Juncker.
Et en février 2015, c’est finalement Laurent Wauquiez, secrétaire général de l’UMP, qui lui est préféré par la commission d’investiture du parti en Région Rhône-Alpes.
Lors de la préparation de l’élection présidentielle de 2017, il soutient Bruno Le Maire pour la primaire française de la droite et du centre de 2016.
 
Jean-Claude Juncker le nomme conseiller spécial pour la politique de défense et de sécurité auprès de la Commission européenne. Puis il le nomme négociateur en chef responsable du groupe de travail de la Commission chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni au titre de l’article 50 du traité sur l’Union européenne.
Au vu des résultats du référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union européenne, Barnier est chargé de préparer et diriger les négociations sur les conditions du retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne. Il entre en fonctions le 1er octobre 2016.
Fin 2018, il entre alors en négociations avec les cadres de La République en marche pour prendre la tête de la liste du parti aux élections européennes, mais cette tentative n’aboutit pas.
Éternel second…
 
L’hypothèse de sa nomination à la fonction de Premier ministre commence a apparaître dans la presse durant l’entre-deux tours des élections législatives anticipées de juin-juillet 2024, qui ont lieu après la dissolution parlementaire décrétée par le président de la République alors que le Rassemblement national vient de remporter les élections européennes. Cette possibilité intervient alors que le RN est donné en tête mais sans majorité absolue, ce qui ne sera pas le cas à la sortie des urnes.
Le 4 août 2024, dans un contexte de crise politique en raison d’une absence de majorité parlementaire, le nom de Michel Barnier est avancé par la ministre démissionnaire Aurore Bergé dans un entretien au Figaro. Dans la foulée, Manuel Makarond soumet cette hypothèse à ses collaborateurs.
De son côté, Michel Barnier se montre « très intéressé par le poste ». Le 4 septembre, le Président teste cette éventualité auprès des chefs des différents partis représentés au Parlement, avec qui il mène des consultations depuis deux semaines. L’objectif affiché du président est alors de trouver la personnalité la moins susceptible d’être immédiatement censurée qui ne soit ni Bordella qui aura perdu ses chances, ni Cassetête, la candidate avancée par la NUPES : ne pas se laisser dicter sa conduite et les choix présidentiels.
Le 5 septembre 2024, il est nommé Premier ministre succédant à Gabriel Attal, démissionnaire depuis le 8 juillet précédent.
 
À 73 ans, il devient ainsi le Premier ministre le plus âgé de la Vème République à la date de son entrée en fonction. Et il forme alors un gouvernement minoritaire de droite et de centre droit avec Ensemble pour la République et Les Républicains.
La composition du nouveau gouvernement est annoncée le 21 septembre. La durée entre la nomination du Premier ministre et celle des autres membres du gouvernement (seize jours) est également un record dans l’histoire du pays…
Les négociations sont difficiles avec le président de la République, au point que sa démission est évoquée dès la fin du mois de septembre : le 19 septembre, après le rejet d’une première liste de ministres par le Président et à la suite d’un accord entre le bloc Makaroniste et Les Républicains, Barnier soumet une liste de trente-huit membres de gouvernement au chef de l’État. Le gouvernement est ensuite annoncé le 21 septembre par Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée : il compte trente-quatre ministres, majoritairement makaronistes, et cinq secrétaires d’État.
Le 8 octobre suivant, une première motion de censure déposée par le Nouveau Front populaire (NFP) à l’encontre du gouvernement est rejetée par une majorité de députés, le Rassemblement national (RN) ayant refusé de la voter et s’étant abstenu.
Mais, plus tard, le 2 décembre 2024, Michel Barnier invoque l’article 49.3 de la Constitution pour faire adopter la loi de financement budgétaire de la Sécurité sociale pour l’année 2025 sans soumettre le texte à un vote parlementaire. Le NFP et le RN déposent chacun une motion de censure contre son gouvernement minoritaire.
Le 4 décembre, la motion du NFP est adoptée par l’Assemblée nationale avec 331 voix sur 574, dont celles du RN, faisant ainsi tomber le gouvernement Barnier.
Dès le lendemain, celui-ci remet sa démission au Président et se voit chargé de la gestion des affaires courantes.
C’est ainsi que Julie Déplante aura encore sauvé sa mission à la Cisa pour le compte de Matignon… en ne faisant rien !
 
François Bayrou se fera une douce violence pour lui succéder à Matignon le 13 décembre 2024, pendant que, plus tard, Barnier se portera candidat à la députation de la 4ème circonscription de Paris et au fauteuil de Maire de la capitale.
Entre temps, Paul aura effectué plusieurs vols d’essai en orbite avec ou sans sa nièce, testant différents types de trajectoires sur le démonstrateur Nivelle, en essayant également plusieurs modifications des foils et des dérives.
Mais de tout ça, on n’aura tout d’abord que quelques selfies et plusieurs comptes-rendus.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. l’épisode « Opération Juliette-Siéra » des « Enquêtes de Charlotte » aux éditions I3

vendredi 29 août 2025

Contexte politique (5/6)

Campagne de Trump (5/5)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
En fait, cette fois-là, la conversation aura dévié sur l’attentat dont a été victime Trump du mois de juillet.
Gustave Morthe de L’Argentière, fait un compte rendu à Paul de l’enquête de la Cisa sur ses « traçages » de Thomas Matthew Crooks, le tireur qui aura manqué sa cible, transperçant seulement le lobe l’oreille du candidat Trump …
Un tir de précision ou un miracle d’amateurisme, puisque le candidat en sera quitte pour une grosse frayeur qu’il a immédiatement su politiquement exploiter, un gros pansement autour de l’oreille et pas la moindre trace cicatricielle par la suite…
« Ce sont les miracles de la chirurgie moderne » en plaisantera un observateur.
Gustave résume : « Le 13 juillet 2024 Crooks a tiré sur Trump avec un fusil de type AR-15 depuis un toit voisin alors que Trump prononçait un discours.
Il l’a blessé l’oreille et tué un participant tout en blessant grièvement deux autres personnes avant d’être tué par une équipe de tireurs d’élite du Secret Service.
Ce sont les faits.
Il est décédé et son mobile reste inconnu même si une enquête a été confiée au FBI.
Thomas Matthew Crooks est né le 20 septembre 2003 et a grandi à Bethel Park, en Pennsylvanie, au Sud de Pittsburgh. Ses deux parents sont sans problème particulier, le père travaillant comme conseillers professionnels agréés.
Il a fréquenté l’école secondaire Bethel Park où il a tenté de rejoindre le club de tir de l’école, participant à la « pré-saison », mais il était si mauvais tireur qu’il a été considéré comme « dangereux » par l’équipe du club et a été prié de ne pas revenir.
Là, c’est vraiment curieux : un maladroit né avec deux mains gauche qui fait un carton à 135 mètres et un millimètre à côté, j’avoue que ce n’est pas très vraisemblable sauf à être guidé par un super-hyper tireur d’élite aguerri…
Il a ensuite rejoint la National Technical Honor Society en 2021 alors qu’il était en première année de lycée. En 2022, il a obtenu son diplôme avec mention très bien.
Il a ensuite obtenu un diplôme d’associé en sciences de l’ingénierie du Community College of Allegheny County à Pittsburgh, deux mois avant la fusillade.
Il était alors employé comme aide-diététicien dans une maison de retraite au moment de la fusillade. Selon cette maison de retraite, qui se trouve à moins d’un kilomètre de l’endroit où il vivait, il avait passé une vérification des antécédents et « effectué son travail sans souci ».
Il avait aussi été accepté à la fois à l’université de Pittsburgh et à l’université Robert Morris à Moon Township, en Pennsylvanie, au Nord-ouest de Pittsburgh, et prévoyait de fréquenter cette dernière.
On sait aussi que le père de Crooks a remarqué que sa santé mentale se détériorait au cours de l’année précédant la fusillade, et en particulier dans les mois qui ont suivi l’obtention de son diplôme. Il a plus tard déclaré aux enquêteurs qu’il avait vu son fils se parler à lui-même et danser dans sa chambre tard dans la nuit, et que sa famille avait des antécédents de problèmes de santé mentale et de toxicomanie.
Crooks faisait également des recherches liées à la dépression en ligne, d’après les enquêteurs.
En revanche, des entretiens avec ses professeurs, ses amis et ses collègues suggèrent que de nombreuses personnes qui interagissaient régulièrement avec lui ne savaient pas qu’il était troublé
Curieux, effectivement, mais on a vu pire…
« En bref, le profil idéal de l’illuminé qui aura fait des stages dans les forces spéciales pour faire un carton de tireur d’élite à 150 mètres de distance ? » demande Paul
« Pas du tout ! » lui répond Gustave. « C’est plutôt le profil du parfait amateur qui n’a aucun talent et ne cherche même pas à entrer dans la grande Histoire ! »
Correspondance des projectiles avec l’arme et les douilles, questionne Paul.
« Je n’ai pas de donnée là-dessus… » lui répond Gustave.
« Parce qu’il n’y en a pas ou parce qu’il n’y a rien à dire ? »
« Parce qu’il n’y en a pas… »
Très curieux…
 
Serait-on en train de mener en bateau l’opinion publique, sur ce coup-là, se demande tout haut Julie ?
« Madame la conseillère, deviendriez-vous complotiste à votre tour ? »
On en a vu d’autre, réplique-t-elle, pas vraiment ravie de ce rappel d’un statut hybride d’un œil de Moscou de Matignon, qui à ce moment-là n’a plus de patron en attente de son successeur, et de cadre dirigeante de la Cisa aux côté de Gustave…
« Avant la fusillade, Crooks a recherché des images et des apparitions publiques de Trump, du président Joe Biden, du procureur général Merrick Garlandybri, du directeur du FBI Christopher A. Wray et de Catherine, de la princesse de Galles, ainsi que des informations concernant le Republican National Convention et la Convention nationale démocratique. Il a également cherché sur Internet des informations sur le trouble dépressif majeur et la fusillade du lycée d’Oxford, les autorités ayant trouvé une photo d’arrestation du tireur d’Oxford Ethan Crumbley sur son téléphone.
Le 6 décembre 2023, près de sept mois avant la fusillade, Crooks a rapidement parcouru plusieurs sites d’information, dont CNN, le New York Times et Fox News, avant de visiter les archives de l’administration Trump.
Ensuite, il a visité sept sites Web d’armes à feu, dont un axé sur l’AR-15, similaire au fusil qu’il utiliserait dans l’attaque. Plus tard dans la journée, il s’est rendu au champ de tir local. Une grande partie de son activité en ligne dans les mois précédant la fusillade n’est pas connue, car il utilisait fréquemment un réseau privé virtuel » précisera Gustave dans son rapport.
 
En janvier 2024, Crooks a passé une commande en ligne de 101,91 $ pour plus de deux gallons de nitrométhane, un additif de carburant qui peut être utilisé dans les explosifs, en donnant son adresse personnelle pour la livraison. Le colis n’est pas arrivé rapidement. Le 31 janvier à 7 h 44 HNE, Crooks a envoyé un courriel à l’entreprise pour lui demander ce qu’il était advenu du colis.
Le 6 juillet 2024, le jour même où il s’est inscrit au rassemblement, Crooks a cherché « à quelle distance se trouvait Oswald de Kennedy » en référence à l’ancien président John F. Kennedy et au tireur qui l’a assassiné.
Il a utilisé un certain nombre de pseudonymes et de comptes de communication cryptés pour acheter des armes à feu et du matériel de fabrication de bombes. Et le 12 juillet, la veille de l’attentat, il s’est enfin rendu dans un champ de tir où il était devenu membre pour s’entraîner au tir.
« Punaise d’école de tir : en moins de 24 heures, elle forme un maladroit à l’égal d’un tireur d’élite ! Chapeau… » en rajoute Paul à l’adresse de la cantonade.
 
Avant de se rendre au rassemblement du 13 juillet, Crooks a acheté 50 cartouches et une échelle, il a demandé un jour de congé parce qu’il avait « quelque chose d’important à faire », en disant à ses collègues qu’il reviendrait le lendemain.
Quelques heures avant la fusillade, les parents de Crooks avaient appelé la police pour signaler sa disparition et avaient exprimé leur inquiétude quant à son bien-être.
Le 13 juillet, il a grimpé sur un bâtiment qui était utilisé par la police comme zone de rassemblement.
Des messages texte d’un tireur embusqué de la police indiquent que la police était déjà au courant de sa présence 90 minutes avant la fusillade. À l’aide d’un fusil de type AR-15, que son père avait acheté légalement en 2013 et qui lui a été légalement transféré en 2023, Crooks aura alors tiré sur Trump et blessé sa partie supérieure de l’oreille droite et a également tiré sur trois membres masculins adultes du public. L’un d’entre eux, Corey Comperatore, 50 ans, a été tué.
 
Crooks a ensuite été tué par un membre de l’équipe de contre-snipers du Secret Service. La cause du décès aura été radicale : une seule blessure par balle à la tête.
Et pour faire bon poids, on découvre ensuite des matériaux de fabrication de bombes à l’intérieur de son véhicule et à son domicile, ainsi qu’un détonateur à distance sur lui.
« Tout l’attirail du parfait terroriste, en somme » en dira Paul de Bréveuil.
« Oui » admet Gustave. Et pourtant il s’agit d’un amateur, mauvais tireur et on ne trouve pas de trace de mobile.
« Les autorités ont déclaré que les opinions politiques de Crooks étaient inconnues et elles n’ont pas déterminé si sa tentative d’assassinat était motivée par des considérations politiques.
Mais on sait que le 20 janvier 2021, à l’âge de 17 ans, il a fait un don de 15 $ au Progressive Turnout Project, un groupe libéral de participation électorale, par le biais de la plateforme de dons du Parti Démocrate ActBlue. Son don a été fait le jour même où le président Biden a prêté serment. Il aurait fait ce don en réponse à un courriel sur le fait de « se mettre à l’écoute » de l’inauguration. Et il s’est désabonné de la liste de diffusion du groupe en 2022. »
Crooks était inscrit sur les listes électorales depuis septembre 2021, date à laquelle il a eu 18 ans. Et il s’est inscrit en tant que Républicain mais n’a voté qu’une seule fois, lors des élections de mi-mandat de 2022.
« Paradoxal qu’un Républicain tire sur son candidat » lâche Paul.
 
« D’autant plus curieux qu’après la fusillade, le FBI a découvert un compte de médias sociaux « qui serait associé au tireur » avec environ 700 commentaires de 2019 à 2020. Une déclaration publique du directeur adjoint du FBI a même décrit l’activité de Crooks sur les services de réseautage social comme comprenant des commentaires qui « semblent refléter des thèmes antisémites et anti-immigration » et « épousent la violence politique ». Tout cela manque de cohérence… On ne sait pas ce qui a pu motiver le jeune-homme à tirer sur Trump… »
Paul précise : « Sauf si on lui avait précisé que quelques coups de feu en l’air auraient assuré de la victoire électorale de son candidat… et que c’était sans risque ! »
Pour de l’argent alors ? On n’a rien retrouvé qui permettrait de le laisser croire…
« Il n’y a pas que ça amiral : la manœuvre aura été réitérée… »
 
Effectivement, quelques jours avant cette réunion, alors que Donald Trump jouait tranquillement au golf sur son terrain de West Palm Beach, en Floride, il a été pris pour la cible lors d’un second attentat. Ayant remarqué un individu qui pointait une arme à feu depuis les buissons, sa garde rapprochée a ouvert le feu avant de le prendre en chasse, et finalement l’arrêter.
Le FBI estime pourtant qu’il s’agissait bel et bien d’un attentat, le second, contre l’ancien président. Le candidat républicain, qui se trouvait à une distance de 300 à 500 mètres du tireur, n’a pas été touché puisque le tireur n’a même pas tiré !
Toutefois, ce second attentat soulève des questions troublantes quant à la tournure des événements.
Encore détenu à ce moment-là, Ryan Wesley Routh, 58 ans, a lui un lourd passé criminel et des attaches en Caroline du Nord.
Un « homme de main » expérimenté qui pour l’instant il est seulement accusé de « possession d’une arme à feu par un criminel condamné » et de « possession d’une arme à feu sans numéro de série ».
 
Gustave rapporte également qu’au-delà du portrait individuel, une tendance plus inquiétante qui ressort de ce second attentat concerne l’effet d’entraînement : « l’environnement politique actuel incite les individus attirés par les extrêmes politiques à passer à l’action.
Cette normalisation évidente de la violence politique est sans doute liée à la forte polarisation électorale.
Les élections deviennent plus efficaces et pacifiques quand les griefs politiques les plus sérieux ont été pris en compte. S’ils demeurent irrésolus, ceux-ci peuvent susciter de nouvelles violences, y compris des attentats contre des responsables politiques. »
De la psychologie de comptoir de bar ?
Alors de préciser sa pensée : « Dans la politique américaine, l’expression « surprise d’octobre » décrit un événement politique qui rebat les cartes et bouleverse la campagne présidentielle à quelques semaines du scrutin.
Considérant les rebondissements de la présente course présidentielle, il est permis de redouter qu’une nouvelle « surprise d’octobre » de nature violente vienne s’immiscer dans la course.
Trump a politisé le premier attentat pendant la Convention nationale Républicaine de juillet et, dans les heures qui ont suivi le second, son équipe de campagne a entrepris une nouvelle levée de fonds sur ce prétexte.
Certains alliés de Trump, dont son colistier James David Vance, avaient insinué que le premier attentat découlait inévitablement de la campagne haineuse des démocrates.
Maintenant que le candidat Républicain a fait l’objet de deux attentats, l’élection 2024 se caractérise désormais par la violence politique. Malheureusement, le risque que la surprise d’octobre soit une nouvelle tentative d’assassinat ne relevait plus de l’hyperbole, à ce moment-là. »
Heureusement, il n’y en a pas eu.
 
« Peut-être que Trump n’a plus besoin d’en rajouter pour s’assurer gagner ce scrutin. Vous noterez, Amiral qu’on fait toute une histoire parce qu’un repris de justice armé se trouvait à un demi-kilomètre de sa cible présumée et aura essuyé des tirs des Services secrets sur les dents, dans un pays où il y a plus d’armes en circulation que d’électeurs, c’est assez étonnant, ne trouvez-vous pas ? »,
Une autre théorie à proposer ?
Paul est passé à un autre sujet.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

jeudi 28 août 2025

Contexte politique (4/6)

Campagne de Trump (4/5)
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
La part des votes de Trump a donc chuté en-dessous de 50 %, alors que le décompte se poursuivait montrant une compétition « beaucoup plus serrée que ce que lui et ses alliés suggèrent », a observé la BBC. Selon le vice-président du cabinet d’enquête Ipsos, « alors que Trump suggérait des victoires écrasantes, il a en fait gagné de quelques centaines de milliers de votes dans des domaines clés » et il aurait suffi que 115.000 électeurs de Trump passent dans le camp de Harris dans chacun des États-charnières (Michigan, Pennsylvanie et Wisconsin) pour donner à celle-ci assez de grands électeurs pour gagner la présidence.
Treize jours après le scrutin, Kamala Harris était passée de 67 à 75 millions de voix et l’avance de Donald Trump revenue à environ 2,5 millions de voix, contre environ 5 millions le surlendemain du vote.
Le dépouillement des votes par correspondance, mode d’expression privilégié par l’électorat Démocrate, a permis à la candidate battue de réduire l’écart, pour revenir à un niveau très proche de celui prévu par le statisticien Nate Silver, qui tablait sur 157 millions de bulletins exprimés finalement, contre 158,2 millions en 2020, et 49,8 % pour Trump contre 48,3 % pour Harris soit un écart de 1,5 point seulement, effectivement le plus faible écart en 60 ans de présidentielles américaines.
Ses 312 grands électeurs sont plus nombreux que les 306 de Joe Biden et ceux de George W. Bush en 2000 et 2004 mais surtout très en deçà des 365 de Barack Obama en 2008 ou des 525 de Ronald Reagan en 1984.
 
Ce faible écart est assorti d’un « résultat très décevant » au Sénat pour les Républicains et à la Chambre des représentants. Comme en 2016, Trump obtient la majorité dans les deux chambres du congrès, mais aussi étroite qu’en 2016 au Sénat, malgré un gain de 4 sièges sur le scrutin de mi-mandat de 2022, mais d’un seul siège sur les 5 en jeu dans les « États-charnières ».
Le Sénat américain est renouvelé par tiers à chaque élection et le millésime 2024 s’annonçait plus prometteur car comportant 20 sortants Démocrates, deux fois plus que de Républicains.
La majorité de Donald Trump sera plus étroite encore à la Chambre des représentants, où la courte avance de 9 sièges acquise dès le scrutin de mi-mandat en 2022, ne semblait plus pouvoir s’accroître huit jours après le scrutin, très loin des 52 sièges d’avance des Républicains en 2016.
Comme en 2016, les chiffres du vote populaire avaient beaucoup évolué pendant deux semaines suivant le scrutin du 8 novembre. Le 24 novembre, « l’écart de 2 millions de voix » en faveur de Clinton est jugé « incroyable » par la presse, car elle « n’a pas gagné l’élection, ce qui relance les soupçons de fraude et les critiques du système électoral ».
Cet écart sera finalement de 3 millions de voix, à la fin novembre 2016, six fois celui observé en faveur du candidat battu Al Gore en 2000.
Lors de l’élection de 2020, on avait d’abord constaté que Biden bénéficiait d’un écart « de plus de 3,3 millions de bulletins de vote sur son adversaire » grâce à près de 70 millions de voix. La presse avait ensuite découvert, une semaine après, qu’il en a en réalité obtenu dix millions de plus, soit au total 80 millions, pulvérisant le record précédent, les 69 millions d’Obama en 2008, lui aussi dépassé par Trump. Biden obtiendra en fait au total plus de 81,3 millions de voix, 12 millions de plus que décompté le surlendemain du scrutin, pour un écart de plus de 7 millions avec Trump, soit plus de deux fois plus que l’écart de 2016 en défaveur de ce dernier, qui contestera cependant la victoire de Biden en parlant de fraude à grande échelle juste après et au cours des quatre années suivantes.
Les dépouillements des deux semaines après le scrutin de 2020, freinés car souvent contestés par Trump en justice, mais finalement sans succès, ont apporté aux deux candidats près de 16 millions de voix de plus, à eux deux, que d’abord décompté, soit 10 % du total des suffrages exprimés.
Biden aura capté la plus grande partie de ce surcroît de votes car deux-tiers des votes par correspondance, plus longs à dépouiller, sont faits par des Démocrates, les électeurs Républicains leur préférant le vote anticipé, que Trump leur recommande de privilégier depuis 2016.
 
Et comme en 2020, le vote anticipé prend des proportions considérables, sur fond de sondages serrés dans les sept États-charnières. En 2020, Trump était donné vainqueur au lendemain du scrutin dans plusieurs États clés qu’il a finalement perdus, les résultats des dépouillements des votes anticipés dans les grandes villes venant ensuite inverser ceux totalisés sur la moitié ou les trois quarts de l’État mais essentiellement issues des comtés ruraux. Les délais de dépouillement des votes par correspondance dans les États-charnières de l’Arizona et du Nevada seront longs, avec respectivement 4 et 13 jours.
Donald Trump affiche sa réticence à reconnaître une éventuelle défaite, laissant craindre des violences du type de celles constatées et sanctionnées, qui avaient causé cinq morts dont celle d’un policier et une centaine de blessés après l’élection précédente, pour laquelle il « n’a jamais accepté sa défaite face à Joe Biden ».
Dès le 2 mai 2024, il refuse de s’engager à reconnaître les résultats et se montre évasif sur « la possibilité de violences politiques ». Une partie des observateurs craignent en particulier qu’il « annonce sa victoire de façon précipitée, sans aucun élément crédible » pour soutenir cette revendication. Le niveau de sécurité est renforcé dans une partie des bureaux de vote des États-charnières, comme en Arizona, où sont installées des « grilles pour protéger les électeurs ».
Le 16 octobre, un sondage montre que 19 % des Républicains pensent que Trump devrait contester les résultats en cas de défaite et « chercher à prendre le pouvoir par tous les moyens ».
 
Par ailleurs, il convient de noter qu’en septembre 2024, les autorités américaines indiquent que des documents de campagne de Donald Trump « volés » ont été envoyés à l’équipe Biden, avant que celui-ci ne se retire de la course à la Maison-Blanche, par des hackers iraniens.
Depuis, les tentatives russes pour influer sur l’élection américaine en faveur de Donald Trump augmentent, comme la désinformation envers Kamala Harris ou sur l’immigration. L’allégation que des influenceurs de l’extrême droite américaine auraient été payés par des médias russes pour diffuser des mensonges à propos des immigrés haïtiens qui mangeraient des animaux domestiques n’a pas mis fin au phénomène.
Il en va de même pour les copies de sites de médias américains saisis par le gouvernement.   
   
La « lecture » de ce scrutin, commenté au sein de la CISA à l’occasion d’une réunion de travail par vidéo reste que d’une façon générale, c’est le mode de scrutin indirect, héritage historique du système électoral américain, qui permet parfois, comme pour Donald Trump en 2016, de gagner l’élection présidentielle sans avoir la majorité de voix à l’échelle nationale.
Or, ce n’était pas le cas en 2024, puisque Kamala Harris avait 2,3 millions de voix de retard. Mais « vous savez qu’elle aurait pu l’emporter si seulement 135.307 électeurs avaient voté pour elle plutôt que pour Donald Trump dans seulement quatre États, le Wisconsin, le Nevada, le Michigan et la Géorgie », indique ce jour-là Paul.
0,08 % des votants aurait pu faire basculer l’élection
« En 2020, l’élection s’était jouée à 32.507 voix dans quatre États-clés, malgré les 7 millions de voix d’avance de Joe Biden.
Il y a huit ans, Hillary Clinton était dans une situation paradoxale : elle avait perdu le scrutin malgré 2,9 millions de voix d’avance, faute d’obtenir la majorité des grands électeurs. Il lui aurait pourtant suffi de retourner 38.871 électeurs Républicains, dans les trois États-clés du Michigan, du Wisconsin et de la Pennsylvanie, pour entrer à la Maison Blanche. »
Selon d’autres calculs, lors des dix dernières élections présidentielles américaines, le candidat défait aurait dû pour l’emporter convaincre, en moyenne, 231.165 électeurs de voter pour son camp plutôt que pour l’autre – même si ce chiffre varie grandement selon les années.
Ainsi, en 1996, le Républicain Bob Dole aurait eu besoin de retourner plus de 561.000 voix dans onze États différents pour gagner face à Bill Clinton. À l’extrême inverse, Al Gore aurait pu, en 2000, se contenter de 269 voix en Floride pour devenir le 43ème président américain à la place de George W. Bush.
« Parfois, il suffit d’un rien » insiste Paul pour remonter le moral de Gustave qui était persuadé que la Démocrate l’aurait emporté face au « voyou » Républicain…
« C’est tout de même invraisemblable que le système électoral avec ses primaires porte un menteur, un tricheur, un fraudeur à la tête de la plus puissante et la plus riche nation du monde » se désole-t-il !
« Comment après ça faire confiance aux scrutins et à la sagesse des peuples ? »
Paul ne le rassure pas : « C’est un choix que de se laisser berner ! Avec cette élection, tout le monde va souffrir. Mais ceux qui vont perdre le plus, ça restera l’électeur US. Aux européens de tirer leur épingle du jeu, même si je ne suis pas sûr que l’eurocratie… non élue… en soi vraiment capable ! » commentera Paul.
« On en disait que la démocratie est le pire des systèmes politiques depuis l’antiquité… à l’exception de tous les autres… »
 
Et dès le lendemain de ce scrutin, Trump se comportera comme le Président en exercice, raillant à son panache toutes les plus grandes fortunes de « la Tech » à l’image de Musk qui délire tout seul rayonnant de bonheur sautillant de joie à montrer son  nombril et se fendant d’un salut nazi pour exprimer son bonheur à l’idée d’être « Le Ministre » important qui guide son maître et jusqu’à pérorer dans le Bureau Ovale avec son fils sur le dos au côté du Président investi en janvier suivant devant mes caméras de la presse réunie pour l’occasion.
Trump fera du Trump, tous les jours, piétinant bien des principes, des lois et des avis, mais c’est déjà une autre histoire, prenant 10 décisions par jour quitte à se contredire !
« Le problème, Amiral… c’est qu’ainsi à trop vouloir imposer la « Lex Americana » et en abuser par des décisions unilatérales, il va se mettre tout le monde à dos et les USA vont perdre 80 ans de patients travaux qui leur permettaient d’imposer la « Pax Americana » quand c’était indispensable…
Dommage pour tout le monde !
Ça va plaire aux ingénieurs du chaos qui iront se brûler les ailes sur les feux de l’enfer qu’ils auront libéré… »
Paul retrouverait-il sa mémoire en prophétisant de tels désagréments ?
« Non c’est juste un raisonnement… Et j’aimerai bien que le « 03 » génère ses propres déductions… »
Il n’en dira pas plus à ce moment-là.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
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