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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 1 juillet 2024

Parlons d’autre chose (3)…

Notre modèle social conduit le pays à l’impasse !
 
Nous poursuivons notre tour d’horizon politico-économique historique pour une mise ne perspective de nos prochaines élections législative.
(Précédent post sur ce sujet <- cliquez ici)
L’ouverture générale du monde et la crise de 1973 mettent fin à ce paradigme en vase clos ou mi-clos.
Ajoutons que la deuxième mondialisation qui débute à cette époque permettra un fantastique essor des échanges et de la richesse des nations sur la planète, selon la logique de l’avantage comparatif d’Adam Smith et de Ricardo, qui est un démenti cinglant à toutes les théories de « la dépendance » et autre « échange inégal ».
Ajoutons que si le libre-échange impacte les populations des secteurs et des territoires vulnérables (d’où le néoprotectionnisme actuel, notamment outre-Atlantique), le recours au protectionnisme est source d’appauvrissement interne et de tensions externes, c’est-à-dire de rétorsions frappant les producteurs nationaux…
 
La « Gauloisie-olympique » entre alors dans cet échange généralisé, mais sans adapter structurellement son appareil productif en termes de compétitivité avec la fiscalité qui l’accompagne.
Dans un continent européen qui affiche un excédent commercial structurel – et c’est sa force –, un seul pays souffre d’un déficit en termes d’échanges de biens, le nôtre.
En bref, nous sommes déficitaires au sein d’une zone excédentaire… Cherchez l’erreur !
Il se trouve que beaucoup trop d’économistes considèrent le marché national comme fonctionnant de manière autonome, alors qu’il évolue en osmose et en compétition avec le reste de l’Europe et le reste du monde, à des degrés divers.
L’appel récurrent à un protectionnisme façon ligne Maginot traduit en vérité la frilosité d’une partie de nos z’élites (trisomiques, pour le coup, sinon autiste refoulée) et de nos compatriotes face aux vertus de l’échange, à la créativité et au dynamisme de nos entreprises.
Que l’on se rappelle ainsi l’épisode assez ridicule des magnétoscopes japonais bloqués à Poitiers en 1982… qui aura mécontenté tout le monde.
 
Au-delà du seul miroir « teuton », des « pays phénix » du Nord de l’Europe et de l’arc rhéno-alpin, Pays-Bas, Danemark, Finlande, Suède, Suisse, Autriche, mais aussi le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, tous ceux qui ont su s’adapter à la compétition mondiale en se spécialisant, l’ont fait en augmentant la formation de leur main-d’œuvre et en adaptant leur modèle social. Pas nous, restés au bon vieux « labourage & pâturage »…
Parce qu’ils sont de taille petite ou moyenne – c’était aussi le cas des principautés du Saint Empire romain germanique avant l’unification allemande –, ils savent depuis toujours qu’il est impératif de vendre hors de ses propres frontières : Pas nous assis sur le marché étroit de notre pré-carré.
 
Car chez nous, pendant ce temps-là, ça fait quasiment 40 ans qu’on parle de la réforme des retraites[1], la Sécurité sociale fonctionne mal, les coûts augmentent et la qualité diminue, les gens se plaignent et c’est toute la question de l’État-providence « hexagonal », né en 1944-1945 dans l’élan généreux du CNR et ce via un consensus entre Gaullistes et Communistes pour aller vite qui se pose, se repose sur ses lauriers, sans se ressourcer ni savoir évoluer !
 
Cet État-providence inspiré du modèle assuranciel bismarckien et du Welfare State du rapport Beveridge de 1942 (et oui, sous les bombes, les gars bossaient déjà sur l’avenir, Jeanneney dans leur sillage !!!), financé principalement par les entreprises et qui s’est élargi au fil des ans, en prestations et en catégories d’assurés.
Or, l’État-providence aura subi un gonflement radical dans les années 1980-1990, en prenant en charge tous les laissés pour compter de l’échec économique et social évoqué ci-avant qui n’est jamais que la conséquence de l’échec du programme commun de 1981.
(C’est de là que vient d’ailleurs la formule « Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent ! »)
La logique d’assistance aura pris le pas sur la logique assurancielle initiale.
Et la demande de financement croissante a glissé des assurés vers les contribuables, le tout sous la férule grandissante d’un État-providence de plus en plus vorace.
« État-providence », un terme et une notion apparus dès 1848 sous la plume de Lamartine et d’Émile de Girardin au cours de la Seconde République.
Plus d’un siècle avant…
 
Confrontés à des problèmes analogues à notre pays durant ces années 1980-1990, les pays « phénix » évoqués ci-avant ont procédé aux adaptations nécessaires de leur État-providence, avec leurs modalités et temporalités propres.
Ils ont écroulé le montant de leurs prélèvements obligatoires sur les entreprises, aujourd’hui bien plus faibles que chez nous.
Ils ont fortement baissé le coût de fonctionnement de leur État central et de leurs collectivités territoriales, là où le nôtre aura enflé, multipliant les niveaux de décisions.
Ils ont supprimé la quasi-totalité de leurs niches fiscales, là où nous nous les avons démultipliés, et augmenté leurs taux moyens de TVA là où on a fini par parler de « TVA sociale » (une hérésie sémantique) pour ne rien en faire.
Et le tout en renforçant légèrement l’impôt sur le revenu, à la fois plus générale que chez nous et plus progressif pour les gros revenus, donc notamment les chefs d’entreprise, ce qui explique le large consensus sur la fiscalité dans ces pays… et leurs performances moyennes supérieures aux nôtres.
 
Et pour la petite histoire, il vous faut savoir que toutes ces mesures en faveur de l’offre, pour pouvoir faire consensus, ont été prises en contre-exemple des « Gauloisiens-olympiques » de 1981-1983 et nos dérapages de plan de relance favorisant la demande : Nos voisins ne manquent pas d’humour, finalement !
Pour le pire comme pour le meilleur, notre pays, contrairement à son égocentrisme invétéré, n’évolue pas tout seul au monde !
 
Parce que fatalement, dans une économie ouverte, si l’on charge trop ses propres producteurs, si l’on ne cultive pas la compétitivité des entreprises nationales, on déploie un tapis rouge devant les compétiteurs voisins ou éloignés.
Et ce fut notamment le cas des deux plans de relance du premier gouvernement « Chi » en 1974-76 et des gouvernements « Mort-roy » de 1981-1983, tout comme des 35 heures du gouvernement « Tonton Yoyo » à la fin des années 1990 qui ont renchéri mécaniquement le coût unitaire du travail.
Mon patron d’alors m’avait assuré que le passage aux 35 heures allaient créer des millions d’emploi, comme l’expliquait alors sur tous les tons « Titine-Eau-Brie ».
Et il rajoutait « Mais pas chez nous ! »
Pour ma part, je n’ai jamais compris comment un parti-ouvrier (de près ou de loin), pouvait décider de limiter unilatéralement la possibilité pour un prolétaire de s’enrichir de son travail !
J’ai cyniquement compris par la suite qu’ils savaient déjà qu’on ne s’enrichissait jamais que du travail d’autrui…
Et que l’objectif était de limiter la richesse des « patrons », quitte à « fabriquer des pôvs’ » (tellement ils les aiment !).
 
On favorise alors en « Gauloisie-olympique » la consommation au détriment de la production depuis le célèbre débat ayant opposé à l’automne 1944 Pierre Mendès France, « sinistre de l’Économie » et partisan de la rigueur au moins intransigeant René Pleven, « sinistre des Finances ».
Il avait été tranché à l’avantage de celui-ci par le général de Gaulle en faveur d’une politique de stimulation de l’économie à partir de l’accroissement d’une demande jugée (toujours structurellement) sous-développée.
L’idée que le peuple est toujours trop pôv’ a dominé les z’élites politiques tricolores marquées par le courant socialisant à partir de la crise économique des années 1930. À l’État de redistribuer aux plus défavorisés !
Les experts pensent que ce sera bénéfique, car les classes populaires et moyennes achèteront patriote, forcément. Sauf que…
Sauf que tout change quand l’économie du pays s’insère dans le marché européen et mondial, ce dont ne prennent pas assez conscience nos z’élites trisomiques enfermées dans leur autisme.
Les classes ouvrières et populaires en subiront les conséquences quand s’enclenchera la spirale infernale de la désindustrialisation et des bas salaires.
Ce sont elles qui payent les pots cassés de politiques économiques erronées des « sachants ».
 
Un virage aura lieu à partir de 2014 et la création du CICE (Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi). Ce dernier signifie l’entrée bienvenue dans une économie de l’offre favorisant l’amélioration des conditions de production.
Le CICE est issu du rapport de Louis Gallois en 2013 (précédé par celui de l’Institut de l’entreprise sur le même thème) quant à l’indispensable « choc de compétitivité » à opérer en faveur des producteurs nationaux.
D’où au cours des années suivantes le recul du chômage de masse, en particulier chez les jeunes arrivant sur le marché de l’emploi, cette plaie qui rongeait l’économie et la société depuis des décennies.
Il est triste de constater le temps qu’il a fallu à la notion-clé de « compétitivité » pour passer dans les faits.
On aurait pu pousser beaucoup plus loin le montant du CICE et les crédits d’impôt qui l’ont prolongé encore plus loin.
Et il est désolant qu’aucun débat public n’ai suivi les conséquences structurelles bénéfiques du CICE, sur le mode : « Peut-on faire mieux ? », « Faut-il aller au-delà ? À quelle échelle ? ».
Car le pays souffre toujours d’un chômage excessif par rapport à ses voisins et la balance de notre commerce extérieur est toujours dans l’état calamiteux que l’on sait.
 
Il faut également noter que la majorité de la population a profité de la globalisation et a vu son pouvoir d’achat augmenter grâce à des produits compétitifs fabriqués partout sur le globe sauf chez nous par nos propres prolos, et arrivant très vite sur le marché, sauf… nos classes populaires frappées par la désindustrialisation que va sans cesse compenser l’État-providence à coup de mesures d’assistance.
Si la production produit et la consommation détruit, il faut toujours produire avant de consommer. Ce qui signifie disposer d’un secteur productif fort.
Tout décideur politique devrait sans cesse se poser la question essentielle : Est-ce que les entreprises de mon pays sont en situation de compétitivité par rapport aux entreprises du reste du monde ?
Adoptons-nous les mesures adéquates pour que la marge opérationnelle de nos entreprises soient suffisantes ?
 
Une politique de l’offre devrait signifier la réduction des prélèvements obligatoires, c’est-à-dire du poids de l’État sur l’économie et les entreprises nationales.
Est-ce que le tissu industriel et économique, de la plus petite PME au plus grand groupe se trouve en situation de compétitivité ?
Dispose-t-il des marges nécessaires pour compéter avec ses voisins proches et lointains ? Est-il capable d’emprunter, investir, se développer, améliorer sa formation de manière suffisante ?
Un allègement de la fiscalité des entreprises suppose à terme une baisse des dépenses publiques, mais aussi un transfert vers la fiscalité sur la consommation, pour l’heure relativement faible, la production étant au contraire surtaxée au profit des produits importés : Je vous le dis tous les jours ! Quand vous inventez une taxe, même sur le pet des vaches, tôt ou tard, vous la retrouvez dans votre assiette !
 
C’est donc une question de circuit. Si on vous le prend à la source, ça impacte les coûts de production. Et vous le retrouvez dans votre assiette. Si on vous le prend directement dans l’assiette, ça ne change rien, sauf que tous les producteurs de ce qu’il y a dans votre assiette sont remis à égalité de prélèvements obligatoires avec leurs concurrents internationaux !
C’est sur ce schéma que je vous avais imaginé la « Cotisation sociale sur les Produits Manufacturés » (CSPM) puisque la difficulté reste de répartir le coût de notre modèle social sur le plus grand nombre et qu’à l’exportation, il est difficile de le faire financer par nos acheteurs étrangers…
Sauf quand il s’agit d’achat irrationnel, tel le luxe ou les technologies militaires…
 
Par ailleurs, Il faut bien comprendre que l’allègement des charges n’est pas synonyme de « cadeau » aux entreprises comme on le dit trop souvent : En ce sens, face aux plus de 100 milliards d’euros d’aides (termes recouvrant des réalités très diverses), il conviendrait de les supprimer graduellement en baissant d’autant les charges pesant sur les entreprises.
Ce n’est pas aux fonctionnaires de l’État d’attribuer celles-ci selon des critères divers, c’est aux entreprises de faire le meilleur usage compétitif micro-économique de cette marge retrouvée.
La politique de l’offre est donc la seule qui crée des emplois viables et pérennes.
En se rappelant que les bénéfices d’aujourd’hui sont les emplois de demain.
Et que toutes les mesures de réindustrialisation actuelles et futures n’aboutiront que si elles répondent au critère d’une fiscalité compétitive…
 
Et on en est loin : Il y a en « Gauloisie-olympique », mais autiste et trisomique, une injonction sans fin du « toujours plus » de moyens plutôt que du « toujours mieux ». Ne parlons même plus du « un peu moins, mais mieux » !
En échange d’un consentement à l’impôt et à l’omniprésence de la puissance publique, les citoyens adressent à celle-ci des demandes de créances infinies fatalement mal satisfaites.
L’individualisme de la société actuelle se conjugue avec un dialogue, sinon un face-à-face exclusif avec l’autorité publique, incarnée par un seul homme, le président de la République…
Une voie pour y remédier suggère qu’il faudrait peut-être se méfier de la capacité du « pouvoir à dépenser notre argent pour nous, à notre place[2] », alors qu’il faudrait au contraire cultiver « la démocratie civile », distincte du libéralisme anglo-saxon : « Il ne s’agit pas de réduire l’État à quasiment rien, mais à sa juste mesure… ».
 
L’épidémie de « Conard-virus » aura ainsi révélé que la proportion des emplois administratifs dans nos hôpitaux était nettement plus élevée que dans leurs équivalents « Teutons », au détriment d’emplois opérationnels, médecins, infirmières… Sureffectif indispensable au « reporting » et au contrôle d’administrations tentaculaires inopérantes.
Or, un hôpital n’est ni une administration, ni une entreprise : Aux côtés du soin et du volet de la gestion, il doit se donner des axes de développement et de progression.
Je sais : J’en ai dirigé un en phase de redressement où, faute d’un projet d’ensemble tel que mon conseil d’administration avait parfaitement diagnostiqué l’origine de la faillite du projet sanitaire de mes prédécesseurs, m’emmerdait à improviser un « projet de santé » là où l’urgence c’était d’arrêter de se faire voler à tous les étages et de faire rentrer le pognon…
Dans la crise que connaît le monde hospitalier, il faudrait peut-être diversifier le recrutement de ses dirigeants, aujourd’hui dévolu aux élèves d’une école spécifique d’administrateurs à Rennes qui fatalement, reproduisent une logique administrative, pour placer les médecins à la direction des établissements en les formant à la direction de projet et à la gestion, par exemple…
Parce qu’un « gestionnaire » comme moâ, ça raisonne en part de marché, en taux d’activité, en rendement des investissements, pas en politique sanitaire… Je n’y connais rien.
 
Dans le domaine des entreprises, on ne peut pas dire que la gestion par l’État et ses administrateurs délégués donne également des résultats très probants dans la durée.
Que l’on se rappelle la dérive du champion nucléaire Areva entre 2000 et 2015 et la perte de 15 milliards d’euros qu’il a laissée avant son démantèlement. Il était pourtant le fruit d’une renationalisation déguisée, celle du talentueux constructeur des îlots nucléaires Framatome, qui relevait auparavant des groupes privés Schneider, puis Alcatel Alsthom.
De même, entreprise largement autonome durant les années 1950-70, EDF avait équipé électriquement tout le pays avant de réussir en moins d’une décennie le grand programme nucléaire que lui avaient confié en 1974 « Pompon-Pie-doux » et « Pierrot-Messe-mère ». La perte d’indépendance progressive d’EDF associée aux injonctions contradictoires de l’État en matière de tarifs de l’électricité et de nouveaux équipements nucléaires ont affaibli sa position au fil des ans.
On peut aussi s’interroger sur le service public façon SNCF. Il fonctionne en situation de quasi-monopole, sa politique de tout-TGV et de délaissement des lignes secondaires (et de banlieue), ses pertes récurrentes compensées par l’État, son modèle social conflictuel n’est pas le gage d’une grande réussite industrielle de nos « sachants » énârques (ponts & mines réunis)…
Alors que le transport aérien aura été dérèglementé à partir des années 1990 et il ne se débrouille pas trop mal, entre compagnies (et aéroports) concurrents et acteurs low-cost.…
Un peu de concurrence, quelques subventions remboursables plus tard, et plus de concurrence ensuite ont assouplit les relations entre les services publics et les usagers. 
 
Le titulaire actuel de l’Élysée a poursuivi la politique de l’offre initiée sous « Tagada-à-la-fraise-des-bois » dont il était l’un des artisans, mais sans s’atteler à la refonte nécessaire de notre État-providence, noyant nos problèmes structurels sous l’explosion de la dette…
Nous avons changé de monde à partir de 2015, en entrant dans une nouvelle globalisation qui n’est ni plane ni apaisée, mais rugueuse, agressive, conflictuelle…
Or, la transition « écolologique » et énergétique, la guerre en Ukraine et la confrontation des blocs, le renforcement de nos moyens de défense au sein d’une défense européenne, tous ces défis sont immenses et imposent de se préparer à une économie de conflits, de guerre…
Et par conséquent, de construire une économie plus forte, résiliente et plus souveraine que jamais !
 
Nos enfants sauront-ils le faire ?
Saurons-nous capables de leur ouvrir le chemin ?
C’est un peu l’enjeu de ces prochaines années et donc de l’importance des bulletins que nous allons déposer dans les urnes prochainement…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Il faut se souvenir du « Livre blanc » de « Michou-Roro-Card » sur le sujet, du temps où il était « sinistre du plan » sous « Mythe-errant »… Mon prof’ de droit social à la fac évoquait déjà le sujet quelques années avant…
[2] Relisez l’entête de ce blog, inchangée depuis sa création primitive, il va y avoir deux décennies de ça…

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