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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 26 juillet 2024

11/63 – Préparation

Le GRU à la manœuvre…
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
En 2010, la GRU est renommée Direction générale (GU). L’État-Major a d’autres directions générales, par exemple une direction générale des communications, une direction générale de l’entraînement, ou une direction générale du personnel. Mais le terme GRU continue d’être utilisé couramment à l’extérieur de l’état-major, y compris dans des déclarations officielles de Medvedev et de Poutine.
 
Le GRU est par ailleurs cité de manière prééminente dans les accusations d’ingérences russes dans l’élection présidentielle américaine de 2016. Le procureur spécial Robert Mueller a notamment inculpé plusieurs membres du GRU pour avoir piraté les systèmes informatiques du parti démocrate.
Comme il est précisé ci-avant, le GRU est également accusé dans l’empoisonnement de Sergueï et Ioulia Skripal au Royaume-Uni : deux hommes que la police britannique suspecte d’avoir pratiqué l’empoisonnement ont été identifiés par des publications de Bellingcat comme des officiers du GRU.
En 2021, le GRU est aussi publiquement mis en cause par le Premier ministre tchèque Andrej Babiš et son vice-premier ministre Jan Hamáček dans l’explosion, en 2014, de deux entrepôts à Vrbětice. Elle avait causé la mort de deux personnes.
En juin 2022, le service de sécurité néerlandais AIVD annonce avoir empêché un « illégal » du GRU nommé Sergueï Vladimirovitch Tcherkassov d’accéder à un poste à la Cour pénale internationale à la Haye en utilisant une fausse identité brésilienne.
Le service est peu connu du grand public, il n’en a pas moins une réputation incontestable d’efficacité. Dans le livre « Carnets intimes de la DST », l’ancien haut responsable du contre-espionnage soviétique de la DST française, Raymond Nart notera que, par rapport aux officiers du KGB, les officiers du GRU étaient « plus directs et moins politisés mais aussi plus brutaux ».
 
La chute de l’URSS a certes fait perdre au GRU ses moyens de financement, mais ne l’a guère touché au niveau structurel, contrairement au KGB rival (dissout en plusieurs services distincts), très connu et honni pour être l’héritier de la funeste Tchéka, qui a alors dû ralentir ses activités à l’étranger.
C’est une organisation rivale du Service des renseignements extérieurs de la fédération de Russie (SVR) mais ses effectifs seraient voisins de douze mille membres.
Entre 2009 et 2011, le GRU subit toutefois une réorganisation et réduit ses effectifs de plus d’un millier d’officiers.
Le nombre de généraux est passé d’une centaine à une vingtaine.
 
À signaler que les « Spetsnaz » sont des effectifs de la GRU, unité de renseignement militaire et reconnaissance militaire créée dans les années 1950, et restent des « forces spéciales » militaires. À l’époque, leur rôle était la lutte contre les systèmes mobiles de lancement d’armes nucléaires de type MGM-31 Pershing.
Plus tard, leur mission s’est étendue à des actes de sabotage, d’élimination de chefs ennemis, prise d’objectifs stratégiques, reconnaissance, etc. en temps de guerre.
Ils participèrent ainsi aux opérations militaires en Afghanistan et en Tchétchénie.
Les Spetsnaz de la GRU comprennent des éléments des forces terrestres, des nageurs de combat ainsi que des troupes aéroportées de la fédération de Russie (les VDV), même si des nageurs de combat sont également présents parmi d’autres groupes d’intervention.
La GRU est l’unité, dirigée, on vient de le signaler, depuis le 22 novembre 2018 par Igor Kostioukov, qui est à l’initiative de la proposition concernant Paul de Bréveuil et qui convainc son ministre de tenter le coup… sur un coup de bluff : « Ça ne marchera jamais ! » en aurait dit le ministre.
« Si on n’essaye pas, on ne le saura jamais ! » lui aura répondu son directeur…
 
L’amitié du ministre avec Vladimir Poutine est abondamment mise en scène dans les médias d’État russes à la fin des années 2010. Il est alors évoqué comme son possible successeur.
Et lui-même il se fait fort d’être à la hauteur, voire mieux et d’être capable de dépasser « son modèle » !
Mais il n’envisage pas d’anticiper les échéances à raison de son amitié pour le locataire du Kremlin qui reste son ami pour lequel il a une admiration sans faille, ce tsar qui l’aura fait prince dans son ombre.
Le 25 février 2022, il est ajouté à la liste des ressortissants spécialement désignés et des personnes bloquées de l’OFAC, car il est considéré comme une menace pour la sécurité nationale américaine à la suite de son rôle important durant l’invasion de l’Ukraine.
En mars 2022, son absence médiatique inhabituelle est la source de rumeurs sur son état de santé ou une éventuelle mise à l’écart. Ces apparitions reprennent en août, alors que l’armée russe cède du terrain face à l’Ukraine.
Mais il est l’un des rares membres du premier cercle du pouvoir à avoir eu autant d’influence sous Boris Eltsine que sous Vladimir Poutine.
Et dans le plan élaboré par Igor Kostioukov avec l’aval de Sergueï Choïgou, en vue de contenter Vladimir Poutine qui poursuit de son côté son propre calendrier, il convient que Gustave Morthe-de-l’Argentière soit invité à Minsk.
 
On ne s’en rendra pas compte tout de suite en Occident, naturellement, mais Gustave, ex-directeur de la DRM (Direction du renseignement militaire) française, amiral de seconde section, en contact avec tous les responsables des services occidentaux, récemment décoré et « upgradé » par l’US Navy[1], est devenu aussi une cible de choix pour les services de la Fédération de Russie.
En effet, il est surtout le dirigeant de la Cisa !…
Or, on sait justement au Kremlin que la Cisa détient et développe le logiciel de surveillance généralisé baptisé « BBR ».
Ça, les services russes en ont bien conscience puisqu’ils ont eu vent des opérations financières autour de ce logiciel, notamment en amont de l’élection du Président Makarond[2], et des nombreux accords de mutualisation des moyens qui ont suivi autour des « Fives eyes » et du partage d’information avec les « nazis ukrainiens » à l’occasion de « l’opération militaire spéciale » qui aura débuté en février 2022 et qui leur aura fait tant de mal sur le terrain.
 
Pour ceux qui pouvaient encore en douter, rapidement lors des premiers mois de l’invasion, il a en effet fallu déplorer plusieurs disparition d’officiers généraux, abattus par des snipers ukrainiens, d’officiers supérieurs d’unités combattantes par dizaines, voire des tirs de missiles de précision sur des regroupements de travail de hauts-gradés qui prenaient pourtant toutes les précautions indispensables en Crimée : si c’était si facile pour les Ukrainiens, alors que l’armée russe n’a jamais pu rendre la pareille, c’est que les ukrainiens « traçaient » leurs cibles avec une technologie que l’armée russe ne possédait pas !
Il n’y avait pas d’autre explication…
 
Aussi, ce qui intéresse les responsables de la GRU, c’est de savoir en tout premier lieu comment ce logiciel fonctionne, et concomitamment, qu’elle est sa portée, son champ opérationnel en Russie, puisqu’en Ukraine, on en devinait les contours.
En second rideau, si c’était possible, il fallait soit se procurer ce logiciel avec la complicité de son concepteur qui se trouvait en chemin vers Minsk, pour combler l’incapacité des hackeurs russes à pirater les codes sources dudit logiciel dont ils ne savent même pas comment il fonctionne et avec quelles portes d’accès ; soit le faire travailler à concevoir, reproduire serait le mot le plus juste, avec l’aide des ingénieurs russes restés sur place un logiciel et son architecture à l’identique au profit du service.
Pouvoir « tracer » tout opposant et ses complices, partout sur le territoire de la fédération et au-delà en Europe, serait indéniablement un immense progrès qui économiserait grand nombre de personnel dont le « dévouement » est toujours suspect aux yeux de leurs hiérarchies respectives…
 
Et in fine, « tracer » avec précision tous les occidentaux comme le font les ukrainiens pour abattre leurs cibles russes, naturellement, ce serait l’objectif final rêvé !
Toutefois, l’état de santé de Paul de Bréveuil n’est pas très encourageant : il n’a plus rien dans sa tête !
Devenu amnésique après probablement un choc et un hématome crânien, ou tout simplement un AVC qui se résorberait lentement, ce n’est pas évident à traiter, mais ça ouvre des perspectives inattendues.
Et justement, si ce handicap peut se résorber avec le temps d’après les spécialistes russes, il se peut que l’amnésie soit finalement une séquelle provisoire et que « Charlotte » retrouve à terme tous ses moyens.
 
« Et alors… pourquoi ne pas le faire « retourner sur le terrain » après lui avoir nettoyé le cerveau ? » suggère un lieutenant probablement un peu plus ambitieux que d’autres.
L’idée remonte jusqu’à son capitaine qui creuse un peu.
Du capitaine, la proposition passe à son commandant de section qui y adhère et élabore une esquisse de stratégie à mettre en place avant de la présenter à son lieutenant-colonel qui lui-même la complète avant de présenter « l’affaire » à son supérieur qui, enthousiaste en parle à son général de division qui enrichira encore le processus imaginé avant de recevoir l’aval de l’état-major de la GRU, validé par le ministre lui-même !
 
Mais à l’époque, et on ne le saura que plus tard, « Charlotte » se trouvait encore à Hérouville : ce jour-là il aura fallu mobiliser brusquement et discrètement un toubib pour un diagnostic rapide et un agent consulaire pour valider l’identité et l’état de santé de ce « Charlotte » et ainsi confirmer l’hypothèse à mettre en place.
Et tout cela en l’espace d’une seule paire de nuits…
Ce n’est que plus tard que les quelques réseaux de « d’honorables correspondants » connus pour fricoter avec les pays de l’Otan… y compris chez les personnels ecclésiastiques avec consigne de passer l’information par-delà les frontières du pays auront été mobilisés, alors que Paul de Bréveuil revenait de Moscou pour se faire soigner à Minsk.
À la fois simple et complexe…
 
Le scénario d’origine s’est ainsi étoffé au fil du temps et du voyage sous sédatif du sujet en mer, et surtout depuis l’arrivée de Paul de Bréveuil à Minsk par des chemins détournés, puis par train spécial, pour rester discret, jusqu’à Moscou.
Et le service aura fini par obtenir l’autorisation de préparer, à condition de superviser l’opération, au seul motif que « si on n’essaye pas, on ne saura jamais si ça ne pouvait pas fonctionner… », avant le retour du sujet à Minsk qu’il est censé n’avoir jamais quitté dans l’intervalle.
Il est vrai, qu’honnêtement, au moins quant aux risques de représailles françaises ou « otanesques » en cas d’échec, il faut rester optimiste estime-t-on au ministère. Le pays est véritablement « bunkerisé », l’opposition politique inexistante pour être laminée, exilée ou en prison, la presse est totalement muselée et reste « aux ordres », l’appareil répressif d’État est au mieux de son efficacité depuis les années Staline et les « ennemis extérieurs » sont toujours plus sidérés par l’audace de la Russie : il n’y a rien à craindre, même pour les prochaines élections de 2024 !
Rien n’interdit donc de faire…
 
L’opération est par conséquent rapidement préparée dans la plupart de ses moindres détails, et c’est comme ça que Gustave se retrouve à aller jusqu’en Biélorussie après le début du mois d’août, pour un départ sous quinzaine, autorisé par les autorités civiles du pays et celle de son ministère de la défense française, visa, sauf-conduit en main et fiche de police de Paul en poche, accompagné d’Alexis rentrée dare-dare de Californie.
C’est histoire de faire le point sur cette étrange affaire qui n’aura pas « emballée » la chancellerie, avant le retour d’estives des responsables publics et avoir un dossier complet à soumettre « aux politiques » à leur retour de vacances.
Une quinzaine qui effraiera Florence qui envoie ses enfants chez leurs grands-parents d’abord dans le Vaucluse, avant de les rejoindre pour ensuite passer quelques jours en Balagne.
Renonçant ainsi à leur croisière programmée en mer Égée.
En revanche, Eurydice, le voilier familial aura fait le bonheur de leur couple d’amis…
 
C’est que la République de Bélarus est un pays « sous sanction » et les routes aériennes sont réduites à leurs stricts minimum : à savoir pas grand-chose, alors même que le pays observe une certaine neutralité dans le conflit qui oppose ses voisins russes et ukrainiens à ses frontières.
Aussi, Alexis et Gustave font escale à Varsovie qu’ils rejoignent en avion, puis iront jusqu’à Hrodna par le train et enfin poursuivront jusqu’à Minsk par le rail.
Un voyage long et tortueux, ponctué d’innombrables arrêts en rase-campagne et de contrôles tatillons, avant et après avoir franchi la frontière polonaise.
Gustave a l’habitude des « formalités militaires », mais Alexis reste facilement « traumatisable » dès qu’un galonné la regarde de travers : elle serait prête à avouer n’importe quel crime et trouverait son sort bien mérité et même enviable, si on la forçait un peu.
Et pourtant, elle en a vu des vertes et des pas mures, en escortant Paul depuis quelques années, comme jamais auparavant…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

[1] Cf. Menaces de chaos
[2] Cf. Ultime récit – Tome II

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