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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 21 juillet 2024

6/63 – Évaporation de Paul

Le « cirage » général
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Ce « bunker » est un endroit hypersécurisé, enterré sous la colline qui surplombe l’hôtel au-dessus de Cabourg, plus loin derrière l’autoroute A13, où se trouve être aussi stationné une machine de Sir McShiant[1], qui rouille dans le hangar sous une bâche qui la protège de la poussière, et, bien enterrée, une des sauvegardes de la data du logiciel BBR.
Il y en a une autre en Islande, aux « bons soins » du coconcepteur du logiciel, Huyck Maartje dit « le batave » – un camarade de promotion de Paul – qui désormais mine de la crypto-monnaie en Islande et suit de loin les travaux de Paul sur la mise au point de la version 3.0 du logiciel BBR (BBR pour Blanc, Bleu, Rose, les niveaux initiaux de dangerosité présumées[2]), qui se veut prédictif…
Pour l’heure, c’est un projet qui sert surtout à Paul dissimuler sa capacité à prévoir « logiquement » des événements inattendus, jugés improbables par le commun des mortels pour qui ils ressortent de l’aléa, des circonstances et du hasard.
À ce sujet, il y a plusieurs théories à propos de ses capacités prémonitoires-là.
 
Pour les uns, c’est le simple résultat d’une intelligence hors norme. Après tout, il sera sorti dans la botte de deux écoles d’ingénieur les plus réputées du pays : Polytechnique et Sup-aéro (même si à l’entendre lui-même, ce ne sont pas les meilleures au monde…).
C’est en tout cas le point de vue de l’amiral Gustave Morthe de l’Argentière qui l’aura eu sous ses ordres au large de l’Afghanistan, lui sorti simplement de l’école de guerre…
Pour feu-Charlotte, la vraie, ex-associée de Paul, avec Aurélie (la géante)[3], depuis le hold-up de la Guilde des Joailliers, cette Charlotte-là dont le nez bougeait de haut en bas quand elle parlait, actuaire de formation et de métier – autrement dit particulièrement pointue en mathématique analytique et en logique – il s’agit d’une intelligence intuitive, absolument pas déductive ni rationnelle, qui lui permet des « raccourcis » en des temps très courts.
Paul lui-même n’en dit rien.
Mais Alexis, sa biographe officielle, a une autre explication. Il se trouverait qu’aussi improbable que cela puisse paraître, Paul connaît son avenir – et accessoirement celui de la planète – en ayant pu lire les ouvrages qu’elle est payée pour les écrire au fil du temps autour de son sujet de biographie, Paul lui-même.
Autrement dit, il sait, pour « se souvenir » de ses lectures, avant même qu’Alexis collecte les renseignements nécessaires pour en faire une sorte de rapport à travers les ouvrages qu’elle réalise après coup.
Bizarre, mais c’est comme ça depuis son embauche et probablement la seule raison de son travail, parce que ses ouvrages sont loin d’être des succès littéraires, à n’en pas douter…
 
Grâce à une sorte de « boucle du temps » inconnue pour la science de ce début de second millénaire, inconnue et totalement improbable, boucle dont elle-même aura pu faire l’expérience[4], il aura pu donc lire son parcours…
Même si elle n’avait pas vraiment compris ce qui lui arrivait alors que son esprit n’accepte toujours pas le concept, Alexis ne se pose plus de question et effectue son travail de biographe pour lequel elle est royalement payée.
Ce qui la change des piges du temps où, comme sa mère Camille, elle faisait métier de journaliste-pigiste[5]. Mère qu’aurait croisée Paul lui-même au moment de la Guerre du Golfe quelques dizaines d’années auparavant !
Mais c’est tellement extravagant…
 
Or là, probablement que l’épisode dans lequel tous ces personnages se plongent tout de suite après le salon du Bourget 2023, reste partiellement dans le flou.
Même Paul, « l’actionnaire » prévient qu’il entre « dans le cirage ».
Autrement dit, lui-même n’a plus de visibilité sur son devenir immédiat. Sans pour autant qu’aucun n’appréhende la portée, la dimension, de cette information.
C’est ainsi que personne dans son entourage ne s’aperçoit tout de suite de l’absence de Paul !
On est fin juin et chacun prépare sa période estivale alors que le groupe Wagner entame sa rébellion dans la nuit du 23 au 24 juin 2023, après que le dirigeant du groupe Wagner Evgueni Prigojine déclare que celui-ci a subi une attaque aérienne infligée par les forces régulières russes.
Quelques heures plus tard, Prigojine prend Rostov-sur-le-Don et Voronej sans résistance et commence à marcher vers Moscou, en empruntant la route fédérale M4.
Dans une allocution télévisée le matin du 24 juin, Vladimir Poutine condamne la « trahison » d’Evgueni Prigojine.  Et il promet une intervention « sévère » contre les « insurgés ».
Le soir du 24 juin, un accord de désescalade est conclu entre le groupe Wagner et le gouvernement russe avec la médiation du président de République de Bélarus Alexandre Loukachenko. Les hommes du Groupe Wagner s’arrêtent à 200 ou 300 kilomètres de Moscou et Prigojine annonce alors le retrait de ses troupes afin d’éviter de faire « couler le sang russe ».
L’épisode sera clos le 21 août suivant avec le crash du jet privé du « Prigojine » aux côtés de certains de ses lieutenants : l effectuait un trajet entre Moscou et Saint-Pétersbourg et jouait avec une grenade dégoupillée, dit la version officielle…
 
Madame Nivelle et sa fille se bagarrent à Aubenas pour recevoir les matières premières nécessaires à la fabrication des galettes d’explosif qui propulsent les obus que l’usine fabrique et dont, par anticipation, vont avoir besoin les artilleurs ukrainiens.
C’est son métier depuis la première guerre mondiale : le fondateur n’était autre que le général éponyme surnommé le « boucher de Verdun », qui, une fois évincé du front, se sera reconverti utilement dans la fabrication de munitions et d’explosifs en Ardèche, assez loin du front pour rester utile aux armées de son pays.
L’entreprise aura changé de main entre-deux guerres, puis le grand-père par alliance d’Isabelle aura repris le nom, pour être un quasi homonyme à une lettre près, et l’activité avec des hauts et des bas au milieu du siècle précédent avant de saboter in extremis les installations une fois la ligne de démarcation franchie par les troupes nazies.
L’activité aura redémarré à la libération, une génération aura passé à faire des balles de fusil et de obus jusqu’à ce qu’Isabelle Nivelle se retrouve débordée à gérer une usine héritée au nom de sa fille.
Époque où elle épouse en secondes noces un ingénieur qui se révélera être un espion qui livrait les petits-secrets de fabrication de la maison, et surtout les appels d’offre des armées, aux russes et où Paul sera détaché pour remettre de l’ordre dans les activités.
Mais c’est une autre histoire[6].
 
Paul de Bréveuil, héros de l’aéronavale reconverti dans l’industrie, dirige depuis le, les redressements successifs de l’usine et des personnels en y adjoignant plusieurs activités nouvelles (successivement celle des céramiques réfractaires pour la protection des parties chaudes des moteurs-fusées des clients de la MAPEA, puis celle des enduits aéronautiques et plus récemment des machines robotiques dans son atelier de cyborgs) qui ont des saisonnalités qui diffèrent : il s’agit de faire face avec souplesse dans la gestion des moyens, en fonction des priorités du moment. Et son objectif a toujours été de sauvegarder des emplois et compétences dans la région tout en valorisant le patrimoine de sa patronne, devenue son associée au fil du temps… et surtout des difficultés.
Or, les absences de Paul restent le cadet des soucis des personnels d’Aubenas, toutes activités confondues… Leur « patron » les aura tellement habitués à bien pire par le passé.
 
La saison se termine pour « Prestige Spirits » et elle aura été bonne. On ferme boutique pour l’été après avoir livré les cartons de réapprovisionnement des festivités de remises des diplômes et on anticipe la campagne d’intégration des grandes écoles du pays (et d’Europe) qui suivra la rentrée et les fêtes de fin d’année.
L’occasion de se préparer à prendre des commandes après les élections des BDE (bureaux des étudiants) et de se fournir en matières premières à mettre en bouteille et à étiqueter pour la rentrée : c’est que les stocks d’alcools forts invendus sont désormais nombreux à travers le monde à raison de la baisse significative des consommations éthyliques.
Là encore, c’est une activité qui tourne toute seule et qui n’a pas besoin de Paul, d’autant que tout le back-office, l’administratif et la finance de l’activité est centralisée au siège du Kremlin-Bicêtre, comme tout le reste, entre les mains du trio « MCO » (pour Martine, la contrôleuse de gestion, Christine, la comptable-groupe et Oriane, la secrétaire générale des activités de Paul), sous la houlette de Gustave, l’amiral à la retraite, patron du site « parisien ».
Et pour l’heure il s’agit seulement de partir en vacances avec les chèques de payes et les bonus trimestriels à encaisser sur les résultats de la saison passée.
 
Pareillement, il est prévu que Paul passe quelques jours aux Chagos, où on ne le voit pas alors que les chantiers des constructions engagées, le tunnel de la fronde spatiale et la ville qui accueillera les techniciens, ingénieurs et équipages avancent tout seuls, avant de rejoindre Florence (la mettre d’œuvre d’une partie de ces chantiers) et leurs enfants sur Eurydice – la goélette du couple – pour un tour en mer Égée à la découverte des traces de la Grèce antique, au mois d’août.
Sont d’ailleurs invités un couple ami de Florence et leurs enfants, croisés à l’école Alsacienne où sont inscrits Annabelle et Louis, sise aux abords des jardins du Luxembourg et de l’Observatoire, du côté de Port-Royal. L’école élémentaire de la rue Saint-Jacques étant un peu trop mal fréquentée dans ce quartier latin où se croise une faune en perpétuel changement, et où les absences de fonctionnaires enseignants toujours au bord du « burn out » sont quotidiennes (quand ce ne sont pas les menaces de « mouvements sociaux » dans un arrondissement universitaire toujours agité), alors qu’il est temps pour les enfants de Florence d’aborder le collège dans les meilleures conditions possibles : une idée des grands-parents, germée depuis leur retraite Vauclusienne…
 
Lui est cardiologue et elle pharmacienne : un couple plus jeune mais déjà pété de tunes qui éduque également des jumeaux…
Commentaire de Paul : « Elle en aura fait deux d’un coup pour ne plus avoir à y revenir… », s’épargner une deuxième saison de biberonnage et justifier d’avoir une nounou à demeure…
Sauf qu’il aura tout de même fallu les porter durant 9 mois…
Mais Paul ne sera pas là non plus au mois d’août.
Et pas plus au mois de juillet, alors qu’il devait rejoindre Florence, les enfants et les beaux-parents en Balagne…
Mais jusque-là, personne ne s’était inquiété, tellement habitué, les uns et les autres à le voir déguerpir sans prévenir à droite ou à gauche, appelé par ses « urgences » à lui.
 
Gustave et Julie se relayent pour recruter des équipes nouvelles pour la « sphère de sécurité » en vue des JO qui se profilent à moins d’un an.
Il faut des techniciens capables de gérer le système BBR et ses alarmes & alertes, qu’il convient de former à cet effet ; il faut en plus des « gros bras » capables de se débrouiller en combat rapproché à mains-nues, qui ne soient pas non plus des têtes brulées et qui ne fassent pas trop peur aux femmes et enfants des futurs clients de la Cisa ; il faut également des chauffeurs de berline respectueux du code de la route et habitués à avoir le pied léger, mais assez réactifs et imaginatifs pour être capables d’improviser des « parcours de fuite » à n’importe quel moment.
Et l’ensemble doit être a minima bilingue en anglais, plus, si possible, une autre langue européenne, moyen-orientale ou, plus rare, asiatique…
 
Évidemment, si Gustave ne compte pas ses heures à ces tâches-là, il lui faut aussi promener les trois litres du moteur de son antique Velsatis à plusieurs reprises jusque sur la côte Varoise ou de la Bretagne profonde pour croiser quelques ex-collègues à qui « il ne peut rien refuser », sans compter qu’il s’agit de rétablir l’étanchéité du toit de sa maison située dans le Gers avant les agressions hivernales, par suite des blessures infligées par les récentes tempêtes passées.
Et il est même obligé de refuser plusieurs invitations aux USA.
Il faut dire qu’avec l’âge, il récupère de moins en moins bien des décalage horaires…
En revanche, il reçoit tant à Paris que dans le Gers quelques « collègues » étatsuniens et britanniques qui souhaitent le féliciter pour son nouveau grade de « Fleet admiral » dans l’US Navy et sa « Medal of Honor », la plus haute distinction militaire des USA décernée pour services rendus[7].
Ce qui n’arrive pas tous les jours tout de même, il est vrai…
De cette façon-là, ce sont ses visiteurs américains qui se tapent le « jet-lag », dans le mauvais sens et lui s’épargne cette difficulté-là.
 
À son âge, il peut se ménager, n’est-ce pas ?
Jusqu’à en oublier les urgences ?
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. Au nom du Père
[2] En réalité, il y a 8 niveaux à partir de la classification des menaces autour de « la cible » : Blanc, c’est sans danger ; Bleu utilise un portable crypté, en principe, il s’agit d’une personne autorisée ; Rose, celui-là est également crypté mais soit il est déjà « signalé », soit il n’est pas autorisé : il en devient suspect.
Purpel – Violet, c’est un objet non identifié, provoquant une « anomalie ». Mais ça peut être un frigidaire connecté, ou un système d’alarme ou de chauffage connecté, un ordinateur de bureau, le GPS d’une voiture, etc. a priori sans danger…
Vert : c’est le même, mais il aura été identifié pour être signalé par l’autorité. À surveiller.
Orange : c’est un fiché S connecté, en activité. Celui-là, on le localise autant que possible et quand il se déconnecte d’un réseau il en devient « hyper-suspect ». S’ils sont plusieurs du même « micro-réseau », pour communiquer fréquemment de l’un à l’autre, qui disparaissent de façon coordonnée, le logiciel déclenche une alerte (et non plus une « anomalie »).
Rouge : l’IA du logiciel détecte une activité qui rend probable et proche une opération illégale. En principe une alerte est déclenchée et le suivi se fait en temps réel pour guider les forces de l’ordre. Une des principales alertes reste depuis au moins après les premiers attentats, hors celui contre le préfet Érignac en Corse, que des « réseaux » suspects ou « surveillés » (roses, verts, purples, oranges) se mettent tout d’un coup « hors circuit », en mode « avion », sans connexion, de façon coordonnée…
Noir : Un attentat vient d’avoir lieu…
Il y a également des « visuels » qui diffèrent au fil du temps quand ils sont rapportés sur une carte des opérations : les carrés, les ronds, les losanges, les étoiles, les triangles, les triangles inversés, les croix droites et les croix inclinées, tonneau, avion, navire, voilier, couronne, fantôme oiseau, silhouette, etc., qui peuvent être plein ou évidés. Ils indiquent le type de nature du « contact » établi par le logiciel : homme, véhicule ou vecteur, machine ou robot, marchandise pucée, lieu « discret », etc.
Inutile de dire que l’immense majorité des « inputs » recensés sont « blancs » et sont d’ailleurs exclus des tableaux d’affichage « avancés », sauf quand ils ne sont pas identifiés et/ou rattachés à une des 7 milliards et quelques de personnes qui vivent sur la planète…
[3] Cf. Le feu.
[4] Cf. Alex cherche Charlotte
[5] Cf. Laudato sì
[6] Cf. Ardéchoise, cœur fidèle.
[7] Cf. Menaces de chaos

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