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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 16 juillet 2024

1/63 – Le Bourget 2023 (1)

Le salon aéronautique
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Le salon aéronautique du même nom se tient normalement tous les deux ans, les années impairs, en alternance avec celui de Farnborough.
Sauf que celui de 2021 aura été annulé pour cause de crise sanitaire l’année précédente, ce qui a mis quelque peu la planète sans dessus-dessous, puisque le salon britannique avait été également repoussé à 2022.
C’est une vaste vitrine des savoirs-faires et technologies de l’industrie et des personnels de l’aéronautique et de l’espace, industriels français, mais également ceux de nations tierces, hors les pays sous sanctions, qui s’est tenu du 19 au 25 juin 2023.
Paul de Bréveuil, alias l’ex-agent « Charlotte », officier de réserve de l’aéronavale française y participe régulièrement depuis tout jeune.
 
Jusqu’à recevoir ses habilitations de « professionnel », il y allait déjà en culotte courte le samedi ou le dimanche de clôture avec son père ou son grand-père, pour assister aux présentations aériennes. C’est même devenu, au fil du temps, une vocation, voire une passion, depuis qu’il aura enterré son père en Normandie au moment où, pure coïncidence, deux Jaguar venus de Mulhouse sont passés en vol subsonique à faible altitude en formation étagée au-dessus du cimetière, comme d’un ultime salut au juge Jean-Pierre de Bréveuil[1]. Paul aura poursuivi des études d’ingénieur qui l’auront mené jusqu’à concevoir et dessiné plusieurs prototypes révolutionnaires dont le dernier est prévu pour être capable de se mettre en orbite d’un seul tenant.
Sauf que pour ces premiers salons-là, il n’a jamais été « professionnel ».
 
Alors que sous l’uniforme, d’abord de polytechnique/sup-Aéro, puis de la marine nationale, il passait un bout de la semaine, du jeudi au samedi en général, à errer de stand en stand, y apprenant les « codes » de ce milieu un peu particulier.
Et que plus tard, il aura travaillé à la MAPEA (la Manufacture d’Armes de Poudres et d’Explosif de l’Ardèche) de l’héritière Madame Nivelle, qu’il dirigeait et où il était présent sur le stand présentant les productions d’accélérateur et de moteurs d’assistance à poudre pour l’aviation et les missiliers militaires.
 
En 2015, il s’agissait même de présenter les travaux sur les céramiques réfractaires qui devaient équiper les prototypes d’avion hypersonique, le Nivelle 001, jamais construit qu’à un seul exemplaire.
Ces céramiques devaient également servir au chemisage des parties chaudes des tuyères de moteurs fusée utilisant des ergols exothermiques et le prototype d’avion devait ne rester qu’un démonstrateur…
Et c’est à cette occasion que Paul avait croisé Paul Allen, co-fondateur de Microsoft et passionné d’aviation, où ils avaient échangé sur leurs rêves communs de voyager « dans les étoiles ».
Sauf qu’après avoir croisé Irina Dichinikov, agent du FSB et ingénieur chez Sukoï, l’histoire veut que la Russie devient la lèpre du monde occidental qui la sanctionne d’abord « mollement » pour ne pas vouloir rendre la Crimée aux Ukrainiens depuis mars 2014 et son référendum de rattachement, gagné d’avance avec une population essentiellement russophone, et du coup la MAPEA n’aura pas participé aux réunions du 2017 et 2019.
D’abord, « l’actionnaire » aura été déstabilisée par des requins téléguidés depuis l’Élysée qui souhaitaient faire rentrer la MAPEA dans leur « périmètre de consolidation » et n’auront jamais fait que piller ses brevets, licencier les personnels et fermer le site de production ardéchois, soi-disant devenu tout d’un coup « archaïque ».
 
Morale de l’histoire bien comprise par les dirigeants des restes de la MAPEA, il ne faut pas, à la fois se montrer « trop beau », ça attise les convoitises et les charognards, ni pratiquer la politique de la chaise vide, ça inquiète les « autorités ».
Autorités qui s’inquiètent à travers leurs légitimes considérations de souveraineté nationale quant au devenir d’une entreprise « stratégique » – la MAPEA fait de la poudre à canon très utile pour les balles de fusil-mitrailleur et des obus pour l’artillerie – telle qu’il était prévu d’y revenir en 2021, une fois qu’Isabelle Nivelle et son « Directeur général préféré » auront repris les meubles et les bâtiments pour y installer d’abord des ateliers de fabrication d’enduit pour l’aviation.
Par la suite, pour refaire vivre le site et redonner du travail « à la vallée », Paul de Bréveuil, le Directeur général, aura ensuite mis en place un atelier de « gel Birgit » (un dispositif autorégulé d’ionisation plasmatique des couches limites de ses avions hypersoniques), dispositif qui aura été validé sur le Nivelle 002 monté en Chine, pour le répliquer par la suite sur le Nivelle 003.1 dont il existe un démonstrateur qui vole sans difficulté aux Chagos, loin de tout.
De plus, Paul aura installé un atelier de robots humanoïdes dans les locaux inutilisés qui assurent le paiement d’un loyer suffisant à la famille Nivelle.
Robots qui ont des usages divers, tant aux Chagos où Paul aura installé son « astroport » au milieu de rien mais à proximité de l’équateur, sous la protection de la flotte américaine, et qu’on peut retrouver sur les navires de sa compagnie maritime, la « Paradize Cruise compagny ».
 
Rappelons qu’en 2023, Allen était décédé, Musk fait de « Space X » un vrai succès technique à défaut d’être d’emblée un succès commercial, et qu’il convient de présenter sur un petit stand dans un coin, les maquettes des trois prototypes hypersoniques destinés à des vols extra-atmosphériques, pas pour faire envie, les leçons du passé ayant servi, mais pour prendre date.
D’autant que les mètres carrés du salon, sont hors de prix…
Tout le monde veut son pré-carré et c’est histoire de se montrer et de nouer ou renouer des contacts.
 
Cette année, comme d’un pèlerinage, comme pour le salon nautique du mois de décembre, d’abord au CNIT à la Défense, puis à la Porte de Versailles, Paul y parcoure les allées d’abord en solo, pour renouer avec quelques contacts en semaine et emmènera Louis, son fils de 9 ans et sa fille aînée Annabelle voir la présentation aérienne des derniers prototypes proposés à la vente.
Un peu décevant ce meeting aérien, sauf peut-être la démonstration de police aérienne effectuée par un Rafale, plein gaz tournoyant autour d’un petit jet tournoyant au-dessus du terrain.
Du 19 au 25 juin 2023, le Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace a encore une fois confirmé son statut du plus grand événement mondial dédié à l’industrie.
Après 4 ans d’absence, cette nouvelle édition a été pour chaque professionnel du secteur le temps des retrouvailles, du partage et des échanges.
Ce Salon est au cœur de la vie économique de la filière, la vitrine de l’industrie et de son écosystème.
Il a rassemblé tous les acteurs du domaine aéronautique et spatial avec 2.498 exposants, 300 start-ups, 293.000 visiteurs et 1.850 journalistes en une semaine.
Lieu d’opportunités et de rencontres, le Salon représente un fantastique plateforme d’échanges et de business avec près de 150 milliards de dollars de contrats signés cette année-là.
 
De nombreux événements ont été organisés tout au long de la semaine : Le « Paris Air Lab » sur la thématique du transport aérien décarboné aura connu un excellent succès d’estime, le « Paris Air Mobility », une nouvelle animation phare qui a réuni les principaux acteurs mondiaux de la mobilité aérienne urbaine, l’opération « Start-Me-Up » qui a permis d’accueillir 300 start-ups du monde entier sur tout le Salon, « l’Avion des Métiers » et « l’Aéro Recrute » pour aller à la rencontre des talents, en devenir et recherche de débouchés.
Les différentes animations organisées pour le week-end « Grand Public » ont fait la joie des grands et des petits.
Tous les visiteurs ont également pu admirer les 150 aéronefs présentés sur le statique et le formidable spectacle aérien programmé chaque après-midi.
La dimension internationale s’est consolidée avec la présence de 322 Délégations Officielles de plus de 100 pays, la visite du Président de la République, Manuel Makarond, de la première ministre, Babeth-Brown et d’une grande partie du gouvernement.
Le Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace a de nouveau démontré qu’il est le temps fort de la vie économique de cette industrie de pointe et le reflet de la passion qui anime toutes ces « têtes d’œuf » et autres supporters inconditionnels, malgré l’empreinte carbone devenu un des thèmes majeurs des préoccupations des industriels du secteur et de leurs clients.
 
On aura compté 127.312 visiteurs professionnels sur les 293.000 décomptés. Les 1.850
journalistes accrédités étaient issus de 75 pays et dans le tas, quelques espions s’y étaient dissimulés, bien vite, au moins pour la plupart, identifié par le logiciel de la CISA (de chez Paul de Bréveuil) cornaqué par Gustave Morthe de l’Argentière, le CEO de Paul, et ses équipes, en relai des équipes de la DRM et de la DGSI qui usaient de leur côté de deux logiciels : celui de Pamentir, développé à partir de celui de la CISA pour avoir été racheté par les américains sur fonds de la CIA au moment de « l’absence » de Paul ; son cousin germain qui faisait ses « premières missions » pour le compte de la DGSI, développé par une équipe rennaise avec du personnel débauché de la CISA ; sapité par le logiciel « BBR 3.0 » exploité en mode bêta par Gustave au Kremlin-Bicêtre, grand-frère du BBR 2.0 développé pour le compte de la CISA aux Chagos par « Charlotte ».
Et du logiciel espion israélien de reconnaissance facial…
Qui se révèlera par la suite illégal par les juristes du Conseil d’État », mais qui était testé en vue d’assurer la sécurité des JO de l’année prochaine.
C’est qu’entre temps, la coupe du monde de l’ovalie aura permis de retester in vivo ces mesures de sécurité, renforcée pour le déplacement du Pape François à Marseille, où il aura rencontré le Président Makarond…
 
En résumé, le salon du Bourget 2023, c’est 150 Md$ de contrat signés pendant le Salon dont la vente de 1.300 avions, 322 délégations Officielles, exposition de 2.498 exposants issus de 48 pays, 300 start-ups issus de 21 pays, 70 hectares de surfaces d’exposition 50.000 m² dans les halls, 311 Chalets d’affaires, représentant 35.000 m² de constructions éphémères, 150 aéronefs et 210 présentations en vol.
Ce sera également 292.579 visiteurs professionnels, quelques 165.267 « Grand Public » représentant 380.000 entrées sur la semaine.
Cette année, parmi les visiteurs Professionnels qui se sont rendus sur le Salon, 42 % étaient originaires de 169 pays, 25,7 % étaient des constructeurs d’aéronefs, des « assembleurs » dont 3 % de sous-ensembles.
Les spécialistes de l’aide au pilotage, à la navigation et systèmes d’équipements embarqués, représentaient 1,1 % de l’ensemble. Les équipementiers, aménageurs de cabines et de sièges, 5 %.
Les spécialistes de l’armement aéroporté et au sol se comptaient pour 2,6 %.
Les équipementiers et services aéroportuaires étaient 5,6 % de l’ensemble.
Les équipementiers, outils et logiciels de production, 6,1 %.
Les spécialistes de l’espace, satellites et télécommunications par satellite 6,7 %.
La maintenance, l’après-vente, les pièces détachées et le transport : 3 %.
Les matériaux composites et traitements de surfaces, 5,9 %.
Les propulseurs et équipements spécifiques pour moteurs, 26,7 %.
Les services 8,6 %.
La sous-traitance électrique, électronique, mécanique et métallurgique le reste.
 
Le Salon propose aussi en fin de réunion, un moment magique à vivre en famille, pour plonger au cœur de l’univers aéronautique et spatial !
Les visiteurs peuvent ainsi rencontrer les acteurs du monde aérien, participer aux animations, découvrir les aéronefs d’hier, d’aujourd’hui et de demain et être éblouis par le grand show aérien organisé tous les après-midis !
Le Grand Public a plébiscité cette édition avec 165 000 visiteurs sur les trois jours du week-end.
Ils étaient 34.219 le vendredi, 69.918 le samedi et 61.130 le dimanche qui auront payé leur ticket d’entrée. La vente de place de parking complète ces chiffres.
 
Les Exposants internationaux représentaient 55 % des effectifs mondiaux, 86 sociétés du top 100 mondial (Flight Global). Cette année, 150 aéronefs ont été présentés pendant la semaine avec 210 présentations en vol.
Parmi eux, des nouveautés ainsi que des aéronefs qui ont marqué l’histoire.
Sur les 322 Délégations Officielles, 100 étaient civiles, nationales et européennes, 222 étaient invitées par le ministère de Armées, issues de 97 pays, 45 par les ministres et Secrétaires d’État (défense et transport), 54 par les Chefs d’État-Major et 13 Ministres
et Secrétaires d’État français ont fait le déplacement.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. Au nom du père

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