Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 19 juillet 2024

4/63 – Le Bourget 2023 (4)

Sous contrôle
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
En effet, par le passé de nombreux inventeurs se sont fait dérober leurs idées lors du Bourget. Dans un salon comme celui-ci, où se pressent plus de 375.000 personnes, la vigilance peut rapidement se faire oublier par l’excitation ou l’envie de conclure une belle affaire.
« En cas de contentieux des organismes de réglementation existent, notamment le RGPD et la CNIL ». Le droit des données personnelles et numériques a été rénové.
De la loi Sapin jusqu’à la loi du 30 juillet 2018 des secrets des affaires, l’arsenal juridique s’est étoffé au fil du temps.
« Il convient de ne pas dévoiler un secret d’affaire, car si on le rend trop accessible plus rien n’est opposable à partir de ce moment-là ». Il en va de la responsabilité des entreprises de ne pas dévoiler leurs secrets.
Prendre garde aux oreilles trop attentives, aux personnes qui reviennent souvent sur le stand, qui prennent toujours les mêmes photos, aux questions intrusives…
Tout ce qui paraît suspect finalement. « Il vaut mieux être flou et ne pas trop en dire, mieux vaut se concentrer sur les résultats plutôt que le cheminement ou la fabrication » conseille-t-on souvent. « Il faut protéger les informations mais attention aussi à votre matériel. Les ordinateurs doivent être surveillés, ne rien laisser sur votre passage, attention également au téléphone portable. Les conséquences peuvent être très sérieuses et parfois irrattrapables ».
 
D’autres viennent sensibiliser sur les risques numériques, trop souvent délaissés, il est venu sensibiliser sur les risques des espions numériques. « Ce sont des attaques qui fonctionnent très bien ! Certaines sont si simples qu’il y a même des vidéos sur YouTube ». En effet, des pièges parfois tout simples font encore trop de victimes.
« Si vous avez un doute, écoutez-vous ! C’est sûrement une arnaque ». Un conseil simple et efficace qui peut éviter beaucoup de piratage. En effet, « notre inconscient nous met souvent en garde lorsque quelque chose est inhabituel. C’est à ce moment-là qu’il faut l’écouter. En cas de doute, ne répondez pas aux mails, ne cliquez pas sur le lien. Certaines arnaques jouent sur nos défaillances comme les messages jouant sur la rapidité et la peur des agios » résume un spécialiste.
Le même met aussi en garde face aux clés USB laissées sur les tables, ou encore au goodies qui peuvent cacher des « voleurs de données personnelles ». Le choix des mots de passe est également essentiel. Un code de 8 lettres est cassé en 2 minutes !
Peu importe la complexité du mot.
Éviter les mots de passe trop simples ou qui touchent à votre vie, une simple recherche sur les centres d’intérêt de la « cible » et son code est ouvert.
 
Car il existe plusieurs événements à haut risque pour l’espionnage industriel. Les salons professionnels, les conférences, les expositions et les foires commerciales sont des événements où les entreprises peuvent être exposées à des risques d’espionnage industriel.
Les voyages d’affaires, les négociations commerciales et les réunions de conseil d’administration sont également des occasions où les entreprises peuvent être vulnérables à l’espionnage industriel.
Toutes les entreprises doivent donc être vigilantes et prendre des mesures de sécurité adéquates pour protéger leurs informations sensibles.
C’est pourquoi il s’agit d’en dire le moins possible lors de ces réunions et de préparer les consensus indispensables aux prises de décision en amont desdites réunion, entre personnes sûres et décisionnaires. Là où l’essentiel est discuté dans ses détails avant d’être approuvé pour la forme.
 
On se souvient encore qu’en mars 2022, une cyberattaque avait ciblé une dizaine d’entreprises françaises appartenant au secteur du BTP (Bâtiment, Travaux Publics). Cette attaque a été menée sous la forme d’un mail déguisé contenant un document Word pirate. Avec ce type d’opération, les attaquants étaient en mesure de mener des actions de sabotage ou d’espionnage économique.
La France possède un savoir-faire industriel et technologique indéniable, ce qui la désigne comme cible de beaucoup d’attaques relatives à l’espionnage économique.
L’espionnage c’est la collecte clandestine de renseignements sensibles ou secrets au profit d’une puissance étrangère, d’un groupe, d’une organisation, d’un individu ou alors d’une entreprise.
Dans cette optique, l’espionnage industriel vise à s’approprier de manière clandestine des informations commerciales, industrielles ou technologiques au bénéfice d’un ou plusieurs autres acteurs concurrents.
Et l’espionnage économique prend des formes diverses et les spécialistes de ce domaine rivalisent d’originalité. Il existe les formes classiques telles que les intrusions physiques dans des sites sensibles (entreprises, laboratoires…) ou le vol de matériel auprès des salariés.
Les acteurs malveillants peuvent également se servir de méthodes plus sournoises en manipulant des personnes dites fragiles. À chaque fois, l’objectif est de voler des données stratégiques ou technologiques.
Entre 2008 et 2010, une salariée française d’EDF aurait été ciblée par les services de renseignements espagnols. Déçue par sa carrière, cette salariée éprouvait de la rancœur envers son employeur. C’est en jouant sur l’égo de cette personne que des agents espagnols ont tenté de la manipuler. La DGSI a également donné l’exemple d’une jeune chercheuse française qui fut approchée par un agent étranger se faisant passer pour une salariée d’un cabinet de conseil. Au fur et à mesure des échanges et des rencontres, cet agent cherchait à récupérer des informations sensibles auprès de cette dernière.
 
Les acteurs économiques concurrents se servent également de l’arme financière pour arriver à leur fin. Les investissements étrangers peuvent servir de prétexte pour collecter un savoir-faire industriel en ciblant des secteurs stratégiques du patrimoine économique et scientifique français. Les services français alertent régulièrement sur les risques face aux investissements étrangers.
En détenant financièrement une entreprise, un investisseur peut avoir accès à des données stratégiques ou transférer un savoir-faire technologique dans un autre pays. Des cas d’espionnage économique sur fonds d’investissements étrangers ont été documentés par la DGSI.
Ainsi en février, la DGSI donnait l’exemple du rachat d’une entreprise par un homme d’affaires étranger. Ce dernier a ciblé une entreprise à fort potentiel technologique mais ayant des difficultés financières. Au fur et à mesure, l’homme d’affaires a pillé le savoir-faire technologique de cette entreprise pour transférer cette expertise vers des entreprises concurrentes étrangères.
Face à ce type de menace, il arrive que les services de l’État refusent certains investissements étrangers pour préserver ses secteurs stratégiques. En 2021, l’État français s’est par exemple opposé au rachat de Carrefour par l’entreprise canadienne Couche-Tard. Les autorités françaises auraient jugé qu’un rachat de carrefour serait risqué pour la sécurité alimentaire du pays…
Mais si !
 
Les universités et les laboratoires de recherches sont également la cible de ces investissements. Ceux du géant de la téléphonie mobile Huawei sont sous étroite surveillance en France. Cette entreprise, depuis longtemps soupçonnée d’espionnage, investit massivement dans les universités et les centres de recherche en France et à l’étranger.
Cette entreprise s’intéresse particulièrement aux recherches concernant l’Intelligence artificielle, le big data ou la télécommunication. Mais, certains des investissements sont refusés par les autorités françaises : En 2019, Huawei a donné 700.000 euros à Telecom Paris et fait la proposition d’un partenariat de 5 ans entre les deux entités. Là encore, l’État Français s’est opposé à cet investissement.
 
Il existe également des méthodes plus techniques qui ciblent les systèmes informatiques des entreprises. La sécurité des systèmes informatiques a été considérablement touchée par la crise sanitaire et le télétravail. De plus, à cause du confinement, les salariés se sont servis de moyens de communication non sécurisés et présentant de nombreuses failles.
En 2019, Airbus a par exemple été la cible de plusieurs attaques (via ses sous-traitants) qui auraient eu pour but de voler des documents techniques et commerciaux. Les attaquants auraient tenté de voler des informations sur la motorisation de l’A400M (avion de transport militaire) et de l’A350 (avion de transport civil).
Enfin, à une échelle beaucoup plus large, certains États ont recours à un espionnage industriel massif grâce à leur domination technologique, politique ou juridique.
À ce titre, les scandales d’espionnage étatique concernant des intérêts économiques sont légion.
En 2013, Edward Snowden alertait déjà sur l’espionnage massif des États-Unis. Selon les révélations de ce lanceur d’alerte, la NSA aurait développé des programmes (PRISM, XKeyscore, GENIE, etc.) pour collecter massivement des données sur internet.
En 2015, un journal allemand révèle ainsi que l’État fédéral aurait espionné des hauts fonctionnaires français pour le compte des États-Unis.
 
De plus, certains États utilisent leur appareil juridique et technologique pour capter un maximum de données sur des individus, des organismes ou des entreprises. C’est particulièrement le cas avec le Cloud Act, adopté en mai 2018 qui autorise les autorités américaines à collecter les données des entreprises technologiques américaines même si les serveurs sont à l'étranger.
Cela signifie que les États-Unis peuvent avoir accès à toutes les informations envoyées par les messageries (cryptées ou non) d’origine américaine. Il ne s’agit pas seulement de WhatsApp ou Signal, car cette loi touche d’autres entreprises telles que Facebook Messenger (Méta), Gmail (Google) ou encore Outlook (Microsoft).
De plus, le Cloud Act facilite (dans le cadre d’un accord bilatéral) la collecte des données des entreprises technologiques américaines par un gouvernement étranger.
Si les formes classiques de l’espionnage économique sont connues et peuvent être limitées par les services de l’État, réduire la collecte massive des données est beaucoup plus complexe. Il s’agit avant tout d’un problème politique, qui renvoie à la souveraineté numérique.
 
Paul aura prévenu : « On y va, mais juste pour en faire un minimum : flatter l’égo de Madame Nivelle qui veut affirmer qu’elle est encore là et prépare sa succession tranquillement sans l’aide de personne, et normalement, je ne devrais pas y aller… »
Et pourquoi ?
« Pour me faire oublier. Parce que la « cible », ce n’est ni le « gel Birgit », tout le monde bricole ses solutions, ni le prototype double zéro trois, qui n’est pas crédible même avec les deux maquettes présentées, je dirai même » rajoute-t-il en se moquant, « à cause de ces maquettes justement… »
Elles sont si peu crédibles ?
« Bien sûr ! Qui peut croire qu’un catamaran semi-immergé peut voler en orbite et revenir amerrir sur le dos ? Ça relève de la science-fiction…
Pour tout dire ça ressemble à l’Espadon du professeur Mortimer, un personnage de bande-dessinée… Ça ne fait pas sérieux ! »
Mais alors quoi ?
« Ce n’est pas non plus le logiciel BBR, ni le deux, ni le trois prédictif, mais moi ! »
Étonnement de son auditoire.
« Moi, j’y vais pour rencontrer Musk. Qui ne viendra pas, mais il y aura ses seconds couteaux à qui je vais tôt ou tard demander de prévoir un lancement d’un bidon de carburant et de comburant en orbite pour assurer mon retour sur la planète pour le vol prévu à Noël 2024 avec Florence… » sa lubie du moment[1].
Et alors ?
« Bé alors, je ne sais pas comment ça va se passer, mais je vais être dans le cirage quelques temps et forcément, je vais devoir sortir du circuit durant cet épisode… »
Pour se mettre à l’abri, ça ne fait alors aucun doute pour personne.
« Et je crois que ce qui les intéresse, ce sont nos cyborgs des ateliers d’Aubenas[2]. »
Allons donc !
Comment peut-il anticiper ça ?
 
« Faut-il sécuriser un peu plus le site ? » demande prudemment Gustave Morthe-de-l’Argentière, l’amiral à la retraite qui dirige les entreprises de Paul durant ses absences (qu’il a nombreuses), hors les chantiers des Chagos : trop loin pour supporter les jets-lags à répétition…
« Pas plus que ça. D’autant qu’il n’y a pas vraiment de secret industriel à protéger et que les coréens deviennent nos concurrents depuis qu’on fait tourner un de mes bateaux autour de l’archipel nippon.
C’est que c’est un métier d’avenir que de vendre des « poupées » cyborgs animées et sur-mesure ! »
D’autant, mais c’est une autre discussion, « qu’il faudra bien compenser le manque de main-d’œuvre des pays en voie de « transition démographique, comme la Chine et le Japon… plus les autres à venir en Europe ! »
Le second navire doit d’ailleurs prendre la mer pour les Caraïbes et il sera suivi par un troisième qui se calera sur la côte Pacifique des USA, alors qu’un quatrième ira se positionner plus tard et en relai du second aux Caraïbes.
D’après ce qu’en aura compris Alexis Dubois, la biographe officielle de Paul, le Golfe persique, ce n’est pas pour tout de suite.
« Oh vous savez… la région va redevenir une poudrière pour un bon moment : on a le temps de songer à envoyer un navire en toute sécurité. Pas la peine de tenter le diable !
Les princes du pétrole peuvent affréter quelques avions de notre compagnie aérienne[3] pour aller jusqu’aux USA si l’envie d’user de nos poupées est vraiment trop pressante. »
Et cynique, avec ça…
Parce que la première traversée de la mer Rouge aura été un succès commercial : elle sait, puisqu’elle y était[4].
 
C’est ainsi que personne ne s’est d’abord inquiété de la suite immédiate.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. Menaces de chaos
[2] Cf. La croisière d’Alexis
[3] La « Paradise airways »
[4] Cf. La croisière d’Alexis

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire