Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 11 juillet 2024

Devoirs de vacances : Les oligarchies !

Origines, caractéristiques et pérennité
 
Il se trouve que je peux enfin partir en estives jusque vers mon « maquis inexpugnable » : Je ne participe pas aux études stratégiques autour du futur gouvernement du pays.
De toute façon, j’ai déjà prévenu : Il durera peu de temps, s’il passe l’étape de la déclaration de politique générale sans censure. Tout va dépendre du degré de responsabilité des uns et des autres, en l’occurrence des « ex-marcheurs » et de leurs alliés.
Parce que le « Air-haine » n’a plus qu’une seule solution pour récupérer ce qu’il analyse comme étant ce qu’on lui a volé (la majorité), c’est de bloquer l’Assemblée à toutes les occasions.
Du coup, ce sont les « jupitériens » qui se retrouvent peu ou prou à la place de l’arbitre… et face à leurs responsabilités.
En attendant, je n’ai pas à repartir en exil, mais j’espère ne plus être pris au dépourvu pour la prochaine étape…
 
Et durant ces trois semaines de cogitations intensives pour le compte des uns et des autres, j’ai été obligé de me pencher sur quelques détails historiques des sociétés humaines et les effets de la concentration du pouvoir entre les mains d’une minorité privilégiée.
On a ça chez nous depuis des lustres et c’est même un point inquiétant qui est à l’origine des dernières votations qu’a connu le pays et qu’on a aussi réussi à transposer jusque dans le fonctionnement de l’EU (même si certains ne l’ont pas compris, comme « Or-Bahn » le Magyar qui croit qu’il est tout seul à représenter 320 millions d’européens en leur lieu et place jusqu’en Chine ! Ou comme « Chiotti » qui se prend pour le patron d’un mouvement qui n’appartient plus qu’au passé…), à savoir ce décalage entre les « z’élites » qui sont censées gouverner en notre nom et nos volontés exprimées parfois dans la rue, mais normalement à travers les corps intermédiaires…
Forcément, eux, sont « trop intelligents » et, a contrario, nous on est trop kons !
 
C’est finalement un phénomène récurrent qui soulève des questions fondamentales sur la nature du pouvoir, de la justice sociale et des fondements de la démocratie.
Les oligarchies, ces systèmes où une élite restreinte exerce une influence disproportionnée sur la vie politique et économique d’un pays, incarnent cette tendance à la cristallisation du pouvoir.
Parfois, je les nomme les « sachants », le plus souvent je les qualifie d’autiste ou de trisomique tellement leurs décisions peuvent paraître absurdes, jusqu’à envoyer des gilets-jaunes autour des ronds-points du pays durant des semaines et des semaines sous la pluie, dans le froid et le brouillard et qu’on a cru satisfaire avec une séance collective de « réforme citoyenne » ou chacun y aura été avec sa proposition, dont aucune n’aura été retenue…
 
Et après ils sont les premiers à s’étonner d’avoir été justement « trop intelligents » à ouvrir béante les portes d’un parti « nationalpopuliste » qui ramasse tous les mécontentements qui passent par-là sans distinction en assurant connaître toutes les solutions à tous les problèmes, un « projet de société » qui était autrefois celui du PCF des staliniens qui étaient les seuls à œuvrer pour « le genre humain » (souvenez-vous) et à son bonheur…
 
Comment ces structures de domination émergent-elles et parviennent-elles à se maintenir dans le temps, souvent en dépit des idéaux démocratiques affichés ?
Quels sont les mécanismes qui permettent à un petit groupe d’individus de s’arroger et de conserver un contrôle aussi étendu sur les ressources et les décisions collectives ?
Et surtout, dans quelle mesure ces oligarchies sont-elles compatibles avec les aspirations à l’égalité et à la participation citoyenne qui caractérisent les sociétés modernes ?
 
Les oligarchies émergent généralement dans des contextes de concentration du pouvoir économique et politique.
Ainsi plusieurs facteurs peuvent favoriser leur apparition :
— Les inégalités économiques croissantes : L’accumulation de richesses par une minorité crée un déséquilibre de pouvoir.
— La faiblesse des institutions démocratiques : Un manque de contre-pouvoirs efficaces facilite la mainmise d’une élite sur les leviers décisionnels.
— Les réseaux d’influence : Les liens familiaux, éducatifs ou professionnels entre élites renforcent leur cohésion et leur domination.
— Les crises ou transitions : Les périodes d’instabilité peuvent être exploitées par des groupes organisés pour s’emparer du pouvoir.
— L’héritage historique : Certaines oligarchies s’enracinent dans des structures sociales préexistantes (aristocratie, castes).
Mais ce n’est pas exclusif.
 
Les oligarchies se définissent de toute façon par plusieurs traits distinctifs :
— La concentration du pouvoir : Un petit groupe d’individus ou de familles contrôle les principaux leviers économiques et politiques.
— L’intersection des sphères d’influence : Les oligarques cumulent souvent des positions clés dans les domaines économique, politique et médiatique.
— La reproduction sociale exclusive : Les oligarchies tendent à se perpétuer par la transmission intergénérationnelle des privilèges et du capital social notamment par les formations élitistes.
— L’opacité des processus décisionnels : Les décisions importantes sont souvent prises en coulisses, hors du contrôle démocratique. En fait ce n’est pas « souvent » : C’est tout le temps, sauf crise ouverte !
— La capture de l’appareil d’État : Les institutions publiques sont naturellement instrumentalisées au profit des intérêts oligarchiques.
— Et l’idéologie justificatrice qui est un discours légitimant la domination oligarchique est généralement promu (méritocratie, expertise, stabilité, etc.).
 
Et la pérennité des oligarchies repose donc sur plusieurs facteurs :
— D’abord le contrôle des ressources : La mainmise sur les secteurs économiques stratégiques assure une base matérielle de pouvoir.
— Les réseaux clientélistes, j’allais dire « clanistes » (mais les clans ne subsistent qu’en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » et encore) : Par la distribution sélective de faveurs et d’opportunités qui crée des loyautés.
— L’influence sur le système éducatif bien entendu : Le contrôle des institutions d’élite permet de reproduire le capital culturel et social cité ci-avant.
— La manipulation de l’information : On peut rajouter le contrôle des médias qui permet d’orienter l’opinion publique, notamment en empêchant l’émergence d’opinion critiques (ou « éveillées »).
— L’adaptabilité : Les oligarchies savent souvent s’ajuster aux évolutions sociales pour préserver l’essentiel de leur pouvoir.
— La cooptation des opposants : L’intégration sélective de nouveaux membres affaiblit les mouvements contestataires.
— Et enfin la répression ciblée : L’utilisation de la force contre les menaces les plus sérieuses dissuade la dissidence.
 
Mais malgré leur résilience, les oligarchies font toutefois face à des défis parfois considérables :
— Tensions internes : Les luttes de pouvoir au sein de l’élite peuvent fragiliser le système.
— Pression démocratique : Les mouvements sociaux et les réformes institutionnelles peuvent éroder le pouvoir oligarchique.
— Mondialisation : L’ouverture économique peut remettre en cause les positions acquises.
— Innovations technologiques : De nouvelles technologies peuvent perturber les monopoles existants.
— Crises économiques : Les chocs externes peuvent ébranler la légitimité des élites en place.
 
En conclusion de ces constats, on peut dire que les oligarchies contemporaines représentent une forme de concentration du pouvoir profondément ancrée dans de nombreuses sociétés.
Leur genèse, leur nature et leur longévité s’expliquent par une combinaison de facteurs économiques, politiques et sociaux.
Bien que résilientes, elles ne sont pas immuables et peuvent être contestées par des dynamiques démocratiques et des transformations socio-économiques.
Qui substitueront d’autres oligarchies à celles existantes…
C’est l’analyse systémique qui d’ailleurs en conclue que le système génère ses propres poisons pour se régénérer par cycles (que je pense pour ma part être démographiques… Mais je ne suis ni économiste, ni philosophe…).
Plus prosaïquement, pour reprendre Alain Delon dans le Guépard, « il faut que tout change pour que rien ne change »…
 
Or, peut-être que « l’ordre mondial est à un tournant et traverse actuellement une période difficile ».
Le capitalisme comme source de toute organisation est diagnostiqué comme à l’agonie et cessera peut-être d’exister. Non pas parce qu’il s’effondrera comme l’avait prédit Karl Marx, mais parce qu’il a fait son travail : Il serait devenu un outil inutile pour le pouvoir de l’argent !
Des tentatives sont faites pour construire quelque chose d’autre pour remplacer le capitalisme, « mais ce processus échappe constamment à tout contrôle ».
En somme, nous vivons une période de crise à l’échelle mondiale : « Comme ces crises ne se déroulent pas étape par étape, une situation confuse et complexe est en train d’émerger », m’explique-t-on.
D’ailleurs, probablement que le véritable pouvoir d’influencer le cours des événements n’est peut-être pas entre les mains des hommes politiques.
Mais bien plus entre les mains des véritables dirigeants du monde, les maîtres du monde bancaire, financier et des affaires.
On peut parler des Rockefeller et des Rothschild, mais ils ne sont rien que des enseignes de banques avec des familles qui négocient et savent le faire depuis des siècles pour avoir surtout derrière elles leurs propres clusters, auxquels tout le monde se soumet d’une manière ou d’une autre.
Depuis quelques décennies ont émergé des puissances financières colossales derrière quelques innovations qui ont changé le monde avec les technologies de l’informatique et du numérique.
Peut-être que demain, les progrès de l’intelligence artificielle fera s’effondrer les mêmes pour en générer encore d’autres qui relègueront la « vieille industrie » et « la banque de papa » dans les oubliettes de l’histoire.
 
Ainsi, par exemple, dans la seconde moitié des années 1940, après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un nouveau groupe prédateur bourgeois est apparu en Occident : La technocratie réunie en « grands-corps », dirions-nous en « Gauloisie-olympique ». « Contrairement au capital monopolistique d’État, qui était prêt à vivre aux côtés de l’Union soviétique, ce pouvoir corporatif, de nature mondiale, pénétrait partout ».
Par exemple, même après que l’Union soviétique a réussi à considérablement augmenter ses ventes de pétrole à la fin des années 1950, une nomenclature orientée vers le marché mondial a également vu le jour dans la société soviétique. Il ne s’agissait pas seulement du pétrole, mais d’un processus plus large d’intégration avec l’Occident.
En d’autres termes, il s’agissait de la « partie soviétique de la corporatocratie mondiale ».
D’ailleurs, les étapes importantes de cette période ont été la déclaration de Nikita Khrouchtchev sur la « doctrine de la coexistence pacifique » en 1956 et le programme renouvelé du parti communiste en 1961.
« C’est ce segment qui s’est allié au capital occidental et qui a provoqué la chute de l’Union soviétique ».
Et c’est à ce moment-là que la Chine maoïste s’est reprise après une première tentative d’ouverture, avant de nouveau s’ouvrir jusqu’à adhérer aux traités de l’OCDE, avant d’en payer le prix d’un resserrement actuellement mais après en avoir touché les dividendes…
 
Ainsi le conflit ukrainien s’inscrirait dans la continuité d’un siècle de complot des banquiers occidentaux et de guerre hybride, bien qu’il ait également été suggéré que « Poux-tine » soit d’une manière ou d’une autre dans le coup pour être à la tête d’une oligarchie russe qui l’a porté au pouvoir.
Dans un monde globalisé, tout le monde est plongé dans la crise, y compris les États-Unis, l’Europe et la Chine.
Et paradoxalement, les oligarques russes considèreraient cette période comme une « énorme opportunité pour la Russie » : Pendant la Seconde Guerre mondiale, « l’équipe de Staline » a sorti le pays de la situation difficile dans laquelle il se trouvait. La Russie ayant « l’expérience de la manière de sortir des pièges historiques dans une situation de crise », il n’y a aucune raison pour que les « élites » des oligarchies existantes n’en tirent pas le meilleur une fois de plus, se réconfortent-ils.
En Russie, comme en Occident, rajouterai-je.
 
En attendant, les « sachants » « Gauloisiens-&-olympiques » rament pour ne pas perdre leurs positions de façon à poursuivre leurs objectifs, dans une Europe secouée par la perte de prestige de l’oligarque « Jupiter », au moins dans l’année qui vient.
Personnellement, je pense jusqu’à Noël…
Après Noël, il faut que la guerre en Ukraine s’arrête, d’une façon ou d’une autre : Elle aura assez épuisé les forces vives de Russie, elle aura anéanti l’Ukraine et mis à mal les stocks de munitions de l’Otan et « McDo-Trompe » ouvrira un nouveau chapitre de l’international « nationale-populiste ».
Mais chacun doit pouvoir proclamer une victoire, pas comme en Arménie ou en Géorgie…
Une génération doit passer la main pour conserver les oligarchies intactes alors qu’elles auront ruiné les populations sur lesquelles elles sont assises…
« Il faut que tout change pour que rien ne change »…
Vous êtes priés de réfléchir à tout ça pendant vos vacances.
 
Demain, Jean-Marc fait sa dernière publication de la saison, samedi vous retrouverez un arrêt « intéressant » et dimanche un résumé des points clés de la première quinzaine de juillet 2024.
Et à partir de lundi prochain, je vous mets un chapitre par jour, tous les jours, du roman d’été : « La tête dans les étoiles »…
(Mais ce n’est pas du tout ce que vous pensez !!!)
Et moâ, je reviens dès que la saison sera plus fraîche !
Alors, tant que j’y pense, je vous souhaite de bonnes vacances à toutes et tous !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire