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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 23 juillet 2024

8/63 – Amnésie

Le temps des inquiétudes
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Il faut passer le 14 juillet pour vraiment commencer à s’inquiéter : Gustave et Paul font partie de la promotion de la légion d’honneur de la fête nationale, le premier élevé à la dignité de grand officier et le second au grade de commandeur, sur la proposition de Matignon, à la suite du rapport de Julie Déplante sur son séjour californien de novembre 2022[1].
D’ailleurs celle-ci est élevée, comme Alexis, au grade de Chevalier du même ordre et naturellement elles auront été présentes dans les salons et jardins de Matignon : après les américains, les français mettent à l’honneur leurs « chevilles ouvrières »… de celles qui changent le cours du destin du monde.
Au moins provisoirement…
 
C’est qu’Alexis aura également participé, en qualité de « témoin-biographe », à la destruction par Paul de Bréveuil d’un commando et de sa bombe thermo-barique bricolée par des terroristes millénaristes partis de Corée du Nord, qui prenaient pour cible le port et la ville de Vladivostok afin de déclencher des hostilités mondiales. Le tout aux commandes de son démonstrateur « Nivelle 3.1 » qui doit lui ouvrir la voie de l’espace circumterrestre dans les prochains mois…
Un prototype qui aura laissé « sur place » la chasse russe lancée à leur poursuite, pour un vol balistique et sans escale jusqu’au milieu de l’océan Indien, direct aux Chagos…
Mais là encore, c’est une autre histoire[2].
 
Or, si le Journal Officiel de la République publie bien les noms des personnalités élevées aux grades et dignités de l’Ordre, il est de bon ton et dans les usages, que le distingué soit présent.
Sinon en ce 14 juillet, au moins à l’une des garden-partys organisées par le ministère qui propose la décoration, et au moins au moment, bien obligé, de sa remise effective qui se déroule plus tard.
Même si Paul avait déjà snobé ce genre de tradition par le passé : il ne court pas après ces distinctions…
Or là, Paul se fait totalement absent.
Aucune réaction, comme si ça lui était totalement indifférent, ce qui est bien dans son caractère, mais aussi comme s’il n’existait plus.
 
C’est à ce moment-là que la Cisa, ou peu après reçoit un message adressé à Gustave par le SIV, le service de renseignement du Vatican, probablement le mieux informé dans le monde avec ses correspondants bénévoles dans toutes les régions du globe.
Paul est en plus un des éminents membres de l’ordre de Jésus Christ (ou quelque chose comme ça d’après les souvenirs conjugués d’Alexis et de Florence), également pour services rendus à l’humanité[3], et possède un passeport aux armes de Saint-Pierre…
Le Saint Siège veille sur ses ouailles…
 
De même, les services du MI6, le service de contre-espionnage du ministère de l’intérieur de sa très gracieuse majesté Charles le troisième, fait passer un mémo à ses collègues de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieur) du boulevard Mortier qui passe l’information à la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) sise à Levallois-Perret en banlieue parisienne.
L’un et l’autre service, probablement parce que « les chefs » ont déjà délégué aux « secondes mains » qui sont censées faire leurs preuves en qualité de supplétifs estivaux, n’exploitent pas tout de suite l’information.
Mais elle est recoupée par le Mossad, service d’espionnage et de contre-espionnage d’Israël qui en informe la CIA qui relaye à la DRM (Direction du renseignement militaire) qui avait comme patron à une époque un peu reculée, l’amiral Gustave Morthe-de-l’Argentière, le fait que Paul de Bréveuil, l’agent français connu sous son pseudonyme et nom de code « Charlotte », qui vient d’être décoré de la plus haute distinction militaire à San Diego, serait à Minsk à l’hôpital militaire, praspiekt Mašerava 26, Minsk, Minskaja voblasć, Biélorussie, en service de psychiatrie…
D’autres sources reprennent une rumeur indiquant qu’il serait dans un autre hôpital militaire, mais à Moscou…
Voilà qui a de quoi surprendre en ce début d’été tempétueux !!!
 
Une information ubuesque !
« Paul un transfuge ? C’est grotesque ! » s’insurge Gustave.
Paul passé à l’Est ? Mais c’est invraisemblable !
Paul chez les fous ?
Impensable également, même si…
Ils sont nombreux à le penser, mais ils sont quelques-uns à le suggérer tout de même…
« D’où vient cette information ?
C’est encore une « fuite » organisée par le FSB ou le GRU pour foutre le boxon dans nos services !
Ils attendent sûrement de voir nos réactions pour découvrir nos réseaux dormants, ce n’est pas possible autrement ! »
Une « manipulation » de plus comme ils en ont pris l’habitude, même en temps de paix, alors que là, ils sont en guerre….
« D’accord, mais on fait quoi ? » s’insurge Gustave.
D’abord vérifier l’information.
Ensuite, si cette information est avérée, il s’agit de faire l’inventaire des informations que détient Paul et qui relève du secret défense ultra-prioritaire qu’il s’agira alors de protéger.
Donc faire la tournée des services, internes et à l’étranger, par conséquent affoler au passage un nombre certain d’administrations du monde du renseignement occidental, peut-être même jusqu’au Japon et en Corée, pour cerner le problème.
C’est que Paul aura fait plusieurs passages en Chine et en Corée du Nord et qu’il s’agit d’être prudent, d’autant que ses missions n’ont jamais été très claires.
 
En Chine il aura participé à mettre au point le Nivelle 002 et son « gel Birgit », un dispositif auto-régulé qui permet à un avion de franchir le mur de la chaleur sans difficulté, appareil qui est désormais et heureusement parqué aux Chagos.
Mais manifestement Pékin aura su copier le dispositif, ce qui permet à Moscou d’exhiber des missiles hypersoniques avec un plaisir certain, comme d’une avance technologique les rendant « invincibles[4] ».
En Corée, les rapports sinon la légende, veulent qu’il ait pu « corriger » le dictateur du pays en lui cassant une rotule, au point que celui-ci est resté longtemps claudiquant, et cela en représailles de l’enlèvement de Florence par des djihadistes algériens[5].
Une affaire compliquée…
Mais on sait aussi à Aubenas et au Kremlin-Bicêtre qu’il aura vendu et livré des cyborgs à l’effigie du dictateur et de sa sœur[6], comme il avait pu le faire également pour la Président Makarond après que celui-ci ait pris peur en se faisant gifler par un « loulou » à l’occasion de la visite d’un lycée professionnel dans la Drôme…
Et puis, on se rappelle également l’enlèvement de Charlotte, celle dont le nez bougeait de haut en bas quand elle parlait et d’Aurélie son acolyte jusque dans les sous-sols de la Cathédrale russe de culte orthodoxe de la Sainte-Trinité à Paris[7]
Ainsi que de l’épisode du « Loup » et de l’opération Borozinov[8].
Paul n’a pas que des amis, loin de là et au contraire, chez les adversaires de l’Otan !
 
« Il ne peut que s’agir d’un enlèvement ! » décrète rapidement Gustave qui ne doute pas un seul instant de la loyauté de « son oiseau » et tente d’en convaincre son entourage.
Or, sans preuve, ce n’est même pas crédible !
D’autant qu’on peut tout imaginer de la part des slaves qui justement ne sont pas réputés pour leur fair-play dans les milieux bien informés : ils ont du mal à rester calmes quand ils perdent une partie et ne s’avouent jamais vaincus, même une fois complètement défaits.
Si Paul est entre leurs mains, c’est soit pour l’exécuter après l’avoir fait parler et lui extirper tout ce dont ils ont besoin de savoir, soit pour le jeter dans une ferme de redressement située sur le cercle polaire, loin de tout en Sibérie, ou une mine de Silésie orientale, hors de portée du logiciel BBR.
À moins que depuis l’origine, ou du moins depuis très longtemps, Paul ait été retourné et travaillait sans le dire pour les services secrets des « Ivan » et de leurs alliés.
« Invraisemblable ! Ce serait comme prétendre que le Pape est un communiste primaire et viscéral… ! »
Justement…
« Non ! » s’insurge Gustave. « Il est écologiste ! »
 
Et puis, est-ce bien lui qui est à Minsk ?
Puisqu’on le dit aussi à Moscou…
L’informateur sur place en est certain. Il fera même parvenir une empreinte et des photos et en dit qu’il l’a vu à l’aéroport de retour de Moscou, justement.
Mais comme Paul aura fait des cyborgs, au moins deux, à son effigie, il aura peut-être pensé à reproduire finement ses empreintes qui auront fuité depuis…
Et puis, même avec des photos, on ne peut écarter l’hypothèse d’un montage en vue d’une manipulation.
Mais qui donc est à la manœuvre et dans quel but ?
Il faut que Paul se manifeste en chair et en os rapidement pour lever le doute.
Or, malgré les appels en ce sens et les déplacements aux Chagos de Julie qui laisse tomber dans l’urgence ses dossiers, il n’y a pas de Paul ni au cœur de l’océan Indien (une erreur du logiciel BBR qui s’accrochait à un des portables de Paul qu’il avait laissé en charge sur place probablement par inadvertance), ni au cœur de la Normandie, ni ailleurs à Paris ou en Balagne voire sur son voilier…
Pas plus que ses avatars, bien rangés sur le site d’Aubenas.
 
Si on ne doute pas de l’informateur et que la présence de Paul est attestée à Minsk, c’est que les « russekovs » et leurs alliés savent très bien à qui ils ont à faire dans leur hôpital psychiatrique.
D’autant mieux s’il a d’abord été évacué de Moscou : les russes l’auront exploité mais ne veulent pas assumer le « service après-vente » pour son rapatriement, probablement pour une raison politique inexpliquée parce qu’inavouable. Et ils chargent leur allié de Minsk d’en tirer ce qui peut encore l’être à leur profit…
Et ceux-ci, si après plusieurs semaines ils laissent passer l’information, voire la font sciemment fuiter et par plusieurs canaux pour être certains que ça arrive jusqu’à Paris, c’est qu’ils cherchent à alerter, « faire bouger » les autorités françaises, mais dans quel but ?
Pour obtenir quoi au juste ?
Car cela peut vouloir dire plusieurs choses…
« D’abord qu’ils connaissent les réseaux « d’informateurs », honorables correspondants ou espions pour être plus direct, des pays qui ont relayé l’information et installés sur place, chez eux » analyse Gustave dans une note d’alerte.
On lui retorquera que s’il y en a plusieurs, c’est que justement ils ne sont sûrs de rien…
Par conséquent, il ne faut surtout pas bouger si la sécurité des agents n’est pas vraiment compromise.
« C’est prendre un gros risque… »
Mais non : « On peut très bien faire savoir par le clergé qu’on veut des précisions. Popes, pasteurs ou curés, les services ne prendront pas de sanction ni de représailles contre des hommes d’église qui sont par essence même au-delà des contingences géostratégiques… » du moment !
Et ça préserverait les autres réseaux d’agents relai… 
 
Deuxièmement, ils savent à qui ils ont affaire… Paul n’est pas du tout un inconnu des services de renseignement, dans aucun pays : c’est même une légende vivante un peu partout autour de la planète !
Ils ont d’ailleurs été plusieurs à essayer de le retourner : les USA avec l’agent Lison, de la NSA, quand il faisait ses stages d’habilitation à Nellis AF Base ; les Russes quand il était question de l’embaucher chez Sukhoï par l’intermédiaire de Irina Dachnikov[9] et les chinois quand ceux-là ont mis à sa disposition toute une équipe d’ingénieurs et des ateliers pour mettre au point son prototype Nivelle 002, suite à l’enlèvement de Florence en contrepartie de la possibilité d’aller corriger manu militari le dictateur Nord-coréen…
Et puis il y a eu l’affaire du « Loup » et de l’opération Borozinov[10] qui devait l’enlever aux Canaries ; celle de la tentative de recrutement de Charlotte Maltorne pour l’approcher lui, « Charlotte », celle dont le nez bougeait de haut en bas quand elle parlait[11].
Et naturellement l’affaire Skripal dans laquelle Paul avait joué un jeu de brouillage de pistes qui aura été efficace pour déjouer l’attentat fomenté par le GRU contre un de ses traîtres.
Non seulement, ils savent, mais en plus ils ont des raisons de le garder au frais !
 
« Ce n’est pas logique » en dit Julie. « S’ils savent toute la valeur de Paul à leurs yeux, ils l’auraient planqué en Sibérie, pas à Minsk et ne nous l’aurait pas fait savoir… »
« Sauf s’ils en veulent le prix le plus élevé sans avoir l’air d’y toucher », interprète Gustave.
« Sauf s’il n’a plus aucune valeur ! » lui rétorque Alexis.
Tous se regardent : serait-ce que Paul aurait parlé sous la torture ?
Ou les aura totalement épuisés tel que finalement ils renoncent…
« Oui mais alors, c’est qu’ils veulent obtenir autre chose… un échange ! »
Mais quoi ? 
 
Que doit-on faire ?
Prendre langue et faire savoir qu’on attend une initiative de leur part, une proposition d’échange, mais diable, contre qui ?
Ou ne rien faire ?
Car ça peut ne pas être lui : « On n’a pas la preuve irréfutable qu’il est à Minsk, qu’il revient de Moscou et encore moins qu’il est retenu » tempère Gustave qui garde les pieds sur terre et l’esprit clair…
« Mais on ne peut pas ne rien faire ! » s’insurge Alexis qui sait aussi l’inquiétude de Florence…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. Menaces de chaos
[2] Ibidem
[3] Cf. Parcours Olympiques
[4] On découvrira plus tard, en fin d’année 2023, que lesdites armes « invincibles », comme d’ailleurs l’avait indiqué Paul l’année précédente (cf. Menaces de chaos), sont susceptibles d’être interceptées par des missiles « Patriot », d’une génération antérieure. L’hyper-vélocité n’est pas l’atout-maitre dans ces conflits aériens…
[5] Cf. Mains invisibles – tome II
[6] Cf. L’année Covid de Charlotte
[7] Cf. Alex Cherche Charlotte
[8] Cf. Dans le sillage de Charlotte
[9] Cf. Au nom du père – tome II
[10] Cf. Dans le sillage de Charlotte
[11] Cf. Alex cherche Charlotte

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