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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 25 juillet 2024

10/63 – Préparation

Sergueï Choïgou
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Sans rien en savoir réellement, on peut imaginer que les bélarussiens ont pu penser qu’une telle « prise » représenterait un « gain » intéressant vis-à-vis des occidentaux et intéressant surtout pour son allié moscovite : « Charlotte » a un dossier épais comme ça, plusieurs dizaines de bottins téléphoniques, dans les services du FSB et du SVR, le contre-espionnage russe, tout le monde sait ça.
Plus lourd que ceux d’un diplomate de premier plan…
Pour un « égaré », avec le potentiel de secrets qu’il détient, c’est « un agent » qu’il convient nécessairement d’exploiter.
 
Mais après une première rencontre de celui-ci avec des officiers du renseignement russes, tout le monde se serait rangé aux premiers avis des médecins de Minsk : « l’amnésique » n’a plus rien dans le crâne.
Gustave saura plus tard, en épluchant son dossier médical après le retour de Paul en France, qu’il aurait fait un mini AVC… ou un vrai…
Dû à une chute à l’occasion de son footing matinal, probablement à la suite d’un malaise vagal, ou en est-ce la cause, personne ne saura jamais.
D’autant que les traces de l’AVC se résorbent relativement assez rapidement après les premiers examens…
En revanche l’amnésie totale persistera plus longtemps, ce qui reste inquiétant.
Elle entraîne une conséquence immédiate et certaine : aucun interrogatoire ne peut être pratiqué sur le sujet, même sous penthotal : il est rédhibitoirement « inexploitable » !
Aussi, il est décidé de le renvoyer dans ses foyers, plus tard, de façon « soft » et moyennant quelques contreparties à définir par Moscou, en informant le quai d’Orsay de sa présence à Minsk (la première phase du plan machiavélique du GRU qui gèrera « l’affaire » à la demande du Kremlin).
C’est en tout cas la thèse officielle… et qui paraît la plus cohérente aux analystes.
 
Car, une fois de plus, la diplomatie française est mobilisée en plein été par Gustave fort de la reconstitution de Marion, toujours avec autant d’inefficacité et de manque d’empressement qu’à l’époque de l’enlèvement de Florence[1].
Mais là, Florence n’est même pas encore au courant de l’enlèvement de « son » Paul…
En revanche, la déferlante des informations venant des services alliés qui relaieront les informations en provenance de Minsk, réveilleront les responsables de la sécurité et du quai d’Orsay, le ministère des affaires étrangères…
La défense, à travers l’amirauté, veut également récupérer son officier supérieur, même s’il est de deuxième section : ne vient-il pas d’être promu dans l’ordre de la légion d’honneur par la première ministre Babeth Brown ?
 
Mais il faut reconnaître aussi que la situation se détériore en Afrique à peu près au même moment, ce qui est probablement loin d’être un hasard, et qu’il s’agit de rapatrier la troupe tricolore sans la moindre « casse » et laisser la place aux mercenaires de Wagner, eux-mêmes privés de leur chef charismatique.
Opération qui mobilise bien des talents.
Il n’empêche, la DGSE fait passer en les confirmant ainsi les deux informations de deux sources différentes.
Minsk détient bien Paul de Bréveuil qui ne cherche même pas à échapper à ses gardiens.
Il aurait été admis dans un premier temps à l’hôpital militaire de Minsk et essayerait d’apprendre le biélorusse en ville, quasiment libre de ses mouvements.
Il souffrirait d’une amnésie profonde et d’insomnies perpétuelles… d’après « l’honorable correspondant », probablement polonais, qui vit sur place et « sous légende ».
L’autre information provient de Moscou : le KGB biélorusse aurait informé le FSB russe de sa « prise », d’après un autre « honorable correspondant », probablement un agent britannique vivant à Moscou.
Mais du fait de son état d’amnésique, il ne présenterait plus aucun intérêt pour les services.
Et probablement après un aller et retour à Moscou, ce qui n’est pas confirmé, il aura été renvoyé à Minsk pour y recevoir des soins.
 
D’après d’autres sources, Poutine aurait envisagé une minute, juste une minute, de le transférer en Sibérie afin de s’assurer que Paul ne se mettra plus jamais en travers de ses plans et ambitions.
Il lui était facile de le faire inculper pour espionnage et de le faire condamner pour des années dans un camp dont la Russie a le secret depuis plusieurs générations.
Il en avait déjà suffisamment coûté et on se rappelle encore au Kremlin de l’échec au mois de novembre dernier de la première mission du Belgorod sur San Francisco avec ses torpilles nucléaires « invincibles », capables de générer « des tsunamis 90 mètres de haut » sur Londres, en faisant le rapprochement avec la réunion de l’AUKUS à San Diego du printemps dernier où avait été signalée la présence de « Charlotte » pour une remise de médaille, ce qui reste significatif.
Une mission de d’agression sous faux drapeau qu’on hésite encore au Kremlin à renouveler, compte tenu de son échec…
Parce que, les Américains sont avares de leurs décorations à décerner à des étrangers : les services russes savent aussi faire des rapprochements…
Mais l’inculper, c’était prendre le risque de révéler que « Charlotte » était retenu par les services de sécurité russes et aurait déclenché une levée de bouclier au moment même où il faut régler dans l’urgence le problème des Wagner qui deviennent incontrôlables et où les opérations de déstabilisation en cours en Afrique sahélienne commencent à produire leurs effets !
Une chose à la fois…
 
Donc, dans la minute suivante, une autre idée s’est imposée un temps : il était question de le faire venir en Russie pour en faire un héros de la Sainte Russie éternelle pour avoir évité un attentat monstrueux à Vladivostok… signalant ainsi son « retournement » au nez et à la barbe des occidentaux…
Le joli pied-de-nez envisagé que voilà !
Comme il est amnésique, ce n’est pas lui qui aurait nié quoique ce soit et les occidentaux en seraient à le considérer comme un agent double encore meilleur que le légendaire Philby et ses acolytes de Cambridge, parce que Paul aura en plus collectionné toutes les médailles occidentales en reconnaissance de ses exploits…
Une belle opération de déstabilisation des services occidentaux qui auraient dû douter d’eux-mêmes jusqu’à se ridiculiser aux yeux du monde et de leur opinion publique.
Et sûrement que les responsables des services de renseignement occidentaux auraient perdu leur belle jeunesse à rechercher comment et à partir de quand « Charlotte » avait été retourné, pour savoir quels sont les renseignements qui ont été volés au profit des russes.
Une belle embrouille en perspective qui aurait peut-être permis de débusquer des « taupes » en Russie qui se seraient soudainement « évanouies » à l’Ouest, par simple précaution…
Allez donc savoir !
 
Le chef du Kremlin en bon ex-officier du KGB s’en régale d’avance.
Et puis son hydravion hypersonique avait aussi laissé des traces dans la mémoire des pilotes de la chasse de la sainte Russie éternelle qui n’avaient rien pu faire pour le rattraper et imaginer en savoir un peu plus sur son fonctionnement aurait probablement fait avancer l’industrie aéronautique nationale plus vite que programmé…
Sauf que si « Charlotte » n’a « rien dans la tête », ce serait peine perdue.
Et puis c’est bien aussi ce qui rappelle que le bonhomme avait probablement fait échouer la mission du Belgorod en baie de San Francisco, tout seul, en novembre dernier[2]… avec en plus un matériel volé aux Canaries au pendant naval du groupe Wagner[3].
Ce qui a ravivé la colère des Wagner, qui justement ne sont plus en odeur de sainteté à ce moment-là.
Enfin, dans la journée qui a suivi, le sort de Paul a été fixé : il reste à Minsk – autant éviter d’avoir à gérer un espion français surtout de ce calibre-là mais qui ne vaut plus tripette, ce que personne ne sait encore en dehors du service – et il devra servir de monnaie d’échange si Poutine parvient à se faire confirmer des rumeurs venues de Corée du Nord et colportées par Beijing.
 
Quoiqu’en « première intention », ce qui intéresse d’abord les services mais pas le patron du Kremlin, c’est d’en savoir plus sur le fameux logiciel de surveillance anti-terroriste, que les experts avaient déjà évalué comme étant un succès technique que l’Otan déclinait un peu partout et jusqu’au Moyen-Orient : les responsables russes se voyaient bien en avoir une licence à défaut de pouvoir le pirater (malgré tous leurs efforts en ce sens…).
Les « cerveaux » du pays avaient fui pour échapper à la conscription, les « plus médiocres » et ceux qui n’avaient pas eu le cran de déserter, étaient déjà mobilisés pour « troller » les médias occidentaux en vue des prochaines échéances électorales qui pouvaient inverser le sort des armes à travers des changement politiques à provoquer et aucun n’avait pu pirater les serveurs centraux du logiciel « BBR » qui faisaient baver d’envie les Russes, alors qu’ils restaient pourtant loin d’imaginer l’ampleur de la « data » qui était exploitée par le logiciel…
 
Et pour satisfaire Poutine, il s’agissait surtout et d’abord de finaliser la rencontre prévue en octobre du maître du Kremlin avec son homologue chinois, qui fait suite à leur rencontre du mois de mars à Pékin autour des nouvelles routes de la soie – où justement il aura pris note desdites « rumeurs » relatives au dictateur Nord-coréen – dictateur que Poutine doit également rencontrer à l’occasion d’un voyage prévu en Russie-asiatique pour confirmation et un accord à trouver sur la fourniture de munitions qui vont bientôt manquer sur le front du Donbass.
Une réunion qui est prévue aux confins orientaux du territoire russe, cette fois-ci, le dictateur de Corée-du-Nord ayant une frousse bleue de l’avion : il ne se déplace qu’en train blindé – il en a même deux pour faire diversion – et il ne va finalement pas très loin…
En attendant, c’est une « légende » complexe qu’on veut faire avaler aux occidentaux, car s’élabore dans les rangs du ministère des armées, sous la houlette du ministre Sergueï Choïgou, avec l’aide des officiers du GRU, le service de renseignement de l’armée qui vise à retourner Paul de Bréveuil pour permettre au dirigeant du Kremlin d’obtenir à terme ce que vise le maître du Kremlin.
Et pour Choïgou, ce que désirait son vénéré maître Poutine, c’est comme si c’est Dieu – s’il existait – l’ordonnait !
 
Il faut préciser que Sergueï Choïgou est un cas particulier dans le premier cercle qui entoure Poutine. Il est né d’un père Touvain. Les Touvains sont un peuple turc de Sibérie, essentiellement installé dans la république de Touva. Ils constituent la population non-russe la plus importante numériquement de la région Altaï-Saïan, en Sibérie méridionale.
En 1977, il est diplômé de l’institut polytechnique de Krasnoïarsk. Il travaille alors dans la construction durant la décennie suivante en gravissant les échelons pour devenir dirigeant.
En 1988, il devient un fonctionnaire mineur du Parti communiste à Abakan puis au Komsomol durant quelque temps.
En 1990, il est ensuite nommé adjoint au président du comité d’État sur l’architecture et quitte sa région et sa carrière jusque-là toute tracée pour « changer de dimension ».
Car c’est là qu’il se fait remarquer pour ses qualités de médiateur dans tous les domaines et devient ministre des « Situations d’urgence », fonction qu’il a lui-même créé.
À ce poste, il se rend souvent sur les lieux de catastrophes naturelles et d’attentats terroristes avec une équipe de secouristes professionnels d’élite, et dirige certaines opérations de secours.
Son équipe d’intervention fait sa renommée auprès aussi bien des milieux du pouvoir russe que des citoyens ordinaires.
Il apparaît alors comme un dauphin potentiel de Boris Eltsine.
D’ailleurs, il reçoit en 1999 la distinction nationale la plus prestigieuse, celle de héros de la fédération de Russie.
 
De 1999 à 2001, il dirige ensuite la fraction « Unité du parti présidentiel » qu’il quitte alors que la popularité d’Eltsine est au plus bas pour créer avec d’autres personnalités du Kremlin le parti « Russie unie ». Il en devient l’un des trois dirigeants en 2001 et 2002. C’est ce parti qui appuiera la candidature de Vladimir Poutine. Et depuis, il est membre du haut conseil de « Russie unie ».
Le 6 novembre 2012 qu’il est nommé ministre de la Défense à la suite du limogeage d’Anatoli Serdioukov. Ce remaniement fait les unes de la presse russophone au cours du mois de novembre 2012 car cette nomination apparaît comme surprenante alors que Sergueï Choïgou n’a jamais servi dans l’armée, qu’il ne bénéficie d’aucune réputation auprès de la hiérarchie militaire, et que ses méthodes de leadership ne sont pas appréciées par la vieille garde.
Sa nomination intervient d’ailleurs à quelques semaines d’intervalle de celle Valéri Guérassimov comme chef de l’État-Major général, qui apparaît dès lors très proche de lui.
Après l’éclatement de la révolution ukrainienne de 2014 et l’échec du Service fédéral de sécurité de la fédération de Russie (le FSB) à mettre fin à la révolte, Vladimir Poutine fait appel à l’armée qui, sous le commandement de Sergueï Choïgou, mène à bien l’annexion de la Crimée.
 
En décembre 2015, il mène alors l’opération militaire qui permet d’inverser le cours de la guerre civile syrienne et permet à Bachar el-Assad de reprendre la main.
Il accomplit également des visites diplomatiques dans plusieurs pays comme la Syrie, le Qatar ou Israël.
Alors que ce rôle devrait être alloué aux affaires étrangères plus qu’à la défense, ce que les analystes traduisent comme une montée en puissance de la plus grande importance de l’armée en Russie.
 
De plus, il crée un cyber-commandement et intègre l’armée de l’air et les forces spatiales au sein des toutes nouvelles forces aérospatiales russes. Il fait alors en sorte qu’il soit pratiquement impossible pour les jeunes Russes d’échapper au service militaire.
En 2017, il fait également modifier l’uniforme d’apparat de l’armée en s’inspirant de l’uniforme soviétique de 1945, surnommé «luniforme du vainqueur».
Naturellement, il supervise es-qualités le GRU, service de renseignement militaire russe soupçonné davoir multiplié, dans les années 2010, les opérations dassassinat en Europe.
Accessoirement, il obtient un accroissement notable du budget de l’Armée et sa bonne réputation s’accroît au Kremlin : il apparaît comme « l’homme qui a replacé l’armée dans les plus hautes sphères du Kremlin, au détriment des services d’espionnage », ou encore « le symbole de la militarisation de la Russie ».
 
La GRU, pour la « Direction générale des renseignements » est le service de renseignement militaire de la Russie, l’équivalent de la Direction Militaire du Renseignement (DRM) de la France, est actuellement dirigée par Igor Kostyukov.
Elle est réputée pour avoir, entre autres, organisé l’assassinat ciblé d’ennemis de l’État à l’étranger. En 2004, une opération de ce type, réalisée au Qatar contre le responsable indépendantiste tchétchène Zelimkhan Iandarbiev, avait abouti à la condamnation à perpétuité de deux agents de la GRU qui furent remis à la Russie en 2005 pour qu’ils y purgent leur peine. Ils furent reçus en héros à leur retour au pays et disparurent aussitôt après.
Son directeur adjoint, le général Iouri Ivanov, s’est, selon la version officielle, noyé en se baignant dans la Méditerranée lors d’une inspection de la base navale russe de Tartous, en Syrie en 2010.
Et le service se souvient encore de ses déboires autour de l’assassinat manqué au Novichok de Sergueï Viktorovitch Skripal[4].
Une affaire qui avait vu deux services de la « Grande Russie éternelle » se bousculer sur le même objectif et qui avait coûté la vie au capitaine Igor à l’occasion de la destruction d’un vol commercial civil, passagers et équipage inclus, au-dessus du territoire russe, en représailles : échouer ou se faire prendre est systématiquement puni de la peine capitale en Russie…
Le dernier mot revenait depuis lors à l’armée, son ministre et son service de renseignement[5].
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

[1] Cf. Mains invisibles – Tome II
[2] Cf. Menaces de chaos
[3] Cf. Dans le sillage de Charlotte
[4] Cf. Alex cherche Charlotte
[5] D’ailleurs encore récemment avec la décapitation du groupe « Wagner » : officiellement, un des passagers aurait dégoupillé une grenade en plein vol…

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