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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 2 juillet 2024

Moi, je me marre…

Vous avez voté dimanche ?
 
C’est très bien ! C’était indispensable.
Et c’est mieux que bien, puisque votre mobilisation aura été bien supérieure à ce qu’elle avait été le 9 juin dernier. Comme quoi, si vous vous étiez déplacé ce jour-là avec le même enthousiasme, on n’aurait peut-être pas eu droit au même psychodrame…
Car l’inconvénient, c’est que ça aura complètement perturbé mon calendrier personnel de début d’estives, que du coup, je suis actuellement « au labeur » pour « sapiter » des analystes qui bossent à chaud avec leurs œillères autour de yeux.
Je reviendrai vers vous plus tard pour tenter de vous en livrer une synthèse, même si globalement, je peux déjà vous indiquer que finalement, il n’y a rien de surprenant à espérer : Il faudra attendre lundi prochain pour commencer à écrire l’avenir…
 
Mais sans en arriver jusque-là, on peut déjà dire que le grand perdant du « putsch » du « Maître des horloges », à vouloir avancer brutalement les échéances électorales, c’est le pays.
Son économie, sans même évoquer ses grands axes de politique internationale qui en sont à la fois les conséquences et les nécessités, sont dans tous les cas la grande perdante. Et ça, ce n’était pas une fatalité…
Notez que derrière, naturellement, ce sera tout le « petit-peuple » des électeurs qui va s’en prendre plein la tronche pour pas un rond !
Quoiqu’avec « Gaby-le-magnifique », ça aurait été probablement la même chose, mais peut-être pas aussi violemment, pas autant profondément : En effet, jusque-là, la « Jupitérie » avait un avenir (supposé) et elle aurait tout fait pour retarder et adoucir les conséquences des catastrophes qui s’annonçaient.
Là, que ce soit avec le « Air-haine » ou le « Front-pop », aucun n’a à prendre des gants : Ils en rejetteront la faute à leurs prédécesseurs, s’exonérant par avance ainsi d’avoir à rendre des comptes de leurs propres incompétences économiques.
Le sauvetage des dogmes vaut bien quelques beaux mensonges !
 
Et ils auront beau défendre becs et ongles le sérieux de leurs programmes, de toute façon, ceux-ci pénaliseront tous les indicateurs de l’économie, jusque dans le quotidien des citoyens.
D’ailleurs, ce qui reste assez fascinant, c’est que ces programmes, que ce soit celui du « Air-haine » (quand on en a pu en avoir quelques miettes, parce que rien n’est encore véritablement arrêté, même pas pour le régime des retraites) et plus sûrement celui du « Front-pop » (qui ne s’appliquera qu’à la Saint-Glinglin parce qu’ils sont capables de croire à leurs utopies), sont soutenus par des économistes parmi les plus réputés.
Avec ou sans prix Nobel, d’ailleurs, mais des gens intelligents pour la plupart.
Qui en principe savent compter et ont déjà quelques notions des rouages de l'économie moderne ou qui devraient au moins les connaître et en tout cas savoir que ça existe.
 
Et pourtant, ils pensent qu’on peut gérer un pays déjà en difficultés économiques en prenant l’argent des uns pour le donner aux autres, en faisant exploser les dépenses publiques alors même que nous n’avons aucune marge de manœuvre du fait de notre déficit public, mais également du fait de notre appartenance à l’Union européenne et à la zone euro, et en misant tout sur une économie par la demande, donc par la relance de la consommation alors que la relance par la consommation va encore faire exploser nos importations, chinoises notamment, et creuser notre déficit commercial.
 
C’est ça que j’aurai dû faire comme métier : Pratiquer au moins l’anglais fluently et trader de la marchandise, n’importe laquelle, en qualité d’importateur. Il suffit d’avoir une bonne caution bancaire (c’est-à-dire d’être capable de consigner des fonds chez un banquier), de prendre quelques bonnes assurances auprès d’une compagnie notoirement solvable pour couvrir le paiement de la TVA de mise sur le marché et quelques menus droits de douane, et l’affaire devient juteuse…
Et puis alors faire cyniquement campagne pour des abrutis qui ne jurent que par Keynes, là où ça fait des années qu’on sait qu’il est mort après avoir mené bien des économies au bord du gouffre (y compris jusqu’aux USA, mais en réalité partout dans le monde).
La vie en aura décidé autrement pour moa !
 
Parce que j’en suis réduis à en rigoler : Le tsunami qui devait nous tomber sur le râble en mai 2027 n’aura pas attendu et tout le monde a été pris de court.  Depuis la dissolution, le monde économique est inquiet à l’idée que le « Air-Haine » ou le « front-pop », (non mais admettez : Quelle prétention à faire ainsi référence sans faiblir aux anciens qui ont amené le pays au chaos, écrasé par les chenilles nazies, acceptant l’occupation que le régime de Vichy n’aura pas su éviter : Il faut tout de même le faire ! Même « Mythe-errant » qui avait connu la période n’avait pas osé ! mais « Mes-Luches » et ses affidés, si !) puisse accéder au pouvoir et appliquer son programme, ce qui ne sera pas de toute façon le cas, il ne faut pas non plus rêver.
Le président du Medef, se faisait le relai discret des opinions de la classe dirigeante des petits et grands patrons, mais également de la bourgeoisie des beaux quartiers, et aura notamment déclaré que ces programmes étaient « dangereux pour l’économie ».
Bé oui : Ils sont même catastrophiques !
 
Ces programmes auront dans tous les cas des effets négatifs sur l’économie. Ces partis (le « Air-haine » comme les composantes d’opportunité du « front-pop ») promettent de mettre en place une expansion budgétaire ayant pour but de relancer une croissance qu’ils estiment trop molle.
C’est vrai qu’elle est molle, mais il y a des raisons structurelles à ça.
Car il faut d’abord tenir compte du contexte de nos finances publiques, qui est très détérioré.
Ces politiques vont inévitablement être tuées dans l’œuf car les marchés financiers risquent de très mal réagir à ces annonces de hausse des dépenses.
Les conditions financières pourraient se tendre, les taux pourraient augmenter et la distribution de crédits pourrait diminuer.
Cela serait différent dans un pays avec plus de marge de manœuvre, comme la « Teutonnie », mais on est en « Gauloisie-olympique », ce qui n’a rien à voir et ce depuis bien des décennies.
 
Un petit calcul plus tard, pour le « Front-pop », le coût budgétaire net serait d’environ 33 milliards d’euros, soit près de 1,2 % du PIB.
Or, l’écart de rendement des obligations d’État « Gauloisiennes-olympiques » pourrait atteindre 120 points de base cette année (il était déjà de 80 points de base jeudi dernier, ce n’est donc pas utopique) et la croissance du PIB serait dans ces conditions amputée de 0,3 point de pourcentage par an, là où les « soi-disant » effet de levier keynésiens sont théoriquement (dans les livres du siècle dernier…) de plus de 3,5 % du PIB.
Mais la science économique a évolué depuis Keynes, même si certains ne savent pas remettre à jour leurs connaissances sur le sujet : On sait, par l’observation et les mesure, depuis au moins « Dévide-gens », que cet effet de levier est négatif.
 
Le déficit public dépasserait alors allègrement les 6 % du PIB en 2025.
Ce n’est pas une catastrophe à court terme, mais nous dépenserions de l’argent pour avoir à la fin moins de croissance, plus de déficit et plus de dette : Un gâchis impardonnable !
Un gouvernement d’extrême droâte, qu’il soit conduit ou non par des « amateurs » comme « Bordel-là », réduirait quant à lui, la croissance de 0,3 point de pourcentage également, mais n’augmenterait le déficit que de 5,7 % du PIB d’ici à 2026 et les spreads des OAT se tendraient de 80 à 100 points de base : On y était déjà la semaine dernière (comme quoi, les marchés savent anticiper les résultats des urnes sans même avoir à dépouiller les bulletins…).
Pour rappel, les « spreads » sont les écarts, exprimés en points de base, entre deux taux ou deux rendements. Et les OAT sont les Obligations Assimilables du Trésor, soit les obligations émises par l’État, en principe sans défaut de remboursement.
(En fait si, mais le Trésor a pris l’habitude d’emprunter de l’argent pour rembourser ses dettes : C’est la technique du revolving… Quand moâ j’ai fait ça une fois avec mes banquiers, ils n’ont pas apprécié du tout… allant jusqu’à me menacer de poursuites pénales pour cavalerie illégale ! Dur-dur pour l’ex-plus jeune[1] DAF d’une société cotée…)
 
Pour construire ces prévisions les plus consensuels, je me suis servi d’études faites par d’autres qui, autour d’un consensus de « salle de marché », auront projeté les conséquences de l’intégralité des programmes qui ne pourront, de toute façon, pas être mis en place.
Globalement, ils se sont basés sur ce qui pourrait être mis en place de façon réaliste, et étalé sur deux ans, car il y a un seuil de dépenses au-delà duquel la réaction des marchés serait vraiment très, très négative.
 
Quant au « nouveaux engagements » de « Gaby-le-magnifique » (parce qu’avant, comme dit la pub, « c’était avant » : Il ne pouvait pas y avoir pensé !), l’expansion budgétaire promise reste tout de même plus modérée (estimée à 12 milliards d’euros, contre 20 milliards pour le « Air-haine » et 33 milliards pour le « Front-pop »).
Sur le plan de la croissance, évidemment que l’impact serait probablement plus neutre, mais le déficit serait plus élevé que prévu : Il devrait demeurer près des – 5 % en 2025, alors qu’avant la dissolution les prévisions (consensuelles) étaient de – 4,3 %.
Mais, dans tous les cas, il est très improbable qu’un gouvernement, quel qu’il soit, décide et se donne les moyens d’un ajustement budgétaire qui permettrait d’atteindre l’objectif des 3 % en 2027.
D’où l’éventuelle menace dune « mise sous tutelle » du pays…
À la grecque (dont on rappelle qu’ils sont à peine sortis des conséquences des délires référendaires de « Tsitsi-passe » qui n’auront même pas duré une saison…), sauf que la « Gauloisie-olympique » n’est pas la « Grèce-Hellénique » : C’est nettement plus gros !
 
C’est d’ailleurs assez curieux ces « conjonctions » qui apparaissent au fil du temps : La Grèce aura eu ses jeux olympiques il y a 20 ans… ça les aura mis à genoux dans la joie et la bonne humeur…
Lourdement endettée (comme nous demain, plus qu’aujourd’hui), l’Hellénie-libre s’est pris quatre ans plus tard et en plein tronche la crise de la dette de 2008.
Et c’est le peuple qui aura payé les errements de ses dirigeants « populistes » en acceptant notamment des réductions de salaires (suppression des 13ème et 14ème mois dans la fonction publique compensée par une prime annuelle de 1.000 euros pour les fonctionnaires gagnant moins de 3.000 euros et gel des salaires des fonctionnaires pendant trois ans, une flexibilité du marché du travail renforcée, des durées de cotisations retraites portées de 37 annuités à 40 annuités en 2015, l’ouverture des professions fermées, une taxe sur les résidences illégales, une nouvelle hausse de la TVA portée à 23 %, des privatisations jusque sur les quais du port du Pirée, etc. etc.)
Et parmi les mesures efficaces, l’interdiction de tirer des DAB plus de 300 euros par semaine et obligation de payer ses taxes d’habitation avec ses factures d’électricité : Pas de paiement de l’impôt local, pas de courant électrique…
On est globalement dans le même schéma, mais avec quelques précipitations…
 
On a les JO, on a un endettement qui dépasse les 110 %, un endettement public, qui ne tient pas compte de l’endettement des particuliers ni celui des entreprises… on a des déficits publics qui dérapent, un taux d’imposition parmi les plus élevés du monde et on va avoir des « nationaux-populistes » qui se croient déjà les rois du pétrole à se partager les ministères, à décider de tout et de rien dans la plus grande improvisation (d’après ce qu’on entend de leurs dires)…
Inutile de vous dire que ça va être sportif dans les mois qui viennent.
Sans même compter sur les risques d’attentat inhérents aux périodes de troubles, ni sur les mouvements sociaux qui vont en perdre leur appétit pour leurs estives et préparent déjà de « chaudes journées ».
 
Tout cela ne conduit qu’à une seule chose : D’abord une quatrième cohabitation, puis un article 16 pour terminer par une dissolution après un an de bordel dans les entreprises, les rues et les boulevards, comme d’une bonne vaccination (comme contre la chienlit, façon De Gaulle en juin 1968).
Un an pour reconstruire le « troisième bloc » : Ça va être long et compliqué.
 
Mais ne vendons pas la peau de l’ours avant la sortie des urnes de dimanche prochain : Mes modélisations restent… « indécises », disons plutôt « variables », « instables », en fonction des hypothèses de départ que sont les résultats de ce second tour.
Globalement, ça pourrait être pire, genre un schéma comme celui de la « Ritalie » (ou « la normalisation ») d’un mouvement profondément raciste, antisémite, islamophobe et particulièrement sectaire qui fait honte non seulement à l’Histoire de mon pays (mais ça… ce ne sera pas la première fois : Il s’en relèvera), mais surtout honte à la religion dominante de cette majorité nouvelle d’électeurs qui auront oublié le message humaniste et christique dont ils se réclament de « loin en loin »…
C’est vous dire si je me marre !
 
D’une part parce qu’aucune des annonces annoncées ne pourra être mise en place avec l’efficacité espérée, et d’autre part parce que déjà, j’imagine des scénarii étonnants que je ne pensais pas être possibles, que je vais essayer de vous mettre en ligne et dont la trame n’est d’ailleurs pas de moi, mais que j’avais lu du temps de « Giskar-A-la-Barre » : Le défilé des troupes d’élite russes, avec du matériel, sur les champs Élysées à l’occasion du 14 juillet 2024 (ou 2025… parce que j’ai du pain sur la planche avec d’autres projets en cours « qui n’attendent pas » et une espérance de vie limitée…).
De quoi en rire encore pendant quelques moments mémorables…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Je dis « ex », parce que la concurrence se renouvelle tous les ans.
Et dans cette affaire-là, complètement idiote d’ailleurs – je ne suivais pas mes propres comptes avec la même rigueur que je le faisais pour mon boss – j’ai réglé ça très vite en anticipant le versement de mes primes acquises (sous ma propre signature, c’est plus facile) et j’ai surtout retiré tous les comptes que je gérais de chez ce konnard de banquier : Au siège, ils n’ont jamais compris pourquoi… D’abord, ils ne m’ont plus vu depuis au moins 40 ans, et ils ont oublié, mais pas moâ !
Et ça me fait marrer à l’occasion, parce que le « + 1 » de « ma Nichée », il s’est retrouvé en difficulté avec cette même banque, qu’il en est encore fâché tout rouge ! Comme quoi, ce n’est pas qu’une question de directeur d’agence, mais bien une culture d’entreprise…

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