Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 15 juillet 2024

0/63 – Préface, le mot de l’auteur

Un volume « difficile »
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Quelle galère que cet épisode des « Enquêtes de Charlotte » !
Vous ne pouvez pas savoir… L’idée de ce volume est née au printemps 2023, alors que je finissais l’écriture du précédent volume, « Menaces de chaos ».
Celui-là m’avait amusé à écrire : les choses s’enchainaient presque parfaitement avec les éléments d’actualité qui déferlaient au fil des jours. Il m’avait juste fallu adapter les dates et circonstances, mais globalement, « Charlotte » devait empêcher deux attentats sous faux drapeaux, déclencheurs potentiel d’une guerre mondiale, forcément nucléaire et crépusculaire pour notre civilisation.
 
Le premier, originellement était celui d’un torpille nucléaire russe tirée dans l’embouchure de la Tamise qui devait provoquer un tsunami comme en menaçait alors Medvedev avec véhémence dans les médias russes, l’ancien président russe, ex-premier ministre. 
Celui-là n’aime pas les Britanniques : c’est génétique.
Et encore moins Boris Johnson…
Mais ce qui lui hérisse le neurone, c’est l’existence de la City, cet État dans l’État, sans dirigeant officiel, même pas élu, qui agit sournoisement, abrité derrière la couronne et dicte au reste du monde ses conditions… propres à s’enrichir : il ne supporte pas !
 
Or, ça ne collait pas bien : si le sous-marin russe, le Belgorod était probablement la seule machine de guerre capable de tirer ces torpilles nucléaires, les « Poseïdon » d’un calibre spécial pour avoir des dimensions « hors-normes », le navire aura disparu de la mer de Barents en mettant le cap au Nord-est et non pas à l’Ouest, vers la mer du Nord.
Il faut dire que cette dernière est truffée d’hydrophones qui l’auraient immanquablement repéré : pas très discret pour une attaque surprise et sous « faux drapeau ».
Il était beaucoup plus logique de passer par les fosses du pacifique sous un navire de commerce passant par le détroit de Béring et servant de « plastron » pour tromper les hydrophones du secteur et se présenter face à San Francisco pour secouer la faille de San Andréas afin de provoquer une « catastrophe naturelle ».
C’était l’option retenue par le ministère (l’arme sous-marine est placée directement sous ses ordres) et le Kremlin, pour être la plus logique.
D’autant que la date aura été toute trouvée avec le sommet du G20 de Bali au mois de novembre et le cinéma autour d’un soi-disant missile perdu en Pologne qui aurait tué deux paysans à la frontière ukrainienne…
On n’a même jamais eu aucun journaliste pour ramener les images des obsèques de ces deux victimes…
En revanche, à Bali, la presse mondiale aura pu rapporter qu’ils se sont faits un « G7-défense-sécurité » improvisé et une réunion expresse de l’Otan pour savoir si c’était bien la guerre ou non !
Toute le monde était sur les dents, il faut s’en souvenir, tout de même !…
 
Et puis est venu dans l’actualité l’épisode des ballons d’observation chinois. Il y en a eu toute une série.
Mais la plupart ne parvenait même pas au-dessus de l’Alaska ou des côtes californiennes pour être abattus dès la première intrusion dans le ciel US sans autorisation.
Tous sans exception, sauf le premier en janvier !
Le ballon aura traversé tout le territoire US durant une petite semaine, sans que les autorités ne se décident à l’abattre : on ne savait pas ce qu’il transportait.
Finalement, il a été abattu prudemment à deux pas de la côte Est en eau peu profonde, après avoir survolé des sites nucléaires de la défense nationale et des aéroports militaires tout du long de son trajet : quand même extraordinaire, ça !
Que craignaient-ils donc… ?
Bé l’incident avait été précédé d’une paralysie totale du ciel civil américain sur « incident informatique » (elle a bon dos l’informatique…) durant 24 heures.
Plus aucun décollage et on ne faisait atterrir que les avions en approche qui n’avaient pas d’autres aéroports de dégagement sur le territoire.
Que forcément, c’était le tempo idéal pour « caser » une attaque à la bombe thermobarique sur Vladivostok par un groupe de terroristes de type « apocalyptique » ou « survivaliste », ce que je me suis empressé de mettre en scène, d’autant que c’était prévu, mais pas dans ce scénario là (j’avais déjà fabriqué « la matière ») et pas dans cet ordre…
Si l’attentat avait réussi, on pouvait craindre une réaction disproportionnée des autorités russes, d’où la mesure évidente de vider le ciel états-unien…
 
Je veux dire par là, que jusque-là, je suis un auteur comblé par l’actualité : dans « Opération Juliette-Siéra », il s’agissait de vous révéler – et de vous expliquer – comment « Bling-bling » (alias le Président Krasosky) était capable de s’emmêler les pinceaux confondant débit et crédit à l’occasion de la présentation de son Grand emprunt, qui devait camoufler le remboursement des fonds prêtés par les USA au moment de l’escroquerie du « brevet Ferrayé » dont a été victime le Koweït dans les années 90.
Une demande expresse des présidents Bush, le père et le fils, rencontrés innocemment et par le plus grand des hasards, sur la côte Est des USA et une vedette louée pour l’occasion par le président nouvellement élu dans le cadre de ses vacances après un petit tour sur le Paloma…
Là encore, vérifiez, c’est dans les livres d’histoire, la vraie…
 
Et qu’il m’aura fallu deux autres volumes pour expliquer les « queues » de ces fonds, ayant au passage servis à financer la réunification des deux Allemagnes, à travers deux autres Plan d’Investissement pour l’Avenir des présidents suivants sans pour autant qu’ils vous révèlent la façon de blanchir cet argent qui appartenaient à la République et sans que personne ne pose de question dont les réponses relèvent du « secret d’État » (encore un des mieux gardés).
Au passage, je me suis également rendu compte que les voleurs n’étaient pas seulement tricolores, mais que les autorités américaines s’étaient largement et préalablement indemnisées avant même de mettre en place les opérations « Bouclier du désert » et « Tempête du désert » à l’occasion de cette guerre du Koweït…
Ce qui m’aura obligé à l’expliquer sous forme d’un autre roman…
Mais ceux-là étaient des romans « ennuyeux », difficiles à écrire et probablement difficiles à lire[1].
 
Vous me connaissez un peu maintenant : j’aime bien bâtir des explications rationnelles là où les « fils rouges » paraissent suivre des chemins irrationnels dans l’actualité du moment.
Et je dois vous avouer que le volume « Parcours olympiques » aura été un régal : l’actualité m’aura servi une ribambelle improbable de « news » inattendues qu’il était si simple de mettre les unes derrières les autres pour en faire un récit totalement cohérent.
Imaginez donc, les attentats de Toulouse avec Mohamed Merah, la neutralisation de Ben Laden en Afghanistan, la tuerie de Chevaline, l’attaque du consulat US à Benghazi en Libye, et la démission d’un Pape qui aura survécu longtemps après, au moment de l’ouverture des jeux olympiques de Londres, j’aurai été gâté cette année-là !
 
Tout pareillement, pour l’écriture de « Mains invisibles », ça aura été du pain béni entre l’affaire « Kaka-zut-hack », le ministre des finances fraudeurs-fiscal et le plantage du grand ordinateur de Bercy à peu près au même moment alors que le pays s’apprêtait à passer au « sans papier » pour les déclarations de l’année suivante.
Mais c’est aussi « Déesse-Khâ » (alias « David-Lévy-Kholberg » dit « DLK » dans la série des « Enquêtes de Charlotte ») qui part à Hong-Kong lever 2 milliards et revient au bout de huit jours les mains vides au moment où son associé israélien de la banque qu’il vient de racheter et qu’il devait refinancer est poussé du 12ème étage de son immeuble à Tel Aviv, que c’était d’une opportunité invraisemblable pour en broder des tonnes.
 
« DLK » aura d’ailleurs été un excellent vecteur de création littéraire avec son épisode new-yorkais où il a pu se faire piéger à coup de viagra et où une pauvre femme de ménage d’étage n’avait pas été avertie de ce qui pouvait l’attendre, tout ça parce que les complices de « Charlotte » dans « Au nom du Père », tome II, s’étaient trompées d’étage, confondant la chambre 2825 avec la 2528 (ou quelque chose comme ça…)
Je vous avoue que c’est remarquable, parce qu’il était prévu, pour « cette fiction » et dès le démarrage, que « Charlotte » devait participer, sur ordre de la Présidence, d’éliminer le concurrent qui faisait peur au locataire du palais… mais qu’au début, au moment de bâtir le scénario, je ne savais même pas vraiment comment…
J’avais même imaginé qu’il se faisait prendre dans une descente de police dans une boîte de partouzards à Washington…
En fait, les parties fines de « l’ex-ministre » et néanmoins directeur général du FMI, il les faisait avec « Dédé la sardine » au Carlton de Lille, pas aux USA...
C’est vous dire si parfois, je suis mal renseigné à force de tout vouloir vérifier et de tout recouper…
 
En quelques mots, je vous confirme qu’en réalité, question création littéraire, ce n’est pas l’artiste qui fait l’œuvre créée : c’est l’œuvre qui guide son créateur, son auteur[2] !
Ça aura été vrai au moment où « Jupiter » (alias « Makarond ») aura émergé en qualité de présidentiable, tout autant quand, à la surprise générale, il fait une tournée dans l’océan indien et que son avion fait un détour de près de 24 heures sur le retour sans aucun journaliste dans son sillage.
Ce qui reste assez étonnant, ce n’est pas que ce soit ainsi, mais c’est plutôt que l’implantation de « Charlotte » aux Chagos aura été imaginée de longue date, sans arrière-pensée de ma part : il aura fallu l’intervention de Paul de Bréveuil à l’occasion de l’affaire de Skripal, et son empoisonnement raté au Novichok russe, en principe imparablement mortel dans le volume « Alexis cherche Charlotte », pour déboucher sur cet atoll sans importance où Paul prépare une des stations internationales des lancements spatiaux de l’avenir…
Attendez, expliquez-moi comment un gaz mortel, qui a fait ses preuves, épargne Skripal et sa fille, mais pas deux personnes hospitalisées dans un état critique à l’hôpital de Salisbury après avoir été exposées à une « substance inconnue » à Amesbury, la ville voisine, le 4 juillet suivant…
Mais notez que Nalvany aura été soigné une première fois après une contamination soi-disant à la même molécule, ce qui lui a valu un long séjour en Allemagne…
Juste, il aura fallu le volume « Alex cherche Charlotte » pour planter le décor des volumes suivants, jusqu’à y compris la pandémie de Covid-19 qui était anticipée entre les lignes dès le volume « Ultime récit » de l’été 2017…
 
En bref, l’écriture impose finalement son propre scénario et c’est également vrai, une fois de plus, pour le présent volume, jusque-là inédit.
Il était prévu que l’histoire débute à la fin du printemps : Paul de Bréveuil devait rencontrer Elan Musk pour s’assurer de la mise en orbite d’un réservoir de kérosène et d’oxygène liquide pour pouvoir revenir sur terre après le vol inaugural du prototype de son avion orbital, à Noël 2024, dont il est question depuis le premier volume (une idée idiote qui s’impose au fil du temps…)
L’année dernière, dans et pour « Menaces de chaos », j’avais déjà anticipé tous les calculs nécessaires à une pareille aventure. Et j’avais projeté de vous conter ce voyage sous la mention « La tête dans les étoiles » : ça me paraissait tout indiqué…
Eh bien, pas du tout, une fois de plus !
 
D’abord, la tête « dans les étoiles », ce n’est pas ça, vous allez le découvrir, et ensuite Elan Musk ne s’est même pas présenté au Bourget où devait avoir lieu la rencontre entre les deux hommes…
Je rappelle au passage que Musk, pour pouvoir utiliser ses brevets dans la fronde spatial que Paul creuse aux Chagos, avait exigé d’avoir un fauteuil d’administrateur dans la future entreprise de lanceurs spatiaux de Paul : c’était l’époque où Musk prétendait pouvoir relier Los Angeles à San Francisco en une heure en train électro-magnétique sous vide avec cette même technologie…
J’avais déjà anticipé que les choses seraient compliquées avec cet oiseau-là : il n’est plus à la tête d’Hyperloop qui reste en stand-by sur tous ces projets de ligne, même entre Toulouse et Bordeaux !
 
Et puis dans le scénario originel, l’offensive d’automne des Ukrainiens devait défoncer les lignes russes dans le Donbass : là, dans la réalité (et donc dans ce roman), il faudra attendre encore.
Il devait bien y avoir des élections en Russie avec le résultat anticipé que vous connaissez et qui avait été prévu, mais également en Europe qui aura généré une crise politique en France qui, si elle était programmée pour 2027, ou en tout cas 2026 avec les municipales, aura été avancée : ce qui n’était pas prévu dans le scénario originel, mais sera forcément repris dans le volume suivant « Tome II – La tête dans les étoiles ».
Parce que notamment, le 7 octobre 2023 aura radicalement changé ce scénario premier…
Évidemment, le carnage du Hamas depuis la bande de Gaza et la brutale répression qui s’en est suivie n’avait pas été anticipés par « mes modélisations-prévisionnelles » !
Mes « machines » prévoyaient plutôt des tensions autour du Golfe Persique et du Sud-Liban et de toute façon pas avec la même intensité ni les horreurs vécues sur le terrain : la réalité aura été très différente. Ce n’est pas le golfe persique, mais la mer Rouge, ce n’est pas le Liban, mais Gaza…
 
En revanche, le reste avait été correctement anticipé. Et c’est notamment « l’éclatant couronnement », si je puis m’exprimer de la sorte, du 14 décembre 2023 en direct à la télévision moscovite.
Je ne m’attendais pas vraiment à ce que ça puisse nous sauter à la gorge de cette façon-là, mais tout ce roman est finalement bâti depuis l’origine autour de cette hypothèse.
Pour tout vous dire, je m’attendais plutôt à une sorte de confirmation telle qu’elle est apparue, plus discrète, le 8 février suivant.
Ou, au contraire, ce qu’anticipaient mes logiciels prédictifs, à une action brutale et impromptues genre attentat terroriste au cœur de Moscou, qui aurait engagé la santé du Président russe qui serait réapparu sans aucun pansement quelques heures après pour faire taire les rumeurs spéculant sur sa disparition anticipée.
 
Du coup, pour « mettre en scène » tout ce déroulé, il aura fallu en passer par d’innombrables détours qui n’étaient pas du tout prévus et qui m’auront forcé à « documenter » des détails qui ne sont absolument pas ni dans mon domaine de compétence ni même dans ma « zone de confort ». Mais j’aurai beaucoup appris…
D’autant que je suis resté handicapé par une chute stupide (sur un grain de raisin) qui m’aura coincé le nerf sciatique avec un énorme hématome à la fesse devenue toute bleue et dure comme de la pierre, pratiquement du mois d’octobre au mois d’avril, en fait jusqu’à ce que les anti-inflammatoires fassent enfin effet : j’aurai drôlement creusé le déficit de la sécurité sociale à moi tout seul à coup d’examens et d’analyses innombrables, d’IRM et de radios, avec ce grain de raisin !!!
Vous verrez : si ça a été pénible à écrire, ça sera forcément « difficile » à lire…
Veuillez m’en excusez par avance, s’il vous plait.
Merci !
 
J’espère seulement me rattraper avec le volume suivant, qui justifiera de l’existence de celui-ci et vous souhaite tout de même une excellente lecture… estivale.
On se retrouve à la mi-septembre, si je survis jusque-là…
 
Bonne lecture à toutes et tous !
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. « Laudato si… » et autres
[2] Cf. Sujet du baccalauréat promotion 2024…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire