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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 18 juillet 2024

3/63 – Le Bourget 2023 (3)

Tout était prévu
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Avec plus de 40 points de restauration répartis sur l’ensemble du site, le Salon a proposé une grande variété de cuisine pour tous les goûts.
Restaurants avec service à table, food trucks et autres, les visiteurs avaient un choix de taille pour se restaurer selon leurs envies.
Le « Click and Collect », un nouveau service proposé aux Exposants et aux Visiteurs leur permettait de réserver et de récupérer leur commande dans les restaurants gérés par Tipi.
 
Le programme privilège ELITE Pro proposait aux visiteurs professionnels l’accès à un service haut de gamme et à différents avantages exclusifs comme l’entrée fasttrack, mise à disposition de golfcar, lounge privatif à disposition au cœur du Salon…
Le dispositif a rencontré un énorme succès tout au long de la semaine professionnelle.
La satisfaction et le confort de nos Exposants étant une de nos priorités, aussi le Salon proposait gratuitement un dispositif de Grooms pour les accueillir ainsi qu’un service de conciergerie haut de gamme.
Pour cette édition, l’équipe de concierges était présente pour répondre à tous les besoins en matière d’organisation et de réservation de visites et de sorties et bien plus encore...
Côté transports, afin de faciliter et optimiser les accès au Salon, des navettes étaient mises à disposition des exposants, visiteurs professionnels et du Grand Public à des points stratégiques pour rejoindre l’entrée du Salon (gare du Bourget, aéroport Charles-de-Gaulle, Fort d’Aubervilliers).
Sur place, il était également possible de profiter des petits trains qui desservaient les principaux points du Salon.
177.941 visiteurs ont utilisé les navettes du 19 au 25 juin et 549 navettes ont été mobilisées.
Pour les journées professionnelles 6 petits trains par jour faisaient des navettes. Pour les journées Grand Public, seuls 2 petits trains par jour étaient mobilisés
 
Particularité, pour sa troisième édition,le Paris Air Lab, aura entrainé son public au cœur de la nouvelle révolution du transport aérien, aujourdhui pleinement mobilisé face au défi de la décarbonation.
Répondant aux engagements de neutralité carbone en 2050, pris à l’échelle mondiale, cest un foisonnement de programmes, projets de recherche, ruptures technologiques qui sera illustré dans un parcours passionnant et pédagogique déployé sur un espace de 1.000au cœur du Salon.
Les innovations à découvrir actuellement en cours sur les technologies, les opérations aériennes, les sources d’énergies non fossiles, mais également le nouveau visage des filières industrielles qui accompagnent cette mutation ont intéressé Paul.
Partis à la rencontre de tout un écosystème international – industriels, chercheurs, énergéticiens – sont collectivement engagés pour tracer la meilleure voie technologique vers les avions de demain, tourner la page des carburants fossiles, écrire les nouvelles routes du ciel, et dessiner le futur de nos industries. 
Il était possible de dialoguer avec les spécialistes de ces divers domaines et comprendre comment la mise en œuvre coordonnée de ces différents leviers de réduction des émissions constitue une feuille de route exigeante,vers un transport aérien neutre en carbone en 2050.
Paul aura pu se montrer satisfait de ce qu’il savait qu’il existe.
 
La scène du Paris Air Lab a offert cette année encore un programme riche et diversifié avec des keynote menées par de grands noms du secteur.
Une série de tables rondes a permis tout au long de la semaine d’approfondir des sujets clé, comme les conditions de la transition vers les énergies non fossiles, et des sessions ont été dédiées aux programmes européens ou aux acteurs émergents – avec notamment une session de pitch de startups travaillant sur la problématique de la décarbonation.
 
Mais il aura passé plus de temps sur le Salon du Bourget, dans les stands de l’Avion des Métiers, le point de rencontre incontournable entre les attentes de la nouvelle jeunesse et les besoins de la filière aéronautique et spatiale française à la recherche de talents.
L’Avion des Métiers a permis de rencontrer les professionnels du secteur pour discuter avec eux de leurs métiers, de leur contribution au quotidien à la transformation écologique et énergétique du secteur.
Dix-sept métiers de conception, de production et de maintenance aéronautique ont été présentés par une quarantaine de professionnels du secteur qui se sont relayés tout au long de la semaine pour vous faire partager la passion qui les anime.
Les Métiers de Conception, ingénieur Propulsion, ingénieur Produits & Procédés de Composants, ingénieur Matériaux, ingénieur Hardware & Systèmes, ingénieur Développement Systèmes et Logiciels Embarqués, architecte Système.
Les métiers de production n’étaient pas en reste qui recherchait de ajusteurs, des monteurs aménageurs, des pilotes de centre d’usinage et de contrôle, des soudeurs (on manque de soudeur en France), de monteur mécanicien, de peintre, de technicien métrologue.
Les métiers de maintenance avaient aussi la côte : Ingénieur Maintenance, mécanicien Structure, mécanicien Avionique.
 
L’avion des Métiers c’est aussi une quarantaine d’écoles, de lycées, de CFA, d’universités qui proposent des cursus aéronautiques et spatiaux de tous niveaux et qui vous donneront les clés de l’accès aux métiers et aux emplois du secteur.
L’avion des Métiers c’était également un programme d’animations, de témoignages et de conférences tout au long de la semaine sur les enjeux RH du secteur, sa féminisation, sa diversité et son inclusion.
 
Et puis le « Paris Air Mobility » a aussi présenté, sur un espace dédié de 1.000 m² les dernières innovations et les technologies émergentes dans le domaine de l’eVTOL et a réuni tous les acteurs clés du secteur.
Situé dans le Hall 5, l’événement a combiné une zone d’exposition, où les fabricants et les start-ups ont pu présenter leurs produits et services révolutionnaires, ainsi qu’un programme de conférences de premier plan, où des intervenants de haut niveau ont apporté des analyses et des points de vue sur l’état actuel du marché de cette nouvelle mobilité aérienne et sur la façon de faire progresser l’industrie.
Produit par le Salon du Bourget cet événement unique a été la destination privilégiée des acteurs clés de l’écosystème de la mobilité aérienne avancée (AAM).
 
En partenariat avec Aviation Week Network, le Paris Air Mobility aura proposé un programme de haut niveau, innovant et orienté vers l’avenir de cette nouvelle mobilité aérienne, du mardi 20 au jeudi 22 juin, rassemblant des experts en la matière qui ont communiqué des informations sur les principaux défis et opportunités auxquels est confronté le secteur des eVTOLs.
 
En bref, Paul aura été comme un poisson dans l’eau : un petit stand de la MAPEA coincé dans un coin avec une équipe de trois « permanents », dont la secrétaire directoriale ravie de « monter à Paris » et la fille héritière, Sophie, qui veillaient sur les maquettes exposées (les Nivelle 001 et 3.0), une coupe de chemisage d’une chambre de combustion de moteur-fusée, un descriptif succinct du dispositif du « Gel Birgit », une table basse, quelques fauteuils, une machine à café, un réfrigérateur de bureau et sur un comptoir les « gardiens » du stand qui distribuent uniquement les cartes de visite de Madame Isabelle Nivelle qui ne se sera déplacée que lors de la semaine d’installation, croisant également la nouvelle recrue de la CISA, Julie Déplante, qui se familiarise avec le panel des activités de Paul pour le compte de Matignon.
Paul aura fait des tours et des détours durant la semaine et aura promené sa fille et son fils, un peu étonnés que leur père connaisse autant de monde qui s’arrête pour le saluer respectueusement, le vendredi, sur les stands et sur le parking pour la présentation statique des avions à vendre en extérieur.
Entre le bâtiment les hangars et le « village »… éphémère.
 
C’est que cette année, il n’y avait pas à redouter l’espionnage quasi-outrancier des agents russes ou chinois : Les uns n’étaient pas là, les autres sont restés discrets.
Mais ça ne voulait pas dire qu’il n’y en avait pas.
C’est d’ailleurs une longue histoire
Le Salon international de l’aéronautique et de l’espace (SIAE) du Bourget a toujours été un événement majeur pour les acteurs économiques du monde entier, avec une large dimension militaire. Cependant, il est également un terrain d’affrontement entre espions et services de contre-ingérence.
Les délégations ne viennent pas que pour faire leurs emplettes, mais aussi pour voler des secrets industriels, des données économiques ou surtout des données personnelles. Les entreprises et organisations présentes disposent évidemment de leurs propres moyens de sécurisation et de surveillance, mais peuvent être soutenues si besoin par des agences étatiques dont, en France, la Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense (DRSD).
 
Il est difficile de savoir exactement ce qui se passe lors de ces événements, mais il est certain que les risques d’espionnage sont réels. Les personnes les plus haut placées dans les organisations sont particulièrement exposées : leur smartphone est à portée de main des attaquants, prêts à saisir chaque opportunité pour aspirer des informations ou installer un mouchard en un clin d’œil, depuis la pause déjeuner jusqu’à la porte des toilettes. Certains peuvent aussi être bernés par de faux journalistes qui leur font de fausses interviews.
En somme, le Salon du Bourget est un événement à haut risque pour les entreprises et les organisations qui y participent. Il est donc important de prendre des mesures de sécurité adéquates pour protéger les informations sensibles.
« En économie, nous n’avons pas d’amis ! » résume assez bien le général Éric Bucquet, à la tête de la Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense (DRSD). « Nous pouvons seulement avoir des intérêts qui s’alignent avec d’autres, parfois », juge-t-il.
 
Pour cet ancien directeur des opérations de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), « l’espionnage est désormais décomplexé », avec bien sûr des actions menées par la Chine ou la Russie, mais aussi par « bien d’autres acteurs », y compris des alliés et des pays membres de l’Union européenne.
Au menu, des tentatives, réussies ou ratées, de vol de secrets industriels, de données économiques ou encore de données personnelles, ces dernières servant ensuite à mener des attaques d’hameçonnage encore plus efficaces sur des personnes-clés des organisations ciblées.
Les avions et hélicoptères sont scrutés par les curieux, mais aussi par des agents chargés de documenter dans le plus grand détail les modèles les plus récents. Ainsi, certains utilisent un tour de cou (pour accrocher leur badge) sur lequel est imprimée une règle en centimètres, puis vont se faire prendre en photo à côté des avions, afin de donner une échelle très précise. L’angle de la photo est crucial, et les équipes de protection des appareils sont évidemment chargées d’interdire les clichés montrant l’intérieur des tuyères ou les capteurs sur les têtes des missiles, entre autres.
À ce jeu-là, la Mapea et son personnel détaché aura fait le strict minimum.
Ce qui n’empêchera pas toute l’équipe, et jusqu’à Matignon en passant par le ministère de la défense et l’amirauté de s’inquiéter un peu plus tard.
 
En réalité, « sur des salons comme Le Bourget, nous recommandons aux entreprises de limiter l’emport de documents et de matériels sensibles », explique le colonel commandant le centre opérationnel de la Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense. « La menace se trouve parfois au sein d’une délégation diplomatique », précise-t-il. C'est en effet une position de choix pour un espion : les industriels sont obligés de les accueillir à bras ouverts, pour des raisons commerciales et parfois politiques.
« Tous les employés des entreprises sensibles doivent être attentifs non seulement sur le salon, mais aussi dans les transports en commun ou les lieux publics : pour Le Bourget, il faut, par exemple, être très prudent dans le RER, qui amène à peu près tout le monde sur le salon ! » explique l’officier. Pour lui, la règle à respecter est de « toujours garder le souci de l’étonnement, c’est-à-dire noter les anomalies pour éventuellement les rapporter aux agents présents sur le terrain ».
« La menace cyber est très forte sur un salon de l’armement : il y a une vulnérabilité accrue des industriels, car ils sont loin de chez eux, et n’utilisent pas leurs infrastructures ni leurs réseaux habituels », confie le chef du bureau de renseignement cyber de la DRSD.
Pour illustrer son propos, il est capable de montrer une capture d’écran de l'activité Wifi sur le Salon du Bourget 2017, sur laquelle de grosses anomalies sont visibles : par exemple, en pleine nuit, les échanges de données avaient soudainement bondi, alors que les stands étaient fermés...
Mais désormais, tout cela est suivi en temps réel grâce aux logiciels développés depuis le BBR de la Cisa, qui… n’expose pas au salon…
« Il peut y avoir exfiltration de données commerciales ou personnelles, mais aussi sabotage des démonstrations, par exemple avec du brouillage de drones », ajoute-t-il. Un cauchemar pour les industriels, qui jouent leur image autant que leurs contrats sur ce type de salon.
 
À signaler que La Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense (DRSD) fait partie du premier cercle des agences de renseignements françaises, aux côtés notamment de la DGSI et de la DGSE. Elle est chargée de la contre-ingérence de la Défense, ainsi que de la protection du secret de la Défense nationale. Et elle veille non seulement sur les huit grands maîtres d'œuvre français (Airbus, Arquus, Dassault, MBDA, Naval Group, Nexter, Safran et Thalès), mais aussi sur des milliers de PME et d’ETI, parfois tout aussi cruciales.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org) 

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