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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 12 juillet 2024

Les prochaines, en septembre !

Jean-Marc est parti en vacances…
… ou en exil, il ne sait pas lui-même !
 
Mais il nous aura laissé quelques histoires d’en rire :
Dont celle-là, qui reste une « revenue »… de très loin, mais revenue modifiée !
 
Ce sont deux amis, Jean-Marc et Jean-Régis qui discutent :
« — J’en ai marre », dit l’un. « Je n’arrête pas de rencontrer des filles, mais dès que je les invite chez mes parents, ma mère ne les supporte pas. Quelle guigne. Qu’est-ce que tu ferais à ma place ?
— Ben je ne sais pas moi. Et si tu essayais de trouver une fille qui soit comme ta maman ? Je suis sûr qu’après ça, elle ne te posera plus de problème. »
Peu de temps après, les deux amis se rencontrent à nouveau :
« Alors, est-ce que tu as trouvé la fille parfaite, celle qui te plaît à toi ET à ta mère ? »
L’autre hausse les épaules et répond :
« — Ouais, je l’ai trouvée. Je l’ai ramenée à la maison. Ma mère l’a adorée et elles sont tout de suite devenues amies.
— Eh ben alors, ça y est, tu vas te fiancer ?
— Je ne pense pas. Cette fois-ci c’est mon père qui ne la supporte pas… »
 
Encore une autre :
Dans une exposition de peintures, un cadre est totalement vide.
L’auteur est à côté.
Jean-Marc, un visiteur lui demande :
« — Qu’est-ce que cela représente ?
— Des vaches dans un pré.
— Mais, je ne comprends pas, on ne voit pas de pré.
— Bien sûr, les vaches ont mangé toute l’herbe.
— Et les vaches ? On ne les voit pas non plus ?
— Vous ne croyez tout de même pas qu’elles vont rester dans un pré où il n’y a plus d’herbe ? »
 
Et puis celle-là également :
Germaine est en train de cuire des œufs lorsque son mari, Jean-Marc, rentre à la maison. Il la rejoint dans la cuisine et se met à crier :
« ATTENTION, ATTENTION !…
METS PLUS DE BEURRE !…
RETOURNE-LES ! RETOURNE !…
DU BEURRE, ENCORE PLUS DE BEURRE !… TU NE VOIS PAS QU’ILS VONT CRAMER ?… MAIS FAIS ATTENTION !…
RETOURNE-LES ! ALLEZ, VITE !…
RETOURNE-LES MAINTENANT ! MAINTENANT !…
ATTENTION TROP DE BEURRE, ÇA VA GICLER !…
ATTENTION ! TU VAS TE BRÛLER !…
HOLÀ, HOLÀ, BEAUCOUP TROP DE BEURRE !…
ET PAS ASSEZ DE SEL, IL FAUT PLUS DE SEL ! »
Germaine, excédée, finit par lui hurler :
« Mais ça ne va pas la tête ? Pourquoi tu cries comme ça ?
Qu’est-ce qui te prend ? »
Jean-Marc se retourne et lance, très calmement, en sortant de la cuisine :
« Rien du tout, c’était juste pour te montrer ce que ça fait quand tu es à côté de moi en voiture… »
 
C’est Germaine qui dit à son mari :
« — J’en ai assez ! Tu ne t’intéresses pas à moi, il n’y a que le football qui compte.
Le samedi soir on ne sort jamais, tu vas au match.
Le dimanche tu en regardes un autre à la télé, le mardi tu remets ça.
Tu ne parles que de foot, j’ai l’impression de ne pas exister.
Je suis sûre que tu ne te souviens même pas de la date de notre mariage !
— Alors là tu te trompes ! C’est le jour où le Milan AC a battu Barcelone 4 à 0 en finale de la Ligue des champions ! »
 
C’est l’histoire d’un artiste-peintre qui se rend à la galerie qui expose ses œuvres pour jauger de l’intérêt que suscitent ses toiles auprès des amateurs d’art.
Le responsable des lieux lui explique sans détour :
« — En fait, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer.
— Bon et bien commencez par la bonne !
— La bonne nouvelle, c’est qu’un investisseur est venu l’autre jour pour une évaluation globale des œuvres que vous présentez chez nous.
Il nous a demandé si vos toiles prendraient de la valeur après votre disparition.
— Et que lui avez-vous répondu ? » interroge l’artiste-peintre.
« — Nous lui avons dit que sans nul doute, les prix de vos œuvres doubleraient après votre mort… Et il a acheté les 18 tableaux en exposition.
— Excellent ! » réagit le peintre.
« Et la mauvaise nouvelle alors ? »
Le propriétaire de la galerie explique, un peu hésitant :
« Eh bien, c’est que cet acheteur, c’est votre médecin généraliste ! »
 
Celle-là, je l’ai entendu une première fois à Nice :
C’est dans une petite ville de province, un voyageur sort de la gare et prend un taxi.
Le chauffeur démarre et brûle tranquillement le premier feu rouge.
« Vous venez de passer au rouge… » fait remarquer le client.
« Je sais ! Ne vous inquiétez pas, mon beau-frère le fait tout le temps ! »
Au deuxième feu, il a déjà pris de la vitesse et passe à nouveau au rouge.
« — Oh ! » sursaute le passager. « Vous en avez encore brûlé un !
Et alors ? Je vous dis que mon beau-frère le fait sans arrêt, il n’a jamais eu de problème. »
Au troisième feu, le taxi, lancé à fond, passe au rouge sans même ralentir.
« — Mais vous êtes fou ! » crie le client. « Vous allez nous tuer ! »
Mais non, rassurez-vous ! Je vous ai déjà dit que mon beau-frère le fait tout le temps, et il est en parfaite santé. »
Le quatrième feu est vert. Alors le chauffeur freine et s’arrête.
« — Qu’est-ce qui vous prend ? » dit le passager. « Vous venez de griller trois feux rouges, et quand celui-là est au vert, vous vous arrêtez ?
— Oh que oui ! Je me méfie ! Des fois qu’on croise mon beau-frère… »
Celle de Nice, il était également question du beau-frère et de sens interdits avec comme « chute » que dans la région, les sens interdits ça n’avait pas bien pris…
 
C’était un samedi.
Jean-Marc venait de passer toute l’après-midi au bord de la rivière, sous le soleil de plomb, et tout ça pour rentrer bredouille...
Pas un seul poisson n’avait mordu à l’hameçon. Jean-Marc qui n’a pas l’habitude de rentrer à la maison sans rien, s’arrête au supermarché pour prendre 4 truites.
Il demande au poissonnier :
« — Prenez-en quatre grosses, et donnez-les-moi sans les emballer !
— Et pourquoi ne voulez-vous pas d’emballage ?
— Parce que je veux que ma femme croie que c’est moi qui les ai pêchées.
— Ah d’accord… Mais dans ce cas, je vous suggère de prendre plutôt des gardons.
— Ah bon ? Et pourquoi ?
— Parce que votre femme est passée tout à l’heure, et elle m’a dit de vous conseiller ça si vous passiez par ici. Ce soir elle veut faire de la friture. »
 
C’est l’histoire d’un écureuil qui passe en trombe devant un radar mobile.
La Subaru de la police démarre et le rattrape quelques kilomètres plus loin.
Un policier descend de la voiture :
« Bonjour, Monsieur l’écureuil, je suis obligé de vous donner une amende pour excès de vitesse. »
Et l’écureuil réplique :
« Je ne pourrais pas avoir une noisette à la place ? »
 
C’est un petit patron qui a beaucoup de mal à se faire respecter dans son entreprise.
Un matin, il n’en peut plus et décide de prendre une mesure radicale.
Il colle sur la porte de son bureau une grande affiche où il y a marqué en caractères d’imprimerie :
LE PATRON ICI, C’EST MOI !
 
La journée passe et il se sent beaucoup mieux.
Il va à ses rendez-vous avec un moral d’acier.
En rentrant à son bureau le soir, il voit un post-it que sa secrétaire avait collé en dessous de son affiche, où il y est écrit :
« Votre femme a téléphoné : elle veut que vous lui rendiez son affiche immédiatement ! »
 
C’est l’histoire d’une limace qui dit à son ami :
« Allons donc au jardin pour manger des pétales de rose ! »
L'ami lui répond :
« Gros nigaud ! Les roses ne naissent qu’au printemps et nous sommes en hiver. »
La limace répond :
« Je sais ! Mais nous devons commencer le voyage maintenant si nous voulons y arriver au printemps. »
 
Encore une vieille « revenue » :
À la frontière suisse, un homme passe tous les matins sur un vélo avec deux sacoches.
Au bout d’un certain temps, le douanier, intrigué par ce manège, fouille les sacoches et n’y trouve qu’un casse-croûte.
Et ça dure pendant des mois et des années.
Il démonte la selle du vélo, dégonfle les pneus, sonde le cadre, passe le casse-croûte au rayon X, rien, absolument rien.
Et tous les matins, sourire aux lèvres, l’autre passe.
Au bout de longues années, après l’avoir contrôlé quotidiennement, le douanier lui dit :
« — Vous ne me verrez plus. Je prends ma retraite ce soir. Mais pour que j’ai l’âme en paix, dites-moi la vérité : vous faisiez un trafic ?
— Bien entendu », repond l’autre.
« — Et vous passiez quoi en fraude ?
— Des vélos… »
Dans l’originale, l’histoire se situait à la frontière espagnole et le trafiquant passait la Mercédès qu’il conduisait…
 
C’est l’histoire du directeur d’un hôpital qui rattrape un patient pieds nus, vêtu d’une simple blouse de salle d’opération, qui sort en courant de son établissement : « — Mais enfin monsieur, pourquoi vous êtes-vous enfui du bloc opératoire ?
— C’est parce que l’infirmière a dit : « Allons soyez courageux ce n’est qu’une appendicite, c’est simple comme opération ! »
— Et alors ! Elle a dit ça pour vous rassurer.
— Ce n’était pas à moi qu’elle le disait, mais au chirurgien ! »
 
Un beau matin une petite vieille dame répond lorsqu’on frappe à sa porte.
Elle y découvre un jeune homme, bien habillé avec un aspirateur à la main.
« — Bonjour Madame », dit le jeune homme. « Si vous avez une minute, je vais vous montrer ce nouvel aspirateur, haute technologie, qui aspire sans comparaison !
— Allez-vous en, lui dit-elle, je suis fauchée. » Et elle tente de refermer la porte.
Aussi rapide qu’un éclair, le jeune homme met son pied pour coincer la porte ouverte.
Il rouvre la porte et s’exclame : « Pas si rapidement, Madame, pas avant que je vous ai fait ma démonstration. »
Sur ce, il vide un sac plein de crottes de lapin sur le tapis de la dame.
« Maintenant, Madame, si mon aspirateur ne nettoie pas la totalité de ce tas, je m’engage à manger ce qui en restera ! »
La vieille dame recule alors et lui dit : « Je vais vous chercher une cuillère, Monsieur, ils ont coupé mon électricité ce matin parce que je n’ai pas payé ma facture ».
 
La fac est terminée, Jean-Marc et Jean-Marcel se séparent en se promettant une rencontre tous les 10 ans pour faire le bilan de leur réussite.
La première dizaine arrive à terme et Jean-Marcel affiche une belle 406, un beau costume, un attaché-case BCBG.
Il explique qu’il est cadre d’entreprise, marié, et a deux enfants adorables et une maison neuve.
« — Et toi, Jean-Marc ?
— Bof, chômage RMI, célibataire…
— Alors … à dans 10 ans ! »
Et ils se séparent.
Les 10 années suivantes se sont écoulées et les revoilà réunis dans un bistrot. Jean-Marcel crane un peu en parlant de sa Mercedes, de sa promotion de directeur. Il raconte son divorce et son remariage avec une fille de 15 ans plus jeune.
« — Ben moi », dit Jean-Marc, plus délabré encore, « rien de neuf. Je perds au jeu, RSA, je bois.
— Alors, à dans 10 ans ! Aller un peu de courage ! Réveille-toi.
On a passé de bons moments ensemble… »
La troisième décennie échoit.
Même discours, Jean-Marcel a été promu PDG, il roule en Porsche, possède un yacht, une maison de campagne…
Mais surpris, il remarque son copain Jean-Marc, fringué comme un mannequin à bord d’une Ferrari.
« — Eh, dis donc, raconte-moi, Jean-Marc !
— J’ai ramené les bouteilles à la consigne. »
 
C’est une famille de parigots en vacances vertes à la ferme.
Le fermier, devant leur bonne volonté du premier jour, leur dit : « Si vous voulez vous rendre utiles, prenez le seau et le tabouret et allez traire la Noiraude. »
Trois heures plus tard, ne les voyant pas revenir, il décide d’aller à leur rencontre.
« Ah, vous voilà ! Je commençais à me demander… Tout s’est bien passé ? »
Et les citadins :
« Oui, mais qu’est-ce que ça a été dur de la faire asseoir sur le tabouret ! »
 
Bon début de week-end (ce soir) à toutes et tous !
Moi, je pars enfin : Alors j’en profite pour vous souhaiter de bonnes vacances !
Vous les avez bien méritées pour nous avoir fait trembler de rire à l’occasion des trois dernières élections…
 
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Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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