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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 24 janvier 2024

Tendances géopolitiques de 2024…

Vérités, suppositions et prévisions
 
C’est comme pour la météo : On prend ce qui existe dans les mémoires, on regarde ce qui se passe et on tente d’anticiper ce qui va se développer. Et naturellement, on reste surpris par ce qui s’est réellement passé quand on regarde dans le rétroviseur. Et ça se réalise toujours ainsi, même on prend un peu de hauteur, loin des délires parigots ou bruxellois…
Il y a assez à faire avec les élucubrations « exogènes ».
 
D’autant qu’en géopolitique, les idées reçues sont légion. C’est d’ailleurs un exercice complexe de tenter de démêler le vrai de la manipulation, alors même que l’essentiel impacte nos quotidiens et menace ou conforte nos options entrepreneuriales…
En effet, il reste facile de les répandre des rumeurs ou des « fakes », il est bien plus compliqué de les nuancer, voire de les démentir.
L’année 2024 s’est ouverte avec son lot de menaces dont il faut pouvoir faire un bref inventaire, même si personne n’avait vu venir le massacre du 7 octobre dernier, alors que pourtant… Pas plus que « l’opération militaire spéciale » en Ukraine.
Et que demain, jusque-là personne n’anticipe les changements de pluviométrie qui se passent pourtant sous nos yeux : Trop d’eau ici, pas assez là.
On le découvre pour notre pays, mais demain, ce seront des régions entières qui deviendront inhabitables.
Entrainant des « migrations » qu’on ne veut pas encore voir.
 
Résultat, nous avons à gérer dans le proche immédiat, en 2024, cette guerre en Ukraine plus celle qui se développe au Proche-Orient, mais aussi les élections américaines, l’hostilité de la Chine, le poids soi-disant croissant du Sud global dans les équilibres internationaux, avec un Iran aux aguets…
Rien de vraiment nouveau, finalement…
 
Ces perspectives géopolitiques pour 2024 s’annoncent ainsi plutôt sombres.
Par exemple, on aura prétendu que la Russie sortira de toute façon affaiblie de son aventure ukrainienne.
Probablement.
Mais pas autant qu’on pouvait l’espérer il y a seulement quelques mois.
L’économie russe a tenu, malgré la politique de sanctions la plus globale jamais mise en place par les Occidentaux. Les indicateurs de remontée du PIB russe sont certes trompeurs, car la reprise est surtout tirée par les gigantesques dépenses militaires, mais le pétrole et le gaz russes ont trouvé de nouveaux débouchés, et la finance russe de nouveaux points d’appuis évitant leur effondrement.
Les industries nationales de substitution se développent et une reconversion de l’économie russe vers le « Sud global » ou du moins en Chine et en Inde n’est pas non plus à exclure.
 
Si la guerre devait s’interrompre dans quelques mois, la Russie en sortirait donc debout et non KO comme on pouvait l’imaginer dans un premier temps.
Il lui faudrait sans doute quelque temps pour reconstituer son arsenal militaire, mais elle devrait pour l’avenir prévisible continuer à constituer une menace majeure pour les Européens.
On est donc tenté de dire que dans les deux cas, le pays reste une menace : Soit qu’il ait dû reculer, et il voudra se venger, soit qu’il ait marqué des points majeurs, et ses dirigeants rêveront à d’autres conquêtes en Europe…
Infernal les slaves orthodoxes.
Ne serait-ce que pour se dégager de cet encerclement toujours plus étroit des « anglo-saxons » honnis par atavisme des « russes rouges ».
 
Personnellement, je ne crois plus à un effondrement de l’un ou de l’autre des belligérants, tout comme je reste de plus en plus persuadé que l’État profond « ricain » prolongera autant que possible ce conflit par procuration afin d’affaiblir encore et encore et au mieux la Russie, jusqu’à épuisement, si possible : C’est vous dire que ça pourrait être long.
Même si ça peu se précipiter à l’occasion d’une « jacquerie » en territoire russe quelconque… ou ukrainien !
 
D’ailleurs on en dit déjà que les Ukrainiens devraient passer à une stratégie défensive et négocier.
C’est la thèse en vogue chez les « ricains » qui ne lui accorde des armes et munitions, que tout juste ce qu’il leur faut pour ne pas s’effondrer.
On en voit bien les raisons : Le soutien « ricain » va se tarir un jour ou l’autre, l’offensive d’été 2023 ukrainienne a été un fiasco et n’a pas réussi à percer les défenses russes.
Selon cette thèse, les Ukrainiens, (qui restent des orthodoxes-slaves de voyous), doivent désormais ménager leurs forces et s’apprêter à négocier, nous affirme-t-on.
Je n’y crois pas : Ils iront jusqu’au bout de leurs capacités…
 
Car en fait, si les dirigeants ukrainiens suivaient ce raisonnement, ils joueraient dans la main de « Poux-tine », tenant le temps qu’il faudra pour que le soutien occidental s’amenuise.
Le président russe peut aussi spéculer sur un découragement des populations ukrainiennes soumises à des raids toujours meurtriers et, bien sûr, tabler sur un retour de « McDo-Trompe » qui pourrait surprendre tout son monde.
C’est pourquoi, en contre-point, le président ukrainien esquisse une posture certes défensive mais prévoyant aussi un déplacement du centre de gravité de la guerre vers la Crimée.
Car seule une menace forte de l’Ukraine sur la Crimée pourrait conduire « Poux-tine » à négocier, pour ne pas perdre ce qu’il considère comme le trophée absolu de deux décennies de règne.
D’autant que plus personne n’ira mourir pour Yalta.
Et le nœud, l’avenir de la Crimée, ça reste l’accès à l’eau douce qui manque à Sébastopol, puisqu’elle ne vient plus du Dniepr dont la retenue du barrage en amont de Kherson a été détruit.
Pourtant, la pluviométrie de la région ne devrait pas être fondamentalement modifiée par le changement climatique global…
 
Pour changer de région « tendue » et aller jusqu’en Palestine, l’acharnement des Israéliens sur Gaza apparaît comme suicidaire, génocidaire et risque de rendre la paix dans la région impossible pour des décennies. L’État hébreu entre dans une période d’isolement peut-être sans précédent, et quand enfin Israël sortira de cette guerre, le pays aura sur les bras des problèmes gigantesques à gérer (à commencer par la gouvernance de Gaza).
Ce à quoi les dirigeants israéliens – il est vrai divisés sur le sujet – peuvent opposer divers contre-arguments : Si Tsahal devait arrêter maintenant son offensive, les dirigeants du Hamas, et notamment ses chefs militaires sortiraient en héros nationaux palestiniens de leurs tunnels où ils se terrent comme des rats, et le Hamas garderait la carte-clé des otages.
Une hypothèse « impossible » pour les israéliens, qu’il faut aussi comprendre.
 
En outre, il ne faut pas sous-estimer le poids de la realpolitik : Certes le conflit en cours interrompt le « processus d’Abraham » et notamment le rapprochement entre l’Arabie Saoudite et Israël, mais les États arabes ont maintenant des raisons économiques (bénéficier de la technologie israélienne) et géopolitiques (équilibrer la menace de l’Iran, restaurer la protection américaine) de renouer un jour ou l’autre avec Jérusalem.
Parmi les éléments qui peuvent pousser les dirigeants israéliens à ne pas s’arrêter dans leur offensive sur Gaza, il y a le fait que Téhéran et le Hezbollah menacent beaucoup, mais agissent jusqu’ici avec prudence.
Les chefs du Hamas en ressentent d’ailleurs de l’amertume…
La présence militaire américaine accrue dans la région exerce sans doute un effet dissuasif, peut-être même que l’activisme des Houthis – qui tiennent le trafic en Mer Rouge en otage étranglant à terme l’économie égyptienne – et les attaques de diverses milices en Irak visent-ils seulement à camoufler la tiédeur de l’Iran.
 
Deux autres considérations risquent cependant de jouer en sens inverse : En premier lieu, une partie de l’establishment militaire israélien souhaite s’en prendre au Hezbollah.
Que ce soit un choix délibéré ou non, les meurtres d’un chef du Hezbollah puis d’un chef du Hamas au Liban – et d’autres possibles à l’avenir – peuvent enclencher une escalade qui ne veut pas vraiment démarrer.
En second lieu, la multiplication des tensions peut aussi entraîner, sans volonté délibérée des parties concernées, une montée en puissance du conflit.
On peut aussi imaginer un scénario dans lequel celle-ci résulte de l’action conjuguée des extrémistes des deux côtés exécutant quelques attentats de masse sous faux drapeau ou non pour attiser les haines locales…
 
Pour aller encore plus loin vers l’Orient, après les élections à Taïwan, une crise n’est pas pour demain.
« Xi-Ping-pong » a rappelé lors de ses vœux de Nouvel An que la réunification du pays était un objectif majeur du PCC (Parti Communiste Chinois).
Or, les purges qui continuent dans l’armée peuvent signifier qu’elle n’est pas prête – mais aussi que le pouvoir chinois entend qu’elle le soit.
Il apparaît donc probable qu’une annexion de Taiwan manu militari ne fasse pas partie des plans immédiats de Pékin.
Le motif de fond derrière cette analyse n’est pas pour autant rassurant : C’est une stratégie d’étranglement progressif de l'île que déploient les autorités pékinoises.
Et on l’a bien vu, les élections présidentielles non pas modifier cet état de fait.
 
D’autres facteurs peuvent cependant amener les dirigeants chinois à se lancer dans une action de force : Une conjoncture internationale où l’Amérique apparaîtrait en position de faiblesse, une trop grande dégradation de la situation intérieure chinoise qui pousserait Pékin à chercher un dérivatif extérieur, la crainte qu’en raison du réarmement des puissances régionales (Japon et Australie notamment), une « fenêtre d’opportunité » puisse se refermer dans quelques années pour Pékin.
Dans cette partie-là de la planète, on joue sur du « temps long »…
 
Il convient également de porter son regard sur « le Grand Sud » : C’est à la mode !
Même si ça n’existe pas. Ce n’est qu’une variante des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Afrique du Sud) mais qui déjà restent bien trop divisés pour peser, plus encore maintenant qu’ils se sont élargis à l’Éthiopie, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes Unis, l’Égypte et l’Iran.
Les « BRICS+ » ne sont d’accord en effet sur pas grand-chose, même pas sur le projet d’une monnaie commune alternative au dollar présentée comme un « tournant ».
Toutefois trois données devraient préoccuper les Occidentaux : Il y a bien entre les pays concernés un lien souterrain qui est le ressentiment contre l’Occident « tout puissant » et le refus de la politique des sanctions…
En effet, l’abondance des candidatures au club des BRICS est révélatrice de la perte de prestige des Occidentaux (et inversement de l’attractivité de la Chine).
 
Enfin, derrière le label de « Sud global », se profile la montée en puissance de « nouveaux Grands » du Sud – au premier rang desquels l’Inde (une nation « nationale-populiste », en rivalité avec la Chine (une fausse « démocratie-autoritaire », mais une vraie dictature) pour le leadership du nouvel ensemble – en mesure aujourd’hui de tenir la dragée haute à l’Occident.
On le voit d’ailleurs avec la guerre en Ukraine, où ces pays refusent de se plier à l’injonction d’isolement économique de la Russie.
Quant à la guerre Israël/Hamas, elle aggrave encore le clivage entre le « Sud global » et « l’Occident ».
 
D’ailleurs, en parlant de celui-là, une question demeure : L’Occident survivrait à « Trompe » 2 comme il a survécu à « Trompe » 1 ?
C’est assez drôle d’en arriver à se poser la question, parce que comme « BoJo » en UK, le pays qui porte au pouvoir son propre « National-Populiste » est le seul à en souffrir de façon directe.
C’est une constante historique qui se prolonge avec « Kim-tout-fou » depuis la mort de Franco…
Les autres survivent sans se renier, même si les dégâts risquent d’être plus lourds que lors de son premier mandat : L’homme sera animé de la rage de la vengeance !
Il aura tiré les leçons de son premier mandat et, cette fois, tout un dispositif l’entoure, qui à la fois travaille sur le programme et prépare des listes de nominations pour les grandes administrations.
Il va et il veut faire mal.
 
En réalité, c’est probablement et surtout l’Europe qui sortirait affaiblie, voire démantelée, d’une « expérience « Trompe 2 ».
Washington mettrait au minimum l’OTAN sous tension, et mènerait le combat économique et politique contre l’UE.
Il peut très bien débaucher l’aile illibérale des Européens ou simplement les gouvernements de la « Nouvelle Europe » (Centrale et orientale) en mal de réassurance de sécurité qui restent assis sur un vote « national-populiste » eux aussi.
 
De ce point de vue, le retour de gouvernants « pro-Europe » à Varsovie peut être une chance mais à condition que les Européens commencent à s’organiser dès maintenant pour se prémunir contre les effets d’un retour de « McDo-Trompe ».
Or, on ne voit pour l’instant se dessiner aucun mouvement de fond en ce sens.
Personnellement, je reste persuadé que les prochaines élections européennes embarqueront un large virage, pour 6 ans, d’anti-européens aux portes de l’institution de Strasbourg.
Et curieusement, c’est l’institution qui va les digérer, les métaboliser, les « génétiquement modifier » et non pas l’inverse, dans le sens de leurs ambitions affichées.
L’Europe n’en sera que plus forte par la suite pour éventuellement affronter le « ricain » qui ne fera pas plus de 4 ans à la Maison Blanche.
S’il est élu[1].
 
Car justement, les Européens se sont surpris eux-mêmes en réagissant très vite à l’invasion de l’Ukraine : Déploiement de sanctions sans précédent, réorientation en quelques mois vers de nouvelles sources d’énergie, utilisation de la « facilité de paix » pour financer l’armement de l’Ukraine, ouverture de négociations pour l’entrée de ce pays dans l’UE, etc.
Et depuis quelques semaines, ce sont les limites de ce sursaut qui apparaissent : Les crédits de la « facilité de paix » sont épuisés et un nouveau paquet d’aide de 50 milliards d’euros pour quatre ans a été bloqué au dernier Conseil Européen.
Le programme de 2 millions d’euros pour fournir des munitions et des obus à Kiev n’est réalisé qu’à hauteur de 30 % sans que cela provoque de réactions dans les capitales européennes.
Et plus généralement, aucun plan d’ensemble ne se dessine au sein de l’Europe pour donner un second souffle au soutien militaire à l’Ukraine.
Le risque aujourd’hui est que toute la discussion entre Européens se concentre sur les négociations pour l’entrée de l’Ukraine dans l’UE – c’est-à-dire une fiche de consolation, pas un vrai dessein géopolitique.
En réalité, l’industrie ne suit tout simplement pas : Les défauts d’une intendance de « temps de paix »…
 
Et au grand jeu des surprises géostratégiques, l’Iran peut aussi considérer qu’une fenêtre d’opportunité lui est ouverte pour accéder à l’arme nucléaire : Son grand ennemi israélien est occupé ailleurs, la discorde entre les cinq puissances nucléaires peut lui assurer une certaine garantie d’impunité, et la Russie dépend en partie de l’Iran (et de la Corée du Nord) pour soutenir son effort de guerre en Ukraine.
 
Aussi, devant la montée de ces périls, les dirigeants de « Gauloisie-olympique » (et leurs chefs d’entreprise) devraient se poser la question suivante : Suivant le précédent dramatique des années de l’entre-deux guerres mondiales, la posture militaire et économique du pays n’est-elle pas en dissonance avec son système d’alliance ?
 
Mon pays se perçoit en effet toujours comme un leader, peut-être même le leader incontournable des Lumières dans une Europe en quête d’affirmation, alors même qu’il dispose d’un « Jupiter », « Maître des horloges » à sa tête.
Bien.
Mais son système de défense d’une part l’isole (caractère purement national de la dissuasion) et d’autre part reste tourné largement vers le grand large et non pas le continent…
Ainsi la Loi de Programmation Militaire – très ambitieuses (413,3 milliards d’euros pour les armées sur la période 2024-2030) – qui vient d’être adoptée ne prévoit pas un renforcement majeur de la contribution « Gauloisienne-olympique » à la défense territoriale de notre continent.
À un moment où, comme on l’a vu précédemment, on ne peut plus douter que la Russie va rester pour longtemps une menace stratégique, c’est un peu curieux.
 
Et puis rappelons qu’après les guerres, il s’agit de reconstruire.
Or, comme au Koweït en 1992, les entreprises « Gauloisiennes-olympiques » ont été écartées par les entreprises « ricaines », faute d’un diplomatie engagée : Il en sera probablement de même pour l’Ukraine rendue à la paix… dans longtemps !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
[1] Nous verrons demain que ce n’est pas certain, finalement…

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