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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 14 janvier 2024

Essayons d’être sérieux, au moins dans cette rubrique…

… de la « science en marche » !
 
1 – J’ai ainsi pu retenir qu’il paraît que respirer aggrave la production de gaz à effet de serre que pourchassent tous les « écololos » de la planète (surtout chez nous… pas un hasard non plus.)
Aucun doute selon une étude menée par Nicholas Cowan, physicien de l’atmosphère au Centre britannique d’écologie et d’hydrologie, et publiée dans la revue scientifique PLOS One. Il est désormais établi que la respiration humaine rejetait, outre du dioxyde de carbone (CO2), des gaz à effet de serre comme du méthane (CH4) et du protoxyde d’azote (N2O).
L’horreur, quoi !
 
Car la contribution au réchauffement climatique de ces gaz émis par l’organisme humain était jusqu’ici négligée.
Mais ce n’est désormais plus le cas.
Cette étude a mobilisé 104 volontaires britanniques et a permis l’analyse de 328 échantillons d’haleine. L’âge, le sexe, les préférences alimentaires et les habitudes tabagiques ont été notés pour tenter de trouver des corrélations.
Résultat ? Tous les sujets émettent du protoxyde d’azote dans des proportions diverses, mais aucun des éléments mesurés ne permet d’expliquer ces différences de proportions.
Et, drame, les haleines des végétariens sont aussi chargées en moyenne que celles des carnivores !
J’en rigole encore…
 
Les choses sont un peu plus claires pour le méthane, expiré par 31 % des sujets. Les résultats laissent entendre qu’on expire davantage de méthane en vieillissant (40 % des plus de 30 ans en produisent, contre 25 % chez les plus jeunes) et qu’une plus grande proportion de femmes que d’hommes ont cette particularité (38 % contre 25 % = Autre drame : Doit-on sacrifier nos dames pour le bien de la planète ?).
J’en rigole toujours…
 
Sachez que le protoxyde d’azote, ou oxyde nitreux, est un gaz à effet de serre jugé 310 fois plus influent sur le réchauffement global que le dioxyde de carbone à quantités égales, en raison de sa stabilité dans l’atmosphère pendant une très longue période.
C’est également le principal contributeur de la destruction de la couche d’ozone (en plus que d’équiper nos siphons à chantilly et de faire rire les amateurs de « proto »).
Quand je vous que je rigole…
 
Le méthane quant à lui est aussi un acteur reconnu du réchauffement climatique, le deuxième derrière le dioxyde de carbone, par sa capacité à absorber une partie du rayonnement infrarouge émis par la Terre (vingt-huit fois plus qu’une molécule de CO2) et à l’empêcher de s’échapper vers l’espace.
D’autant que si le CO2 est plus lourd que l’air, le méthane est notablement plus léger et flotte dans la stratosphère alors que son collègue plonge au plus profond de la planète pour ne rien piéger du tout…
 
Au total, les émissions de ces molécules que l’on expire dans l’air constitueraient 0,1 % du volume de ces deux gaz à effets de serre (CH4 et N2O). Dans le même temps, un tiers du protoxyde d’azote de l’atmosphère provient de l’épandage de lisier et d’engrais azotés. Une même proportion du méthane dans l’atmosphère est liée à l’élevage et la culture du riz, par exemple.
Voilà qui permet tout de même de relativiser, de respirer avec un peu moins de culpabilité et d’éviter de prendre des mesures draconiennes de prévention, à savoir l’élimination des pollueuses, voire de tous les exemplaires de l’espèce pour leur apprendre à ne plus respirer.
 
Toutefois, les chercheurs précisent que « dans cette étude, nous ne rapportons que les émissions dans l’air expiré. Or, les émissions de flatulence sont susceptibles d’augmenter ces valeurs de manière significative. »
Aïe, aïe, aïe : On va ouvrir la chasse aux péteurs d’ici peu !
Et on a hâte de découvrir les prochaines études qui pourraient nous confirmer que nos autres émissions gazeuses sont encore plus problématiques…
Notez qu’en principe, celles-là sont filtrées par les sous-vêtements dont c’est le rôle premier…
 
Après, s’il faut sacrifier quelques pétomanes, je propose de commencer par les « écololos », les « trouveurs » qui annoncent des catastrophes qui n’auront jamais lieu et puis quelques « sachants » qui ont le pet gras et l’haleine fétide et font carrière à en inventer des « konne-rires » tous les jours avec nos impôts…
Je dis ça, je ne dis rien, naturellement.
 
2 – Parce que question « catastrophes annoncées qui n’arriveront jamais », j’en ai découvert une autre assez drôle : L’IA pourrait un jour mener à notre extinction !
Réglant ainsi le problème des gaz à effet de serre…
Aussi exagéré que cela puisse paraître, certains « scientifiques », prennent très au sérieux les risques liés au développement rapide de la technologie, et estiment que oui, on y va !
Selon ces « trouveurs », une fois que l’IA générale aura vu le jour, plusieurs scénarios pourraient potentiellement mener à notre fin, bien que les chances que cela se produise soient selon eux assez faibles (environ 5 %).
 
C’est que l’intelligence artificielle connaît une croissance rapide et, selon des « sachants-experts », cette tendance se poursuivra dans les prochaines années avec l’acquisition rapide de nouvelles capacités.
L’IA surpasse déjà l’humain pour certaines compétences, et ce n’est que le début.
Notez que ça ne rend personne plus kon, ni n’améliore le cheptel…
 
Certains d’entre eux estiment même qu’à terme, l’IA pourrait mener à l’extinction de notre espèce.
Notez que quand on regarde notre espèce dans ses activités cognitives favorites, la violence, la guerre et l’entourloupe notamment, ce ne sera pas vraiment une grande perte pour les autres espèces.
Plutôt une bonne perspective, même.
C’est en tout cas ce qu’a révélé une enquête récente menée auprès de 2.778 « chercheurs » ayant publié des études sur l’IA.
Les participants ont partagé leurs opinions sur les délais d’atteinte de certaines étapes clés du développement de l’IA. Ils ont également été invités à réfléchir aux impacts potentiels que ces avancées technologiques pourraient avoir sur la société.
 
Ainsi, les « chercheurs-trouveurs » en question (qui nécessairement en savent plus que le commun des mortels) pensent qu’il y a au moins 50 % de chances qu’en 2028, les systèmes d’IA soient capables d’accomplir la majorité des tâches intellectuelles définissant l’humain à ce jour.
Si la « tâche intellectuelle » consiste à frémir devant un Fragonard, ou à inventer des explications iconoclastes à « mes fils rouges », je sens qu’on va bien en rire encore pour des générations et des générations.
 
Quoique, il en irait de même pour les compétences artistiques : Celles-ci incluent par exemple la composition autonome de chansons complètes qui seraient difficiles à distinguer des œuvres humaines, ou encore la création de sites web complets dédiés au traitement de transactions financières.
Et on parle de « compétences artistiques », là ?
Laissez-moâ rester dubitatif : Il y aurait comme un impératif besoin de remise à niveau des équipes de « chercheurs », à mon sens…
 
Cependant, relativement peu « d’experts-sachants » pensent que l’IA soit capable, d’ici là, de réaliser des tâches impliquant une interaction complexe avec le monde physique, comme l’installation de câblages électriques dans une nouvelle habitation.
Les systèmes d’IA ne pourront pas non plus, même en 2028 selon certains touveurs, traiter des problèmes qui nécessitent une compréhension profonde.
On en reparlera quand une IA sera capable de monter un meuble Ikéa, même avec le mode d’emploi…
 
Selon les estimations de ces mêmes « experts-sachants », il y a également 50 % de chances que d’ici 2047, l’IA soit capable de surpasser les humains dans tous les domaines, allant de la résolution de problèmes complexes à la prise de décisions clés, en passant par la création artistique et l’innovation.
D’ici le XXIIème siècle, il y a selon ces mêmes trouveurs environ 50 % de chances que tous les emplois soient entièrement automatisables. Ces probabilités reposent toutefois sur l’hypothèse que le développement de l’IA respecte un certain rythme, et qu’il y ait davantage d’innovation dans l’industrie.
Ce qui sera.
La chance de nos descendants : Ne rien faire que polluer !
 
Mais près de 58 % des « chercheurs-pas-trouveurs » interrogés estiment qu’il existe une probabilité de 5 % que l’IA puisse entraîner l’extinction de l’humanité, notamment après que l’IA générale ait vu le jour.
Il s’agit d’une forme d’intelligence artificielle très avancée surpassant largement les capacités intellectuelles et décisionnelles des humains.
Ainsi, ceux-là estiment que si une telle technologie échappait au contrôle humain, cela pourrait avoir des conséquences dramatiques.
Le drame, c’est que la biologie du vivant ait pu aboutir à ce genre de délire…
 
Notez que ces résultats peuvent être perçus de manière positive ou négative, selon le point de vue. Néanmoins, il reste probablement important de mettre en place des lignes directrices éthiques plus strictes, ainsi qu’une réglementation gouvernementale pour guider le développement de l’IA de manière à maximiser les bénéfices tout en minimisant les risques.
En effet, plus de 70 % des « trouveurs-chercheurs » interrogés sont préoccupés par divers risques liés à l’IA (même sans considérer ceux d’une IA surhumaine).
Ils craignent divers scénarios dramatiques, tels que l’utilisation en masse de la technologie pour manipuler l’opinion publique, pour développer des armes chimiques ou automatisées, pour surveiller et contrôler les populations avec minutie, etc.
Oui, mais Dukonnot, là il s’agit d’objectifs d’intelligence humaine. L’IA n’en a rien à faire et curieusement, personne ne s’interroge sur la portée de la konnerie humaine, dans cette et ces études-là…
 
Qui n’ont donc comme objectif secret que de vous faire peur, vous faire trembler de peur et vous pousser à toujours plus payer d’impôt pour financer des études débiles qui ne posent pas la bonne question : À quand interdira-t-on sauvagement les konnards de nuire à leurs contemporains ?
 
3 – À propos d’étude qui font avancer le genre humain, j’ai découvert qu’il existe une théorie sexiste partagée par une influenceuse d’extrême droâte.
C’est la théorie du « body count » qui a été popularisée sur les réseaux sociaux.
La question part d’une recherche sur le nombre de partenaires sexuels qu’on peut avoir dans une vie.
Populaire sur « TokTok » et X (anciennement « Twister ») depuis plusieurs mois la question est à l’origine d’un buzz où le terme de « body count », qui renvoie au bilan des victimes d’un événement comme une guerre ou une catastrophe naturelle, est détourné depuis plusieurs mois sur les réseaux sociaux.
 
Appelé « body count », ce nombre de partenaires définirait la valeur d’une femme, selon une ancienne porte-parole du mouvement d’extrême droâte « Génération identitaire », dissous par le gouvernement en 2021, et soutien « Riton-Zézé-Amour » et d’eau-fraîche en 2022.
Une donzelle de 24 ans qui ne connaît encore rien des turpitudes que vous réserve la vie mais qui est devenue une figure de l’extrême droâte sur les réseaux sociaux en est le porte-drapeau : On n’arrête décidément pas les kons, pas plus que les konnes.
Elle y défend donc « les valeurs traditionnelles », évoquant régulièrement les relations entre les hommes et les femmes.
Là, elle a raison : Comme Sacha Guitry, moâ-même je suis contre, tout contre !
 
Dans une vidéo publiée sur sa chaîne « YouEnTube » en décembre 2023, elle décrypte ainsi la théorie du « body count. » D’après elle, qui a été condamnée entre autres pour ses actions anti-migrants (elle a raison : Elle passera l’aspirateur chez elle elle-même, faute de main d’œuvre adéquate lors de ses vieux jours), le « body count » est « un critère crucial » pour un homme cherchant à séduire une femme.
Ah bon… ?
Je ne savais même pas que ça existait : D’accord, je suis né kon et je le suis resté (ça ne s’est d’ailleurs pas amélioré avec le temps qui passe…) !
 
Dans un plaidoyer de 11 minutes, elle explique qu’une femme multipliant les partenaires serait « moins stable » (la jolie lapalissade que voilà !) mettant en opposition les hommes qui ont, eux, « le droit de faire ce qu’ils veulent ».
« En tant qu’homme, n’abandonnez pas vos exigences à cause de la pression sociale », appelle-t-elle, avançant des arguments sur la virilité des hommes qui doivent « assumer ».
Assumer, assumer, seulement si je le veux bien, hein !
Dans une autre vidéo datant de mai, elle avance donc que « plus une femme a multiplié les expériences, moins elle produit d’ocytocine, et moins elle est apte à s’attacher durablement à un homme ».
Pute un jour, pute toujours, c’est ça ?
 
Un argument qui ne repose évidemment sur aucun fondement scientifique. Mais pour défendre sa position, la « tubeuse » se base notamment sur une étude de l’Institute for Family Studies (IFS), un think tank « ricain » défendant une vision rétrograde du mariage, confondant causalité et corrélation.
D’autres comptes « TokTok » évoquent le « body count » et cumulent parfois plusieurs millions de vues, à l’instar de Ugo Original (1,8 million d’abonnés), qui en ont fait une de leurs marques de fabrique.
C’est vraiment désolant.
 
De nombreux utilisateurs des réseaux sociaux s’amusent de ces vidéos, commentant les réponses du public interrogé.
Et si les hommes avec un « body count » important sont parfois félicités, les femmes sont dénigrées, voire insultées lorsqu’elles évoquent leurs relations passées.
Les pôvs’… elles ont en dû en croiser des « moins que rien », finalement…
C’est d’autant plus dément, que c’est juste une question d’opportunité, parfois dans des contextes compliqués…
D’ailleurs sur X, la superstar journalistique Salomé Saqué, autrice de « Sois jeune et tais-toi » et active sur les sujets liés au féminisme et à la jeunesse, rappelle que « sous couvert de divertissement, se cache parfois une idéologie réactionnaire, visant à faire du corps des femmes un objet de discussion public ».
Pas seulement de discussion, mais un objet tout court, qui bouge et qui râle.
Voire seulement de la chair à canon pour quelques dictateurs adulés par les foules en délire qui revoient vers leur Créateur nombre de leurs électeurs…
 
Alors qu’il s’agit d’un être humain… et toutes et tous d’un sujet de droit, au moins, dans mon pays à moâ-même.
Au moins encore un temps…
Passons.
 
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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