Connard, c’est une varice !
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant une bière, en terrasse, couverte :
« — Tu sais, tous ces imbéciles qui prétendent que la place des
femmes reste à la cuisine, quand ils disent ça, c’est qu’ils ne savent pas ce
qu’elles peuvent faire dans un lit !
— Les pov’… »
Marie-Claire et Germaine, sur une autre terrasse fermée et chauffée, chacune
devant une tasse de thé :
« — Je ne sais plus quoi faire… La famille de mon nouveau mec ne m’apprécie pas du tout et je le vis vraiment très mal…
— Mince alors ! Tu
veux dire, toute sa famille ?
— Non ! Surtout sa femme et ses gamins ! »
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une autre bière, mais
toujours à la même terrasse.
« — Tu sais ce que c’est que la neurophobie ?
— La quoi ?
— La neurophobie.
— Euh non, je ne vois pas. Un mot que tu viens encore d’inventer…
— Pas du tout, c’est la peur panique à la seule idée de devoir faire fonctionner ses neurones…
— …
— Pathologie du siècle et en nette accélération : Tu viens d’en donner la preuve… »
« — Tu savais que les valises d’une femme sont
composées à 70 % de « on ne sait jamais » ou de « juste au cas
où » ?
— Non, mais ça ne doit pas être faux… »
« — Moi, si je bois du vin et laisse tomber la bière,
c’est que je me soigne !
— Ah oui ?
— Bé oui ! C’est marqué Médoc ! »
Jean-Marc, dans un épisode de fâcherie, à son gamin :
« Et surtout ne me demande pas comment tu es venu
au monde !
Tu as vu ta mère ?
J’en ai encore des cauchemars ! »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« Hier soir, j’ai tellement bu de rhum que ce matin, en me réveillant, je parlais créole ! »
Jean-Marc, à table, s’adressant à Germaine assise en face de lui, qui n’en revient
pas :
« — Je t’aime… Je ne sais pas comment j’aurai pu vivre sans toi
toutes ces années !
— Ça vient de toi, ou c’est le vin qui parle à ta place ?
— Ça vient de moi et c’est à la bouteille de vin que je parle… »
Les mêmes, mais c’est Germaine qui parle :
« — Moi, quand tu parles, je deviens toute mouillée…
— Je t’excites tant que ça ?
— Non ! Tu postillonnes ! »
Jean-Marc et Jean-Paul…
« — En ce moment certains rongeurs de banlieue ont froid !
— Normal avec ce temps qu’il fait…
— Oui… Les rats caillent ! »
Germaine chez son médecin :
« — Que me conseillez-vous comme contraceptif ?
— Un simple démaquillant devrait suffire… »
Jean-Paul se plaint auprès Jean-Marc, sur la terrasse d’un autre
café, devant une nouvelle bière :
« — J’en ai marre ! C’est la deuxième fois qu’on me vide ma cuve à mazout !!!
Pourtant la bouche de remplissage est bien cachée sous une
vasque de fleurs.
— Moi, j’ai résolu le problème », lui répond Jean-Marc…
« — Ah oui ? Et comment tu fais ?
— J’ai acheté un gros bouton rouge avec marqué dessus en
blanc « MAZOUT » !
— Mais tu es fou ? Ils n’ont même plus à chercher !!!
— Bé ouais ! Mais le tuyau n’est pas relié à ma cuve à mazout mais à ma fosse septique !
Et ça fait trois fois que des cons me la vident gratuitement en six mois ! »
Jean-Claude s’approche de la table de Jean-Marc et de
Jean-Paul…
« — Ah, vous êtes là, les mecs !
Attention, je viens de découvrir une nouvelle
arnaque…
— Laquelle ?
— Les filles qui s’inscrivent sur le site « adopteunmec.com » ne veulent pas vraiment nous adopter, mais juste faire des trucs cochons avec nos zizis ! »
Le même qui ne se décide pas à s’assoir parce qu’il ne
boit pas de bière :
« Vous savez, j’en ai marre.
C’est la dernière fois que je rends service
à quelqu’un : J’ai compris. »
Et il raconte : « Hier, trop bon, trop con,
comme il faisait trop froid, j’ai rentré mon bonhomme de neige dans le salon,
par pitié.
Eh bien quoi ?
Non seulement il s’est barré dans la nuit, mais il a pissé partout sur mes tapis ! »
Dumè rapporte que ses « cousins » du FNLC se
sont arrêtés de faire des kidnapping contre rançon, le jour où les ravisseurs se
sont vus proposer par le mari de l’otage enlevée de garder sa femme contre le
paiement de la rançon demandée…
Justement Dumè, l’été, il aime bien faire du bronzage
intégral sur une de ses plages inattendues.
Par peur d’attraper un coup de soleil malsain mettant en péril ses activités nocturnes, il couvre son sexe de son chapeau.
Ce jour-là passe une dame, un sourire en coin, qui lui fait :
« Si vous étiez un gentleman courtois, vous soulèveriez votre chapeau. »
Et Dumè, qui n’aime pas être dérangé quand il fait la sieste, de répondre :
« Si vous étiez belle et ravissante, il se soulèverait tout seul ! »
Jean-Claude à Jean-Paul :
« Je suis célibataire depuis tellement longtemps, que le jour où j’aurai une femme, je ne saurai même pas quoi en faire !
Ça mange quoi ?
Il faut la promener souvent ? »
Jean-Marc à Jean-Paul, devant leur dernière bière de la journée :
« Tu sais, la vie est bizarre…
Tu pousses une porte quand c’est marqué « tirez »…
Quand tu as un bleu, tu appuies dessus pour savoir si ça te fait mal…
Tu arraches l’herbe quand tu es assis par terre…
Tu jettes la petite-cuillère dans la poubelle et garde le pot de yaourt que tu mets à laver…
Quand tu étais petit, tu marchais sur les carreaux sans toucher les lignes…
Tu es trop heureux quand tu te réveilles au milieu de la nuit et que tu te rends compte qu’il te reste du temps pour dormir…
Quand tu étais en primaire, tu regardais ton âge au fond d’un verre…
Tu as essayé de descendre toutes les couleurs de ton Bic à quatre couleurs en même temps…
Tu as déjà essayé de mettre l’antivol d’un caddie sur lui-même…
Tu continues de dire « c’est moi » à l’interphone…
Quand tu étais petit, tu prenais la mousse de ton bain pour faire le père-Noël…
Tu as essayé de mettre de l’eau dans un gant de toilette…
Quand tu n’as plus de réseau, tu mets ton portable en l’air comme un débile…
Et si tu te reconnais en souriant, c’est que l’humanité n’a pas beaucoup progressé ! »
« — Aujourd’hui, j’ai décidé d’assumer mon côté
féminin !
— Et comment tu fais ça ?
— Ça fait deux heures que je fais la gueule sans raison… »
Conseil de Jean-Marc à tous ceux qui skient « hors
piste »…
« Il faut mettre des saucisses dans ses poches !
Comme ça, en cas d’avalanche, les chiens
vous trouveront plus rapidement… »
C’est l’histoire d’un pauvre bougre qui cherchait un
appartement à louer.
Mais avec 8 enfants à charge, il se voyait toujours refuser la location d’un logement, malgré les garanties financières qu’il amenait.
« — Je ne sais plus quoi faire… La famille de mon nouveau mec ne m’apprécie pas du tout et je le vis vraiment très mal…
— Non ! Surtout sa femme et ses gamins ! »
— La neurophobie.
— Euh non, je ne vois pas. Un mot que tu viens encore d’inventer…
— Pas du tout, c’est la peur panique à la seule idée de devoir faire fonctionner ses neurones…
— …
— Pathologie du siècle et en nette accélération : Tu viens d’en donner la preuve… »
— Bé oui ! C’est marqué Médoc ! »
J’en ai encore des cauchemars ! »
« Hier soir, j’ai tellement bu de rhum que ce matin, en me réveillant, je parlais créole ! »
— Ça vient de moi et c’est à la bouteille de vin que je parle… »
« — Moi, quand tu parles, je deviens toute mouillée…
— Non ! Tu postillonnes ! »
« — En ce moment certains rongeurs de banlieue ont froid !
— Oui… Les rats caillent ! »
« — Que me conseillez-vous comme contraceptif ?
« — J’en ai marre ! C’est la deuxième fois qu’on me vide ma cuve à mazout !!!
— Moi, j’ai résolu le problème », lui répond Jean-Marc…
— Mais tu es fou ? Ils n’ont même plus à chercher !!!
— Bé ouais ! Mais le tuyau n’est pas relié à ma cuve à mazout mais à ma fosse septique !
Et ça fait trois fois que des cons me la vident gratuitement en six mois ! »
« — Ah, vous êtes là, les mecs !
— Laquelle ?
— Les filles qui s’inscrivent sur le site « adopteunmec.com » ne veulent pas vraiment nous adopter, mais juste faire des trucs cochons avec nos zizis ! »
« Vous savez, j’en ai marre.
Non seulement il s’est barré dans la nuit, mais il a pissé partout sur mes tapis ! »
Par peur d’attraper un coup de soleil malsain mettant en péril ses activités nocturnes, il couvre son sexe de son chapeau.
Ce jour-là passe une dame, un sourire en coin, qui lui fait :
« Si vous étiez un gentleman courtois, vous soulèveriez votre chapeau. »
Et Dumè, qui n’aime pas être dérangé quand il fait la sieste, de répondre :
« Si vous étiez belle et ravissante, il se soulèverait tout seul ! »
« Je suis célibataire depuis tellement longtemps, que le jour où j’aurai une femme, je ne saurai même pas quoi en faire !
Il faut la promener souvent ? »
Quand tu as un bleu, tu appuies dessus pour savoir si ça te fait mal…
Tu arraches l’herbe quand tu es assis par terre…
Tu jettes la petite-cuillère dans la poubelle et garde le pot de yaourt que tu mets à laver…
Quand tu étais petit, tu marchais sur les carreaux sans toucher les lignes…
Tu es trop heureux quand tu te réveilles au milieu de la nuit et que tu te rends compte qu’il te reste du temps pour dormir…
Quand tu étais en primaire, tu regardais ton âge au fond d’un verre…
Tu as essayé de descendre toutes les couleurs de ton Bic à quatre couleurs en même temps…
Tu as déjà essayé de mettre l’antivol d’un caddie sur lui-même…
Tu continues de dire « c’est moi » à l’interphone…
Quand tu étais petit, tu prenais la mousse de ton bain pour faire le père-Noël…
Tu as essayé de mettre de l’eau dans un gant de toilette…
Quand tu n’as plus de réseau, tu mets ton portable en l’air comme un débile…
Et si tu te reconnais en souriant, c’est que l’humanité n’a pas beaucoup progressé ! »
— Ça fait deux heures que je fais la gueule sans raison… »
« Il faut mettre des saucisses dans ses poches !
Mais avec 8 enfants à charge, il se voyait toujours refuser la location d’un logement, malgré les garanties financières qu’il amenait.
Un jour, il a l’idée d’envoyer sa femme et 7 de leurs
enfants visiter le cimetière qui donnait sur un appartement qu’il visait,
histoire de vérifier que les voisins n’étaient pas trop bruyants.
Quand il se présente avec son aîné au propriétaire du logement visé, celui-ci lui demande naturellement combien il a d’enfant.
« Huit ! » répondit-il fier et sans mentir. « Mais les 7 autres sont au cimetière en face avec leur mère ! »
Il a eu son appartement…
Une revenue de loin :
Comment passer un grand moment avec une femme en traversant 21 départements Gauloisiens ?
Il faut d’abord s’en faire une Allier ;
S’assurer qu’elle est Seine, bien en Cher et que Savoie vous séduise ;
Lorsqu’on sent son Eure venue, on commence par lui caresser le Haut-Rhin et on descend vers le Bas-Rhin ;
On contourne ensuite l’Aisne pour s’engouffrer vers la Creuse ;
Là, si ça se Corse, il faut trouver quelque chose de Doubs à dire ou à faire ;
Sans perdre le Nord, et pour gagner son Paris, on attend que ça Vienne et si on ne se débrouille pas comme un Manche, on peut entrer en Gard et y rester jusqu’à l’Aube ;
En Somme, il ne s’agit Pas-de-Calais ni de s’endormir comme un Loire si l’on veut devenir un Hérault de l’amour…
Jean-Marc à Jean-Paul :
« Tu sais, je viens de payer un abonnement de 12
mois à une salle de sport et ma banque vient de m’appeler pour savoir si ma
carte avait été volée… »
Jean-Marc à Marie-Chantal :
« — Demain, je passe te prendre…
— Pour aller où ?
— Non, je passe te prendre, c’est tout ! »
Le même à Jean-Paul :
« — Quand une caissière s’absente deux minutes, peut-on dire qu’elle a lâché une caisse ?
— Question con… »
Les mêmes :
« — Tu sais, l’énervement d’une femme est inversement proportionnel à la longueur de sa réponse à une question quelconque.
Plus c’est court, plus elle est énervée…
— Exact… Quand tu n’a pas de réponse, c’est qu’elle te méprise et ta question avec… »
C’est l’histoire d’un vieux couple de paysans qui fête
ses 30 ans de mariage.
« — Tu te souviens, quand il y a 30 ans nous avons fait l’amour dans le champ et que tu t’agrippais à la barrière…
Tu sais ce qui me ferait plaisir ?
C’est qu’on refasse ça !
— D’accord, vieux cochon ! »
Et les voilà partis main dans la main jusqu’au champ de
leurs premières amours, et ils remettent le couvert avec passion !
À la fin :
« Bon sang, la Marie, tu bouges encore plus qu’il y a 30 ans ! » fait-il étonné.
Et la Marie de lui répondre : « C’est qu’il y a 30 ans, la barrière n’était pas électrifiée ! »
Quand il se présente avec son aîné au propriétaire du logement visé, celui-ci lui demande naturellement combien il a d’enfant.
« Huit ! » répondit-il fier et sans mentir. « Mais les 7 autres sont au cimetière en face avec leur mère ! »
Il a eu son appartement…
Comment passer un grand moment avec une femme en traversant 21 départements Gauloisiens ?
Il faut d’abord s’en faire une Allier ;
S’assurer qu’elle est Seine, bien en Cher et que Savoie vous séduise ;
Lorsqu’on sent son Eure venue, on commence par lui caresser le Haut-Rhin et on descend vers le Bas-Rhin ;
On contourne ensuite l’Aisne pour s’engouffrer vers la Creuse ;
Là, si ça se Corse, il faut trouver quelque chose de Doubs à dire ou à faire ;
Sans perdre le Nord, et pour gagner son Paris, on attend que ça Vienne et si on ne se débrouille pas comme un Manche, on peut entrer en Gard et y rester jusqu’à l’Aube ;
En Somme, il ne s’agit Pas-de-Calais ni de s’endormir comme un Loire si l’on veut devenir un Hérault de l’amour…
— Non, je passe te prendre, c’est tout ! »
« — Quand une caissière s’absente deux minutes, peut-on dire qu’elle a lâché une caisse ?
— Question con… »
« — Tu sais, l’énervement d’une femme est inversement proportionnel à la longueur de sa réponse à une question quelconque.
— Exact… Quand tu n’a pas de réponse, c’est qu’elle te méprise et ta question avec… »
« — Tu te souviens, quand il y a 30 ans nous avons fait l’amour dans le champ et que tu t’agrippais à la barrière…
C’est qu’on refasse ça !
— D’accord, vieux cochon ! »
À la fin :
« Bon sang, la Marie, tu bouges encore plus qu’il y a 30 ans ! » fait-il étonné.
Et la Marie de lui répondre : « C’est qu’il y a 30 ans, la barrière n’était pas électrifiée ! »
Une petite dernière ?
Ce sont de sales gamins qui interrogent d’abord leur père :
« — Dis papa, combien il y a de sorte de seins ?
— 3 sortes ! Quand les femmes ont 20 ans, c’est comme
des melons, ronds et fermes.
Entre 30 et 50 ans, ce sont des poires. Encore beaux quoique pendants.
À 60 ans et plus, c’est comme des oignons !
— Des oignons ?
— Oui ! Quand tu les vois, ils te font pleurer… »
La petite sœur du garnement pose une question similaire à sa mère :
« — Dis maman, il y a combien de sorte de pénis ?
— L’homme passe par trois phases : À 20 ans, son zizi
est un chêne, dur et puissant.
Entre 30 et 50 ans, c’est comme un bouleau : Souple et fiable.
À partir de 60 ans, c’est comme un sapin de Noël !
— Un sapin de Noël ???
— Oui, l’arbre est mort et les boules sont juste là pour la décoration… »
Bon week-end à toutes et tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A
ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA
DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE »
!
Ce sont de sales gamins qui interrogent d’abord leur père :
« — Dis papa, combien il y a de sorte de seins ?
Entre 30 et 50 ans, ce sont des poires. Encore beaux quoique pendants.
À 60 ans et plus, c’est comme des oignons !
— Des oignons ?
— Oui ! Quand tu les vois, ils te font pleurer… »
« — Dis maman, il y a combien de sorte de pénis ?
Entre 30 et 50 ans, c’est comme un bouleau : Souple et fiable.
À partir de 60 ans, c’est comme un sapin de Noël !
— Un sapin de Noël ???
— Oui, l’arbre est mort et les boules sont juste là pour la décoration… »
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