Comme pour les chasseurs, il y aurait des bons gays et des mauvais gays…

J’avoue que « Gaby-le-magnifique » fait fort !
 
En fait, lui, ce n’est jamais qu’une marionnette de plus qui obéit au doigt et à la voix de son maître, « Jupiter » : Il en a le profil, sans personnalité affirmée, tel un ectoplasme… rien de plus !
Il accepte de jouer ce rôle, ou demain il n’est plus rien. Son meilleur rôle finalement, qui va lui aller à merveille.
Ce n’est évidemment pas lui qui aura eu l’idée de composer un gouvernement de bric et de broc, de « sinistres » socio-traîtres, pour reprendre le vocable de « Rachi-Dada-Mimi » qui désormais en fait partie pour moins qu’un plat de lentille.
 
Celle-là, sans vouloir en rajouter, elle fait bien partie de son « ethnie », de cette culture où tous les coups sont permis du moment qu’ils sont gagnants…
Un jour, dans ma carrière, j’ai été Secrétaire Général d’un feuj turc de patron.
Il avait un faible pour les goys : « Les juifs, il faut s’en méfier, surtout les séfarades. Mais les pires, ce sont les maghrébins, tous les maghrébins. Quelle que soit leur origine sociale ou géographique.
Et la deuxième génération est pire que la première. En plus, elle sera dépassée par la troisième, vous verrez !
Vous n’êtes ni l’un ni l’autre, c’est pour ça que je vous ai choisi ! »
Mais mon successeur, une fois sa boîte un peu mieux en état de marche que quand je suis arrivé, était un ashkénaze…
« Rachi-Dada Mimi » ne fait finalement pas mentir son sang.
Et c’est très bien ainsi : Elle à la « kul-turture », comme un tablier à une vache, on sait déjà à quoi s’attendre et ce n’est pas plus mal, d’autant qu’il faut lui reconnaître du talent dans ses entourloupes de mise en examen…
Passons : On lui fera boire le gros bouillon aux prochaines municipales parigotes.
 
Il n’a pas pu déboulonner tous les « barons » de l’empire jupitérien, déjà présents depuis le premier mandat de « Jupiter » leur maître, pas plus que la seconde vague, et c’est au contraire « Jupiter » soi-même qui aura manifestement imposé, « Veau-Train » et quelques autres, même s’ils sont peu recommandables.
Qui aura fait le choix « contre-nature » de la « sinistre de « les-Ducs-à-Sion », je m’interroge encore ?
Parce que celle-là, comme pimbêche, elle se pose là !
Je peux vous dire, « ma Nichée » aura fréquenté Littré à une époque désormais reculée.
De la maternelle au collège. Que des profs d’élite qui auront galéré pour arriver jusque-là dans les « beaux quartiers-rive gôche » de la kapitale, avec des parcours à mutation « au mérite » pas aisé à obtenir.
Bon, un repaire d’écololos-bobos également : J’aurai au moins connu « Deux-Noix » le seul instit’ capable d’emmener sa classe « découverte » sur l’île d’Yeu visiter la tombe du Maréchal « nous voilà »… Et qui le premier jour fait ses adieux à sa classe en fin de cour en sautant par la fenêtre !
Si… mais elle donnait sur le toit des chiottes.
 
Des absences, je n’en ai jamais entendu parlé dans cette ékole, pas même pour cause de maladie ou un quelconque « mouvement social »…
La « sinistre » ne sait pas pour ne pas trop fréquenter l’endroit, remplacée par ses nounous, je suppose, celles à crédit d’impôt, naturellement.
Bref, une groβ konnerie, parfaitement inutile.
Elle aurait expliqué qu’elle voulait éviter Montaigne, Paul Bert ou Victor Duruy, pas toujours bien fréquenté (il y a plein de gamins de diplomates de pays pas vraiment recommandables…), j’aurai compris.
Mais il y a aussi Lavoisier, H4, Louis le Grand, et quelques autres assez sympathiques dans ce quartier du sénat…
 
Des erreurs de casting ?
Probablement (sauf qu’à la conférence de « Jupiter », j’avais l’impression d’une réunion de synagogue : Il n’y avait que ça ou presque, même chez les journaleux), d’autant qu’il y a des manquants-départs à l’appel, notamment les « ceux-ce » qui entouraient « Bébé-Roux » dans un délire de disgrâce, de forfaiture et manque de classe, déficience et insuffisance-crasse, qui se pensaient « trop intelligents » pour se faire comprendre.
Ceux-là persisteront-ils à manger la poussière après le tour des secrétaires d’État ?
À suivre…
 
Mais alors là, avec le nouveau « sinistre de la diplomatie », franchement, c’est d’une rare konnerie qu’il convient de souligner.
D’abord, « C’est-jour-né » ne sait pas parler « la France » (il paraît que c’est parce qu’il avait été dyslexique, que j’en rigole encore), mais ensuite c’est l’ex-pacsé de « Gaby-le-magnifique », (le « chef » de ce gouvernement-là de marionnettes) !
Hein qu’il est magnifique, n’est-ce pas : Espère-t-il reformer son couple, ou est-ce simplement une nomination « reconnaissance du ventre », une sorte de promotion canapé pour services rendus tous les soirs et dans l’intimité ?
Je ne sais, pas : Je suppute seulement…
Parce que bosser en couple, franchement, ce n’est pas drôle tous les jours.
On attend donc la suite, pour mieux comprendre les desseins de « Jupiter », qui devrait arriver dans la semaine…
 
En attendant, j’entendais déjà mes « potes-réacs » râler qu’un soi-disant gouvernement de phoques gays dédié exclusivement à leur cause identitaire était à l’œuvre et, patatras, on aura appris que si des associations « LGBTQIHPI++ » voient dans cette promotion un « progrès », ce n’est pas le cas des militants les plus radicaux.
« Se réjouir de la nomination de Gabriel Attal car il est gay, c’est se rendre complice de toutes les horreurs racistes, classistes, cishétérosexistes que son homosexualité rendra possibles », pontifie un doctorant en sociologie à l’université Paris VIII, en réaction à la publication d’un édito du magazine Têtu dans lequel l’auteur avait eu l’outrecuidance de se réjouir de voir un homosexuel assumé nommé à Matignon.
Après plusieurs centaines de milliers de vues, le « twist » sera finalement censuré par les modérateurs.
 
« Gaby-le-magnifique », comme pour les chasseurs, ne serait donc pas un « bon » gay.
Comme chacun le sait, il y a des bons et des mauvais chasseurs.
Eh bien c’est pareil pour les homosexuels !
Je découvre, figurez-vous…
« Nous nous doutions que la nomination de Gabriel Attal à Matignon donnerait lieu à un déchaînement homophobe sur les réseaux sociaux. Mais nous n’avions en revanche pas imaginé que les attaques les plus violentes viendraient de la frange la plus radicale du militantisme LGBT », soupire le président de l’association « LGBT universaliste Fiertés citoyennes ».
(Mais non, je n’ai rien contre les « homos », absolument rien de contre… : Je ne suis pas homophobe, au pire j’en rigole franchement !
En effet, comment peut-on devenir responsable de la vie d’autrui sans savoir ce que sait que « les biberons de quatre heures du mat’ » avant une journée complète de boulot ?
Bref, je m’interroge, c’est tout…)
 
Certains membres radicaux, très actifs sur les réseaux sociaux, estiment en effet que le nouveau « Premier sinistre » n’est décidément pas un « bon » gay.
Une des raisons viendrait du fait qu’il assumerait son homosexualité « sans ostentation ou revendications identitaires », une faute grave à l’heure où les passions identitaires travaillent l’extrême gôche.
D’ailleurs, les militants les plus téméraires ont carrément suggéré que son homosexualité serait exploitée politiquement par le gouvernement pour légitimer une politique « raciste, liberticide et antidémocratique » en référence à un article de Mediapart titré « Le Premier ministre gay mais pas trop ».
 
Une observation fine puisque, sur TikTok par exemple, une jeune créatrice de contenus non-binaire vient même reprocher – dans une vidéo vue plus de 160.000 fois – à « Gaby-le-magnifique » son homosexualité « non subversive », qui serait en vérité « une stratégie de la droite ».
Mon Dieu, j’en tremble : Un complot droâtiste alors ?
« Ces militants réduisent ainsi l’intéressé et son engagement politique à sa seule orientation affective et sexuelle, comme le ferait n’importe quel homophobe, en somme », peut-on en conclure avec quelques-uns.
Les membres de Fiertés citoyennes se mobilisent de leur côté pour contenir du mieux qu'ils le peuvent cette approche identitaire et partisane du militantisme « LGBTQIHPI+++ ».
 
Aussi surprenant que cela puisse paraître, le rejet des « gays blancs » au nom de la lutte contre l’homophobie inclusive existerait donc.
Certains parlent ainsi de « privilège homosexuel blanc ». C’est le cas de cette militante intersectionnelle anglo-saxonne qui est l’une des fondatrices de la « UK Black Pride », qui détaillait dès 2022 cette pensée du gay blanc « trop intégré ».
Déjà en 2019, l’activiste et auteur George Johnson, se définissant comme « black non-binary », publiait dans NBC news un papier d’opinion dans lequel il développait sa pensée : « Même si nous partageons les mêmes oppresseurs, les queers blancs doivent accepter le fait qu’ils jouent un rôle dans le préjudice subi par leurs frères et sœurs noirs et métis ».
Arf : N’importe quoi, je veux, tiens donc !
Pour les militants « LGBTQIHPI+++ » radicaux, un bon gay ne peut être que non-blanc, forcément de gôche et certainement un social-opprimé, sinon c’est un traître.
De quoi en rire, n’est-ce pas…
 
Est-ce que « Jupiter » avait pensé à tout ça en portant son choix sur le jeune et inexpérimenté « Gaby-le-Magnifique » ou pensait-il trouver ce que « Bibi » son épouse ne sait plus lui donner…
À moins que ce soit elle qui se régale des frasques passées de son mari quand il fréquentait encore les boîtes gays du « Gai-Paris » ?
 
« L’Histoire retiendra que la première fois qu’un Premier ministre ouvertement gay a été nommé, c’était en 2024, et c’était Gabriel Attal », déclara pompeusement le directeur de la rédaction du magazine Têtu.
Bé si maintenant il faut tâter de « l’orgasme prostatique » pour faire carrière en politique et servir ainsi son pays, ça va devenir compliqué d’être ainsi mené à la baguette et par la braguette par une minorité, qu’on pourrait en présumer…
Pour ce dernier comme pour beaucoup de militants « LGBTSIHPI+++ », ce 9 janvier était un jour à marquer d’une pierre rose, « une bonne nouvelle en soi », « un fait politique majeur », le dépassement d’un « plafond de verre historique ». La fierté homosexuelle était pareillement de mise du côté de SOS Homophobie, du RAVAD (Réseau d'assistance aux victimes d’agressions et de discriminations) ou encore de l’auteur du sulfureux Sodoma, qui se félicita carrément d’une « victoire symbolique pour la cause LGB ».
Le champagne était sur le point d’être débouché.
Oui, voilà : On est carrément dans la symbolique surréaliste, finalement…
 
Car deux jours plus tard, la fête était déjà finie. Les sourires avaient disparu des visages, les drapeaux arc-en-ciel avaient été remisés au placard. L’égérie « LGBTQIHPI+++ » venait de dévoiler son gouvernement et les militants s’estimaient trahis : « On n’avait jamais eu, depuis la fin de Nicolas Sarkozy, un gouvernement avec autant de membres de la Manif’ pour tous », se lamenta le directeur de la rédaction de Têtu.
« La composition du Gouvernement annoncée est une douche froide pour les droits des personnes LGBTI », renchérit SOS Homophobie, qui se fendit même d’une tribune indignée dans Libération.
Encore plus en colère, « Le Coin des LGBT » dénonça la présence de « 6 ministres homophobes » au sein du gouvernement de « Gaby-le-magnifique », pointant nommément « Aurore-Berre-j’ai » (coupable de s’être exprimée contre le mariage pour tous) et « Rachi-Dada-Mimi » (coupable de s’être opposée à la PMA).
 
Et, passé le moment de gloire déjà écorné des premiers moments de liesse, comme pour mieux salir le nouveau « Premier sinistre », Mediapart ressortit de derrière les fagots une vieille affaire d’homophobie supposée au collège Stanislas : « Depuis août, Gabriel Attal refuse de rendre publique l’enquête administrative visant Stanislas où sont scolarisés les enfants d’Amélie Oudéa-Castéra », vitupéra le militant David Perrotin. « Homophobie, sexisme, apologie du viol… Le rapport est accablant. »
Moâ, je me méfierai plus des « petits-gris » (les pères papistes qui administrent l’ékole), pour avoir eu, dans une autre vie, à fréquenter les « petits-noirs » de Saint-Sulpice où il s’agissait de confesser des « pensées honteuses » qui n’existaient que dans leurs esprits de tordus…
 
Bref, et en synthèse, le contentieux entre ces activistes et « Gaby-le-magnifique » ne date pas d’hier. L’extrême gôche ne pardonne pas au jeune « Jupitérien » sa modération sur la question des fameux « droits LGBT ». Elle lui reproche son manque de militantisme. Ce faisant, elle l’assigne à résidence identitaire, le réduit à son orientation sexuelle et l’accuse, en quelque sorte, d’être un traître à la cause.
Finalement, s’il en fallait encore une nouvelle preuve, le racisme et le sexisme, l’homophobie, se trouve aujourd’hui à gôche.
Quelle perte des « humanités »…
 
De là à évoquer dans un prochain billet, « le plan » qui aura amené « Jupiter » à initier de cette façon-là, la seconde phase de son second mandat.
Car, je ne crois pas du tout au hasard, mais au contraire à une préparation minutieuse de la part de « Jupiter » : On l’aura vu lors de sa conférence de presse de la semaine dernière, et sa façon magistrale de repasser son « grand-oral » de l’ENÂ devant plus de 8 millions de téléspectateurs en maitrisant avec facilité et aisance tous les sujets abordés à « l’improviste ».
Il y a manifestement une stratégie qui pèse de son pesant de « jus de neurone » à haute densité et qui se dévoile petit à petit.
Nous y reviendrons donc…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !