Jean-Marc reste prévoyant !
Ainsi il entre dans la boutique d’un papetier et demande à la vendeuse :
« ― Avez-vous une carte où il est imprimé « tu es l’unique amour de ma vie » ?
― Oh comme c’est romantique » lui sourit la vendeuse. « Oui,
je crois que nous avons ça…
― Alors donnez en moi huit, s’il vous plait ! Merci… »
Jean-Marc se confie au café à Jean-Paul, chacun devant une bière :
« Parfois, je dis à ma femme : ce soir je vais te faire l’amour
pendant des heures… parce que c’est important de la faire rire ! »
Plus tard :
« ― Tu sais pourquoi les trains espagnols sont silencieux ?
― Ah bon ? Non, je ne sais pas…
― Parce que la bielle de Cadix à l’essieu de velours, tiens donc !
― Que tu peux être con… »
Le gamin de Jean-Marc, en crise, fait face à sa mère :
« Ne crie pas après moi !!!
Je ne suis pas ton mari ! »
Jean-Richard à Jean-Marc :
« ― Moi, mon épouse m’appelle « mon trésor » ou « mon cœur » !
Et toi, Germaine, elle t’appelle comment ?
― En gueulant ! »
Germaine à Jean-Marc :
« ― Et si tu me prenais comme une bête sur le lave-linge en mode essorage ?
― Encore ? Déjà fait il y a 3 ans… »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« Tu sais, il faut savoir être tolérant avec ceux qui ne pensent pas comme nous.
Ce n’est pas de leur faute s’ils sont de si gros cons ! »
Entendu pour vous un enregistrement automatique d’une conversation au central du 18 alias 112 :
« ― Vous avez demandé les pompiers…
― Oui, le 18 ?
― Oui, je vous écoute…
― Il y a le feu chez moi !!!
― Vous connaissez l’origine du feu ?
― Ben je crois que c’était à la préhistoire… Mais on s’en fout là : venez vite ! »
Scène de ménage chez Jean-Marc.
Le gamin demande à ses parents :
« ― C’est où le col du fémur ?
― Si tu avais révisé ta géographie, tu ne poserais pas la question :
tu le saurais ! »
Et Germaine de rajouter…
« Qu’il est con ce gamin : tout ton portrait ! »
Jean-Paul :
« C’est drôle, mais la cinquantaine arrivée, on ne reconnait plus les lettre de près.
En revanche on reconnait les cons de loin… »
Jean-Michel à Jean-Paul :
« ― Hier, on est tombé en panne en pleine nuit sur une route de campagne…
― Et vous avez paniqué ?
― Si, mais sur la banquette arrière en attendant la dépanneuse… »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« ― Quelle connerie de compter les moutons avant de dormir !
― Et pourquoi donc ?
― Hier, il m’en manquait un. J’ai passé toute la nuit à le chercher… »
Une petite fille à son père :
« ― Papa, tu me donnes un euro si je te dis avec qui maman dort l’après-midi quand tu es à l’atelier ?
― Tiens : En voilà dix ! C’est qui ?
― C’est moi… »
Jean-Marc à Jean-Paul :
« ― Le monde est décidément mal fait.
― Pourquoi tu dis ça ?
― Bé quand une femme tombe enceinte, tout le monde veut la féliciter et
lui toucher son ventre…
― C’est naturel, non ?
― Oui… peut-être !
― Eh bin alors ?
― Bin alors ?
Mais personne ne pense à
toucher le sexe du père et féliciter ses coucougnettes en disant « bon
travail » ! »
Marie-Chantal, avec son nouveau gigolo :
« ― Fais-moi l’amour !
― Comme une bête ?
― Non, juste bien : ça suffira ! »
Jean-Gabriel à Jean-Marc :
« ― Grâce à mon travail, j’ai encore emballé une femme, hier !
― Tu fais quoi comme boulot, déjà ?
― Médecin légiste… »
Jean-Marc à Jean-Paul, devant une nouvelle bière :
« ― Les femmes, tout de même, c’est incroyable…
― Oui on sait, mais pourquoi donc, là ?
― Elles sont capables de mouiller sans toucher l’eau ;
De saigner sans se blesser ;
De donner du lait sans manger d’herbe ;
Et de te casser les couilles sans te les toucher ! »
Jean-Marc drague :
« ― Et sinon, tu es une fille coquine ?
― Euh… pas trop, non !
― Genre, t’as fait quoi de chaud ?
― Euh… des cookies… »
Jean-Paul, passablement furax, s’adresse à Jean-Marc qui sirote paisiblement sa chope de bière :
« ― Tu sais quoi …
― Non, pas encore…
― Le mec qui a dit que souffrir ça fait grandir, c’est sûrement le même
connard qui a dit que marcher dans la merde ça porte bonheur !
― …
― Eh bien non ! Ça pue et ça glisse ! J’en ai encore partout ! »
Dialogue entre une mère et son petit garçon :
« ― Maman !
― Oui ?
― Est-ce que j’ai été adopté ?
― Non mais vraiment, et tu crois que c’est toi qu’on aurait choisi ? »
Complainte de Jean-Claude à Jean-Marc :
« Tu sais, quand j’apporte le petit déjeuner au lit, je commence à en avoir marre !
Un petit « merci » de temps en temps me ferait du bien.
Mais au lieu de ça j’ai droit à des « mais t’es qui toi ? » ou « comment t’as fait pour rentrer chez moi ! »
Germaine à Marie-Chantal, chacune devant une tasse de thé et quelques biscuits :
« Hier, j’ai vu mon voisin qui secouait son tapis par la fenêtre…
Je lui ai alors dis : Alors, Aladin, ça ne veut pas
démarrer ce matin ?
Il m’a traité de connasse…
Les gens n’ont décidément aucun humour en ce moment… »
Jean-Marc à Germaine :
« ― Tu sais les temps son difficile et on ne parvient pas à
joindre les deux bouts.
L’idéal serait de faire encore quelques économies en
apprenant à faire des choses qu’on délègue à d’autres.
Par exemple, si tu apprenais à repasser correctement le linge, on pourrait faire l’économie de la femme de ménage…
― Ok… Même que si tu apprenais à me procurer des orgasmes, on pourrait faire l’économie du jardinier ! »
Communication du Vatican :
« Nous informons les croyants qu’être au lit à poil avec quelqu’un et crier « Mon Dieu, mon Dieu ! » ne sera jamais considéré comme une prière… »
François…
Jean-Marc rouspète :
« Non mais regarde tous ces imbéciles qui passent sous les radars 20
km/heure sous la vitesse limite !
Ils pensent peut-être que ça va leur rajouter des points à
leur permis !!! »
Germaine à Marie-Chantal :
« ― Il t’aime au moins !
― Oui, très fort !
― Il te respecte ?
― Oui !
― Il t’est fidèle ?
― Oui, aussi ! Très…
― Non mais tu te moques… Il existe au moins ?
― Oui…
― C’est qui ? Je le connais ?
― C’est mon chien ! »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« Je préfère ne pas raconter mes problèmes personnels à quiconque.
20 % s’en foutent et 80 % sont bien contents que je sois
dans la merde ! »
Plus tard, Jean-Marc à Jean-Paul…
« Je crois que quand on pète et qu’on éternue en même temps… ça veut dire que ton corps fait « une capture des crans » »
Encore plus tard :
« ― Je crois que ce n’est pas raisonnable de boire plus de trois litres de bière par jour.
― Ah bon… Et pourquoi ?
― Tu n’as plus le temps d’écouter ou de t’occuper des autres…
― Ah bon ?
― Bé oui : tu es trop occupé à pisser ! »
« ― L’économie française, finalement c’est très simple…
― … peut-être.
― Oui, c’est paradis pour les uns et c’est pas un radis pour les autres ! »
« Un conseil, Jean-Marc…
Si tu veux connaître tes vrais amis, perds ton boulot, tombe
malade, sois en galère et divorce : Tu vas y voir plus clair ! »
Marie-Chantal à Germaine :
« ― J’avais fait quatre tests de grossesses pour être sûre…
Tous positifs…
Je les ai montrés à mon mari et il s’est mis à pleurer !
Il m’a demandé comment on allait faire pour nourrir quatre bouches supplémentaires !
Voilà pourquoi j’ai divorcé et avorté d’un mec aussi con…
― Tu as bien fait : ils sont déjà trop nombreux comme ça à polluer la planète.
― Je ne comprends pas le gouvernement qui veut « réarmer »
démographiquement le pays avec une telle densité de « résidus de bidet »
comme géniteur.
― Ah ça, c’est bien vrai ça ! ça ne donne pas envie…
Une autre tasse de thé, peut-être ? »
Bon week-end à toutes et tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Ainsi il entre dans la boutique d’un papetier et demande à la vendeuse :
« ― Avez-vous une carte où il est imprimé « tu es l’unique amour de ma vie » ?
Jean-Marc se confie au café à Jean-Paul, chacun devant une bière :
Plus tard :
« ― Tu sais pourquoi les trains espagnols sont silencieux ?
― Parce que la bielle de Cadix à l’essieu de velours, tiens donc !
― Que tu peux être con… »
Le gamin de Jean-Marc, en crise, fait face à sa mère :
« Ne crie pas après moi !!!
Jean-Richard à Jean-Marc :
« ― Moi, mon épouse m’appelle « mon trésor » ou « mon cœur » !
Et toi, Germaine, elle t’appelle comment ?
― En gueulant ! »
Germaine à Jean-Marc :
« ― Et si tu me prenais comme une bête sur le lave-linge en mode essorage ?
Jean-Paul à Jean-Marc :
« Tu sais, il faut savoir être tolérant avec ceux qui ne pensent pas comme nous.
Entendu pour vous un enregistrement automatique d’une conversation au central du 18 alias 112 :
« ― Vous avez demandé les pompiers…
― Oui, je vous écoute…
― Il y a le feu chez moi !!!
― Vous connaissez l’origine du feu ?
― Ben je crois que c’était à la préhistoire… Mais on s’en fout là : venez vite ! »
Scène de ménage chez Jean-Marc.
Le gamin demande à ses parents :
« ― C’est où le col du fémur ?
Et Germaine de rajouter…
« Qu’il est con ce gamin : tout ton portrait ! »
Jean-Paul :
« C’est drôle, mais la cinquantaine arrivée, on ne reconnait plus les lettre de près.
Jean-Michel à Jean-Paul :
« ― Hier, on est tombé en panne en pleine nuit sur une route de campagne…
Jean-Paul à Jean-Marc :
« ― Quelle connerie de compter les moutons avant de dormir !
― Hier, il m’en manquait un. J’ai passé toute la nuit à le chercher… »
Une petite fille à son père :
« ― Papa, tu me donnes un euro si je te dis avec qui maman dort l’après-midi quand tu es à l’atelier ?
Jean-Marc à Jean-Paul :
Marie-Chantal, avec son nouveau gigolo :
« ― Fais-moi l’amour !
Jean-Gabriel à Jean-Marc :
« ― Grâce à mon travail, j’ai encore emballé une femme, hier !
Jean-Marc à Jean-Paul, devant une nouvelle bière :
De donner du lait sans manger d’herbe ;
Et de te casser les couilles sans te les toucher ! »
Jean-Marc drague :
Jean-Paul, passablement furax, s’adresse à Jean-Marc qui sirote paisiblement sa chope de bière :
« ― Tu sais quoi …
Dialogue entre une mère et son petit garçon :
« ― Maman !
Complainte de Jean-Claude à Jean-Marc :
« Tu sais, quand j’apporte le petit déjeuner au lit, je commence à en avoir marre !
Mais au lieu de ça j’ai droit à des « mais t’es qui toi ? » ou « comment t’as fait pour rentrer chez moi ! »
Germaine à Marie-Chantal, chacune devant une tasse de thé et quelques biscuits :
« Hier, j’ai vu mon voisin qui secouait son tapis par la fenêtre…
Il m’a traité de connasse…
Les gens n’ont décidément aucun humour en ce moment… »
Jean-Marc à Germaine :
Par exemple, si tu apprenais à repasser correctement le linge, on pourrait faire l’économie de la femme de ménage…
― Ok… Même que si tu apprenais à me procurer des orgasmes, on pourrait faire l’économie du jardinier ! »
Communication du Vatican :
« Nous informons les croyants qu’être au lit à poil avec quelqu’un et crier « Mon Dieu, mon Dieu ! » ne sera jamais considéré comme une prière… »
François…
Jean-Marc rouspète :
Germaine à Marie-Chantal :
« ― Il t’aime au moins !
Jean-Paul à Jean-Marc :
« Je préfère ne pas raconter mes problèmes personnels à quiconque.
Plus tard, Jean-Marc à Jean-Paul…
« Je crois que quand on pète et qu’on éternue en même temps… ça veut dire que ton corps fait « une capture des crans » »
Encore plus tard :
« ― Je crois que ce n’est pas raisonnable de boire plus de trois litres de bière par jour.
― Ah bon ?
« ― L’économie française, finalement c’est très simple…
« Un conseil, Jean-Marc…
Marie-Chantal à Germaine :
« ― J’avais fait quatre tests de grossesses pour être sûre…
Je les ai montrés à mon mari et il s’est mis à pleurer !
Il m’a demandé comment on allait faire pour nourrir quatre bouches supplémentaires !
Voilà pourquoi j’ai divorcé et avorté d’un mec aussi con…
― Tu as bien fait : ils sont déjà trop nombreux comme ça à polluer la planète.
Bon week-end à toutes et tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
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