Les aoûtiens…
Pour poursuivre mes appréciations des tables de Calvi-Balagne, ma pote de
Umami reste avoir une bonne côte sur Internet, en revanche U Fanale avec ses
617 avis et une moyenne de 4,5 sur 5 m’aura beaucoup déçu cette
année : Ils ne servent plus que du veau en broche… au lieu des pavés de
viande de chez Salvani (un avis, 5 étoiles pour un boucher éleveur… en ville, c’est
dire).
Il faut dire que les bouchers, il y en a un qui s’est ouvert en haut de la
rue San Francesco à Calvi, avec des notes et avis dithyrambiques (je n’y suis
pas encore allé : On ne peut pas s’y garer) et que celui de l’Arche (le
Super U) reste avoir de l’excellente viande : Coiffier, son ancien patron
était lui-même un louchebem et il connaissait son métier.
Au Fanal, il faut rester jusqu’à la fermeture pour se rendre compte que si son veau rend beaucoup d’eau dans l’assiette, c’est parce que la demi-carcasse est remballée le soir et mis en frigo pour resservir à épater le touriste le lendemain.
Je ne suis pas bien sûr que ce soit recommandé par l’ékole des cuistots de la rue Ferrandi (à « Paris-sur-la-plage » VI).
En revanche, le cousin « Fabrizy » sait toujours recevoir au U Nichjaretu. C’est simplement devenu un peu plus cher, et ça reste assez loin : Il vaut mieux avoir envie de faire des dérapages contrôlés sur la route du retour au lieu de tracer tout droit, parce que la voie reste étroite et tortueuse, que vous ayez bu ou non.
Mais la bidoche y est excellente, juste cuite avec soin dans un immense BBQ.
Et parmi les commerçants qui ne méritent pas le détour, ni le retour, il y
a « Annie traiteur » qui collectionne les plaques du
« Routard » et du « Petit futé » un 4,4/5 sur internet pour
260 avis.
C’est une boutique « bordel », tenue par Annie et sa fille (le gendre s’est tiré et la fille ne se voit pas reprendre la boutique : Il faut dire que quand tu vois la mère, moche, grosse, sale, toute pâle qui n’a pas vu le soleil depuis des décennies, ça ne donne pas envie).
C’est cher, c’est assez merdique, mais ça attire le chaland.
Le seul avantage de l’enseigne, c’est que ça fait des beignets de courgette meilleurs que ceux de Dumè.
Là encore, elle a mis du temps à se mettre à la CB : Yves Guennoc en dit : « Une boutique et une adresse formidable, quel dommage de devoir reprendre 2 beignets de courgettes pour arriver à 15 € (nous étions à 13€80) et payer par carte…. Ça gâche un peu le côté quali et expérience client, alors que vraiment cette adresse c’est une référence sur la place !! »
Bé il a eu de la chance : Moa, je n’ai pas pu lui faire rajouter les deux beignets pour payer en carte et en plus je me suis fait engueuler comme un chien de voleur alors qu’avec tout ce que j’y ai laissé, je pourrai être un actionnaire de référence…
Elle peut crever !
Dommage pour les beignets…
D’ailleurs, question beignet de courgettes, à vous signaler que j’ai retrouvé
un Dumè qui sait les faire au moins aussi bien que ma tante (hélas décédée), la
« tata gâteau » de Calvi (celle qui faisait des tartes au sucre à
tomber raide).
Ma tante les dosait parfaitement alors qu’Annie les faisait avec un peu trop d’ail et puis elle s’était corrigée au fil du temps.
Et Dumè les fait avec trop de menthe, mais il aime ça et elle pousse de façon sauvage dans son jardin, à plus ne savoir quoi en faire.
Ça n’en reste pas moins excellent.
Car quand il cuisine, cette année c’était de l’agneau de 7 heures, c’est toujours très bon, alors que son épouse, elle ne sait pas cuisiner : Elle fait à manger.
Nuance de Corsu des montagnes…
Ah, encore un signalement : Le Sun Beach, direct sur la plage.
Internet lui donne 4 sur 5 avec 182 avis.
C’est sous-évalué par des radins ou des mal-embouchés.
Car j’y ai toujours été bien accueilli et l’assiette a toujours été resplendissante.
« Tout est 5 étoiles, la qualité des plats : Moules, salade gourmande, menus enfants.
Le duo Père & Fille qui fonctionne à merveille : Très
souriants, agréables, relationnel au top. Et la vue sur la mer et la citadelle…
Merci, merci ♥️ » en dit une fan.
De toute façon, rien que le
gorgeon de Limoncello (celui pour la route) qu’il fait lui-même avec la gnole
de Dumè, ça vaut le détour.
Et puis il prend la carte… On est sauvé, alors même que l’addition reste potable pour une bonne soirée.
(La fille a une sœur, et elles alternent dans la bonne humeur…)
En revanche, comme je
l’ai déjà dit, j’ai été déçu par le Clos des sens : Il n’y a plus de
pierrade possible, forcément à la suite d’accident en cuisine, j’imagine.
Mais la patronne, fort aimable, est de Calenzana et ouvre toute l’année avec ses deux salariés. Je ne sais pas comment elle fait : J’y suis allé trois fois cette année et à chaque fois elle s’est trompée en ma faveur au moment de faire son addition…
Que j’en reste inquiet pour son avenir financier, finalement.
Mais c’est un lieu qui avait déjà changé d’enseigne à plusieurs reprises et qui accueille une flopée de chats qui ramassent éventuellement ce qui tombe des assiettes : À peine nourri les bestiaux !
Il faut dire que c’est excellent et bien trop copieux, avec des brochettes gargantuesques…
Et un baba au rhum fastueux !
En plus elle prend la carte et elle est pote avec le Maruso à une dizaine de kilomètres de là : Ils ne sont pas nombreux à ouvrir hors saison…
Bref, ma première « Nichée » repart enterrer la tante batave de
son « + 1 » qui aura été euthanasiée entre-temps : C’est qu’ils
ne rigolent pas avec les « voies du Seigneurs » ces huguenots-là.
Des luthériens, pas drôle à vivre : On peut comprendre les wallons voisins, « catho-papistes ».
Évacuation sanitaire en avance sur la programmation divine, c’est comme ça !
Pas la peine de consommer de la cotisation sociale ou de l’impôt plus que nécessaire, et c’était pour ton plaisir, jeune fille !
Quant à l’autre partie de la « nichée », elle change les draps
et s’installe en lieu et place…
Le soir même !
Question de lit : J’ai beau en changer ainsi que les matelas, il y a une chambre qui fait l’unanimité, pas deux…
Sauf que cette « Nichée-là », dont on a reçu durant 8 jours la témouine et qui se retrouve à ce moment-là à Bali (elle nous racontera ses aventures hilarantes plus tard : Une grande bavarde vous ai-je assuré), a en plus un chat.
En fait, c’est celui de ma regrettée Môman. Une sale bête toute gentille et toute noire avec la queue cassée, qui aura mené la guerre à ma Môman, s’attaquant à ses jambes mais, comme preuve d’amour incommensurable, lui pissait dessus en pleine nuit !
Un travers qu’elle n’a pas perdu…
À part ça, ce chat est tout-à-fait fréquentable, mimi comme tout et adore se faire tripoter le ventre les quatre fers en l’air.
Du coup, parce qu’il est kon et trop précieux à la fois, il faut
l’attacher et cantonner la bestiole dans une seule pièce, celle sans literie
après avoir retiré tous les coussins et autres couvertures. Ce matou, quand il
se sent trop bien, il se lâche : C’est comme ça…
Oh, pas grand-chose, une goutte ou deux, en ronronnant, mais ça pue en séchant qu’il faut faire tourner une machine à laver par la suite.
Ainsi, je ne me suis pas assez méfié, croyant avoir un lien particulier avec ce bestiau pour lui avoir donner à becqueter une fois par jour durant tous les séjours hospitaliers de ma Môman et que je restais plus d’une heure pour le faire jouer afin qu’il ne devienne pas trop dingo de solitude avant ou après les absences de sa maîtresse.
Résultat des courses, une minute d’inattention et hop, un dessus de lit, une paire de drap et une alèze à « machiner » !
Sympa le monstre pisseur.
Sans ça, ça reste galère : Mon chat est chez lui, mais l’autre aussi
et a même l’antériorité historique. Alors on les sépare d’abord. Sauf que
justement, ils se miaulent l’un l’autre chacun derrière la même porte de
séparation.
Alors on finit par la leur ouvrir, mais à ce moment-là, tous les deux veulent occuper le même poste d’observation en hauteur et en même temps, ou le même refuge sous la desserte.
Et ça grogne, ça feule, ça crache mais ça ne joue pas du coup de patte, toutes griffes sorties.
Rapidement, on se rend compte qu’attacher le chat de ma « Nichée », c’est contre-productif : Il est assez kon pour s’enrouler autour de tous les pieds de meuble pour pouvoir miauler à la mort qu’on vienne le libérer, pendant que l’autre en profite pour marquer son territoire. Résultat, on est toujours debout à bouger les meubles pour le dégager.
Mais le mien, il n’a pas l’habitude de rester enfermé et les « bijoux » (collier, laisse, longe), il ne sait pas faire : S’il les supporte en voiture ou dans le ferry, ce n’est pas plus que ça.
Finalement, la porte est ouverte en journée quand on est là, fermée la
nuit et quand on n’y est plus et plus personne ne sort : On vit fenêtres
fermées et quand elles sont ouvertes les portes sont closes ou une haute
planche de bois empêche les bestiaux de s’ébattre en extérieur.
La peur de ne pas les retrouver : C’est culturel.
Que du coup, c’est moâ qui ai l’impression d’être et de vivre en prison…
Pas vraiment des vacances, quoi.
D’autant que dans une seconde période, bé les chats jouent à chat (ou
à « un-deux-trois-soleil ») : Ils se mettent à galoper en tous sens,
déraper dans les virages sur le carrelage à se poursuivre et quand ils ne sont
pas assez rapides, le chat chasseur colle une patte au kul de celui qu’il
poursuit !
Authentique.
Et c’est chacun son tour !
Trop drôle.
Ou alors il y a le jeu de passer sous un meuble et de laisser dépasser sciemment la queue ou une patte qu’il s’agit de retirer rapidement en cas d’offensive surprise.
Et puis encore très drôle : Leurs gamelles sont dans des pièces différentes (comme leurs caisses à crottes).
Bé le grand jeu, c’est d’aller manger dans la gamelle de l’autre, tiens donc.
Et de finir la plâtrée avant qu’elle ne soit entamée par son destinataire originel.
Du coup, mon chat fait deux menus alors que celui de ma Nichée jeûne plus qu’à son tour en regardant faire sans réagir…
Remarquez, il a raison : Comme ça il fait régime sans se forcer.
Le plus drôle aura été tout de même la fois quand les deux bestioles se
coursaient dans les couloirs et ont sauté la planche en bois qui faisait office
de barrière en travers de la fenêtre ouverte, quasiment dans le même élan…
Affolement général chez la « Nichée » qui n’a pas eu le temps de réagir et s’imaginait le pire (je ne sais pas moâ, un avion qui passe à ce moment-là et taille en charpie les félins évadés, par exemple…)
Et où veux-tu qu’ils aillent où il n’y a pas à bouffer, dis donc ?
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE
ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE
« NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Au Fanal, il faut rester jusqu’à la fermeture pour se rendre compte que si son veau rend beaucoup d’eau dans l’assiette, c’est parce que la demi-carcasse est remballée le soir et mis en frigo pour resservir à épater le touriste le lendemain.
Je ne suis pas bien sûr que ce soit recommandé par l’ékole des cuistots de la rue Ferrandi (à « Paris-sur-la-plage » VI).
En revanche, le cousin « Fabrizy » sait toujours recevoir au U Nichjaretu. C’est simplement devenu un peu plus cher, et ça reste assez loin : Il vaut mieux avoir envie de faire des dérapages contrôlés sur la route du retour au lieu de tracer tout droit, parce que la voie reste étroite et tortueuse, que vous ayez bu ou non.
Mais la bidoche y est excellente, juste cuite avec soin dans un immense BBQ.
C’est une boutique « bordel », tenue par Annie et sa fille (le gendre s’est tiré et la fille ne se voit pas reprendre la boutique : Il faut dire que quand tu vois la mère, moche, grosse, sale, toute pâle qui n’a pas vu le soleil depuis des décennies, ça ne donne pas envie).
C’est cher, c’est assez merdique, mais ça attire le chaland.
Le seul avantage de l’enseigne, c’est que ça fait des beignets de courgette meilleurs que ceux de Dumè.
Là encore, elle a mis du temps à se mettre à la CB : Yves Guennoc en dit : « Une boutique et une adresse formidable, quel dommage de devoir reprendre 2 beignets de courgettes pour arriver à 15 € (nous étions à 13€80) et payer par carte…. Ça gâche un peu le côté quali et expérience client, alors que vraiment cette adresse c’est une référence sur la place !! »
Bé il a eu de la chance : Moa, je n’ai pas pu lui faire rajouter les deux beignets pour payer en carte et en plus je me suis fait engueuler comme un chien de voleur alors qu’avec tout ce que j’y ai laissé, je pourrai être un actionnaire de référence…
Elle peut crever !
Dommage pour les beignets…
Ma tante les dosait parfaitement alors qu’Annie les faisait avec un peu trop d’ail et puis elle s’était corrigée au fil du temps.
Et Dumè les fait avec trop de menthe, mais il aime ça et elle pousse de façon sauvage dans son jardin, à plus ne savoir quoi en faire.
Ça n’en reste pas moins excellent.
Car quand il cuisine, cette année c’était de l’agneau de 7 heures, c’est toujours très bon, alors que son épouse, elle ne sait pas cuisiner : Elle fait à manger.
Nuance de Corsu des montagnes…
C’est sous-évalué par des radins ou des mal-embouchés.
Car j’y ai toujours été bien accueilli et l’assiette a toujours été resplendissante.
« Tout est 5 étoiles, la qualité des plats : Moules, salade gourmande, menus enfants.
Et puis il prend la carte… On est sauvé, alors même que l’addition reste potable pour une bonne soirée.
(La fille a une sœur, et elles alternent dans la bonne humeur…)
Mais la patronne, fort aimable, est de Calenzana et ouvre toute l’année avec ses deux salariés. Je ne sais pas comment elle fait : J’y suis allé trois fois cette année et à chaque fois elle s’est trompée en ma faveur au moment de faire son addition…
Que j’en reste inquiet pour son avenir financier, finalement.
Mais c’est un lieu qui avait déjà changé d’enseigne à plusieurs reprises et qui accueille une flopée de chats qui ramassent éventuellement ce qui tombe des assiettes : À peine nourri les bestiaux !
Il faut dire que c’est excellent et bien trop copieux, avec des brochettes gargantuesques…
Et un baba au rhum fastueux !
En plus elle prend la carte et elle est pote avec le Maruso à une dizaine de kilomètres de là : Ils ne sont pas nombreux à ouvrir hors saison…
Des luthériens, pas drôle à vivre : On peut comprendre les wallons voisins, « catho-papistes ».
Évacuation sanitaire en avance sur la programmation divine, c’est comme ça !
Pas la peine de consommer de la cotisation sociale ou de l’impôt plus que nécessaire, et c’était pour ton plaisir, jeune fille !
Le soir même !
Question de lit : J’ai beau en changer ainsi que les matelas, il y a une chambre qui fait l’unanimité, pas deux…
Sauf que cette « Nichée-là », dont on a reçu durant 8 jours la témouine et qui se retrouve à ce moment-là à Bali (elle nous racontera ses aventures hilarantes plus tard : Une grande bavarde vous ai-je assuré), a en plus un chat.
En fait, c’est celui de ma regrettée Môman. Une sale bête toute gentille et toute noire avec la queue cassée, qui aura mené la guerre à ma Môman, s’attaquant à ses jambes mais, comme preuve d’amour incommensurable, lui pissait dessus en pleine nuit !
Un travers qu’elle n’a pas perdu…
À part ça, ce chat est tout-à-fait fréquentable, mimi comme tout et adore se faire tripoter le ventre les quatre fers en l’air.
Oh, pas grand-chose, une goutte ou deux, en ronronnant, mais ça pue en séchant qu’il faut faire tourner une machine à laver par la suite.
Ainsi, je ne me suis pas assez méfié, croyant avoir un lien particulier avec ce bestiau pour lui avoir donner à becqueter une fois par jour durant tous les séjours hospitaliers de ma Môman et que je restais plus d’une heure pour le faire jouer afin qu’il ne devienne pas trop dingo de solitude avant ou après les absences de sa maîtresse.
Résultat des courses, une minute d’inattention et hop, un dessus de lit, une paire de drap et une alèze à « machiner » !
Sympa le monstre pisseur.
Alors on finit par la leur ouvrir, mais à ce moment-là, tous les deux veulent occuper le même poste d’observation en hauteur et en même temps, ou le même refuge sous la desserte.
Et ça grogne, ça feule, ça crache mais ça ne joue pas du coup de patte, toutes griffes sorties.
Rapidement, on se rend compte qu’attacher le chat de ma « Nichée », c’est contre-productif : Il est assez kon pour s’enrouler autour de tous les pieds de meuble pour pouvoir miauler à la mort qu’on vienne le libérer, pendant que l’autre en profite pour marquer son territoire. Résultat, on est toujours debout à bouger les meubles pour le dégager.
Mais le mien, il n’a pas l’habitude de rester enfermé et les « bijoux » (collier, laisse, longe), il ne sait pas faire : S’il les supporte en voiture ou dans le ferry, ce n’est pas plus que ça.
La peur de ne pas les retrouver : C’est culturel.
Que du coup, c’est moâ qui ai l’impression d’être et de vivre en prison…
Pas vraiment des vacances, quoi.
Authentique.
Et c’est chacun son tour !
Trop drôle.
Ou alors il y a le jeu de passer sous un meuble et de laisser dépasser sciemment la queue ou une patte qu’il s’agit de retirer rapidement en cas d’offensive surprise.
Et puis encore très drôle : Leurs gamelles sont dans des pièces différentes (comme leurs caisses à crottes).
Bé le grand jeu, c’est d’aller manger dans la gamelle de l’autre, tiens donc.
Et de finir la plâtrée avant qu’elle ne soit entamée par son destinataire originel.
Du coup, mon chat fait deux menus alors que celui de ma Nichée jeûne plus qu’à son tour en regardant faire sans réagir…
Remarquez, il a raison : Comme ça il fait régime sans se forcer.
Affolement général chez la « Nichée » qui n’a pas eu le temps de réagir et s’imaginait le pire (je ne sais pas moâ, un avion qui passe à ce moment-là et taille en charpie les félins évadés, par exemple…)
Et où veux-tu qu’ils aillent où il n’y a pas à bouffer, dis donc ?
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