Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 17 janvier 2024

Grand guignol : « Gaby-le-magnifique » (2/2)

Ma petite-sœur…
 
… et sa clique d’enseignants m’envoie un « papier », tout ce qu’il y a de drôle sur notre « Gaby-National-@tal ».
En fait, il s’agit d’un « post » de « Jean-Marc » (pas le mien, j’en témoigne…) publié par l’autre voyou honorable responsable de rédaction, ex-journaliste de « Libé » (ce torchon), de « Média-part » subventionné comme les copains et qui aura retrouvé son taux de TVA super-exceptionnel.
D’un post qui date du moment où le futur plus jeune premier-sinistre de la Gauloisie devenait le plus jeune porte la parole de son gouvernement. Et tentait de savoir qui était-il et d’où venait-il…
Naturellement, je le reprends, parce que les enseignants et leurs « Seins-dit-kâ » s’énervent plutôt en ce moment, sur l’autre erreur de casting de « Jupiter » avec ce remaniement, à savoir « Ouadada-abracadabra ».
Le gars rapporte qu’il détient l’ensemble des propos proposés d’un certain Juan Branco, qui l’a connu à l’École Alsacienne et à Sciences Po, puis en a dressé le parcours dans « Crépuscule », (pas celui de « Deux-longs »).
Comme c’est dans l’air du temps, je reprends en attendant que « Jupiter » en cause ce jour…
 
« Voilà donc Gabriel Attal qui peut, certes sans succès tant les entreprises sont menées avec morgue, se présenter à la direction de la section Sciences-Po d’un PS qu’il admettait quelques mois auparavant haïr férocement… avant de tenter de s’imposer par le truchement d’un ami de la famille comme l’homme fort des comités de soutien à Ingrid Betancourt…
S’installant à Vanves, à quelques pas de l’appartement que ses parents financent, il tente de s’imposer dans la section locale du Parti Socialiste, organisant une visite de Marisol Touraine, ce qui lui permet d’être présenté et adoubé au secrétaire socialiste et conseiller municipal d’opposition, qui lui laissera sa place après leur échec aux élections de 2014 et l’intronisera comme son successeur au conseil municipal avant de se voir brutalement trahi.
L’échec aux municipales frustre les ambitions d’Attal, pressé, qui continue cependant à tenter de se rapprocher de l’intelligentsia socialiste. Si son entrisme auprès la famille Betancourt lui a certes permis de commencer à élargir ses réseaux politiques, sa tentative d’inscription dans la roue d’Hervé Marro, qui deviendra rapidement conseiller à la mairie de Paris, échoue. Sa présence sur le Tarmac de Villacoublay lors du retour de Madame Betancourt, en un événement lacrymal longuement raconté à Paris Match lors de l’un des articles de l’été 2018, ne lui a rien apporté.
 
C’est peut-être là le moment le plus décisif dans l’ascension programmée de Gabriel Attal qui a nouveau, comprenant que la chose pourrait ne pas l’aider, tente d’effacer sa particule. L’échec de la prise de la section PS de Sciences-Po se double, à son grand étonnement, de difficultés scolaires.
Fin connaisseur de l’entre-soi que l’on apprend à comprendre et dominer à Sciences-Po, Attal s’ennuie tant qu’il manque à plusieurs reprises de redoubler. S’entourant comme à l’Alsacienne d’une cour d’héritières mêlant êtres en perdition et ambitieuses fascinées, dont la fille d’un grand oligarque russe avec qui il organise de menues soirées dans le seizième arrondissement, il doit faire le choix en troisième année d’un stage, ayant été exclu des plus prestigieuses universités.
Avec le soutien formalisé, prétendra-t-il, de Frédéric Mitterrand, le voilà qui porte son choix sur la villa Médicis. Ce qui sera sa seule « expérience professionnelle » avant son recrutement par Marisol Touraine aux plus prestigieuses fonctions de l’État, puis son élection comme député – un stage, donc – ne lui ouvre pas les portes espérées…
À Sciences-Po, la concurrence s’impose avec d’autres héritiers qui font montre d’une toute aussi importante rapacité.
 
Il lui faut redoubler ses efforts, et le voilà qui s’inscrit en une licence de droit à Assas pour tenter de se distinguer. En des lieux où à aucun moment l’on n’exige de prouver sa valeur, le jeune premier s’agite, apporte son soutien à François Hollande lors des primaires socialistes de 2011, tente à nouveau, via Marisol Touraine, d’approcher son équipe de campagne en rédigeant des notes à l’attention de Pierre Moscovici, et las, à nouveau, échoue…
Même la liste étudiante à laquelle il participe afin d’organiser les soirées de Sciences-Po, vecteur d’intégration primaire au sein de l’institution, n’obtient pas les suffrages espérés et fait l’objet d’éprouvantes railleries…
 
Miracle cependant. Une certaine Alexandra R. devenue de M. réussit à rattraper son retard en premier cycle et son échec à Henri IV et intègre Sciences-Po avec un an de décalage, lui permettant de renouer avec un fil qui menaçait de s’effacer.
Devant obtenir une expérience professionnelle avant sa diplomation, Gabriel Attal décroche un stage auprès de… Marisol Touraine.
Nous sommes en janvier 2012, en pleine campagne présidentielle, et celle-ci est chargée du pôle affaires sociales, qui doit revenir à Martine Aubry une fois le gouvernement formé…
À la faveur d’une carambole et suite au refus de Martine Aubry d’occuper son ministère, le poste est proposé à Marisol Touraine…
Gabriel, qui à ce sujet n’y connaît d’évidence rien, n’a pas encore exercé de fonctions professionnelles, ne dispose d’aucune spécialité universitaire et qui vient d’apprendre qu’il devra redoubler sa dernière année à Sciences-Po, se voit proposer d’intégrer le cabinet du plus important ministère du gouvernement, au poste de conseiller à titre plein.
 
Lointaines paraissent alors les années lors desquelles le jeune garçon parsemait les réseaux sociaux de messages outranciers et insultants, fleuretant bon l’extrême-droite et la misogynie la plus crasse, incendiant la majorité socialiste à Paris et ses dirigeants.
Gabriel Attal, 23 ans, est, par effets de proximités successives, soudain doté d’un salaire qui le propulse parmi les 5 % les plus favorisés du pays, doté de deux secrétaires, d’un chef gastronomique, de voitures de fonction, et peut même se permettre de passer un arrangement avec la direction de Sciences-Po pour obtenir sa diplomation.
(…)
 
Répétons-le, tant cela pourrait sembler absurde, pour comprendre ce qui en son esprit a pu s’imposer : à 23 ans, sans expérience professionnelle préalable ni quelconque diplôme à revendiquer, sans compétence ni spécialité revendiquée, Gabriel Attal qui n’est plus de Couriss accède à l’un des plus prestigieux et importants postes de la République…
Il recrute immédiatement l’un de ses camarades de promotion, un certain Quentin Lafay, comme chargé de mission. 
Doté d’un pouvoir d’autorité sur l’une des plus importantes administrations de France, dirigeant assistants, stagiaires et chargés de mission, se socialisant auprès de la fine fleur de la République, l’homme sans expérience va se mettre sous l’autorité d’un certain Benjamin Griveaux…
 
Rue de Ségur, Gabriel Attal se sent vite à son aise. Entouré d’êtres sans idées ni ambitions autres que pour eux-mêmes, il se voit présenter un certain Stéphane Séjourné, jeune héritier de la bourgeoisie versaillaise, passé par les très chics lycées français de Mexico et de Madrid, alors en poste au sein du cabinet du président de région socialiste Jean-Paul Huchon, et qui s’apprête à à peine trente ans à mobiliser les réseaux moscovicistes pour devenir le tout puissant conseiller politique d’Emmanuel Macron
 
L’affaire est enclenchée. Alors que le pouvoir socialiste s’effondre, ces jeunes intrigants n’ayant jamais démontré la moindre capacité à la pensée, l’idée ou l’engagement, n’ayant jamais été au contact du réel ni éprouvé la moindre difficulté – n’ayant de fait montré aucune qualité ni compétence particulière autre que celle de se montrer autoritaires et cinglants – préparent la relève et se voient en 2017, via le parti socialiste, consacrés.
Séjourné associe Gabriel Attal à leur bande et tente dans un premier temps d’appuyer Moscovici.
Las, la manœuvre échoue, et celui-ci, exfiltré à la Commission Européenne, les laisse orphelins.
 
C’est alors qu’intervient le « miracle Macron », permis par les réseaux que nous avons décrits, l’appui de l’inspection des finances, de Jean-Pierre Jouyet et du duopole Niel-Arnault, au mépris de toute démocratie….
Emmanuel Macron s’est vu, malgré son double échec à l’ENS Ulm, lui aussi propulsé en quelques années au sein du gotha qu’il arrive à convaincre de le soutenir alors que s’effondrent l’ensemble des candidats du système, de Fillon à Juppé en passant par Hollande, Valls et Sarkozy.
(…)
 
Jouant d’un double jeu, grassement rémunérés pour ce faire, participant à la paralysie du gouvernement, dans le silence des médias et de l’establishment, les jeunes impétrants mettent en place une véritable stratégie de mobilisation des moyens de l’Etat au service du futur président de la République, qui lui continue sa conquête des hautes sphères à travers les individus susmentionnés. Attal se trouve au cœur de ce dispositif, et mobilise avec ses acolytes d’ahurissants moyens, discrètement mis en œuvre afin d’assurer, à défaut de sa nomination à Matignon, son élection.
 
Profitant de l’étrange pudeur qui saisit l’oligarchie lorsqu’il s’agit de révéler ses relais d’influence, Gabriel Attal et Stéphane Séjourné se trouvent presque par hasard au cœur du dispositif et vont former l’un de ces « power couples » qui placent et déplacent les hommes et femmes selon leurs affinités et calculs politiques, utilisant les moyens de l’État pour se servir sans ne jamais avoir à rendre de comptes à qui que ce soit.
(…)
 
En charge des relations avec les députés socialistes, Attal siphonne au nez et à la barbe de Marisol Touraine – qui reste fidèle à François Hollande et tente de préparer sa réélection – les réseaux parlementaires socialistes qu’il reçoit à tour de bras au sein de son bureau pour les recommander à Macron.
Tentant tout de même d’arracher l’investiture socialiste à Vanves pour les législatives de 2017 après avoir fait la campagne de Bartolone pour les départementales, il sert en poisson-pilote discret le mouvement En Marche, qui se tient encore non sans raisons à la lisière du Parti Socialiste et prépare son éventuelle réintégration en son sein comme courant…
Attal intègre discrètement la bande des « jeunes avec Macron » qui forme l’ossature de ce qui deviendra le mouvement En Marche et y place ses pions. Sans ne jamais s’exposer, veillant à ne pas perdre son poste ni l’éventualité d’un adoubement socialiste, il obtient en parallèle de sa ministre la promesse d’une nomination à l’un des postes les plus prestigieux, normalement réservés à des hauts-fonctionnaires français, au sein de la branche santé de l’ONU New York.
À vingt-six ans, le voilà assuré d’obtenir, soit une députation, soit l’immunité diplomatique octroyée aux fonctionnaires internationaux et, outre les diverses indemnités de fonction, le doublement de son salaire, qui le placerait au sein des 2 % les mieux payés du pays.
Tout cela dans l’ignorance la plus complète de sa patronne, à qui François Hollande a promis Matignon et à qui Attal continue de jurer fidélité.
(…)
 
La mort de son père libère Attal d’une tutelle oppressante et lui permet d’officialiser sa relation avec Séjourné, par le truchement d’un PACS qui scelle l’alliance de deux capitaux.
Utilisant les ressources sociales obtenues lors de son passage à Sciences-Po, Gabriel Attal recommande des individus « bien formés», à la confiance garantie par leur appartenance aux mêmes réseaux de socialisation que ceux qu’il a investi depuis l’Alsacienne, et le fait par brassées entières à Séjourné, qui, renforcé par cet influx auprès de Macron, sait rendre à Attal l’influence que ce dernier lui permet d’acquérir…Macron, qui a été propulsé en urgence du fait de la catastrophe politique qui touche tous les candidats du système, doit très rapidement constituer des réseaux de confiance pour donner l’impression d’être prêt.
Il faudra des mois pour qu’enfin émergent des propositions plus ou moins sérieuses – ses conseillers se montrant tout aussi incapables d’imagination et de pensée que lui, mobilisant pour tenter de « penser » conjoints et parents, dans l’indifférence et la bienveillance d’une presse trop excitée par une prise qui semble la dépasser.
(…)
 
Lorsqu’il obtient du néant et sans le moindre début de justification l’une des circonscriptions les plus courues et faciles d’accès du pays, personne ne moufte, car personne ne le connaît, ni lui ni les mécanismes qui lui ont permis de monter.
À Vanves et Issy-les-Moulineaux, à quelques pas de Paris, là où André Santini, baron local tenant les lieux depuis vingt-ans a décidé de ne pas se représenter, où plus de soixante pour cent des électeurs viennent de voter pour Emmanuel Macron, voilà que celui dont le conjoint siège au comité d’investiture pour y représenter le Président de la République, se voit ouvrir un boulevard.
Emmanuel Macron s’apprêtant à être élu, Attal n’a plus qu’à officialiser son engagement, redessiner doucement son CV, prétendre qu’il s’apprêtait à lancer une Start-Up et sans guère faire campagne, obtenir sa députation.
Le 18 juin 2017, il entre en cette Assemblée nationale qu’il connaît si bien et où Alexandra R., maintenant oubliée, l’avait introduit quelques années plus tôt.
 
Immédiatement bombardé « whip » de la commission des affaires culturelles et éducatives grâce à l’appui silencieux de son conjoint – qui continue de taire leur relation et, devenu conseiller politique à l’Elysée, est chargé de superviser la distribution des postes au sein de la nouvelle Assemblée – Attal prend dès lors sans difficultés un ascendant incompréhensible pour le quidam sur ses nouveaux camarades députés.
Nourri à la source du pouvoir, au courant de toutes les confidences de l’Élysée, ayant toujours un coup d’avance, masquant tous les ressorts de son ascension, il est nommé dans la foulée rapporteur de la loi créant Parcoursup, dont la mise en place catastrophique n’aura là encore aucun d’effet sur la suite des événements.
(…)
 
Malgré l’échec de Parcoursup, enlisé en des polémiques interminables, et l’absence encore d’un quelconque fait de gloire, doté d’un charisme contestable et d’une éloquence incertaine, le jeune député est cependant et contre toute logique bombardé porte-parole du parti présidentiel en décembre 2017.
L’insigne inconnu, âgé de vingt-huit ans, sans aucune expérience de vie, se montre incapable en un premier temps de susciter un quelconque intérêt, et tarde deux mois à provoquer le moindre article à son sujet.
 
C’est alors que Séjourné obtient de l’Elysée qu’il soit invité à la matinale de France Inter en pleine mobilisation des cheminots et des étudiants, à la place d’un Jean-Michel Blanquer qui sait très bien l’intérêt qu’il trouvera à ne pas s’exposer.
C’est alors que l’assurance de classe qu’il démontrait dès ses plus jeunes années trouve matière à expression.
Ses provocations n’ont pour but que d’enfin le faire connaître, et d’évidence, l’irritation naissante montre que la partie a fonctionné.
L’affaire, si elle aurait pu inquiéter, rassure Macron qui voit en ce jeune garçon un potentiel parechoc, dont l’arrogance dépasse la sienne, et qui saura dès lors détourner les coups.
 
Dans sa circonscription, Attal n’hésite pas à briser une grève de postiers épuisés, distribuant le courrier grimé en employé de l’ancien service public pour « défendre ses administrés » et multiplie les marques d’un rapport au monde n’ayant plus à déguiser sa véritable nature.
Il a à peine le temps de voter contre l’interdiction du glyphosate après avoir déclaré publiquement vouloir son interdiction, appuyer la proposition de loi contestée sur les fakes-news, décrire le gouvernement italien comme étant « à vomir », il se présente moins d’un an après son élection, à seulement 28 ans, à la présidence du groupe parlementaire majoritaire de son pays.
Attal ne retire sa candidature qu’une fois assuré que quelques semaines plus tard, un ministère lui sera octroyé.
 
L’Elysée vient de lui offrir les réseaux de Mimi Marchand, enclenchant une campagne de propagande visant à préparer et légitimer a posteriori sa nomination au gouvernement. Gabriel Attal, depuis ses vingt-trois ans doté d’un salaire de près de six mille euros par mois et maintenant doté de trois collaborateurs travaillant à temps plein dans le seul but d’assouvir ses ambitions, n’ayant toujours pas démontré la moindre idée ou engagement, après avoir troqué les majordomes et voitures de fonction qui le servaient au ministère de la Santé entre ses 22 et 27 ans par ceux de l’Assemblée, est intronisé sans efforts, par pure inertie, au cœur de l’État français.
Lorsque, le 16 octobre 2018, il est nommé Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, avec les attributions budgétaires et politiques qui vont avec, en charge de la mise en œuvre du service universel, il est peut-être, avec son conjoint, le seul à ne pas être surpris.
Une anecdote d’apparence insignifiante alors resurgit : plus d’un an après son élection, le jeune député n’avait, au moment de sa nomination, toujours pas inauguré de permanence électorale dans sa circonscription.
Comme si la star montante de la macronie n’avait pu s’empêcher de signifier à ses propres administrés à quel point, en son parcours, ils n’avaient pas compté.
 
Alors que le peuple bruisse, achevons cette fable par cette simple affirmation : ces êtres ne sont pas corrompus car ils sont la corruption. Les mécanismes de reproduction des élites et de l’entre-soi parisien, aristocratisation d’une bourgeoisie sans mérites, ont fondu notre pays jusqu’à en faire un repère à mièvres et arrogants, médiocres et malfaisants.
Nulle part ne réside plus la moindre ambition, la moindre recherche d’un engagement ou d’un don.
Reste une question : pensait-on que ces êtres serviraient des idées, eux qui se sont constitués au service d’intérêts ? Pensait-on que ces individus nous grandiraient, eux qui se sont contentés, tout au long de leur vie, de servir pour construire une ambition que rien ne venait sustenter ? Et pense-t-on vraiment qu’en de telles circonstances, la suite de l’histoire ait à être contée ? »
 
J’ai naturellement un autre point de vue, car tout dépend de qui on parle…
Parce que des anciens de Science-pô, de Stanislas, de l’Alsacienne, voire de Bossuet, parfois même de l’ENÂ, ou de l’ENS, ces « petits gars fils de » (moâ, c’était plutôt les « filles de », mon appétence naturelle), j’en ai croisés tout le long de ma vie pour habiter dans les mêmes quartiers parigots, fréquenté les mêmes vestiaires de stade, les mêmes lieux de villégiatures, les mêmes bals versaillais ou seulement les soirées branchées « rives-droâte ».
Je sais, je reste un privilégié… de naissance, et il a fallu assumer.
(Ce qui, par la suite, n’a pas toujours été forcément facile, loin de là…)
Il n’empêche, dans le tas, la plupart ont su « restituer » parfois avec brio et même plus.
Quelques-uns ont su sombrer dans les stupéfiants (qui restent omniprésents dans ces milieux-là).
Seuls quelques-uns restent de parfaits opportunistes : Ceux-là, parce qu’ils sont surfaits et « léger comme la cendre de leur pétard » polluent un temps mais finissent par être « digérés », métabolisés jusqu’à en devenir des étrons et à disparaître…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
 
PS : Vous remercierez « ma petite sœur », que sans avoir lair d’y toucher, reste remarquable d’esprit critique…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire