Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 31 janvier 2024

Le pognon pas à eux, ça les rend fous !

Les logements « Airbnb » dans le collimateur
 
Le texte sur les « logements meublés touristiques » est en effet inscrit dans le programme de lundi dernier à l’Assemblée
C’est que de nombreux élus, notamment en bord de mer, dénoncent la pénurie de logements sur leurs territoires à cause de l’explosion du nombre d’Airbnb.
Et c’est vrai jusqu’en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » où les « cousins » autonomistes dénoncent la « bombe sociale » que représente le logement. D’autant qu’un peu partout le secteur connaît une grave crise.
 
Selon la plate-forme SeLoger, qui révèle ces données le 29 janvier dernier, le nombre d’annonces de location sur la « capitale-olympique-sur-la-Seine » a chuté de moitié comparé à il y a un an, et de 73 % en trois ans.
D’autant que des phénomènes spécifiques à la ville de « Paris-olympique » impactent l’offre comme l’interdiction de relocation des logements G + (la capitale en compte 27 %) et l’encadrement des loyers. Cela démotive certains propriétaires à garder leur bien ou à le louer en longue durée.
Or, avec les Jeux olympiques et para-olympiques, certains préfèrent le mettre en location saisonnière.
Je sais, même « ma nichée » parigote va mettre à disposition le sien et venir squatter chez moâ avec son « plus 1 » et probablement quelques ami(e)s.
 
D’un autre côté, le 16 novembre dernier, la fédération des promoteurs immobiliers (FPI) avait fait savoir que seuls 27.500 logements neufs avaient été mis en chantier au troisième trimestre 2023. Résultat, les ventes ont décru de 30,6 % par rapport à la même période en 2022 : – 36,5 % aux propriétaires occupants et même – 58,6 % aux investisseurs particuliers.
« Le taux de désistement des acheteurs est de 50 % tant est si bien que si la tendance se poursuit, moins de 90.000 logements neufs seront vendus en 2023 »
 
Face à autant de signaux inquiétants, la présidente de l’Assemblée a affirmé faire de la crise du logement l’un des principaux thèmes de ses vœux : « On sait à quel point cette situation autour du logement est problématique pour nos concitoyens », « il faut légiférer (et) nous y atteler ardemment et urgemment ».
« J’ai interpellé le Premier ministre sur un grand projet de loi logement », a-t-elle martelé.
Blablabla…
Depuis le temps qu’on connaît le problème : Hiver 1954, je crois, n’est-ce pas ?
 
Tenez-vous bien, pour faire revenir des logements à la location longue durée, ils envisagent notamment de revoir à la baisse l’abattement fiscal de l’activité soumise au « micro-foncier » ! Même que le rapporteur du budget veut carrément supprimer l’article.
Lors de précédents débats, à coups de rappels au règlement et d’interventions en série dans l’hémicycle, les « Républicains-démocrates » et le « Air-haine » s’étaient opposés à des mesures qu’ils jugent pénalisantes pour les « petits propriétaires ».
Et certains cadres du groupe « René-sens » regrettent que le sujet logement soit abordé dans « plein de petits textes », plutôt qu’un projet de loi plus vaste.
 
Peu avant, cet automne, lors de l’examen du budget 2024, un bras de fer avait ainsi déjà eu lieu sur la niche fiscale des meublés touristiques.
Avec sa série de 49.3 pour faire passer le projet de loi de finances sans vote, le gouvernement avait laissé passer par erreur la réduction de l’abattement fiscal à 30 %, plus forte que ce qu’il souhaitait : Une « erreur matérielle »…
Le budget 2024 prévoit quant à lui une réduction de l’abattement à 50 % en zone tendue, jugée insuffisante même par certains députés de la majorité.
Et les critiques pleuvent sur la plateforme phare qui aura métamorphosé le tourisme mondial.
 
En « Gauloisie-olympique », le modèle fiscal des meublés touristiques est en plus assez avantageux : Ceux-ci bénéficient d’un abattement allant jusqu’à 71 %, avec un plafond de 188.700 euros – un statut paraît-il plus intéressant que celui imposé aux hôtels.
Je demande à voir, puisque dans le forfait à abattement, on ne déduit rien d’autre pour être imposable sur 29 % des recettes, sans déficit reportable ou imputable, alors qu’un hôtel peut déduire toutes ses charges, plus un amortissement exceptionnel sur ses rénovations et faire ainsi des déficits fiscaux reportables en plus que de se faire rembourser la TVA sur ses achats… et quelques crédits d’impôts à l’occasion.
Autrement dit il n’est jamais imposable sur 29 % de ses recettes, loin de là !
 
Et puis, il faut aussi reconnaître que cette concurrence entre deux types d’offre aurait l’avantage de faire baisser les prix pour les voyageurs : Sauf qu’à « Paris-olympique », l’augmentation de 10 % de l’offre Airbnb diminuerait les tarifs proposés par les hôtels de seulement 0,5 % pour un 5 étoiles à 1,5 % pour un établissement non classé. Rien quoi…
Et les spécialistes n’ont pas remarqué un désamour des touristes pour les hôtels depuis la multiplication des offres Airbnb : Toujours à « Paris-sur-la-plage », le taux d’occupation moyen dans l’hôtellerie serait resté à peu près au même niveau depuis dix ans.
 
Pour résumer, plus les offres se multiplient sur le marché touristique, plus celui-ci grossit. C’est le gâteau qui grossit rendant les deux possibilités de séjours courts complémentaires pour attirer les visiteurs.
Et naturellement, c’est notamment le cas lors de grands événements sportifs et culturels, comme les Jeux Olympiques, car la capacité hôtelière ne pourrait de toute façon pas absorber à elle seule l’afflux soudain de spectateurs.
 
Ce sont les zones touristiques qui font les frais de cette multiplication de l’offre.
Faute d’habitants à l’année, le cœur historique de Saint-Malo s’est ainsi vidé de ses services publics et des commerces de proximité.
À La Rochelle, les habitants peinent désormais à se loger. La mairie estime que 10 % des logements sont des meublés vacanciers, une situation allant jusqu’à pénaliser l’emploi en Charente-Maritime car les potentiels nouveaux venus ne peuvent pas y habiter.
À Barcelone, où des manifestations ont éclaté dès 2014 contre le surtourisme, les locaux sont poussés à vivre en périphérie. Et pour ceux qui restent, les commerces essentiels disparaissent, à l’inverse des nuisances sonores.
C’est pourtant là que j’ai pu voir la plus grande densité de places de crèche (quand je m’occupais de ce type d’activité…)
En « Ritalie », 1.000 à 1.500 Vénitiens seraient contraints chaque année de quitter leur ville pour s’installer sur la terre ferme, transformant la Sérénissime en ville-musée.
Mais ça fait vivre le « petit-commerce »…
En Balagne, l’hiver, c’est un désert qui s’anime autour des ékoles et de quelques festivités diverses et municipales pour pas que les citoyens ne meurent d’ennui…
 
Si la location par des particuliers d’une chambre inoccupée pour arrondir leurs fins de mois n’a pas d’effet sur la disponibilité de logements pour les habitants locaux, il n’en est pas de même lorsque des biens entiers sont convertis en gîtes touristiques.
Il paraît qu’en trois ans, le nombre d’habitations détournées du parc locatif traditionnel aurait été multiplié par trois !
Les multi-annonceurs pullulent sur le site, pénalisant les locations longue durée.
Un effet inflationniste sur les loyers a même été remarqué : + 1,65 % à Lyon, + 1,29 % à Marseille, + 1,5 % à Montpellier et + 1,26 % à Paris.
Une façon comme une autre de contourner cette stupidité de blocage des loyers…
 
Toutefois, en « Gauloisie-olympique », les personnes souhaitant louer leur résidence principale ne peuvent le faire que cent vingt jours par an au maximum.
Pour les résidences secondaires, il faut obtenir une autorisation de changement d’usage (pour les transformer en hébergement hôtelier), assortie d’une compensation, laquelle consiste à transformer des surfaces commerciales en logement afin de corriger la perte de surface d’habitation occasionnée par le meublé.
Par exemple, à Madrid, il est impossible de louer un bien immobilier plus de quatre-vingt-dix jours par an. Pour dépasser ce seuil, il faut attester qu’il dispose d’une entrée indépendante du reste de l’immeuble.
Palma de Majorque n’autorise plus que la location de maisons individuelles.
À New-York, seules les personnes vivant dans leur logement peuvent le louer, mais moins de trente jours par an, et seulement après avoir obtenu une autorisation auprès de la mairie.
Elles doivent être obligatoirement présentes pendant la location et accueillir deux personnes au plus.
Mais mise en place en septembre dernier, la mesure est déjà contournée sur les sites de petites annonces…
 
En « Gauloisie-olympique », en 2022, le revenu médian perçu par les hôtes non professionnels se serait élevé à 3.086 euros net. Soit une hausse de pouvoir d’achat de 6,6 %, supérieure à l’inflation qui était de 5,2 % l’an passé.
Et devinez donc quelle est la catégorie de la population dont les revenus se sont le plus améliorés ?
Les 60-90 ans.
Ça complète utilement la retraite pour mettre un peu de beurre dans les « pâtes-beurres-sans-crème »…
 
Avec les Jeux olympiques, on s’attend déjà à ce que les prix atteignent des sommets autour des sites, au vu de ceux pratiqués pendant la Coupe du monde de rugby.
Les tarifs se sont en effet envolés les soirs de match dans les villes hôtes : + 116 % à Saint-Étienne lors de la rencontre Australie-Fidji, + 95 à 98 % à Marseille les soirs de quarts de finale, + 60 % à Saint-Denis pour la finale…
Notez que ça reste peu coûteux de regarder les équipes jouer à la télé : On a en plus les ralentis…
 
Il faut également rappeler qu’Airbnb c’est 100.000 villes qui abritent des logements Airbnb dans plus de 220 pays. C’est 170 milliards d’euros de gains cumulés pour les hôtes depuis 2008. C’est 6,6 millions de logements qui sont proposés sur le site, gérés par 4 millions d’hôtes, dont 1,2 million d’offres en « Gauloisie-accueillante ». Ce qui classe le pays au deuxième rang mondial du plus grand nombre d’annonces recensées sur Airbnb, derrière les États-Unis.
Je ne sais pas comment ils comptent : Je suis allé plusieurs fois en Grèce-hellénique dans ma jeunesse. Et j’ai toujours trouvé à loger chez l’habitant ravi de m’accueillir, car ce sont surtout des Britanniques que je croisais en leurs villes et villages.
Et sans Internet, ni téléphone portable, seulement quelques drachmes en poche…
(Grosse concurrence avec les « teutons vagabonds » d’ailleurs).
 
Alor si le législateur légifère, et bien « Sœur-Âne » fait passer ses flics : On n’est pas « soce-de-progrès » pour rien à la Mairie de « Paris-olympique ».
Elle, elle estime que c’est 25.000 meublés touristiques ne respectent pas les règles.
Et le rythme des contrôles s’accélère à l’approche des Jeux Olympiques.
C’est que les règles sont strictes. Chaque location de meublé touristique doit être enregistrée auprès de la Ville.
La mise en location de sa résidence principale ne doit pas dépasser 120 jours par an. Et dans le cas d’une résidence secondaire, la procédure est très contraignante, avec une obligation de compensation par la location en logement classique d’une surface équivalente, voire double ou triple selon les zones.
Autant dire qu’on fait tout pour écœurer le citoyen de voter pour la mairesse.
À croire qu’elle tient à ce que « Rachi-dada-mimi » lui succède… à moins qu’elle n’en ait rien à foutre, du moment que ça rapporte des sous, sa part de gâteau en somme !
 
En effet, mieux vaut ne pas se faire attraper en contournant les règles, car la sanction peut monter jusqu’à 50.000 euros.
Une centaine de ces amendes ont été distribuées en 2023, renflouant les caisses de la ville de plus d’un million d’euros.
Car environ 43.000 annonces de location de type Airbnb sont enregistrées auprès de la capitale. « On estime (dans le tas) que 25.000 meublés touristiques ne sont pas en règle », affirme l’adjoint chargé du logement.
Les services de la ville s’organisent pour débusquer ceux qui passent sous les radars, car ça peut être rentable de faire caguer le citoyen.
Déjà qu’on lui interdit de louer ses passoires thermiques, que quand il a le droit de louer, on lui bloque ses revenus locatifs et qu’en plus, quand il a affaires à un mauvais payeur, on va mettre des années à autoriser son expulsion effective…
Au moins, en Balagne, en deux ou trois fois une semaine de location estivale, ça paye les taxes, les impôts, les charges, les travaux et parfois les emprunts.
La quatrième semaine, c’est même tout bénéfice, très loin des 120 jours requis par la loi…
 
 
Toutefois, il faut savoir que pour arriver à faire condamner un propriétaire, le chemin est semé d’embûches.
D’abord, il y a une astuce (parmi plein d’autres) qui consiste à « prêter » son logement à « des amis » : Ce n’est pas une location, mais la contrepartie peut aussi être non-monétaire ou payée en Bitcoin sur un compte off-shore anonyme qui sera dépensé au fil du temps en le transformant en rente assurancielle d’origine étrangère…
J’avais même des amis qui, comme ça, échangeaient leur loft montmartrois sur un réseau qui propose ce type d’opération : Ils ont ainsi pu visiter la plupart des grandes villes de la planète…
 
Ensuite, il savoir qu’une contrainte juridique permet à de nombreux propriétaires d’échapper aux amendes de la ville : Pour la location des résidences secondaires, la ville doit apporter la preuve que l’appartement était bien un local à usage d’habitation au 1er janvier 1970.
S’il ne l’était pas, la location « touristique » n’est pas interdite.
C’est le cas de « Ma Nichée » qui habite un ancien couvent, lieu cultuel par excellence, transformé depuis plus 20 ans en appartements à peu-près habitables et qui va ainsi accueillir des touristes à tous les étages…
Mais pour parvenir à cette démonstration, les fouilles dans les archives de la Ville peuvent durer une éternité pour les agents.
Alors pour frapper encore plus fort, les élus de l’Hôtel de Ville attendent avec impatience l’aide des parlementaires.
 
C’est justement l’objet de cette proposition de loi trans-partisane débattue avant-hier, pour réglementer les locations saisonnières qui fait donc son retour à l’Assemblée nationale.
Si elle est adoptée, la loi interdira notamment la location de logement type Airbnb aux passoires thermiques, réduira l’abattement fiscal existant, et augmentera le pouvoir de régulation de certaines communes.
 
Trop tard pour racketter les opportunistes olympiens…
Pas de chance !
Et ce n’est que plus tard qu’on mesurera tous les effets pervers de ces mesures législatives à la kon, qui poussent les gens hors de chez eux… ou détruise le patrimoine (comme les lois de blocage des loyers : Il y en eu tellement depuis 1948…)
C’est comme tout : Il faut que ça tourne pour faire du PIB supplémentaire !
Et puis de toute façon, l’argent des autres, ça les rend cinglés : Ça les rend malades de ne pas pouvoir en croquer, alors, hein… paradoxalement ils en arrivent même à consolider les rentes de situation !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire