Les vrais et les faux indicateurs…
Parfois on s’accroche à des « grigris » pour écarter les
prévisions les plus solides en espérant que la réalité se calera sur nos
fantasmes…
Il est ainsi deux informations que j’ai retenues pour vous : L’existence d’un « indice de pôvreté » qui serait un excellent indicateur prévisionnel des résultats des élections « ricaines » ;
Et les informations, probablement frelatées, sur l’avenir politique de « Poux-tine » et sa conduite des affaires de son pays, la « Sainte-Russie » et de son peuple.
Je vous les livre pour ce qu’ils sont…
1 – L’«
indice de la misère » crie la victoire de « Bail-dan ».
Cet indicateur a été conçu par BNP-Paribas et s’est révélé pertinent pour
14 des 16 derniers scrutins présidentiels aux États-Unis d’Amérique.
Mais rien n’est définitif, nous rassure-t-on.
Pour l’heure, la conjoncture économique favorise nettement le candidat sortant,
assurent les « experts-économistes » de la banque aux USA, en disent-ils
dans une note publiée la semaine dernière.
La banque a fabriqué un « indice de la misère économique » qui, très simplement, additionne l’évolution récente de l’inflation et celle du chômage.
Plus cet indicateur est positif, plus le président sortant (ou le parti sortant) aura du mal à se faire réélire, et vice-versa.
Aussi, les mesures sont prises sur douze mois, parce que « les
électeurs semblent avoir la mémoire plus courte », plutôt que sur un mandat
complet, notent ces analystes.
Ce qui ne me paraît pas totalement faux, surtout aux USA et surtout depuis l’avènement des réseaux sociaux de l’immédiate réaction des opinions zappeuses…
Il s’agit donc d’évolutions moyennes qui en plus retardent de six mois, ajoutent-ils, « pour prendre en compte la lente dissémination des nouvelles économiques dans le public ».
Ce qui là non plus n’est pas faux : Il faut bien un semestre pour vérifier qu’une mesure prise en amont a ou non des effets espérés…
Pour l’instant, BNP Paribas anticipe un indice négatif, donc favorable au
sortant, à – 0,4.
Ce qui est de bon augure pour « Joe Bail-dan », même si la perspective est moins nette qu’en 2012 pour la réélection « d’Haut-bas-Mât » (– 2,2) ou en 1984 pour celle de « Riz-gagne » (– 2,7).
En notant que « Pine-tonne » avait été réélu en 1996 avec seulement – 0,2.
Cette prédiction paraît étonnante, car jusqu’à présent, les succès
économiques de « Bail-dan » ne paient pas. Sa popularité est au plus
bas malgré l’atterrissage en douceur des États-Unis : L’inflation a fondu de
presque 6 points depuis mi-2022, à 3,4 %, et le taux de chômage n’a pas
décollé, pour rester collé à 3,7 %.
Une économie avec une santé de fer…
D’autant que la modération des prix à la pompe et le dynamisme de la « job
machine » pourraient bien commencer à décoller furieusement avec des effets induits
sur les niveaux de salaires.
Le moral des consommateurs s’est en effet amélioré de 13 % en janvier, au plus haut depuis juillet 2021, après avoir touché le fond en juin 2022.
Quant aux anticipations d’inflation, qui a chuté à 2,9 % pour 2024, « dans la fourchette de 2,3 % à 3 % observée pendant les deux années antérieures à la pandémie » prévient-on.
D’accord, depuis 1960, « l’indice de la misère économique » s’est
révélé remarquablement efficace : Il a prédit quatorze fois sur seize l’issue
du scrutin.
Une fois, il est resté muet : C’était en 2004 où « l’index de la misère » donnait « George Double-vue-BouBouche ». Or, « Boubouche » et « John-Quai-riz » étaient à égalité de chances et c’est le président républicain qui a été réélu.
Cet indicateur n’a pas du tout fonctionné en 1976. « Jimmy-Quart-Terre » est sorti victorieux de son duel avec « Gégé-Ford-intérieure » alors que ce dernier aurait dû profiter du redressement du pays trois ans après le premier choc pétrolier.
« C’est un clair exemple de moment où le sentiment des électeurs concernant des questions non économiques, en l’occurrence la réaction antirépublicaine à la suite du scandale du Watergate, a obscurci l’amélioration de l’économie », expliquent les analystes pour se dédouaner et sauver leurs prédictions…
Ils préviennent d’ailleurs, pour doucher les enthousiasmes : L’élection
de 2024 pourrait à nouveau faire exception à la règle car les nominés
potentiels « font face à des obstacles comme leur âge, des risques
juridiques, géopolitiques, des candidatures tierces et une politisation aiguë ».
Ils oublient également des attentats ou quelques événements majeurs non prévisibles…
L’économie pèsera peut-être moins lourd dans la balance électorale.
De plus, les « vents porteurs » qui profitent aux démocrates pourraient tourner assez facilement.
En effet les analystes de la BNP Paribas table sur une inflation de 2,2 % et 4,7 % de chômage, mais 0,2 point de chômage supplémentaire suffirait à rendre la situation tangente pour « Bail-Dan ».
De même, le scénario « haut » de la Fed, 4,5 % de chômage pour 2,7 % d’inflation, serait proche du point de bascule pro-républicain.
Une affaire à suivre : Pour l’heure, « mes » indicateurs
donnent à 50 contre 49 % la victoire aux « Démocrates ».
Mais bon, avec leur découpage en grands électeurs et ses effets multiplicateurs, rien n’est jouée pour la Maison Blanche…
Et pour aller plus loin, on va jusqu’à 56 % de « probabilité », pour que « Trompe » ne soit finalement pas investi…
C’est qu’il va se passer des choses passionnantes d’ici là !
D’autant que ce n’est pas du tout la chanson que notre « presse aux ordres » nationale nous sert actuellement.
Mais comme elle ne raconte que n’importe quoi[1]…
2 –
Parmi les délires du moment, après la santé de « Poux-tine », on
annonce déjà son agonie.
Moâ, je veux bien, mais de « source sûre », il était soi-disant
atteint d’un cancer du pancréas.
Globalement, c’est insoignable comme saloperie. On en dit d’ailleurs que c’est le crabe le plus injuste : Non seulement on ne sait pas le soigner, mais on ne sait pas non plus d’où il vient pour pouvoir le prévenir, et c’est un des cancers qui fait le plus souffrir !
Je sais : Ma « môman-à-moâ-même », celle qu’est plus là, elle aura dégusté comme pas permis par le bon dieu durant deux ans et demi. Elle a fini totalement shootée en « soins palliatifs » à sa demande : Quatre jours d’agonie, apaisante…
La médecine sait « prolonger », mais le pronostic est de tout façon létale à 5 ans.
Or, ça fait bien trois ans qu’on parle du crabe de « Poux-tine »…
Bon, et là, lui il est toujours là, presque pimpant à faire le « prime
time » durant toute une soirée soi-disant sans la moindre pause.
Je vous ai déjà signalé mes soupçons d’une grosse manipulation absolument ridicule :
Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2024/01/il-y-eu-des-choses-curieuses.html
Ridicule, mais significative…
J’ai ainsi pu relever pour vous une interview qui en rajoute, accordée à Marie Rigot et au quotidien belge « La Libre », que Sergueï Jirnov ex-espion du KGB dans le civil, estime que les choses sont en train de tourner au vinaigre pour « Vlad-Poux-tine ».
D’abord, le conflit en Ukraine serait d’après lui arrivé à un tournant.
Beaucoup parlent d’un essoufflement de l’armée de « Zélen-sky » mais ce n’est pas son avis : « L’Ukraine, qui est bien moins puissante que la Russie, a résisté pendant un an supplémentaire. Ça, c’est une réussite. »
C’est indéniable !
« Mais les États-Unis, la France, l’Allemagne… n’ont pas fourni les munitions qui auraient permis à l’Ukraine d’enfoncer le clou. »
C’est encore ce que je disais hier…
« Quand je vois les généraux français pavoiser sur les plateaux télé et estimer que les Ukrainiens ne se battent pas très bien, ça me met en colère. L’armée ukrainienne à l’heure actuelle est la première armée du monde sur le champ de bataille !
Poutine ne peut rien y faire.
La preuve en est qu’il est obligé de quémander des munitions à la Corée du Nord et à l’Iran. Poutine est devenu un mendiant, qui va dans toutes les dictatures du monde pour obtenir de l’aide », explique-t-il.
Ce qui là aussi n’est pas faux, faut-il reconnaître…
« Sur le plan intérieur aussi, Poutine semble perdre du terrain »,
selon lui qui aime à pointer le mécontentement croissant de la population,
confronté aux pénuries, au froid et aux privations dans une Russie où l’essentiel
des ressources sont utilisées pour l’effort de guerre.
Mais il est également plus précis et nuancé : « Les Russes s’en fichent de cette guerre. Plus de 55 % d’entre eux voudraient qu’elle prenne fin en 2024.
35 % des Russes disent qu’ils seraient d’accord que le
conflit se termine même si cela signifie qu’ils perdent les territoires occupés
actuellement.
Cela prouve à quel point cette guerre est celle de Poutine.
Le problème, c’est que le président russe ne voudra jamais y renoncer de son vivant.
Il est en train de ruiner son économie, de tuer son pays, de massacrer sa population.
Rien n’est gagné pour Poutine.
La situation est électrique en Russie. On voit que des émeutes ont éclaté et on ne sait pas à quoi cela va mener.
Peut-être que, dans un mois, Poutine ne sera plus au Kremlin.
Le prix de la viande, des œufs… a triplé.
La colère est réelle. »
Peut-être, mais peut-être seulement.
Parce qu’aucun doute, il gagnera les prochaines élections : Une formalité
dont il pourrait se passer mais il veut adoucir son image, plus que celle de son
voisin Biélorusse (un autre « démocrate… autoritaire »), alors il en
passe par les urnes, juste pour le plaisir (et mesurer l’efficacité de son
contrôle de la population…).
En revanche, de nous avoir présenté son sosie dans une émission de grande écoute reste problématique.
Si encore le modèle original s’était dupliqué pour jouer le rôle de son sosie…
Mais même pas : Leurs oreilles diffèrent, et ce qui se voit le mieux
(même si ce n’est pas facile…) ça reste le lobe de l’appendice auditif :
Il y en a un qui a le premier et le second lobe qui se confondent alors qu’à l’autre
il est mieux dessiné et on doit pouvoir le mettre en valeur avec des boucles d’oreille.
Il y a donc vraiment deux personnages, de taille et de corpulence un peu différente, mais avec un bon tailleur et des talonnettes, ça ne se voit pas.
Et la question reste de savoir qui est le vrai ?
Celui qui fait le clown devant les caméras d’une émission préparée de longue date, ou celui avachi dans son fauteuil qui fait « gentil grand-père » un peu ratatiné ?
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : «
LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN
LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN
AGENT « NON RUSSE » !
[1] Ils sont allés jusqu’à véhiculer l’idée que notre « Gaby-le-magnifique » était le plus doué de sa génération et même au moins autant que « Jupiter » si ce n’est pas beaucoup plus… C’est dire le « délire d’opinion » !
Il est ainsi deux informations que j’ai retenues pour vous : L’existence d’un « indice de pôvreté » qui serait un excellent indicateur prévisionnel des résultats des élections « ricaines » ;
Et les informations, probablement frelatées, sur l’avenir politique de « Poux-tine » et sa conduite des affaires de son pays, la « Sainte-Russie » et de son peuple.
Je vous les livre pour ce qu’ils sont…
Mais rien n’est définitif, nous rassure-t-on.
La banque a fabriqué un « indice de la misère économique » qui, très simplement, additionne l’évolution récente de l’inflation et celle du chômage.
Plus cet indicateur est positif, plus le président sortant (ou le parti sortant) aura du mal à se faire réélire, et vice-versa.
Ce qui ne me paraît pas totalement faux, surtout aux USA et surtout depuis l’avènement des réseaux sociaux de l’immédiate réaction des opinions zappeuses…
Il s’agit donc d’évolutions moyennes qui en plus retardent de six mois, ajoutent-ils, « pour prendre en compte la lente dissémination des nouvelles économiques dans le public ».
Ce qui là non plus n’est pas faux : Il faut bien un semestre pour vérifier qu’une mesure prise en amont a ou non des effets espérés…
Ce qui est de bon augure pour « Joe Bail-dan », même si la perspective est moins nette qu’en 2012 pour la réélection « d’Haut-bas-Mât » (– 2,2) ou en 1984 pour celle de « Riz-gagne » (– 2,7).
En notant que « Pine-tonne » avait été réélu en 1996 avec seulement – 0,2.
Une économie avec une santé de fer…
Le moral des consommateurs s’est en effet amélioré de 13 % en janvier, au plus haut depuis juillet 2021, après avoir touché le fond en juin 2022.
Quant aux anticipations d’inflation, qui a chuté à 2,9 % pour 2024, « dans la fourchette de 2,3 % à 3 % observée pendant les deux années antérieures à la pandémie » prévient-on.
Une fois, il est resté muet : C’était en 2004 où « l’index de la misère » donnait « George Double-vue-BouBouche ». Or, « Boubouche » et « John-Quai-riz » étaient à égalité de chances et c’est le président républicain qui a été réélu.
Cet indicateur n’a pas du tout fonctionné en 1976. « Jimmy-Quart-Terre » est sorti victorieux de son duel avec « Gégé-Ford-intérieure » alors que ce dernier aurait dû profiter du redressement du pays trois ans après le premier choc pétrolier.
« C’est un clair exemple de moment où le sentiment des électeurs concernant des questions non économiques, en l’occurrence la réaction antirépublicaine à la suite du scandale du Watergate, a obscurci l’amélioration de l’économie », expliquent les analystes pour se dédouaner et sauver leurs prédictions…
Ils oublient également des attentats ou quelques événements majeurs non prévisibles…
L’économie pèsera peut-être moins lourd dans la balance électorale.
De plus, les « vents porteurs » qui profitent aux démocrates pourraient tourner assez facilement.
En effet les analystes de la BNP Paribas table sur une inflation de 2,2 % et 4,7 % de chômage, mais 0,2 point de chômage supplémentaire suffirait à rendre la situation tangente pour « Bail-Dan ».
De même, le scénario « haut » de la Fed, 4,5 % de chômage pour 2,7 % d’inflation, serait proche du point de bascule pro-républicain.
Mais bon, avec leur découpage en grands électeurs et ses effets multiplicateurs, rien n’est jouée pour la Maison Blanche…
Et pour aller plus loin, on va jusqu’à 56 % de « probabilité », pour que « Trompe » ne soit finalement pas investi…
C’est qu’il va se passer des choses passionnantes d’ici là !
D’autant que ce n’est pas du tout la chanson que notre « presse aux ordres » nationale nous sert actuellement.
Mais comme elle ne raconte que n’importe quoi[1]…
Globalement, c’est insoignable comme saloperie. On en dit d’ailleurs que c’est le crabe le plus injuste : Non seulement on ne sait pas le soigner, mais on ne sait pas non plus d’où il vient pour pouvoir le prévenir, et c’est un des cancers qui fait le plus souffrir !
Je sais : Ma « môman-à-moâ-même », celle qu’est plus là, elle aura dégusté comme pas permis par le bon dieu durant deux ans et demi. Elle a fini totalement shootée en « soins palliatifs » à sa demande : Quatre jours d’agonie, apaisante…
La médecine sait « prolonger », mais le pronostic est de tout façon létale à 5 ans.
Or, ça fait bien trois ans qu’on parle du crabe de « Poux-tine »…
Je vous ai déjà signalé mes soupçons d’une grosse manipulation absolument ridicule :
Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2024/01/il-y-eu-des-choses-curieuses.html
Ridicule, mais significative…
J’ai ainsi pu relever pour vous une interview qui en rajoute, accordée à Marie Rigot et au quotidien belge « La Libre », que Sergueï Jirnov ex-espion du KGB dans le civil, estime que les choses sont en train de tourner au vinaigre pour « Vlad-Poux-tine ».
Beaucoup parlent d’un essoufflement de l’armée de « Zélen-sky » mais ce n’est pas son avis : « L’Ukraine, qui est bien moins puissante que la Russie, a résisté pendant un an supplémentaire. Ça, c’est une réussite. »
C’est indéniable !
« Mais les États-Unis, la France, l’Allemagne… n’ont pas fourni les munitions qui auraient permis à l’Ukraine d’enfoncer le clou. »
C’est encore ce que je disais hier…
« Quand je vois les généraux français pavoiser sur les plateaux télé et estimer que les Ukrainiens ne se battent pas très bien, ça me met en colère. L’armée ukrainienne à l’heure actuelle est la première armée du monde sur le champ de bataille !
La preuve en est qu’il est obligé de quémander des munitions à la Corée du Nord et à l’Iran. Poutine est devenu un mendiant, qui va dans toutes les dictatures du monde pour obtenir de l’aide », explique-t-il.
Mais il est également plus précis et nuancé : « Les Russes s’en fichent de cette guerre. Plus de 55 % d’entre eux voudraient qu’elle prenne fin en 2024.
Cela prouve à quel point cette guerre est celle de Poutine.
Le problème, c’est que le président russe ne voudra jamais y renoncer de son vivant.
Il est en train de ruiner son économie, de tuer son pays, de massacrer sa population.
Rien n’est gagné pour Poutine.
La situation est électrique en Russie. On voit que des émeutes ont éclaté et on ne sait pas à quoi cela va mener.
Peut-être que, dans un mois, Poutine ne sera plus au Kremlin.
Le prix de la viande, des œufs… a triplé.
La colère est réelle. »
En revanche, de nous avoir présenté son sosie dans une émission de grande écoute reste problématique.
Si encore le modèle original s’était dupliqué pour jouer le rôle de son sosie…
Il y a donc vraiment deux personnages, de taille et de corpulence un peu différente, mais avec un bon tailleur et des talonnettes, ça ne se voit pas.
Et la question reste de savoir qui est le vrai ?
Celui qui fait le clown devant les caméras d’une émission préparée de longue date, ou celui avachi dans son fauteuil qui fait « gentil grand-père » un peu ratatiné ?
[1] Ils sont allés jusqu’à véhiculer l’idée que notre « Gaby-le-magnifique » était le plus doué de sa génération et même au moins autant que « Jupiter » si ce n’est pas beaucoup plus… C’est dire le « délire d’opinion » !
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