Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 19 janvier 2024

Jean-Marc et Jean-Paul philosophent…

Tournée de bar !
 
Naturellement, l’alcool aidant, ils deviennent rapidement grivois et abordent leurs sujets préférés de discussion : Notamment les femmes, le sexe et autres ripailleries habituelles !
C’est par exemple l’occasion pour l’un des deux d’affirmer que le meilleur bois pour les pipes, c’est probablement le bois de Boulogne…
 
Son compère, inspiré et pareillement imbibé, confirme de son côté, ce qui n’a rien à voir, que : « On a beau dire… mais depuis que les femmes boivent autant que les hommes, la table est moins vite débarrassée… »
 
Plus tard, on rapporte cette remarque pleine de bon sens :
« Certains hommes aiment tellement leur femme que, pour ne pas l’user, ils se servent de celle des autres ! »
 
« — Que penses-tu des femmes qui aiment la levrette ?
Moi perso, je suis à 100 % derrière elles ! »
 
Une classique :
« — Quel est la planète qui vient après Mars ?
Avril ! »
 
Jean-Marc :
« — L’autre jour, ma femme m’a demandé de mettre de la moutarde sur la liste des courses.
Mais c’est con !
Ah ? Pourquoi ?
On ne peut plus la lire… »
 
Jean-Jacques rencontre Jean-Marc !
Le premier est un joueur invétéré qui dit à notre Jean-Marc, alors que ce dernier ne lui demandait rien :
« — Il faut que je t’annonce une grande nouvelle : J’arrête de jouer !  Plus de casino, plus de tiercé, plus de poker…
— Bravo », lui dit Jean-Marc. « Mais pardonne-moi, te connaissant, j’ai du mal à y croire. Je suis même sûr que tu ne tiendras pas !
— Ah bon ? Tu paries combien ? »
 
C’est l’histoire d’une petite fille qui est en train de feuilleter l’album de famille.
Tout à coup, elle demande à sa mère :
« — Maman ! Qui c’est le beau brun en maillot de bain, avec des pectoraux terribles, qui est à côté de toi sur la plage ? 
— C’est ton papa quand je l’ai connu », répond la mère sur un ton mélancolique.
« Ah bon ! C’est mon papa ? Alors, qui c’est le gros type chauve qui vit à la maison ? »
 
En arrivant le matin au bureau, Jean-Marc lance à Jean-Luc, son collègue :
« — J’ai été patient, j’ai attendu, maintenant ça suffit ! J’ai rendez-vous à dix heures chez le patron, et là je vais lui dire : Ou vous m’augmentez sérieusement, ou je m’en vais !
— Tu vas vraiment le lui dire comme ça ?
— Et comment ! »
Et à dix heures moins deux, il se lève.
Dix minutes plus tard, il est de retour.
« — Alors ? » demande son collègue, « tu as obtenu ce que tu voulais ?
— Ce n’est pas aussi simple que ça. Quand il y a deux points de vue opposés, il faut savoir négocier.
Alors nous avons discuté, et finalement on a coupé la poire en deux : lui ne m’augmente pas, et moi je reste… »
 
C’est en hiver.
Dans la cour d’un établissement psychiatrique, les pensionnaires se promènent.
Le chien du gardien qui gambade dans la cour, s’approche de l’un d'eux.
Apeuré, celui-ci se baisse pour ramasser une pierre.
Mais celle-ci reste collée au sol par la gelée.
Alors, il s’enfuit vers la porte.
Le gardien l’arrête :
« — Où courez-vous comme ça ?
— Je m’en vais. C’est une maison de fou ici !
Les chiens sont en liberté mais on attache les pierres… »
 
Une nouvelle monitrice s’étonne, auprès du directeur de la colonie de vacances, accueillant des jeunes d’une quinzaine d’années :
« — Pourquoi grouper d’un côté les garçons et de l’autre les filles, sur deux îles, éloignées d’une trentaine de mètres ?
— Croyez-en ma vieille expérience », répond-il. « Avec ce système, à la fin des vacances, ils auront tous appris à nager ! »
 
Une revenue ?
C’est l’histoire d’un grand antiquaire qui parcourt la campagne pour dénicher au meilleur prix des meubles ou des objets anciens.
Il arrive dans une ferme et voit un petit chat qui boit son lait dans une écuelle qu’il identifie immédiatement comme datant de l’époque romaine.
Une pure merveille rarissime !
Cachant du mieux possible son enthousiasme, il dit au paysan :
« — Ma femme a toujours eu envie d’avoir un chat. Si vous voulez vous débarrasser de celui-là, je vous l’achète…
— Pourquoi pas ? » répond le fermier. « Si vous me donnez deux cents euros, il est à vous.
— Marché conclu ! » dit l’antiquaire qui dissimule sa joie.
Il sort deux billets de cent euros, les donne et ajoute nonchalamment :
« — Pour qu’il ne soit pas trop dépaysé, je vais emporter son bol…
— Ah non ! » fait le fermier. « Le bol vous le laissez ici ! Depuis le début de l’année, il m’a déjà fait vendre quinze chats… »
 
Dans la famille Dugland, on est mécanicien de père en fils.
Aujourd’hui, le tout jeune fils de 12 ans vient de faire son premier tour en voiture tout seul… Et il revient sans la voiture.
« Qu’est-ce qui se passe Jean-Pierre ? » demande son père.
« — Je crois que la voiture a de l’eau dans le carburateur, papa.
— Mais quel fils j’ai ! » s’enthousiasme-t-il en prenant la petite tête ronde de son fils entre ses mains.
« — Il a à peine douze ans, il sait déjà conduire une voiture, et si elle tombe en panne, il sait dire ce qui s’est passé.
Ah, ma petite graine de champion, tu seras un grand mécano comme ton papa toi aussi.
Et où as-tu laissé la voiture ?
— Dans le lac papa !!! »
 
Dans le salon familial, le petit Jean-Étienne s’égosille devant le sapin de Noël.
« Père Noël, Père Noël, je veux un train électrique ! »
Après quelques secondes, il se remet à crier :
« Père Noël, Père Noël, je veux un train électrique ! »
Au bout de plusieurs récidives, son père intervient :
« Ce n’est pas la peine de crier comme ça, le Père Noël n’est pas sourd. »
Et le gamin lui répond :
« Le Père Noël n’est peut-être pas sourd, mais grand-mère si ! »
 
Dispute d’ivrogne.
Jean-Marc et Jean-Michel.
Le second question Jean-Marc :
« — Dis, si je te disais que je me tape ta femme, on serait toujours ami ?
— Sûrement pas !
— Oh, on est des potes, non ? Si je te disais que je me tape ta femme, on reste potes, non ?
— Ah non, non !
— Alors, si je me tape ta femme, on ne serait plus potes, mais on serait quoi alors ?
— On serait quittes. »
 
Le génicologue local s’étonne.
« — Comment est-ce possible ? Vous avez été marié quatre fois, et vous êtes toujours vierge !
— Écoutez docteur… Mon premier mari était architecte : il ne faisait que des projets.
Le second était fonctionnaire : il laissait tout pour le lendemain…
Le troisième était politicien : il ne faisait que des promesses qu’il ne tenait jamais.
Et le quatrième était inspecteur des impôts et ne faisait que de m’enculer !… »
C’était « une revenue »… de loin…
 
« Cite-moi une chose que tu peux faire quand ta femme n’est pas là ? » demande Jean-Paul à Jean-Marc, son compère.
« Des économies… »
 
Émotion et compassion quand Marie-Geneviève s’épanche auprès de Germaine :
« Je suis tellement plate, que quand je plonge, je fais des ricochets… »
 
Reproches à peine voilés de Mouloud, un collègue de Jean-Marc :
« — Je ne sais pas ce qui me retient de quitter ce pays, raciste, sectaire et arabophobe... Si tu savais mon frère !
Les allocs et ton manque de dignité, peut-être… »
 
Don Côme, le fils de Dumè :
« — Papa, papa, elle sert à quoi cette machine ?
Bin, tu vois, tu fais entrer un âne par la porte et il en ressort du saucisson…
Et ça existe une machine, que quand tu fais entrer un saucisson, il en ressort un âne ?
Aho, mon fils… Oui, manifestement ta mère ! »
 
Jean-Paul, devant une bière, à Jean-Marc, lui-même devant une autre chope de bière :
« — Et ta Germaine, elle assure au lit…
Y’en a qui disent que oui, et d’autres qui disent que non ! »
 
Et il continue :
« — Dis donc, tu sais pourquoi les femmes ne peuvent pas être économes ?
Non… Tu en as expérimentées tant que ça ?
Mais non… C’est parce que tu as déjà vu des tirelire avec la fente en bas ? »
 
Marie-Chantal, devant un thé avec Germaine :
« — Tu sais, il faut savoir que sexy ne veut pas dire salope…
Attirante ne veut pas dire allumeuse…
Charmante ne veut pas dire pute !
Accessible ne veut pas dire « fille facile ».
Timide ne veut pas dire « coincée ».
Sensible ne veut pas dire nunuche…
Amoureuse ne veut pas dire « prête à tout ».
Et femme ne veut pas dire « objet » !
Tu sais, je ne suis pas si bête que j’en ai l’air : je sais tout ça !
Tu me rassures. En revanche, ton mari, tu devrais le lui apprendre…
Tu crois ? Il te faut savoir que tenter de discuter intelligeamment avec un con, c’est comme essayer de faire jouir une poupée gonflable… »
 
Marie-Luce fait un aveu à Germaine :
« Ce n’est pas moi qui suis stupide…
Ce sont les questions des apéricubes qui sont trop dures… » 
 
Avertissement de Jean-Marc à Jean-Paul :
« — Sache que si jamais on retrouve un jour mon corps sur un parcours de jogging, c’est que j’ai été placé à cet endroit, mais que j’ai été assassiné ailleurs…
Noté ! »
 
Jean-Marc avec Jean-Paul…
« — Les écolos disent qu’il faut pisser sous la douche pour faire des économies d’eau et préserver la ressource…
Eh bien moi, je t’avoue que je ne comprends pas : avec tout ce que je picole et ma prostate, prendre une douche à chaque fois que je pisse, ça me semble être du gâchi !
Oui, mais bon, c’est eux qui savent… »
 
« Ma femme, elle conduit tellement mal que le GPS du bord ne parle plus : Il prie ! »
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire