Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 29 juillet 2023

Menaces de chaos (36/54)

35 – Les déplacements « discrets » de Paul
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Paul prépare en douce l’étape suivante, car ni Alexis ni Gustave ne sont d’abord tenus au courant et Florence probablement pas non plus. En tout cas, elle n’en dit rien.
En revanche, ces trois-là sauront plus tard de quoi il retourne parce que Julie, l’œil de Moscou de Matignon et Babeth Brown en parlera dans la mesure où elle accompagne « Charlotte » en qualité d’assistante.
Deux polytechniciens valent mieux qu’un seul pour ce qu’ils ont à faire.
Au point qu’Alexis comme Gustave se sentent mis à l’écart et jalouseront sans le dire la perfide Julie et son regard qui se veut inexpressif, dans ces occasions-là.
 
Florence s’en moque : elle navigue entre Paris et son cabinet d’architecture, entourant ses enfants, et le chantier des Chagos où elle croise parfois Paul. Et ils rentrent ensemble en Normandie pour les vacances scolaires et les week-ends… quand ils peuvent en aggravant leur signature carbone.
Car Paul admettra, lui aussi plus tard, qu’à ce moment-là il parcourt discrètement la planète pour rencontrer ses « contacts américains » poursuivant plusieurs objectifs : le futur de sa fondation spatiale et l’interception d’une torpille nucléaire russe…
Ils ne sont pas très nombreux, mais ils ont des relais.
 
Il peut ainsi compter sur la firme de Bill Gates, située à Redmond, lui et sa gigantesque maison de plus de 4.000 m² située en face de Seattle, au Nord de l’État de Washington sur la côte Ouest des USA.
On peut noter, à quelques kilomètres de là, la propriété de Jeff Bezos et ses deux maisons de 1.900 et 770 m²… Le patron d’Amazon et, entre autres, de Blue Origin une entreprise concurrente de celle de Paul dans le domaine spatial, y passe de temps en temps, quand il travaille à Seattle où siège sa principale entreprise.
Endroit où l’on trouve également quelques gigantesques ateliers de Boeing.
Paul aurait fait un détour par Necker Island, une île des Caraïbes de 90 hectares au sein de l’archipel des îles Vierges Britanniques, pour rencontrer Richard Branson, le patron de Virgin Galactic, encore un concurrent, qui parfois passe par Las Cruces au Nouveau-Mexique où est installé son « Spaceport America » qui abrite le « White Knight », son avion-porteur pour les tirs des véhicules suborbitaux, les « Space ship » à destination d’un public fortuné et à vocation touristique qui peut ainsi s’offrir un vol extraatmosphérique en apesanteur… moyennant quelques risques de ne pas en revenir en un seul morceau.
Et puis le patron de « SpaceX », de Tesla et de quelques start-ups de renom. Elon Musk.
Il ne vit plus à Los Angeles, mais le plus souvent à Austin au Texas, entre San Antonio et Houston, sur la route de Dallas, plus au Nord, auprès de sa « moitié » du moment.
Ce dernier, à 52 ans, collectionne les entreprises comme les perles d’un collier : directeur général de Twitter depuis le 28 octobre 2022 après avoir déboursé 44 milliards de dollar pour virer les fondateurs trop heureux de l’opportunité de se débarrasser de leur oiseau-bleu à un prix inespéré, Président du conseil d’administration de Tesla jusqu’en novembre 2018, co-président de Neuralink depuis juillet 2016, directeur général de Tesla depuis 2008, directeur général de SpaceX, encore un concurrent spatial qui a le vent en poupe, depuis 2002 et également directeur technique de la même entreprise, il aurait la bougeotte !
Twitter a son siège à San Francisco comme Neuralink, SpaceX l’a à Hawthorne, une ville du comté de Los Angeles où Hyperloop, devenue Virgin Hyperloop depuis que son président est Richard Branson après l’annonce, en octobre 2017 de l’investissement de son nouveau président, qui y est installée, alors que Tesla s’est posée à Austin.
Hyperloop est détentrice de quelques brevets qui vont servir à Paul pour sa « fronde spatiale » des Chagos : le contact avec son nouveau patron reste donc essentiel et Branson est preneur d’une visite des projets concurrents de Paul, alors qu’avec le fantasque Musk, le courant n’est jamais vraiment passé avec Paul.
 
Julie de dit pas s’il est allé rendre visite aux dirigeants d’Alphabet, la maison-mère de Google, à Mountain View, situé près de San José, qui a de nombreuses filiales dans divers domaines, internet, logiciel, biotechnologie, domotique, santé avec Google Inc.CalicoCapitalG, DeepMindGoogle, FiberGVNest, LabsFitbitSidewalk et notamment les Labs & VerilyWaymoXJigsaw. Ce sont des concurrents de ses logiciels BBR et surtout de ceux qui animent ses cyborgs exploités par sa compagnie de croisière[1], « Paradise Cruise ».
Mais ce sont aussi des cibles pour les russes pour être posés à proximité de San Francisco.
Idem pour Meta, situé juste à côté à Menlo Park, et ses quelques filiales comme WhatsApp, Novi Financial, Giphy, Meta Platforms Ireland, entre autres.
En revanche, il aura probablement fait un détour par Cupertino et le siège en forme d’anneau circulaire d’Apple. Tim Cook est une connaissance de Bill Gates qui aura été un minoritaire de poids dès août 1997, moment où les deux groupes rendent public un partenariat qui permet à Apple, alors au bord de la faillite, de se relancer. La firme de Bill Gates achète alors pour 150 millions de dollars d’actions Apple, soit 6,5 % du capital.
Gates est en fait un adversaire redoutable pour Steeve Jobs, le patron emblématique de l’entreprise, et après s’être fait la guerre durant 40 ans, ils ont fini par se réconcilier pour vivre la « saine concurrence » de leur « environnement-machine ».
Et l’entreprise a depuis des actionnaires comme les fonds The Vanguard Group, BlackRock, et Berkshire Hathaway et des membres du conseil d’administration comme l’ex-vice-président comme Al Gore.
Toutes des entreprises visées au premier chef par les plans destructeurs du Kremlin, mais desquelles il n’obtiendra manifestement aucun soutien.
Et par une indiscrétion de Julie, on saura qu’ils sont passés par la 18ème rue de San Francisco, rencontrer Sam Altman, le dirigeant d’OpenAI, un autre concurrent dans l’intelligence artificielle, si on peut qualifier ainsi le logiciel BBR de la CISA, alors fâché avec Elon Musk, un de ses fondateurs.
 
Paul construit son réseau, pas à pas. Mais n’en dit pas beaucoup sur ses amis « milliardaires ».
De toute façon, aucune personne de la CISA ou de la MAPEA n’est autorisée à en savoir plus, sinon Julie muette comme une carpe qui pique un fard quand on se fait trop pressant sur le sujet, et le « petit personnel » de l’hôtel-résidence « Les collines de Cabourg », notamment Victor, le majordome de l’hôtel, pourtant toujours sobre, qui se sera laissé aller exceptionnellement à quelques confidences, un soir, sous l’emprise d’une « grosse fatigue » passagère.
Paul aurait, semble-t-il reçu quelques invités arrivés accompagnés chacun par un escadron de garde-du-corps…
Or, la dernière qu’on a vu passer comme ça, c’était l’actuelle première ministre du pays[2] dans l’entre-deux-tours des législatives de juin 2022.
Mais pas seulement.
 
C’est par la bande qu’Alexis et Gustave comprendront que Paul aura renoué utilement avec « Junior n° 5 », Harry Harrison, cinquième du nom, héritier d’un empire immobilier sur la côte Ouest des USA[3] et principalement en Californie. Évidemment que la destruction de la baie par une munition nucléaire inopportune et inopinée pourrait venir contrarier l’expansion de sa fortune dans les prochaines semaines.
Il y a d’ailleurs un « contentieux » entre les deux hommes.
Paul aura été présent sur les lieux au moment de l’attentat londonien dont aura été victime son père, « Junior n° 4 »[4]. Un franc-maçon états-unien du plus haut degré.
Son fils aura également été l’amant passager de Florence, la mère des enfants de Paul[5].
Et, probablement en représailles, Paul aura séduit les trois femmes importantes de « n° 5 », sa femme, Karen qui lui aura postérieurement racketté une bonne partie de la fortune familiale à l’issue d’un divorce retentissant sur la côte Ouest, Alexandra, sa mère, et Vanessa, sa marâtre et veuve de « n° 4 »…
Coup triple. Questionné sur ce sujet, Paul en dira que ce sont elles qui avaient lourdement insisté pour « faire mal » au fils, au mari, au beau-fils qui s’était vautré inconsidérément dans l’inconduite !
Même Julie en aura rigolé…
 
Du coup, les deux hommes ont épongé leur « virile compétition » de queutard pour aider Paul à protéger la ville polyglotte.
« N° 5 » aura pu sauver les meubles à l’occasion de son divorce et il lui restait assez de « frères » (de franc-maçonnerie) pour épauler Paul dans ses démarches.
Bien que trop souvent, ils auront été pris pour des illuminés.
Mais tout ce qui comptait pour Paul, c’était de disposer d’un « plastron » au moment de l’interception de la torpille Poséidon et d’un accueil du FBI et de la Navy pour leur remettre sa prise.
Curieusement, en cela il aura été aidé par Lady Joan, depuis Londres, qui aura réactivé ses contacts avec les SIS du ministère après la réunion ratée du 19 septembre 2022[6].
C’est manifestement que les choses avaient évolué entre-temps…
Le MI6 dépêche sur la côte Ouest des USA le major Shirley McFeejet. Une vielle connaissance de Paul[7] !
C’est désormais une mère de famille mariée, ravie de reprendre un peu de service « actif » sur le terrain, qui aura pu monter en grade et en responsabilité dans la hiérarchie du ministère, après ses exploits et ses ratés passés au service de sa Majesté, l’ancienne et le nouveau.
Doublement ravie pour recroiser la route de Paul, son « amour de jeunesse » dont elle était « raide-dingue ». Même si ça lui avait passé.
 
Et pour ne pas rester sur le banc de touche, la NSA, alertée par Londres, avait remobilisé Emily Lison, la chanteuse de folk-country qui faisait carrière dans la production de ses disques et de ses spectacles, justement sise sur la côte Ouest où elle avait élu domicile.
C’était la première et unique épouse de Paul. Ils s’étaient connus alors que Paul faisait ses stages de qualification de pilote de l’aéronavale tricolore sur la très secrète Nellis-AF base à une poignée de kilomètres de Las Vegas[8].
À l’époque, c’était une petite « cachetonneuse » des bouges de la région qui mettait un peu de beurre dans les épinards en émargeant à la NSA et en fourrant son nez là où on lui demandait de le faire. Jusqu’à ce qu’elle séduise un officier de l’école navale aéronautique française qui n’avait pas dit non à des épousailles.
Une « belle prise ».
 
Épousailles qui ont vite été enregistrées, jusqu’à ce que la hiérarchie de l’école militaire de Paul lui impose de choisir entre sa carrière naissante dans l’aéronavale et son mariage…
Le mariage n’avait pas résisté bien longtemps. Elle avait bien tenté de tomber enceinte, mais sans résultat.
En revanche, elle a pu renflouer durablement ses finances personnelles quand elle a accepté de jouer le rôle d’intermédiaire entre la CIA et Paul dans sa quête des « milliards disparus » du Koweït, guidé par feu le directeur Charles Almont. Ce dernier fournissait des « pistes », celles dont il disposait, à « Charlotte » pour que celui-ci parvienne à retrouver les fonds détournés par le Président « Thiermirant » jusque dans les comptes du Trésor français, afin qu’un de ses successeurs en la personne du beau-fils d’un directeur du FBI du moment, à savoir le Président Krasoski, que le département d’État avait été pressenti pour prendre la succession de Rackchi, parce qu’il avait été un « Young leader » formé par l’agence.
Rackchi avait le tort d’avoir refusé de traiter durant 12 ans, mais le bénéfice d’avoir évincé « l’Arsouille » : il ne voulait pas entendre parler de remboursement de dette, les avances qu’avaient faites l’agence pour calmer l’émir du Koweït qui avait pris la crampe quand il avait compris qu’il s’était fait rouler par les français, et notamment « DLK », dans les contrats d’extinction de ses puits de pétrole : il avait payé deux fois, rubis sur l’ongle, sans se poser de question sur le moment…
 
Les 15 milliards réclamés par les deux présidents Bush, l’ancien et son fils nouvellement élu, à l’occasion d’une rencontre « discrète » au large de Wolfeboro dans le Maine, sur la côte Est des USA au lendemain de son élection, ont finalement été récupérés à travers le premier « grand emprunt » de ce quinquennat-là[9].
Mais ce n’était que le premier de la série de trois qui rapatriaient les « queues » dans les caisses du Trésor français.
Et Emily a reçu de quoi financer son premier disque original et une tournée de promotion qui aura lancé sa carrière de chanteuse populaire aux USA auprès de ceux qui aime le folk et la country.
Depuis, avec de nombreux tubes enchaînés comme « Coral night », « My cowboy and his horse », « Hug me tenderly », « Girl from the west », ou encore « Born of a star and a mermaid », elle avait fait sa place au box-office.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
 

 
Éditions I3

[1] Cf. épisode « La croisière d’Alexis », dans la série des « Enquêtes de Charlotte », aux éditions I3
[2] Cf. épisode « 2022 : année électorale de Charlotte », dans la série des « Enquêtes de Charlotte », à paraître aux éditions I3
[3] Cf. plusieurs épisodes successifs dans la série des « Enquêtes de Charlotte », aux éditions I3
[4] Cf. épisode « Laudato sì… », dans la série des « Enquêtes de Charlotte », aux éditions I3
[5] Ibidem…
[6] Cf. supra, chapitre 12 du présent volume.
[7] Cf. épisodes « Au nom du Père – tome I » dans la série les « Enquêtes de Charlotte », à paraître aux éditions I3 et « Parcours Olympiques », aux éditions I3
[8] Cf. épisode « Opération Juliette-Siéra », dans la série les « Enquêtes de Charlotte », à paraître en réédition aux éditions I3
[9] Ibidem.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire