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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 27 juillet 2023

Menaces de chaos (34/54)

33 – Et aussi Greta Thunberg
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Mais le mouvement rejette les programmes de contrôle des naissances imposés par les gouvernements en faveur de la réduction volontaire de la population, et approuve uniquement l’usage de la contraception et de la volonté pour éviter les grossesses.
Ainsi il soutient lui aussi que les approches coercitives ont peu de chances de faire diminuer la population humaine de façon permanente, s’appuyant sur le fait que l’humanité a survécu à des guerres, des famines et des virus aux effets dévastateurs.
Bien que le titre du bulletin d’information évoque le manuel de suicide de « Final Exit », l’idée d’un suicide collectif est exclue alors que certaines sectes y ont recours, et le groupe composé autour de leur prophète a alors adopté la devise « Puissions-nous vivre longtemps et disparaître ».
 
De plus, pour être complet, il faut signaler qu’une étude de 1995 portant sur les membres du VHEMT indique que la majorité d’entre eux se sentent investis d’une forte obligation morale de protéger la planète, ne croient pas en la possibilité de prévenir les dégâts environnementaux par la voie politique comme notre ex-ministre de l’écologie d’après la consœur rencontrée précédemment par Alexis, qui en aura fait l’amère expérience ― c’est aussi là où les uns et les autres se rejoignent et se nourrissent mutuellement de leurs discours ! ― et sont prêts à renoncer à certains de leurs droits au bénéfice de leur cause.
Ceux des membres du VHEMT qui sont fermement convaincus que « la civilisation se dirige tout droit vers son effondrement » sont les plus susceptibles d’adhérer à cette vision. Toutefois, le VHEMT ne prend pas ouvertement position sur les questions politiques.
 
En définitive, le VHEMT fait la promotion d’une idéologie plus extrême que Population Action International, par exemple, groupe qui défend l’idée que la population humaine devrait être réduite pour protéger la planète, mais pas disparaître.
En effet, cette ONG basée à Washington DC prétend utiliser la recherche et plaide pour améliorer l’accès mondial à la planification familiale et aux soins de santé reproductive.
Sa mission est de « veiller à ce que chaque personne ait le droit et l’accès à la santé sexuelle et reproductive, afin que l’humanité et l’environnement naturel puissent exister en équilibre avec moins de personnes vivant dans la pauvreté ».
En revanche, la position du VHEMT est plus modérée et plus sérieuse que celle de « l’Église de l’Euthanasie », qui prône la réduction de la population par le suicide et le cannibalisme.
Elle prêche en effet, comme VHEMT, la réduction de la population humaine dans le but de préserver l’environnement. Et son unique commandement est « Tu ne procréeras point » mais ses quatre « piliers » sont le suicide, l’avortement, le cannibalisme et la sodomie !
 
L’étude de 1995 révèle que 36 % des adhérents du VHEMT se considèrent également membres de l’organisation « Earth First! » ou ont fait des dons à ce groupe, au cours des cinq années précédentes, qui édite notamment un manuel d’action directe pour enseigner les bases d’une résistance efficace et novatrice.
Ce manuel contient près de 300 pages de diagrammes, des descriptions, de techniques et un panorama complet du rôle que joue l’action directe dans la résistance : planifier une action, mettre en place un blocus, occuper un arbre ou paralyser un projet.
Ce livre contient aussi des informations juridiques essentielles et un aperçu de l’environnement politico-judiciaire dans lequel les militants doivent naviguer.
Un manuel qui a été compilé et mis à jour par des militants de première ligne états-uniens.
Leur objectif principal étant de diffuser des connaissances et compétences clés aux quatre coins du monde.
 
Naturellement, il n’y a pas que ça : on peut également faire mention de Greta Thunberg, celle qui acquiert une renommée internationale pour ses actions militantes et plusieurs interventions et discours, dont notamment un discours au siège de l’Organisation des Nations unies, en confrontant les décideurs politiques à la crise existentielle résultant du changement climatique auquel l’humanité doit faire face.
Elle proteste durant l’été 2018 devant le Parlement suédois, à l’âge de 15 ans, contre l’inaction face au changement climatique.
En novembre 2018, elle lance la grève scolaire pour le climat.
Le mouvement se propage dans le monde entier après son discours à la conférence de Katowice de 2018 sur les changements climatiques de la COP24, en décembre de la même année.
En 2019, il y a eu plusieurs manifestations multi-villes coordonnées impliquant plus d’un million d’étudiants chacune.
Pour éviter de voler en avion, Greta Thunberg navigue en mer jusqu’en Amérique du Nord où elle assiste au sommet des Nations unies sur l’action climatique de 2019.
Dans son discours, elle prononce le fameux « How dare you? » ou « comment osez-vous ? » en question aux politiques, une expression largement reprise par la presse.
 
Elle reçoit plusieurs prix et distinctions pour son militantisme : en mai 2019, elle fait la couverture du magazine Time, qui lui décerne le titre de personnalité de l’année.
Classée dans la liste Forbes des 100 femmes les plus influentes au monde, elle est, cette même année, titulaire des prix Right Livelihood et Ambassadeur de la conscience.
Son influence sur la scène mondiale est décrite comme l’« effet Greta Thunberg » par The Guardian et d’autres médias.
Son discours radical et son ascension à une renommée mondiale ont fait d’elle un symbole pour de nombreux écologistes, mais aussi la cible de nombreuses critiques et réactions, parfois violentes.
L’icône, selon une enquête de l’Institut français d’opinion publique (Ifop), réalisée en octobre 2019 pour la fondation Jean-Jaurès, ne laisse pas indifférent : 54 % des Français déclarent avoir une « bonne image » de Greta Thunberg et 46 % en ont une mauvaise image, un Français sur cinq en ayant une « très mauvaise image ».
78 % des sympathisants de gauche en ont une bonne image, contre 47 % de la droite, et 39 % des sympathisants du Rassemblement national.
 
Selon Libération, les principales critiques de ses détracteurs portent sur sa jeunesse et la dureté de ses propos même si l’adolescente ne fait que répéter principalement deux évidences, dérèglement climatique et inaction des gouvernements, ces critiques sont hélas souvent véhémentes, à la mesure de sa notoriété mondiale.
Ses critiques jugent ses discours superficiels, car ils reprennent essentiellement des études de professionnels sans apporter de solutions concrètes ou d'aspects nouveaux.
D’autres estiment qu’elle devrait « laisser la place au débat contradictoire » afin de ne pas s’isoler alors que certains préfèrent s’en prendre à sa personne plus qu’à son discours.
La personne et les discours de Greta Thunberg provoquent également la controverse dans les milieux intellectuels et politiques, déclenchant « un déferlement de haine de la part de députés, journalistes et autres personnalités plus ou moins influentes, comme le philosophe Michel Onfray ou le fondateur du site Doctissimo Laurent Alexandre ».
 
Ce dernier affirme que ses idées aggraveraient le réchauffement climatique et mèneraient à une « dictature verte ». Il dénonce en outre sa grève de l’école et sa « pensée apocalyptique dépressive et catastrophique pour la jeunesse », et qualifie sa médiatisation de « réussite marketing de la décennie ».
Le député Guillaume Larrivé la qualifie de « gourou apocalyptique » et appelle au boycott de la rencontre. Julien Aubert parle d’un « prix Nobel de la peur » et d’une « prophétesse en culottes courtes » tandis que Jean-Louis Thiériot dit « non à l’infantilisation obscurantiste ».
Toujours en France, la députée Emmanuelle Ménard écrit à son sujet sur Twitter : « Dommage que la fessée soit interdite, elle en mériterait une bonne », ce qui conduit à la suspension de son compte.
Pascal Bruckner, romancier et essayiste, parle d’une « dangereuse propagande de l’infantilisme climatique ».
Selon le philosophe Luc Ferry, l’écologisme radical de Greta Thunberg est en réalité une défense de la doctrine de « l’effondrisme », c’est-à-dire l’idéal antilibéral du gauchisme et du tiers-mondisme.
Il y voit la suite idéologique du « communisme défunt ».
 
Mais au-delà de la sphère nationale, elle est soutenue par la famille royale britannique et considérée comme « incontournable » au Royaume-Uni. Citée par Angela Merkel et très suivie par les étudiants allemands, de même que par les étudiants belges, elle est moquée par Matteo Salvini et plusieurs journaux italiens en parallèle de son invitation par le pape en Italie.
Enfin, dans son pays natal, les Suédois sont partagés « entre fierté et agacement » mais elle « fait tout de même le bonheur de la majorité des Suédois ».
 
« Ceci dit, Chère Alexis, vous avez oublié de faire un petit inventaire des « fils de » qui vont financer les prochaines tentatives de chaos ? »
Non, pas vraiment.
Alexis aura fait le tour des grandes fortunes de ce monde du début du XXIème siècle.
Une sociologie hétéroclite et un inventaire épuisant !
 
D’autant que le calcul est très variable. C’est l’erreur classique de la comparaison des flux et des stocks, résume un spécialiste, professeur d’économie à l’université de Lille.
Tout comme une maison qui a une valeur sur un marché, la fortune de nombre de familles est liée aux actions de leur groupe coté en Bourse. Dans ce cas, c’est le marché boursier qui décide de ce que vaut leur fortune.
Ainsi il n’est pas dit que Bernard Arnault pourrait vendre toutes ses actions LVMH au prix auquel elles sont valorisées à la date du classement… ne serait-ce que parce que leur prix s’effondrerait s’il tentait de les vendre toutes en même temps.
« La seule chose que nous dit cette augmentation de la part patrimoniale de Bernard Arnault dans le PIB, c’est que les investisseurs en Bourse ont confiance dans le fait que LVMH continue de vendre du Cognac et du Champagne », illustre l’économiste.
Il est en effet très difficile d’estimer exactement les fortunes. Si Bernard Arnault le domine sans conteste en France, par exemple, et ce depuis des années, la suite du classement n’est pas identique chez Challenges et chez Capital, qui placent respectivement les Wertheimer (Chanel) en 2ème et en 7ème position, et la famille Mulliez (Auchan) en 5ème et en 2ème position.
Ces différences s’expliquent par le fait que le magazine Capital soustrait l’endettement des familles à leur fortune estimée.
Mais elles tiennent aussi à la difficulté intrinsèque de ce genre d’évaluation : avec toute la bonne volonté du monde, il serait bien impossible aux journalistes d’examiner exhaustivement tous les comptes bancaires, propriétés immobilières, tableaux, yachts et jets privés des grandes fortunes mondiales… sans compter ce que certains dissimulent.
Quant à l’enquête « Paradise Papers », publiée en novembre 2017 par Le Monde et une centaine de médias internationaux, elle a ainsi révélé que Bernard Arnault avait logé dans des juridictions offshore plusieurs yachts, une résidence somptueuse dans la banlieue de Londres et des participations dans des fonds d’investissement… autant d’actifs qui ne sont pas comptabilisés par ces classements.
 
Mêmes limites pour le classement de référence qu’est celui du magazine américain Forbes. Classement mondial, exige d’autant plus de précautions puisqu’il ne prend pas en compte de nombreuses personnalités publiques comme le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed Ben Salman ou le président russe, Vladimir Poutine.
Les responsables du classement, Luisa Kroll et Kerry Dolan, le justifient par le fait que « leur argent est par essence dû à leur position de dirigeant. En d’autres termes, leurs biens appartiennent en réalité à leur pays (…). Quand ils mourront, la fortune ira au prochain roi ou sultan. »
C’est pourquoi Alexis patine un peu pour toujours retomber sur les mêmes personnages.
Les classements des hommes les plus riches du monde est pourtant souvent resté figé, où deux entrepreneurs sont désormais côte à côte. Il s’agit d’Elon Musk et de Jeff Bezos. Le premier est d’ailleurs passé devant le second sur le podium.
 
En 2022, les temps semblent être encore difficiles pour les hommes les plus riches du monde. Beaucoup ont vu leur fortune baisser et fondre comme neige au soleil durant les 12 derniers mois.
Par exemple, Mark Zuckerberg a quitté le top 20 et Elon Musk n’est plus l’homme le plus riche du monde.
Il est important de préciser que la fortune des personnalités qui sont parmi les plus riches du monde est souvent indexée sur le cours de la bourse. Les membres du top 20 ont tous des parts dans les sociétés qu’ils ont très souvent fondées ou reprises. Ainsi elles sont évidemment susceptibles d’évoluer en fonction du temps.
La dernière mise à jour a ainsi permis d’observer des changements importants dans le classement. En effet, Steve Ballmer, qui était 8ème personne la plus fortunée du monde a pris la 7ème place. Zhong Shanshan qui était à la 17ème place est monté à la 13ème du classement Bloomberg.
De son côté, Warren Buffet qui avait vu sa fortune grimper en flèche, se retrouve à désormais à la 5ème place avec une fortune de 106 milliards de dollars, juste dernière Bill Gates.
 
C’est à l’occasion de la mise à jour d’août 2022 a encore fait bouger les lignes. Bernard Arnault qui avait devancé Bill Gates, un retournement de situation incroyable qui avait bousculé le podium, retrouve sa troisième position.
En décembre 2022, de gros bouleversement marquent le classement des hommes les plus riches du monde. Elon Musk n’est plus le numéro 1 du palmarès, quand Mark Zuckerberg paie sa stratégie du métavers et sort du top 20.
En gros, il est important de comprendre que la fortune des milliardaires est rarement composée d’argent sonnant et trébuchant. En effet, si leur fortune évolue autant, c’est avant tout parce qu’elle est indexée sur le cours de la Bourse. La majeure partie des richesses possédées par les hommes les plus riches du monde provient de la valeur des actions qu’ils possèdent tout simplement.
Par ailleurs, dans ce classement, une bonne partie des milliardaires présents sont des fondateurs d’entreprises ou des héritiers, qui possèdent donc tous des parts dans leur entreprise.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
 

 
Éditions I3

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