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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 25 juillet 2023

Menaces de chaos (32/54)

31 – Les radicaux
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Il n’y eut guère que l’économiste américain Julian Simon pour s’en prendre à ces récits apocalyptiques. Selon Simon, l’erreur des biologistes, des physiciens ou des géologues alarmistes consiste à considérer les sociétés humaines comme des systèmes figés incapables d’innover.
D’autant que les inquiétudes néo-malthusiennes témoignent de leur difficulté à saisir le rôle des prix et des mécanismes de l’offre et de la demande dans la gestion de la rareté des ressources.
 
Il convient de rappeler qu’en principe, la rareté des ressources est le point de départ de l’analyse économique. Sans rareté, la propriété privée, l’échange, le commerce, les prix et toutes les institutions qui sous-tendent le capitalisme n’auraient plus aucun intérêt.
Et qu’une économie de marché où les prix sont librement fixés est précisément ce qui protège l’humanité du risque de pénurie !
Toutes choses égales par ailleurs, la raréfaction d’un matériau augmente son prix.
Cela encourage les producteurs à trouver des techniques plus sophistiquées de production et d’extraction de la ressource ou des substituts. Sa cherté régule parallèlement sa consommation, incite à sa conservation, à son recyclage et invite les populations à se tourner vers des substituts.
L’ingénierie humaine est donc l’ultime ressource.
 
« Conséquemment, il faut plus de bras et plus de cerveaux bien formés ! » commentera Paul en contrepoint.
Des évolutions qui permettent d’infirmer le discours néo-malthusien qui suggère qu’une croissance soutenue de la population humaine dilue la sécurité et le confort matériel de l’humanité.
« Il serait tout aussi erroné de considérer que cette démocratisation des ressources s’est faite en dépit de la population humaine. La théorie économique suggère que cette tendance a partiellement été favorisée par la croissance démographique. Celle-ci a en effet accru la taille du marché et la concurrence tout en augmentant la qualité de la division du travail internationale et de la spécialisation des industries.
Il est d’usage, même dans les meilleures écoles, de considérer un être humain comme une bouche à nourrir et un consommateur de ressources. Pourtant, un être humain qui vient au monde est aussi un cerveau supplémentaire potentiellement tourné vers la créativité et l’innovation.
Deux qualités qui nous permettent collectivement d’optimiser la production de richesses avec le temps. »
Dit autrement, chaque naissance nous rend collectivement plus riche pour peu que les institutions permettent aux talents de chacun de s’exprimer librement dans la division du travail, nationale ou intercontinentale.
Et que la mondialisation reste une réponse pour montrer, depuis plus de deux siècles, que Malthus et ses disciples se trompent lourdement.
 
D’autres ont un point de vue radicalement opposé : avec 10 milliards d’humains projetés en 2050, que deviendra l’espèce humaine ?
Un droit, une marchandise, à quoi ressemblera notre vie privée en 2050 ?
En 2050, y aura-t-il autant de plastiques que de poissons dans les océans ?
Derrière l’utopie, la ville verte du futur est-elle possible ?
Augmentés, recyclés, au chômage ou libérés : comment nous travaillerons en 2050 ?
Internet en 2050 : du web ubiquitaire aux réseaux maillés ?
Cours à distance et écrans omniprésents : à quoi ressemblera l’école en 2050 ?
En 2050, internet sera-t-il toujours debout ?
Les êtres humains sont-ils, ou seront-ils demain trop nombreux ?
Telles sont les quelques questions qu’on peut se poser dès aujourd’hui…
Face à la crise écologique, certains plaident en faveur d’une décroissance de la population. Avec l’idée que la surpopulation future ne pourra que favoriser les guerres, les famines, le manque d’eau et surtout, la destruction de l’environnement.
Jusqu’au point de non-retour. Et au-delà de 2050 ?
« Moi, en 2050 je serai morte ! » réagira Alexis.
« Ce n’est pas une raison pour laisser une poubelle toxique aux générations suivantes ! » lui rétorquera Paul.
 
Et autant sa confrère que Paul, tous les deux orientent les recherches d’Alexis vers d’autres mouvements encore plus… radicaux : extinction rébellion, par exemple et de fil en aiguille, plus encore…
Fondé au Royaume-Uni en mai 2018, « XR » est officiellement lancé en octobre de la même année avec le soutien d’une centaine d’universitaires. Et dès avril 2019, la première semaine internationale de la rébellion mobilise des manifestants dans plusieurs pays, conférant au mouvement une dimension internationale.
Des branches apparaissent alors, notamment aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Suisse, en France, en Belgique, en Allemagne, en Afrique du Sud et au Brésil.
Le mouvement nait du constat établi par des militants écologistes de l’inefficacité des méthodes classiques de contestation, en particulier la traditionnelle manifestation de rue.
Et il puise son inspiration dans les actions entreprises par le mouvement populaire Occupy London. Quant à sa philosophie première de contestation par la non-violence et la désobéissance civile, elle s’appuie en réalité sur celle fondée par Gandhi et la stratégie de lutte du mouvement afro-américain des droits civiques.
 
Extinction Rébellion dénonce surtout l’inaction des gouvernements face au changement climatique et œuvre à une mobilisation mondiale autour d’un sentiment commun d’urgence à l’instar de Greta Thunberg qui, naturellement y participe volontiers.
Le mouvement, qui s’est développé grâce à la mise en avant de ses initiatives et de ses revendications sur les réseaux sociaux, organise alors diverses actions de désobéissance civile non-violente.
Depuis son apparition à Londres en 2018, le rassemblement d’activistes écologistes radicaux, qui n’a ni chef ni hiérarchie, multiplie, dans le monde entier, les actions coups de poing spectaculaires et transgressives comme des occupations de l’espace urbain de grandes villes. Ses membres n’hésitent pas à s’attacher, à se « coller » à l’aide de glue, à des bâtiments publics, dans les musées et à bloquer la circulation routière ou à empêcher l’accès aux sièges de grandes entreprises, ni à participer à certaines actions du mouvement des Gilets jaunes en France.
 
L’organisation du mouvement étant « horizontal », les actions sont menées au coup par coup, avec un leader, un organisateur provisoire, pour chaque événement.
Toutefois, son forum internet est divisé en plusieurs niveaux de confiance, qui donne accès à de plus en plus de contenu : 0, pour un nouvel utilisateur, 1, pour un membre d’XR, 2, pour un activiste et 3 pour un organisateur.
En fouillant un peu, Alexis relève qu’on sait finalement assez peu de chose sur le financement du mouvement, mais que le voile se lève peu à peu.
 
Un homme d’affaires américain est un des financeurs par l’intermédiaire du Climate Emergency Fund (CEF). Or, celui-ci regroupe plusieurs « généreux donateurs ». À l’heure actuelle, ce nouveau fonds a déjà récolté environ 600.000 dollars qui ont été redistribués à différents mouvements américains comme, le groupe The Climate Mobilization et les groupes Extinction Rebellion de New-York et de Los Angeles.
Par ailleurs, le même est également associé au Robert F. Kennedy dans le Center for Justice and Human Rights afin de fournir une protection juridique aux militants de ces mouvements radicaux.
Ces organisations sont affiliées de près ou de loin au réseau « A22 » qui déclare sur son site que : « L’ancien monde se meurt. Nous vivons la dernière heure, l’heure la plus sombre.
Ce monde est en train d’être décimé sous nos yeux.
Nous sommes à la croisée des chemins.
Ce que nous faisons maintenant déterminera à la fois le destin de ce monde et celui du prochain. »
 
Un réseau qui s’appuie sur un autre plus vaste auquel adhèrent par exemple Trevor Nelson, entrepreneur à succès et ancien de la fondation Bill & Melinda Gates, proche d’Howard Warren Buffett, petit-fils du financier le plus connu de Wall Street. Mais aussi Rory Kennedy, fille du sénateur Bob Kennedy, et représentante de la famille présidentielle américaine.
Aileen Getty a aussi apporté dès le lancement du fonds une contribution personnelle de 600.000 dollars. Et pour cause : la troisième cofondatrice est l’héritière de l’empire Getty, fondé par son père John Paul Getty, un magnat... des énergies fossiles !
Propriétaire de la Getty Oil Company, il était en son temps considéré comme l’homme le plus riche de la planète…
Alexis tient ainsi ses premiers « fils de » !
 
Rebecca Rockefeller, Lambert and Peter Gill Case sont également au « board » d’une structure finançant et accompagnant juridiquement les militants. Un investissement personnel de 30 millions de dollars avait été concédé, accompagné de dons de la Fondation Rockefeller elle-même, ou d’Open Society, la fondation de George Soros.
Un investissement considéré comme « rentable » : ClimateWorks estimait dans son dernier rapport que sur les 750 milliards de dollars investis par des organisations philanthropiques, seulement 6 à 10 milliards étaient consacrés au climat…
Du mois d’octobre 2018 à septembre 2019, le mouvement a récolté un million d’euros auprès de diverses organisations et 222.000 € auprès de particuliers.
Ses ressources financières sont complétées, à hauteur de 54 %, par un financement participatif de 1,4 million d’euros.
 
En revanche, contrairement aux autres antennes internationales du mouvement, notamment britanniques et américaines, la branche française du mouvement a choisi de ne pas bénéficier de ce fonds pour des raisons éthiques. Le mouvement français a tout de même pratiqué quelques cagnottes qui, selon une source journalistique, semblent avoir rapporté un montant de l’ordre de 46.000 €.
Une misère…
 
Paul est obligé de « traduire » ces informations pour Alexis quand elle les lui rapporte à l’occasion d’une conversation téléphonique improvisée.
« Eh bien vous avez déjà là les ingrédients de ce qui pourrait dégénérer dans les mois à venir. Du bon travail, Alexis ! »
Sur le coup, elle ne voit pas bien en quoi elle a « bien bossé ».
Mais si !
« Il vous faut persévérer ! Si les mouvements français se sont désolidarisés des fournisseurs de fonds américains, c’est que pour nos gauchistes à nous ils sont suspects. Suspicion d’une instrumentalisation !
Or, c’est justement le cas.
Comprenez que nos milliardaires tentent non pas de s’acheter une bonne conscience ou une assurance-vie, mais un levier d’action supplémentaire. Ce qui les intéresse, ce sont uniquement les bénéfices futurs, les situations de rente dont ils vont pouvoir bénéficier, un peu comme la rente pétrolière de leurs ancêtres. »
Comment ça ?
« Réfléchissez un peu : si demain le désordre règne en maître sur la planète, que les pénuries de tout progressent, à qui croyez-vous que cela profite ? »
En principe à personne : tout le monde vivra dans la misère, justement !
« Bé non ! Pas ceux qui ont les moyens de mettre en coupe réglée les ressources que tout le monde s’arrachera !
Ils adorent la confusion parce que c’est disruptif à souhait et que ça leur permet d’imposer leurs objectifs financiers.
Une guerre, même mondiale, c’est du pain béni pour les marchands d’armes et pas seulement : il faut pouvoir fabriquer l’acier, du fer et du charbon, des armes, des munitions pour s’en servir qu’il faut pouvoir livrer au bon endroit et à n’importe quel prix, d’autant que ce sont les États qui puisent dans le portefeuille des citoyens, sans aucune limite !
Enfin quoi, vous l’avez bien vu avec les vaccins contre le Covid 19, non ? »
Pas vraiment, il faut bien dire…
« Mais si ! On fait peur au plus grand nombre avec une maladie inconnue, on fait paniquer des populations entières avec des déclarations alarmistes d’experts payés pour ça, on instrumentalise les soignants qui en rajoutent de bonne foi et pof, on sort un vaccin que tout le monde s’arrache à n’importe quel prix à travers des accords transnationaux parfaitement opaques.
Avez-vous seulement vu les clauses des contrats d’achat de la commission européenne, les clauses de confidentialités, les tweets échangés dans la phase de précontrat et les clauses d’exclusion de responsabilité consenties ?
Non, bon alors ? »
Non, puisqu’elles sont confidentielles…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
 

 
Éditions I3

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