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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 28 mai 2023

Vos ancêtres les Gaulois avaient peut-être raison…

Le ciel va nous tomber sur la tête !
 
D’ailleurs, ça a déjà commencé.
On se souvient encore des phénomènes météos « inhabituels » de ces « gouttes » de chaleur sur la Californie, ou encore dans le Sud de l’Europe qui ont su déclencher des incendies ravageurs l’été dernier (jusqu’en Bretagne…).
Tout comme de ces vagues de froid qui congèlent les USA de temps à autre.
Bé c’est dû au fait que le ciel nous tombe dessus.
La hantise de tout bon « Gauloisien-bien-né »…
Une affirmation qui mérite quelques explications.
 
Car, jusque-là, la doxa nous assure que les émissions de gaz à effet de serre réchauffent notre Planète.
Soit.
Mais paradoxalement, elles refroidissent la haute atmosphère, et encore plus vite que ce que les scientifiques croyaient.
(Comme quoi, ils ne savent pas tout…)
Or, ce refroidissement fait chuter une partie de l’atmosphère, un phénomène qui inquiète la Nasa car cela impacte, entre autres, les nombreux satellites et débris spatiaux.
 
C’est en fait un fait méconnu du changement climatique, la majeure partie de l’atmosphère, celle située la plus en altitude, se refroidit !
Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de réchauffement climatique, bien au contraire : L’atmosphère de la Terre est divisée en plusieurs couches, et la plus proche de nous est justement celle qui piège la chaleur à cause des gaz à effet de serre.
Sauf qu’une nouvelle étude parue dans PNAS confirme le phénomène de refroidissement en altitude, malgré le réchauffement à plus basse altitude.
Et ce processus n’est donc pas sans conséquence, car tout comme le réchauffement s’accélère à un rythme plus important que ce que l’on croyait il y a quelques années, le refroidissement fait de même !
Comme quoi, rien n’est perdu : Tout se transforme, se « translate ».
 
La troposphère se réchauffe, principalement en raison du CO2 nous dit-on, mais la mésosphère et la thermosphère se refroidissent : 1,7° C en moins entre 2022 et 2019 !
Si, et seulement si, les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter jusqu’à doubler, alors le refroidissement atteindra ― 7,5° C à la fin du siècle.
La faute aux pets des vaches et du méthane émis quand elles rotent…
Ce rythme de refroidissement, qui est bien plus grand que celui du réchauffement, inquiète la Nasa qui surveille le phénomène avec ses satellites.
En effet, ce phénomène impacte principalement trois éléments :
 
― Les satellites en orbite : L’air se contracte avec le refroidissement, et « une partie du ciel s’affaisse » selon l’université Yale.
Si !
Et si le ciel peut encore ne pas nous tomber sur la tête, les satellites plus sûrement, nous assure-t-on !
Personnellement, je ne comprends pas pourquoi : En principe, un satellite n’a pas besoin d’air pour se maintenir en orbite, au contraire, puisque les résidus d’atmosphère ralentissent sa course qu’il finit par ne pas pouvoir se maintenir en orbite par effet centrifuge…
Même l’ISS, il faut lui « remonter l’orbite » de temps en temps…
 
On me faire savoir qu’en raison du refroidissement (et de manière plus minime d’une baisse de l’activité solaire), la stratosphère a perdu 1 % de son volume, soit environ 400 mètres de hauteur en 17 ans.
Les satellites et autres objets en orbite descendent donc plus bas, possiblement jusqu’à un tiers plus bas d’ici 2070, selon la Nasa.
La concentration d’objets en tout genre à cette altitude, dont environ 5.000 satellites et 30.000 débris, fait craindre des collisions, et par la suite, un risque de chute…
Délire que voilà : Il y a nettement plus de monde sur les routes de « Gauloisie-autoroutière », sur les fins chemins bitumés que dans le volume de l’espace au-dessus de nos têtes sur 300 km d’épaisseur…
Passons !
 
― La couche d’ozone : Si le trou dans la couche d’ozone situé au-dessus de l’Antarctique est en train de se refermer, la situation pour celui de l’Arctique est différente.
Le refroidissement provoque un éclatement de la couche d’ozone au-dessus de cette zone, sans que les scientifiques ne soient vraiment certains de la raison…
Notez que ce n’est donc peut-être pas lié… puisqu’ils n’en savent rien.
En attendant, force est de constater que ce n’est pas dû aux chlorofluorocarbures (CFC), au tétrachlorure de carbone ni au méthyl chloroforme, puisqu’il n’y en a plus dans nos usines…
Mais on nous aura fait caguer avec ça pendant une petite décennie et que ça a tellement bien fonctionné qu’on a donné des idées au GIEC pour nous prétendre que le CO2 était devenu plus léger que l’air à se projeter dans la stratosphère dès après son émission…
Et que c’est encore une affaire qui fonctionne : On en détruit nos industries rien que sur cette hérésie…
 
― La météo (là, c’est plus sérieux…) : La haute partie de l’atmosphère est une zone où circulent plusieurs courants qui ont un effet sur la météo.
Le refroidissement de cette zone affecte le courant-jet, qui lui-même affecte la météo. Les ondulations du jet-stream peuvent alors donner lieu à des situations de blocage, avec de fortes pluies ou bien des canicules persistantes sur certaines zones.
Ce sont les phénomènes que nous notions lors des dernières saisons…
Les émissions de gaz à effet de serre issues des activités humaines ont donc des conséquences bien plus vastes que ce que les scientifiques croyaient et ce champ de recherche n’en est qu’à ses débuts, en disent-ils (appel à subvention…)
 
L’important est de savoir que la Nasa confirme que la haute atmosphère se refroidit sous l’effet du réchauffement climatique
Conclusion : Nos émissions de gaz à effet de serre ont un impact sur les températures de la troposphère, la couche de l’atmosphère la plus proche du sol. Mais elles ont aussi un impact sur la mésosphère, une couche située plus haut, confirment des chercheurs.
Les « trouveurs » de la Nasa confirment, grâce aux données enregistrées par trois satellites, que la mésosphère est en train de se contracter sous l’effet du réchauffement climatique !
 
Pour rappel, la mésosphère, c’est la couche de notre atmosphère qui se situe entre environ 50 et 80 kilomètres d’altitude. On parle donc ici de haute atmosphère.
Et précisons que depuis longtemps, les modèles prévoyaient que cette couche allait se refroidir, et de fait, se contracter, en réponse à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre (GES). Mais cela n’avait encore jamais pu être confirmé par des observations.
«Pour observer les tendances et isoler les effets des gaz à effet de serre des changements d'activité solaire ou autres, il faut plusieurs décennies de données», commente le spécialiste de l’atmosphère à Virginia Tech (États-Unis), dans un communiqué de la Nasa.
C’est enfin ce que les « trouveurs » de la Nasa sont parvenus à rassembler.
Trente années d’observations qui montrent que la mésosphère estivale se refroidit de 2 à 3 °C et se rétracte de 150 à 200 mètres par décennie.
 
Aussi, l’effet des émissions de gaz à effet de serre diffère dès que l’on se place au niveau du sol ou du côté de la haute atmosphère.
Près de la surface, l’atmosphère est plus épaisse. Plus il y a de dioxyde de carbone, plus les molécules piègent et transfèrent facilement la chaleur entre elles.
La maintenant près du sol, un peu comme le fait une couette jetée sur un lit.
Mais du côté de la mésosphère, l’atmosphère est plus mince. Les molécules plus rares. Et la chaleur capturée par le CO2 a tendance à s’échapper dans l’espace. Ainsi, plus il y a de GES, plus la chaleur s’échappe et plus la haute atmosphère refroidit.
Et comme un ballon qui se contracte lorsque vous le mettez au frais, la mésosphère se contracte.
 
La mésosphère, c'est loin, me direz-vous!
En effet. Pas de conséquence directe sur notre vie.
Mais il pourrait tout même y avoir quelques effets indésirables.
En effet, au fur et à mesure que la mésosphère se contracte, le reste de la haute atmosphère le fait également.
Et la traînée des satellites, celle qui aide notamment à éliminer les débris spatiaux, peut diminuer.
 
Autre effet observable depuis le sol : Des nuages noctulescents plus brillants, à des latitudes plus faibles et qui se forment plus tôt dans l’année.
Le résultat d’une mésosphère qui se refroidit et qui concentre plus de vapeur d’eau.
Ce phénomène, les « trouveurs » comptent maintenant l’observer sur de plus longues périodes dans l’année et sur une plus large étendue de l’atmosphère.
Leurs travaux se sont pour l’heure concentrés autour des pôles en été.
Ils ont hâte que vous fassiez pression sur vos élus pour qu’ils se décident à abonder les subventions qui leur permettront de travailler aussi en hiver sur ces problèmes…
 
Naturellement, l’information étant assez drolatique quand on pense à ces « petits-Gaulois » teigneux (qui résistaient toujours à l’empire Romain), ça méritait d’être signalé sur ce blog (sans prétention)…
Un immeuble de 25 étages est passé à 4 millions de kilomètres du sommet de vos crânes vendredi dernier et ça ne vous-même pas fait frémir.
Alors la mésosphère…
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même…
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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