Jean-Marc n’en fait qu’à sa tête !
Le quart-d’heure informatique…
Ce que tout le monde devrait savoir :
« ― Comment s’aperçoit-on qu’un ordinateur vieillit ?
― Il manque de mémoire. »
« ― Comment un bébé ordinateur appelle-t-il son papa ?
― D a t a ! »
« ― Qu’arrive-t-il quand un PC tombe sur le plancher ?
― Il peut se fêler un disque ! »
« ― Quelle est la touche préférée d’un astronaute ?
― La barre d’espace… »
« ― Quel est le nom officiel d’un virus ?
― Maladie terminale, bien sûr ! »
« ― Comment la souris s’est-elle échappée de la Cathédrale Russe ?
― Elle a cliqué sur une icône et a ouvert une fenêtre (Window) »
« ― Pourquoi ce sac sur l’ordi ?
― Pour mettre des bytes à manger. »
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur bière, se colle des colles :
« ― Quelle différence y-a-t-il entre un magasin de tissus et un
homme de 80 ans ?
― Aucune idée !
― Le magasin de tissus a du coton à la verge et l’homme de 80 ans a la verge au coton !
― C’est malin… »
« ― Comment fait-on pour oublier ses problèmes ?
― Facile : Il faut porter des souliers trop petits… »
« 40 % des accidents sur la route sont provoqués par l’alcool.
Ça veut dire que 60 % des accidents sont provoqués par des
buveurs d’eau.
ÉNORME ! »
« Il y a deux hommes en moi » disait Jean-Marc à son épouse.
Et celle-ci de répondre : « J’aimerais tellement connaître l’autre. »
Chaque année, à la même période, Jean-Paul a un petit pincement au cœur. « Cette
année cela va faire dix ans que j’ai perdu ma femme.
Je n’oublierai jamais cette partie de poker… »
« ― Il paraît que les français se masturbent plus souvent qu’ils
ne se lavent les dents…
― Ça, c’est parce qu’ils n’ont pas toujours une brosse à
dents sous la main. »
« ― Tu as déjà remarqué …que lorsque les gens vous disent : « Je
veux partager ça avec toi », il ne s’agit jamais d’argent ?
― Oui, c’est toujours le cas et je ne sais pas pourquoi… »
« ― Quelle est la différence entre un dictionnaire, un citron et
un homme ?
― Oh, ça… Pas grand-chose, un citron c’est sûr. Un
dictionnaire c’est épais et l’homme est sûr d’être épais ! »
« ― Quelle est la différence en Dieu et un Parisien ?
― Dien ne se prend pas pour un Parisien ! »
« ― Quelle est la différence entre une poule et une dinde ?
― La poule vous attend à l’hôtel et la dinde à la maison. »
« ― Pourquoi le tapis de la limousine de Bill Clinton ont 4 cm
d’épaisseur ?
― Pour ne pas abimer les genoux de Monica… »
« ― Quel est le meilleur bois pour faire des pipes ?
― Le petit bois derrière chez moi ! »
Par un beau dimanche après-midi, deux religieuses se promènent dans les
rues de Rome lorsque l’une d’elles aperçoit deux jeunes filles qui selon toutes
les apparences, pratiquent le plus vieux métier du monde.
Or, nos deux religieuses sont choquées de constater que l’une des demoiselles porte un chandail avec le nom de JESUS écrit bien en vue au niveau de la poitrine.
Les religieuses sont scandalisées et elles ne peuvent s’empêcher d’aller parler à la jeune fille.
« Vous n’avez pas honte de blasphémer le nom de Jésus comme ça… C’est scandaleux de provoquer les faiblesses des hommes en utilisant le nom du fils de Dieu !
C’est tellement honteux que rien qu’à vous regarder, je
devrai aller me laver les yeux à l’eau bénite pour avoir le salut de mon âme ! »
Une fois les religieuses parties, l’une des deux filles dit à l’autre :
« Je te l’avais bien dit que ‘‘Je suce’’, ça ne s’écrivait pas comme ça ! »
Une classique :
C’est une femme qui entre dans un magasin de jouets pour acheter une Barbie à sa fille.
Elle demande au commis qui lui présentes les différents modèles disponibles.
Il lui dit :
« ― Il y a la Barbie adolescente à 18 €, la Barbie adulte à 32 € et la Barbie divorcée à 350 €…
― Dites-moi, pourquoi la Barbie divorcée est aussi cher ?
― Parce qu’elle vient avec l’auto de Ken, la maison de Ken, le bateau de Ken… »
Madame demande à son mari qui est à la retraite depuis quelques mois :
« ― Et alors, quel est ton programme pour la journée ?
― Rien.
― Rien ? Mais c’est tout ce que tu fais de tes journées ! Rien. Tu ne fais rien !
― Oui je sais, mais j’ai pas fini… »
Un jeune homme entre dans une pharmacie pour s’acheter des préservatifs
pour la toute première fois.
Il demande à un employé :
« ― J’aimerais me procurer une boîte de condoms, mais je ne sais pas dans quelle grandeur car ça va être la première fois.
― Va dans la salle là-bas. Il y a une planche avec des trous
étudiés pour mesurer le diamètre des pénis.
Sur les trous il y a des numéros de grandeur.
Entre ta quéquette dans chacun des trous et reviens me donner la taille qu’il te faut. »
Le jeune homme entre dans la salle.
Il en ressort une heure plus tard, tout essoufflé.
L’employé lui demande :
« ― Alors, quelle grandeur il te faut ?
― Laissez tomber les condoms, combien vous voulez pour la
planche ? »
Une mère cannibale dit à son fils :
« ― Tu ne l’aimes pas ta grand-mère ?
― Ben, oui je l’aime.
― Eh bien, si tu l’aimes mange. »
(Une cuillère pour maman, une cuillère pour papa, une
cuillère pour…)
Germaine et Marie-Chantal devant une tasse de thé :
« ― Qu’est-ce que vous avez, très chère amie, quand vous tenez deux petites boules dans vos mains ?
― Un homme qui vous donne toute son attention ! »
C’est l’histoire de Germaine qui fait son premier vol aux commandes d’un hélicoptère,
après plusieurs mois de leçon.
Au sol, l’instructeur met son casque et branche son radio-émetteur pour garder un contact permanent avec son élève.
L’hélicoptère décolle et lorsqu’il atteint une altitude de 100 m, l’instructeur interroge par radio :
« Comment ça se passe Germaine ? À toi ! »
Germaine répond : « Génial ! La vue est splendide… J’adore ça ! À vous. » Lorsque l’hélicoptère arrive à 500 m d’altitude, l’instructeur demande :
« Ça va toujours Germaine ? À toi ! »
Toujours aux anges, Germaine réplique :
« Fabuleux. Je crois que j’ai pris la mesure de l’appareil… L’hélicoptère, c’est formidable. À vous. »
Mais quelques secondes plus tard, l’instructeur voit l’hélicoptère tournoyer sur lui-même et descendre en vrille pour finalement heurter le sol à grande vitesse. Il se précipite vers la carcasse et aperçoit Germaine complètement groggy… Il lui demande :
« Mais que s’est-il passé Germaine ? »
Titubante, elle marmonne :
« J’ai pas compris ! Comme il commençait à faire frais là-haut, j’ai arrêté le grand ventilateur.
Après, je ne me souviens plus de rien. »
C’est l’histoire de Bill Gates qui meurt.
Il est accueilli par St Pierre aux portes du paradis céleste :
« En fait, Bill, je ne sais pas ce que je vais faire de toi.
J’ai des doutes : Est-ce que je dois t’envoyer au paradis ou
bien en enfer ?
D’un côté, tu as aidé la société en mettant un ordinateur dans presque tous les foyers, mais d’un autre, tu as créé cet abominable Windows 95 et même 98, et tes employés ont créé les suivants.
Je vais faire quelque chose que je n’ai jamais fait auparavant : Je vais te permettre de choisir ou tu veux aller. »
Bill Gates répond :
« Quelle est la différence entre enfer et paradis ? »
St Pierre lui dit :
« ― Je veux bien te laisser la possibilité de visiter les deux endroits, si ça peut t’aider dans ta prise de décision.
― Dans ce cas, allons voir l’enfer en premier » propose Gates.
Donc Bill va en enfer.
Il arrive sur une plage superbe et vierge, avec une eau claire, un tas de filles en bikini courant partout, rieuses et offertes.
Le soleil brillait et la température était parfaite. Bill en fut ravi.
« ― C’est super ici ! » dit Bill à St Pierre. « Si c’est ça l’enfer, alors je veux voir absolument ce qu’est le paradis !
― Le paradis était un endroit perché sur les nuages, avec des anges voletants de-ci de-là, jouant de la harpe et chantant des psaumes. C’est beau, mais pas aussi excitant que l’enfer. »
Bill réfléchit un instant, puis donna sa décision : « Hum, je crois que
j’aime mieux l’enfer » dit-il à St Pierre.
Alors Bill alla en enfer.
Deux semaines plus tard, St Pierre décide de rendre visite à l’ancien milliardaire pour voir comment il se portait en enfer.
Lorsqu’il y arriva, il trouva Bill cloué sur un mur, hurlant dans des flammes au fond de caves profondes, se faisant torturer et brûler par des démons.
« Comment ça va ? » demanda St Pierre à Bill.
Bill lui répondit :
« ― C’est atroce ! ça n’a rien à voir avec l’enfer que j’ai visité il y a deux semaines ! J’arrive pas à croire ce qui m’arrive !
Qu’est devenu l’autre endroit, avec la superbe plage et les
super femmes jouant dans les vagues ?
― C’était la démo », répond St Pierre.
Dans l’originale, c’est un homme politique qui se fait avoir
de la sorte. Et la chute c’est Saint Pierre qui lui indique que la campagne
électorale est terminée…
C’est l’histoire d’une nouvelle mariée va voir sa mère.
Cette dernière s’informe discrètement des ébats amoureux du couple.
« Maman si tu savais la technique de Jean-Édouard…
Je cire le couloir pour le rendre extrêmement glissant, on
se place chacun, complètement nu, à chaque extrémité, on coure l’un vers
l’autre, et quand on se rencontre, whouaa… c’est extraordinaire ! Tu devrais
essayer ça avec papa. » Quelques jours plus
tard, la fille reçoit un appel de l’hôpital disant que sa mère est entrée
d’urgence suite à un accident.
La fille se précipite prés de sa mère…
« Ma fille, toi et tes conseils… ça fait trois radiographies que les docteurs me font, et ils n’ont toujours pas retrouvé ton père ! »
Bon week-end (le dernier à rallonge) à toutes et tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET
A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA
DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE »
!
Le quart-d’heure informatique…
« ― Comment s’aperçoit-on qu’un ordinateur vieillit ?
― Le magasin de tissus a du coton à la verge et l’homme de 80 ans a la verge au coton !
― C’est malin… »
ÉNORME ! »
Et celle-ci de répondre : « J’aimerais tellement connaître l’autre. »
― Oui, c’est toujours le cas et je ne sais pas pourquoi… »
Or, nos deux religieuses sont choquées de constater que l’une des demoiselles porte un chandail avec le nom de JESUS écrit bien en vue au niveau de la poitrine.
Les religieuses sont scandalisées et elles ne peuvent s’empêcher d’aller parler à la jeune fille.
« Vous n’avez pas honte de blasphémer le nom de Jésus comme ça… C’est scandaleux de provoquer les faiblesses des hommes en utilisant le nom du fils de Dieu !
« Je te l’avais bien dit que ‘‘Je suce’’, ça ne s’écrivait pas comme ça ! »
C’est une femme qui entre dans un magasin de jouets pour acheter une Barbie à sa fille.
Elle demande au commis qui lui présentes les différents modèles disponibles.
Il lui dit :
« ― Il y a la Barbie adolescente à 18 €, la Barbie adulte à 32 € et la Barbie divorcée à 350 €…
― Parce qu’elle vient avec l’auto de Ken, la maison de Ken, le bateau de Ken… »
« ― Et alors, quel est ton programme pour la journée ?
― Rien ? Mais c’est tout ce que tu fais de tes journées ! Rien. Tu ne fais rien !
― Oui je sais, mais j’ai pas fini… »
Il demande à un employé :
« ― J’aimerais me procurer une boîte de condoms, mais je ne sais pas dans quelle grandeur car ça va être la première fois.
Sur les trous il y a des numéros de grandeur.
Entre ta quéquette dans chacun des trous et reviens me donner la taille qu’il te faut. »
Il en ressort une heure plus tard, tout essoufflé.
L’employé lui demande :
« ― Alors, quelle grandeur il te faut ?
« ― Tu ne l’aimes pas ta grand-mère ?
― Eh bien, si tu l’aimes mange. »
« ― Qu’est-ce que vous avez, très chère amie, quand vous tenez deux petites boules dans vos mains ?
Au sol, l’instructeur met son casque et branche son radio-émetteur pour garder un contact permanent avec son élève.
L’hélicoptère décolle et lorsqu’il atteint une altitude de 100 m, l’instructeur interroge par radio :
« Comment ça se passe Germaine ? À toi ! »
Germaine répond : « Génial ! La vue est splendide… J’adore ça ! À vous. » Lorsque l’hélicoptère arrive à 500 m d’altitude, l’instructeur demande :
« Ça va toujours Germaine ? À toi ! »
Toujours aux anges, Germaine réplique :
« Fabuleux. Je crois que j’ai pris la mesure de l’appareil… L’hélicoptère, c’est formidable. À vous. »
Mais quelques secondes plus tard, l’instructeur voit l’hélicoptère tournoyer sur lui-même et descendre en vrille pour finalement heurter le sol à grande vitesse. Il se précipite vers la carcasse et aperçoit Germaine complètement groggy… Il lui demande :
« Mais que s’est-il passé Germaine ? »
Titubante, elle marmonne :
« J’ai pas compris ! Comme il commençait à faire frais là-haut, j’ai arrêté le grand ventilateur.
Il est accueilli par St Pierre aux portes du paradis céleste :
« En fait, Bill, je ne sais pas ce que je vais faire de toi.
D’un côté, tu as aidé la société en mettant un ordinateur dans presque tous les foyers, mais d’un autre, tu as créé cet abominable Windows 95 et même 98, et tes employés ont créé les suivants.
Je vais faire quelque chose que je n’ai jamais fait auparavant : Je vais te permettre de choisir ou tu veux aller. »
« Quelle est la différence entre enfer et paradis ? »
St Pierre lui dit :
« ― Je veux bien te laisser la possibilité de visiter les deux endroits, si ça peut t’aider dans ta prise de décision.
Il arrive sur une plage superbe et vierge, avec une eau claire, un tas de filles en bikini courant partout, rieuses et offertes.
Le soleil brillait et la température était parfaite. Bill en fut ravi.
« ― C’est super ici ! » dit Bill à St Pierre. « Si c’est ça l’enfer, alors je veux voir absolument ce qu’est le paradis !
― Le paradis était un endroit perché sur les nuages, avec des anges voletants de-ci de-là, jouant de la harpe et chantant des psaumes. C’est beau, mais pas aussi excitant que l’enfer. »
Alors Bill alla en enfer.
Deux semaines plus tard, St Pierre décide de rendre visite à l’ancien milliardaire pour voir comment il se portait en enfer.
Lorsqu’il y arriva, il trouva Bill cloué sur un mur, hurlant dans des flammes au fond de caves profondes, se faisant torturer et brûler par des démons.
« Comment ça va ? » demanda St Pierre à Bill.
Bill lui répondit :
« ― C’est atroce ! ça n’a rien à voir avec l’enfer que j’ai visité il y a deux semaines ! J’arrive pas à croire ce qui m’arrive !
― C’était la démo », répond St Pierre.
Cette dernière s’informe discrètement des ébats amoureux du couple.
« Maman si tu savais la technique de Jean-Édouard…
« Ma fille, toi et tes conseils… ça fait trois radiographies que les docteurs me font, et ils n’ont toujours pas retrouvé ton père ! »
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