Ils décrètent soudainement qu’il y a crise immobilière
Non mais je rigole, là ! Aux éclats même !
Toute une profession qui criait à l’urgence la semaine dernière pour pousser « Jupiter » et « Lili-Bête-Borgne » à agir, à sortir leur « plan logement », parce qu’ils tirent la langue…
De qui se fout-on au juste ?
En 2021, 1,7 million de personnes étaient en attente d’un
logement social.
Et on comptait 140.000 sans-abris.
On avait pour objectif de « produire » 400.000 logements nouveaux par an.
En 2022, on en n’aura mis sur le marché que 370.000…
On va donc nous dire que nous ne sommes pas capables de procurer à tout le monde un logement décent, au moment où on construit une ville olympique en deux temps et trois mouvements : La preuve, les « autorités » vont réquisitionner les logements étudiants de la kapitale pour y faire dormir les « bénévoles » qui vont assurer la petite-intendance de JO durant l’été 2024.
Même que pour les « Paralympiques », on ira jusqu’à décaler la rentrée universitaire et scolaire en raccourcissant les vacances du dernier trimestre de l’année olympique…
Vous y croyez encore, vous ?
Bé non : Il y avait un stock de 3 millions de logements inoccupés en 2022 !!!
Cherchez donc l’erreur de nos « sachants », SVP…
Les logements vacants, ça représente environ 8,5 % des
35,3 millions du parc hexagonal.
Certes, ce constat doit être nuancé pour expliquer cet immense gâchis : Parmi ces logements, beaucoup sont simplement en attente de relocation ou en rénovation, par exemple.
La vacance « frictionnelle » et bien naturelle… Mais en principe provisoire. Et que je sache, le turn-over n’est pas de 12 ans par logement, loin de là !
Dans les grands centres urbains, le fort dynamisme du marché crée mécaniquement des logements inoccupés : Ils seraient par exemple 400.000 en « Île-de-Gauloisie », mais seulement un sur six le serait durablement.
T’as qu’à croire : Ça ferait, au plan national 500.000 logements sortis du marché de la location, 3,5 fois plus que le nombre de SDF qui errent sur mes trottoirs.
Et à raison de 2 personnes par logement, c’est déjà une solution pour 58 % des demandeurs de logement…
En fait, souvent, on a le tort de construire dans des
zones très peu attractives, des logements qui ne sont pas adaptés au marché, ou
sont trop chers à refourguer. Il faut dire qu’ailleurs, avec les PLU et les
normes environnementales, le foncier libre et rare… même quand on taxe la
jachère…
(cf. I-Cube (l'exilé): L’arnaque de l’article 1396 du CGI, article 78, loi du 13/10/14, n° 2014-1170 ! (flibustier20260.blogspot.com))
En réalité, le secteur du logement neuf était très
dynamique, dopé par des taux d’intérêt très bas jusqu’à récemment et des
incitations publiques à acheter neuf, comme le crédit d’impôt du dispositif
Pinel par exemple.
Une « niche » qui permet de rançonner le quidam qui s’y laisse prendre : Je vous explique un peu plus loin…
En bref, ainsi dopé, le nombre de logements a presque doublé en quarante ans.
Ce chiffre a globalement augmenté plus vite que la population, mais beaucoup de logements ne sont pas en adéquation avec la demande : Trop chers ou mal placés notamment, on vient de le dire.
Le logement intermédiaire manque et les politiques publiques peinent à stimuler les investisseurs pour acheter des logements moins onéreux : La loi Élan par exemple, dont c’était un des objectifs, n’y est pas parvenue.
Une loi de plus pour rien…
D’autant que les prix de l’ancien sont les plus
touchés avec des montants multipliés par 2,4 sur la période.
Je sais : J’en suis à payer l’IFI pour mes quelques crottes…
Cet effet pose problème pour les premières accessions à la propriété : La part de propriétaire est à 58 % en « Gauloisie-immobilière », mais leur proportion tend à se tasser, voire diminuer ces dernières années.
Les gens qui ne parviennent pas à acheter ayant des revenus modestes sont alors souvent locataires de logements sociaux.
Or, n’ayant pas les moyens de changer, ils tendent à rester plus longtemps dans ces structures.
Et avec l’arrivée de nombreux nouveaux demandeurs chaque année, cela fait du logement social un secteur très encombré et manquant toujours plus de logements !
Le cercle infernal.
La faute à ne pas vouloir plus loin que le bout de son nez pour nos élus hypnotisés par leurs « sachants » qui sachent mieux que tout le monde sans rien avoir appris que des carabistouilles…
Passons : Je m’énerve et ce n’est pas bon pour ma tension.
Quand le bâtiment va, tout va, dit-on : Le
bâtiment, c’est 270 milliards d’euros de valeur ajoutée. Le secteur de l’immobilier
représente plus de 11 % du PIB national.
Ce secteur très dynamique emploie environ 2,5 millions de personnes. Autrement dit, c’est un domaine économique clé qu’il convient de préserver, même si les « travailleurs-laborieux » sont le plus souvent « importés » d’Europe de l’Est, le Maghreb ne fournissant plus que des feignasses retors (retors, ils l’ont toujours été,c’est dans
leur nature), feignasses, c’est nouveau : Ils s’embourgeoisent eux
aussi.
Seulement voilà, le secteur fait face à l’augmentation des prix des matières premières alors que la demande est orientée vers des logements moins chers.
Pas de chance…
Un marché aussi contraint par la réticence
grandissante des maires à octroyer des permis de construire.
Ce qu’on peut comprendre en ce qui les concerne : Un lotissement nouveau, ce sont des VRD nouveaux à entretenir, des citoyens nouveaux à faire becqueter, à soigner, à habiller, à en scolariser leurs mômes, à ramasser leurs déchets et recycler les ressources naturelles en eau. Bref entre bennes à ordure, crèche, ékole et collège, ramassage des gamins sur un réseau routier correctement entretenu, cantines, etc., ça coûte cher et ça ne rapporte même plus de la taxe d’habitation !
L’horreur économique pour une commune rurale…
Et puis il y a quantité de normes à respecter, des
considérations environnementales, une surcharge du parc existant, tous ces
facteurs poussent les mairies à freiner la construction de neuf.
À noter que les crédits d’impôts du dispositif Pinel sur la construction de neuf ou les prêts à taux zéro sont des formes de subventions publiques vers ce domaine, et il se retrouve que tout cela est très dépendant de politiques publiques.
Aussi, le secteur demande une vive accélération des rénovations énergétiques pour le stimuler.
Là, on croit rêver : Ils n’assument déjà pas les chantiers commencés… dépensant leur fric en publicité télévisuelle plutôt qu’en maitrise d’ouvrage avec des gens compétents…
Enfin passons, je vais encore faire un pic de tension.
Parlons donc des « niches fiscales » (comme
promis).
Je vous rappelle le principe : Plutôt que de lever de l’impôt nouveau pour financer un objectif de construction (que les agents de l’administration sont bien incapables de mener à bien : Ce n’est pas leur métier !), l’État préfère se retenir de prélever un impôt « normal » moyennant la condition pour le contribuable de construire ou acheter, investir, dans ce que l’État ne sait pas faire (ou le fait mal).
C’est la technique du crédit d’impôt.
Pour les bagnoles, ça marche du tonnerre de Zeus : C’est « Élan-Must » qui s’en gave après s’être gavé des « droit à polluer » (le marché de la taxe carbone) que lui octroie la loi et que achètent les constructeurs automobiles à moteur thermique…
Et puis il y avait même des aides à financement : Les taux des PEL, des CEL, versés sur l’épargne des résidents qui génèrent un apport et permet d’emprunter à pas cher.
D’ailleurs, les prêts à taux zéro, peu coûteux pour l’État en période d’inflation proche de zéro et de taux nuls, pourraient prendre toute leur importance maintenant que les crédits redeviennent plus compliqués à obtenir, mais aussi alourdir la facture pour la collectivité nationale.
Un effet pervers qui réclamera plus d’impôt un jour ou l’autre…
C’est d’ailleurs pourquoi les intérêts pris en charge
par la puissance publique, ces prêts complémentaires sont parfois critiqués,
car plutôt que d’élargir le champ des éligibles à l’accession à la propriété,
ils serviraient de complément pour acheter plus vaste, plus cher.
Les PTZ pourraient bien finalement contribuer à l’augmentation des prix alors qu’ils devaient aider une frange de population à accéder à la propriété.
Le système est sur la sellette depuis plusieurs années, mais il sera pour l’instant reconduit jusqu’en 2024.
Car ne vous leurrez pas : Si un avantage fiscal est offert, dans sa grande générosité par la République des « sachants », ce n’est évidemment pas vous qui en bénéficierez.
Vous, vous prenez le risque financier en pleine gueule, mais ni l’État, ni votre vendeur, ni votre banquier, et les avantages fiscaux n’allègent même pas la facture mais vont directement dans la poche des opérateurs, qui construisent, qui vous vendent, qui vous financent et tous les intermédiaires qui tournent autour !
C’est pour ça qu’ils sont tous à cran : Ils n’ont pas grand-chose à se mettre sous la dent en ce moment avec la crise des prêts aux particuliers.
Souvenez-vous, qu’elle a débuté comme d’une konnerie :
Les ménages ne pouvaient pas emprunter parce que les taux étaient jugés trop
bas par les banquiers et la limite des taux de l’usure bien trop vite atteinte,
notamment quand on prenait en compte le risque d’insolvabilité de l’emprunteur
qui devait s’assurer en conséquence…
Du coup personne n’empruntait et les bétonneurs se sont retrouvés avec des stocks d’invendus…
Avec l’inflation, bé les taux de refinancement ont augmenté, donc le taux de l’usure aussi, donc les taux aux particuliers également. Donc… les emprunteurs n’avaient plus les moyens et s’il y avait des prêteurs, il n’y avait plus d’emprunteurs et les stocks d’invendus enflent encore…
La catastrophe pour tous les « sachants » de la planète… tricolore.
Alors, devant ce boxon kafkaïen, les précieuses
recommandations du Conseil national de la refondation Logement attendront
encore un peu…
Avançant des problèmes d’agenda, « Jupiter » a repoussé la publication du travail de ce groupe qui planche depuis novembre 2022 sur la crise du logement et les moyens d'y faire face.
Et « Jupiter » a déjà évoqué quelques pistes, mais encore aucun plan à l’horizon, ni même de date.
C’est que les « sachants » étatiques se mordent
les doigts : Une fois que tu as réussi à hameçonner un pigeon avec le
large panel d’aides, crédits d’impôt et diverses incitations, tu laisses un
délai et après c’est la cascade des taxes et impôts qui s’abattent sur l’impétrant
au déménagement.
Le mieux c’est qu’il en crève : Ça ouvre aux droits de succession !
Mais au passage, à chaque déménagement et en cas de revente, ce sont des droits de mutation, un fichage toujours plus étroit des personnes et des flux financiers.
Et puis si alors l’acquisition du logement n’était pas pour habiter mais pour donner en location, c’est le bonus : Sur chaque loyer payé, la puissance publique réclamera son écot, piquera la TVA sur les dépenses et charges d’entretien et l’ensemble fera vivre un écosystème qui génère emplois, cotisations et charges fiscales.
Là où tu plantes un avantage fiscal, tu récoltes une
recette future supplémentaire qui n’aurait pas existé autrement !
Car aucun n’aura pensé à laisser librement le cours des choses s’autoréguler en arrêtant de prendre le « propriétaire » pour une pompe à emmerdements qu’il convient de faire caguer jusqu’à ce que mort s’en suive…
Ils en veulent tellement tous des obligations nouvelles, des rénovations aux forceps, des « joujoux » tout neufs en enfermant les « pigeons » dans des réglementations, notamment sur les baux et les normes, toujours plus contraignantes et coûteuses…
Non, ça ne leur viendrait pas à l’esprit, à tous ces camés de la norme, du décret, de l’arrêté et de je ne sais quoi : Il n’y a que votre fric qui les intéresse, le reste, des logements pour les gueux, c’est le cadet de leur souci.
D’où les hérésies notées ci-avant des logements vacants et du nombre de nos SDF…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : «
LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN
LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN
AGENT « NON RUSSE » !
Toute une profession qui criait à l’urgence la semaine dernière pour pousser « Jupiter » et « Lili-Bête-Borgne » à agir, à sortir leur « plan logement », parce qu’ils tirent la langue…
De qui se fout-on au juste ?
Et on comptait 140.000 sans-abris.
On avait pour objectif de « produire » 400.000 logements nouveaux par an.
En 2022, on en n’aura mis sur le marché que 370.000…
On va donc nous dire que nous ne sommes pas capables de procurer à tout le monde un logement décent, au moment où on construit une ville olympique en deux temps et trois mouvements : La preuve, les « autorités » vont réquisitionner les logements étudiants de la kapitale pour y faire dormir les « bénévoles » qui vont assurer la petite-intendance de JO durant l’été 2024.
Même que pour les « Paralympiques », on ira jusqu’à décaler la rentrée universitaire et scolaire en raccourcissant les vacances du dernier trimestre de l’année olympique…
Vous y croyez encore, vous ?
Bé non : Il y avait un stock de 3 millions de logements inoccupés en 2022 !!!
Cherchez donc l’erreur de nos « sachants », SVP…
Certes, ce constat doit être nuancé pour expliquer cet immense gâchis : Parmi ces logements, beaucoup sont simplement en attente de relocation ou en rénovation, par exemple.
La vacance « frictionnelle » et bien naturelle… Mais en principe provisoire. Et que je sache, le turn-over n’est pas de 12 ans par logement, loin de là !
Dans les grands centres urbains, le fort dynamisme du marché crée mécaniquement des logements inoccupés : Ils seraient par exemple 400.000 en « Île-de-Gauloisie », mais seulement un sur six le serait durablement.
T’as qu’à croire : Ça ferait, au plan national 500.000 logements sortis du marché de la location, 3,5 fois plus que le nombre de SDF qui errent sur mes trottoirs.
Et à raison de 2 personnes par logement, c’est déjà une solution pour 58 % des demandeurs de logement…
(cf. I-Cube (l'exilé): L’arnaque de l’article 1396 du CGI, article 78, loi du 13/10/14, n° 2014-1170 ! (flibustier20260.blogspot.com))
Une « niche » qui permet de rançonner le quidam qui s’y laisse prendre : Je vous explique un peu plus loin…
En bref, ainsi dopé, le nombre de logements a presque doublé en quarante ans.
Ce chiffre a globalement augmenté plus vite que la population, mais beaucoup de logements ne sont pas en adéquation avec la demande : Trop chers ou mal placés notamment, on vient de le dire.
Le logement intermédiaire manque et les politiques publiques peinent à stimuler les investisseurs pour acheter des logements moins onéreux : La loi Élan par exemple, dont c’était un des objectifs, n’y est pas parvenue.
Une loi de plus pour rien…
Je sais : J’en suis à payer l’IFI pour mes quelques crottes…
Cet effet pose problème pour les premières accessions à la propriété : La part de propriétaire est à 58 % en « Gauloisie-immobilière », mais leur proportion tend à se tasser, voire diminuer ces dernières années.
Les gens qui ne parviennent pas à acheter ayant des revenus modestes sont alors souvent locataires de logements sociaux.
Or, n’ayant pas les moyens de changer, ils tendent à rester plus longtemps dans ces structures.
Et avec l’arrivée de nombreux nouveaux demandeurs chaque année, cela fait du logement social un secteur très encombré et manquant toujours plus de logements !
Le cercle infernal.
La faute à ne pas vouloir plus loin que le bout de son nez pour nos élus hypnotisés par leurs « sachants » qui sachent mieux que tout le monde sans rien avoir appris que des carabistouilles…
Passons : Je m’énerve et ce n’est pas bon pour ma tension.
Ce secteur très dynamique emploie environ 2,5 millions de personnes. Autrement dit, c’est un domaine économique clé qu’il convient de préserver, même si les « travailleurs-laborieux » sont le plus souvent « importés » d’Europe de l’Est, le Maghreb ne fournissant plus que des feignasses retors (retors, ils l’ont toujours été,
Seulement voilà, le secteur fait face à l’augmentation des prix des matières premières alors que la demande est orientée vers des logements moins chers.
Pas de chance…
Ce qu’on peut comprendre en ce qui les concerne : Un lotissement nouveau, ce sont des VRD nouveaux à entretenir, des citoyens nouveaux à faire becqueter, à soigner, à habiller, à en scolariser leurs mômes, à ramasser leurs déchets et recycler les ressources naturelles en eau. Bref entre bennes à ordure, crèche, ékole et collège, ramassage des gamins sur un réseau routier correctement entretenu, cantines, etc., ça coûte cher et ça ne rapporte même plus de la taxe d’habitation !
L’horreur économique pour une commune rurale…
À noter que les crédits d’impôts du dispositif Pinel sur la construction de neuf ou les prêts à taux zéro sont des formes de subventions publiques vers ce domaine, et il se retrouve que tout cela est très dépendant de politiques publiques.
Aussi, le secteur demande une vive accélération des rénovations énergétiques pour le stimuler.
Là, on croit rêver : Ils n’assument déjà pas les chantiers commencés… dépensant leur fric en publicité télévisuelle plutôt qu’en maitrise d’ouvrage avec des gens compétents…
Enfin passons, je vais encore faire un pic de tension.
Je vous rappelle le principe : Plutôt que de lever de l’impôt nouveau pour financer un objectif de construction (que les agents de l’administration sont bien incapables de mener à bien : Ce n’est pas leur métier !), l’État préfère se retenir de prélever un impôt « normal » moyennant la condition pour le contribuable de construire ou acheter, investir, dans ce que l’État ne sait pas faire (ou le fait mal).
C’est la technique du crédit d’impôt.
Pour les bagnoles, ça marche du tonnerre de Zeus : C’est « Élan-Must » qui s’en gave après s’être gavé des « droit à polluer » (le marché de la taxe carbone) que lui octroie la loi et que achètent les constructeurs automobiles à moteur thermique…
Et puis il y avait même des aides à financement : Les taux des PEL, des CEL, versés sur l’épargne des résidents qui génèrent un apport et permet d’emprunter à pas cher.
D’ailleurs, les prêts à taux zéro, peu coûteux pour l’État en période d’inflation proche de zéro et de taux nuls, pourraient prendre toute leur importance maintenant que les crédits redeviennent plus compliqués à obtenir, mais aussi alourdir la facture pour la collectivité nationale.
Un effet pervers qui réclamera plus d’impôt un jour ou l’autre…
Les PTZ pourraient bien finalement contribuer à l’augmentation des prix alors qu’ils devaient aider une frange de population à accéder à la propriété.
Le système est sur la sellette depuis plusieurs années, mais il sera pour l’instant reconduit jusqu’en 2024.
Car ne vous leurrez pas : Si un avantage fiscal est offert, dans sa grande générosité par la République des « sachants », ce n’est évidemment pas vous qui en bénéficierez.
Vous, vous prenez le risque financier en pleine gueule, mais ni l’État, ni votre vendeur, ni votre banquier, et les avantages fiscaux n’allègent même pas la facture mais vont directement dans la poche des opérateurs, qui construisent, qui vous vendent, qui vous financent et tous les intermédiaires qui tournent autour !
C’est pour ça qu’ils sont tous à cran : Ils n’ont pas grand-chose à se mettre sous la dent en ce moment avec la crise des prêts aux particuliers.
Du coup personne n’empruntait et les bétonneurs se sont retrouvés avec des stocks d’invendus…
Avec l’inflation, bé les taux de refinancement ont augmenté, donc le taux de l’usure aussi, donc les taux aux particuliers également. Donc… les emprunteurs n’avaient plus les moyens et s’il y avait des prêteurs, il n’y avait plus d’emprunteurs et les stocks d’invendus enflent encore…
La catastrophe pour tous les « sachants » de la planète… tricolore.
Avançant des problèmes d’agenda, « Jupiter » a repoussé la publication du travail de ce groupe qui planche depuis novembre 2022 sur la crise du logement et les moyens d'y faire face.
Et « Jupiter » a déjà évoqué quelques pistes, mais encore aucun plan à l’horizon, ni même de date.
Le mieux c’est qu’il en crève : Ça ouvre aux droits de succession !
Mais au passage, à chaque déménagement et en cas de revente, ce sont des droits de mutation, un fichage toujours plus étroit des personnes et des flux financiers.
Et puis si alors l’acquisition du logement n’était pas pour habiter mais pour donner en location, c’est le bonus : Sur chaque loyer payé, la puissance publique réclamera son écot, piquera la TVA sur les dépenses et charges d’entretien et l’ensemble fera vivre un écosystème qui génère emplois, cotisations et charges fiscales.
Car aucun n’aura pensé à laisser librement le cours des choses s’autoréguler en arrêtant de prendre le « propriétaire » pour une pompe à emmerdements qu’il convient de faire caguer jusqu’à ce que mort s’en suive…
Ils en veulent tellement tous des obligations nouvelles, des rénovations aux forceps, des « joujoux » tout neufs en enfermant les « pigeons » dans des réglementations, notamment sur les baux et les normes, toujours plus contraignantes et coûteuses…
Non, ça ne leur viendrait pas à l’esprit, à tous ces camés de la norme, du décret, de l’arrêté et de je ne sais quoi : Il n’y a que votre fric qui les intéresse, le reste, des logements pour les gueux, c’est le cadet de leur souci.
D’où les hérésies notées ci-avant des logements vacants et du nombre de nos SDF…
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