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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 2 mai 2023

Plus que onze semaines à tenir la barre…

« Lili-Bête-Borgne » aura présenté sa feuille.
 
C’était la semaine dernière. Elle a jusqu’au 14 juillet prochain pour « apaiser » le pays (et ses casseroles) !
On attendait qu’elle rende sa copie publique depuis l’Élysée, à la sortie du « conseil des sinistres » du moment après l’avoir exposé à ses collègues et néanmoins « collaborateurs » venus la soutenir dans la galère présidentielle.
Un test grandeur nature pour un exécutif toujours privé de majorité absolue à l’Assemblée et fragilisé par l’épisode de la réforme des retraites, nous en disait-on en amont.
Depuis la promulgation de la loi, « Jupiter » s’est en effet lancé dans une série de déplacements ― Alsace, Hérault, Loir-et-Cher ― pour vanter son action et exposer ses nouvelles priorités dans une succession de concerts de casseroles, interdits par les préfets comme étant assimilé à de redoutables armes terroristes.
C’est également le cas pour la plupart des échappées ministérielles sur le terrain, à l’image de la visite chahutée lundi à Lyon du « sinistre de les-Duc-à-Sion », « Papa-N’diarrhée », et ils en reviennent tout traumatisé du ciboulot, les « pov’ ».
Qu’ils en annulent frénétiquement leurs déplacements…
 
L’heure n’en était pas moins à la relance de la machine exécutive au moment où « Jupiter » vient de franchir le premier anniversaire de sa réélection. Dans son adresse aux « Gauloisiens-imperturbables » le 17 avril dernier, le chef de l’État s’était donné « cent jours », avec un « premier bilan » au 14 juillet, et avait missionné sa chef du Gouvernement pour en établir et en détailler le contenu.
Un rôle tout trouvé pour la « sous-préfette » en chef qui ne sait faire que ça : Obéir aux ordres !
Mais si le président ne s’était pas contenté d’énumérer ses « chantiers prioritaires » ― travail, « justice et ordre républicain et démocratique », « services publics » incluant école et santé ― il avait également, livré quelques pistes de calendrier et de méthode.
 
Sur le volet travail, il a évoqué un texte de loi transposant « très vite » l’accord national interprofessionnel sur le « partage de la valeur » en entreprise, conclu entre les organisations patronales et syndicales. Il a également cité des réformes « sur France Travail (successeur de « Paul-en-ploie ») et sur les lycées professionnels, sur lesquels on doit avancer d’ici l’été » et qui sera porté par le ministre « Olive-Du-Sot ».
Selon des sources gouvernementales et parlementaires, « Lili-Bête-Borgne » devait également tracer les contours d’une future loi sur le numérique comprenant la mise en place d’un « filtre anti-arnaque », la transcription en droit napoléonien des nouveaux règlements européens sur les services et marchés numériques (DSA-DMA), ou encore un « renforcement » du blocage des sites pornographiques à destination des mineurs : Les urgences du pays, là ?
Sur le volet immigration, « Jupiter » avait prôné « un seul texte » pour « durcir nos règles » en matière d’expulsion tout en améliorant l’intégration. Écartant ainsi l’hypothèse d’un projet découpé en plusieurs textes pour faciliter son adoption, comme il l’avait lui-même évoquée il y a un mois : Retournement de veste, là ?
Mais « je ne sais pas vous dire quel sera le chemin. Il faut construire une majorité politique », a-t-il dit, interrogé sur l’éventualité d’une adoption au 49.3.
 
Alors que sa « Première-sinistre » avait déclaré, dans un entretien à l’AFP, qu’elle n’entendait plus, à l’avenir, recourir à cette arme constitutionnelle, hormis pour les textes financiers, le 49.3 « fait évidemment partie des hypothèses », a pourtant jugé mardi « Olive-Du-sot » qui n’écoute pas sa patronne.
Même si, sur la loi immigration, il fallait « tout faire pour l’éviter », a-t-il ajouté.
Quel boxon !!!
 
Lors de sa conférence de presse, la locataire-précaire de Matignon aura proposé son agenda législatif pour les prochains mois et sa méthode pour cadrer les discussions à venir avec les partenaires sociaux : Le suspense était alors à son comble !
S’agissait-il de véritables négociations interprofessionnelles ou de simples concertations ?
Si cette question restait à trancher, le président de la République et les membres du gouvernement ont déjà donné quelques pistes.
Pour que les partenaires sociaux acceptent de revenir autour de la table, l’exécutif avait d’ores et déjà promis que l’accord que les organisations syndicales et patronales ont trouvé sur le partage de la valeur sera repris en intégralité et rapidement dans un projet de loi dédié, avant d’ouvrir les discussions pour aboutir d’ici cet été sur un prochain texte sur le plein emploi, qui devrait notamment cadrer les réformes de « Paul-en-ploie », du RSA et des lycées professionnels.
 
Emploi des seniors, usure professionnelle, rémunération, compte épargne temps universel, épargne salariale… ces sujets, doivent participer à la construction d’un nouveau « pacte de la vie au travail » d’ici la fin de l’année.
Le projet de loi unique, « plus juste et efficace », devrait, entre autres, prévoir la mise en place d’un titre de séjour « métiers en tension » (infirmières, éboueurs, cuistots, maçons, menuisiers, électriciens et soudeurs qualifiés « nucléaire »…) pour faciliter le recrutement de travailleurs immigrés dans les secteurs en pénurie de main-d’œuvre.
 
Et malgré l’opposition de la droâte Républicaine (et démocrate) à cette mesure, le gouvernement compte donc bien sûr « tout faire » pour éviter un nouveau 49-3 dans le cadre de l’examen de la future loi immigration.
C’est terminé pour cet article de la constitution, carrière brisée, on s’en doute bien.
Et c’est sans ferveur et loin des défis du moment, témoignant un peu plus de l'affaiblissement politique de Matignon que les annonces ont été faites pour les trois mois à venir.
Sans majorité ni soutien des syndicats, la route va être longue et tortueuse…
 
Car elle a causé. Il en ressortirait presque que « labourage, pâturage et… cabotage » sont donc désormais les trois mamelles de mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rendait si mal jusqu’à il y a peu…), car la feuille de route reste inquiétante.
Angoissante même.
Le contraste était saisissant entre le souffle court de la « Première » et l’ampleur des défis à juste titre relevés : Les ravages de l’inflation, la souffrance au travail et sa rémunération, la réindustrialisation du pays, l’engorgement des hôpitaux et les déserts médicaux, la transition écologique et sociale, le remplacement des enseignants absents…
Le catalogue des tâches à accomplir est lourd, mais ni la ferveur ni la flamme pour entraîner les foules n’était présente.
 
Un exercice primo-ministériel laborieux, qui peut se faire en préfecture et par voie d’arrêté, qui tranchait aussi finalement avec les roulements de mots et d’intention du Président de la République. Car autant « Jupiter » a retroussé ses manches et ses propos pour tenter de vaincre le vacarme des casseroles et de renouer le contact avec ses électeurs sinon avec l’espérance, autant le style « Borgne », n’en transpirait pas moins un certain accablement.
Et il ne s’agissait pas seulement que de style, mais du sentiment saisissant de ce risque, de ce danger d’impuissance puisqu’il n’est pas de majorité et que nous devrons désormais « caboter » !
La riche idée que voilà…
 
Du cabotage sur place ? Il faudra attendre déjà les syndicats, compter sur le bon vouloir réformateur de la CFDT en particulier : Le pacte de la vie au travail ne verra pas le jour de sitôt ! On n’humilie pas impunément les syndicats…
Mais politiquement ce sera sans doute plus dur encore. La preuve par cette impossible régulation de l’immigration dont le chef de l’État nous avait pourtant annoncé qu’elle était particulièrement importante, et qu’il comptait y parvenir.
Sauf que finalement la réforme est repoussée, faute d’accord possible avec la droâte « LRd », elle-même divisée entre modérés du Sénat et radicaux en plus grand nombre à l’Assemblée nationale.
Et ses chefs sont dans l’incapacité de « cheffer », d’imposer quoi que ce soit aujourd’hui comme on l’a vu avec les retraites.
Les « républicains-démocrates » ne savent plus où ils habitent, d’où ils viennent, ce qu’ils sont ni ce qu’ils veulent…
 
Le gouvernement devra donc dans l’immédiat avancer au coup par coup, en procédant souvent de manière réglementaire et en usant probablement du 49-3 puisque « Lili-Bête » retourne une fois de plus sa veste sur le sujet, sous pression insistante de l’Élysée, de renoncer à son renoncement à cette procédure expéditive. Quand on dispose d’une arme faite pour les temps difficiles, il est vrai qu’il serait sot d’y renoncer a priori
 
Autrement dit, il faut l’affirmer tout net : Cette nouvelle marche arrière signe plus que tout autre pour la classe politique son affaiblissement, et son renvoi à brève ou moyenne échéance.
La majorité des élus, y compris « Jupitéristes », la tiennent pour condamnée, ce qui ne l’aide pas à avancer car partout où elle s’appuie, ça se dérobe.
C’est spongieux, c’est mouvant !
Les réactions des élus de Renaissance à « sa feuille de route » ont d’ailleurs été d’une mollesse, voire d’une absence significative.
La plupart des parlementaires se projettent déjà dans l’après « Borgne », en tentant d’imaginer ce que pourrait être un prochain remaniement et qui pourrait occuper Matignon.
 
Avec deux scénarios très distincts pour l’instant : Soit la promotion d’un « sinistre de poids » (le plus « gros » étant « Du-Pont-Moriarty », mais lui, c’est déjà une erreur de casting à lui tout seul), à choisir entre « Pruneau-Le-Mère » (qui se réserve pour 2027 sans vraiment le dire, d’autant qu’il brille par son absence dans les débats parlementaires et persiste à « romancer ») et « Séb-Lecocu », voire « Gégé-Dare-à-la-main ».
Que des poids-lourds, très ancrés à droâte où le second quinquennat penche résolument.
 
Soit une coalition avec « LRd » sur la base d’un programme en dix points avec un « Gégé-L’Archer » comme « Premier sinistre » tendance modérée mais capable d’en imposer aux jeunes loups (ce à quoi je ne crois absolument pas : Il n’a plus la santé et il est si bien perché au perchoir du Sénat) !
Ainsi, alors que les crises économiques, sociales, identitaires s’aggravent et que « les barbares » sont aux portes du pouvoir, les politiques discutent sinon du sexe des anges, du moins de celui des prochains « sinistres » !
Ils ont fait « bac + 5 de l’ékole du rire » tous ces « sachants-là », ce n’est pas possible autrement…
 
Et quand on y regarde de plus près, je trouve qu’elle avait le panache de Cambronne à Waterloo : « Agir collectivement pour revaloriser les salaires ». « Ce que nous disons, nous le faisons. (…) Cette feuille de route répond directement aux attentes et aux inquiétudes des Français. Notre feuille de route est particulièrement dense. Une chose est certaine : nous entrons dans une nouvelle phase d’action ».
Premier pilier : Le travail, le plein-emploi et la réindustrialisation, avec une attention particulière « sur le pouvoir d’achat ».
Pour cela, la « Première sinistre » a annoncé le maintien des boucliers sur les tarifs de l’énergie les prochains mois.
Côté entreprise, elle « a appelé à une revalorisation des grilles salariales » dans toutes les branches, et un élargissement des conditions pour la redistribution du partage de la valeur.
Le seuil des entreprises éligibles passe de 50 salariés à 11 salariés : « Nous devons continuer nos efforts pour atteindre le plein-emploi. (3 millions de chômeurs tout de même…) Nous voulons lever les freins à l’emploi, simplifier les démarches », et en insistant sur le renforcement des formations pour « les métiers d’avenir ».
Ce n’était pas Grouchy, mais Blücher…
 
Et déjà c’était le deuxième pilier de la feuille de route du gouvernement : La transition « écolologique », la grosse marrade de ce début de millénaire.
Pour cela, un projet de loi « industrie verte » sera présenté mi-mai. Dans les grandes lignes, le gouvernement devrait mener « une nouvelle gestion de nos forêts » qu’on va enfin débroussailler de toute urgence, poursuivre les aides à la rénovation thermique, avec des « accompagnateurs MaPrimeRénov’ », et diriger le lancement des RER dans des dizaines de territoires.
« Nous voulons mener cette nouvelle donne ferroviaire », a-t-elle affirmé promettant des concertations avec les élus locaux à partir de début mai (hier).
Et un texte sera débattu à l’Assemblée nationale à partir du 15 mai sur les feux de forêt, la priorité des priorités ?
Sur les transports, « dès l’automne, une offre de véhicules propres à prix accessibles » sera disponible.
« Au cours du mois de juin, nous présenterons une vision d’ensemble » de la politique énergétique et environnementale du gouvernement, avant un projet de loi « Énergie Climat » qui sera présenté « à l’automne ».
Parce que jusque-là, ils improvisaient dans le désordre ?
Gag !
 
Autre axe de cette feuille de route : La santé et les services publics. Sur ce sujet, « Lili-Bête-Borgne », sans attendre la levée du numerus clausus, promet « d’aller plus loin » : D’ici fin 2024 (elle ne sera plus là), l’assurance maladie financera le recrutement de 6.000 assistants médicaux supplémentaires.
Dès la rentrée, 2.000 places supplémentaires seront proposées en soins infirmiers.
« Nous devons continuer notre action pour désengorger les services d’urgence », a-t-elle ajouté et d’insister sur les 600.000 « Gauloisiens-maladifs » atteints d’une maladie chronique, qui n’ont pas de médecin traitant et qui pourront en trouver un d’ici la fin de l’année.
Moâ, j’en ai trouvé un après une demi-journée d’attente… Il faut dire que je n’en ai pas vraiment besoin, mais il paraît que c’est malheureusement devenu obligatoire…
 
Elle a également promis « une réelle transformation de l’école » (Encore ?).
À partir de la rentrée prochaine, les remplacements de courte durée seront effectués au sein même des établissements. La cheffe du gouvernement a aussi annoncé un « pacte pour l’enseignement », promettant une « hausse historique jusqu’à 500 euros » pour les professeurs !
C’est qui qui paye, au juste ?
Un plan d’action pour la jeunesse « dans les prochaines semaines » a également été évoqué. « Il s’agira d’actions concrètes », promet l’ex-sinistre du Travail citant « par exemple » la rénovation des logements étudiants.
C’est vrai qu’ils dégradent très vite, nos étudiants…
 
Et dernier pilier de son intervention : La justice et l’ordre républicain !
Enfin une compétence régalienne abordée…
Et sur cette question, le projet de loi immigration était attendu. « On va durcir nos règles sur l’immigration pour que ceux qui n’ont pas de raison d’être ici puissent voir leur dossier étudié plus rapidement et être raccompagnés chez eux », avait promis « Jupiter ».
Elle aura annoncé, comme pressenti, qu’aucun texte ne sera inscrit au Parlement sur le sujet, faute de majorité : « Ce n’est pas le moment de lancer un débat sur un sujet qui pourrait diviser le pays ».
« Les échanges que j’ai pu avoir avec LR montrent qu’il n’y a pas de position commune entre l’Assemblée et le Sénat. Nous allons poursuivre les échanges pour bâtir un texte équilibré dans chacune des assemblées », a-t-elle précisé.
Et si rien ne vient, le gouvernement proposera « un texte à l’automne avec pour seule boussole l’efficacité ».
150 policiers supplémentaires seront tout de même déployés à la frontière italienne dès « la semaine prochaine » : Bien Madame la préfette ! C’était tellement urgent qu’on n’a pas compris pourquoi la mesure n’avait pas été déjà prise, cela va de soi !
« Sur les autres textes, je suis également confiante » pour trouver une majorité, a-t-elle prétendu hasardeusement.
 
Elle a, comme attendu, tracé les contours d’une future loi sur le numérique, présentée avant l’été, comprenant la mise en place du « filtre anti-arnaque », pour signaler les « sites frauduleux », et un « renforcement » du blocage des sites pornographiques à destination des mineurs : Je sais, c’est comme un tour de magie !
Pour la justice, le gouvernement lancera « le recrutement de 10.000 personnels supplémentaires, dont des magistrats et greffiers », dans un projet de loi « débattu au Parlement dès le mois de juin ».
Lancée, une promesse qui n’est pas près d’aboutir, comme souvent en la matière.
 
Un véritable inventaire à la Prévert, là, dans l’urgence des 100 jours !
Un feu d’artifice qui cache bien cette impuissance dramatique de nos urnes à fournir une majorité stable à un gouvernement et la peur phobique des casseroles !
Il faut dire que « Jupiter » en aura abusé lors de son premier quinquennat. Juste retour de bâton…
À mon avis, ça ne va pas tenir indéfiniment : D’abord, en juillet, les grandes lignes du budget 2024 seront arrêtées et on va s’apercevoir que ça va coincer. Il faudra faire des arbitrages compliqués durant l’automne et ce n’est pas « Lili-Bête-Borgne » qui les fera.
Par ailleurs la crise aux frontières de l’UE pourrait s’aggraver durant l’été.
Ce qui me fait présumer que, au moment de simuler ses déclarations d’impôt, « l’apaisement » n’est pas pour demain, loin de là et bien au contraire !
Mauvais timing.
 
Mais qui vivra verra bien…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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