On a découvert pourquoi les cheveux deviennent gris !
C’est le premier apport récent, et d’importance à la connaissance
scientifique, que j’ai noté pour vous !
Mais il y en a d’autres….
Le changement de couleur de nos cheveux lié au vieillissement résulte d’un épuisement des ressources de cellules responsables de la pigmentation.
On s’en serait douter, à moins que ce soit une des conséquences des contrariétés que nous surmontons tous les jours…
Toutefois, une nouvelle étude américaine éclaircit la « zone grise »
autour du mécanisme de « vieillissement » des cheveux.
Publiée dans Nature, elle permet de mieux comprendre comment les cellules souches mélanocytaires (productrices de mélanine) colorent les cheveux en gris, puis en blanc avec l’âge.
Le phénomène est directement lié à la perte de plasticité des cellules souches mélanocytaires (CSM), qui se déplacent normalement le long du follicule pileux et permettent la pigmentation des cheveux.
D’après les auteurs, la perte de la fonction caméléon des CSM pourrait être à l’origine du grisonnement et de la perte de couleur des cheveux.
Le phénomène naturel qui colore nos cheveux en gris avec le temps
s’appelle « canitie ». Or, le nombre de CSM augmente avec l’âge mais les
cellules s’accumulent dans une zone précise du follicule pileux et se
retrouvent bloquées.
Elles ne peuvent pas retourner dans le compartiment germinal, où des protéines les activent normalement en cellules pigmentaires responsables de la couleur capillaire.
Les chercheurs ont donc mené des expériences sur des souris pour mieux
comprendre ce qu’il se passe lors du vieillissement des cheveux. Ils ont
arraché et forcé la repousse des poils, pour réaliser que les cellules souches
logées dans le bulbe du follicule passaient de 15 % avant l’épilation à environ
50 % avec le « vieillissement forcé ».
Et non exposées à des protéines activatrices, les cellules souches mélanocytaires ne produisaient plus de pigment.
En revanche, les cellules qui ont continué à se mouvoir ont poursuivi leur maturation et la production de pigment pendant les deux années de l’étude.
Pour inverser ou prévenir le changement de pigmentation des cheveux chez
l’Homme (et la femme) avec l’âge, une voie possible serait d’aider les cellules
bloquées à bouger à nouveau entre les compartiments du follicule pileux en
développement.
Ceci dit, les « trouveurs » n’ont pas cherché à savoir si le stress (syndrome de Marie-Antoinette) jouait un rôle dans le blocage de cellules souches mélanocytaires.
Donc le mystère n’est pas totalement éclairci.
Le second résultat des recherches acharnées à l’occasion de ces
quelques jours passés à épier les revues et sites scientifiques est nettement
plus important…
Car, j’ai ainsi découvert qu’il a été également question « d’amnésie du pénis ».
Et que je ne savais même pas que ça pouvait exister.
Le mien se souvient de tout…
La question est inverse et reste pourtant essentielle : Face à une
rangée de pénis, seriez-vous capable de reconnaître celui de votre ex ?
Pour de nombreuses personnes, la réponse est tristement non !
La « dick amnesia » concerne les cas où l’on se souvient très bien de l’homme à qui il appartient, mais pas de cette partie du corps.
Lors d’une conférence de presse à Cannes, en 1966, pour le film Crash de David Cronenberg, quelqu’un avait fait remarquer que le film montrait bien plus de femmes nues que d’hommes nus et a demandé si ce choix était contractuel ou artistique.
Ce à quoi l’acteur vedette a répondu, en plaisantant : « Je pense que c’est une question de géographie. Dans la plupart des scènes, nous avons des rapports sexuels et dans ces moments-là, on ne voit pas le pénis. »
Réponse curieuse : Ce cas d’amnésie viendrait-il tout simplement d’un problème géographique ?
Heureusement, certaines personnes ont mené des recherches plus
scientifiques et ont accédé au statut envié de « trouveur ».
En 2015, une étude sur les préférences de taille des phallus chez les femmes a suggéré que la dimension pouvait jouer.
« Les gens se souviennent généralement si un pénis était petit, moyen ou grand », concluait l’étude.
Seulement, même si la plupart des femmes ont été capables de reconnaître immédiatement un pénis parmi plusieurs modèles selon la taille et la circonférence, la moitié d’entre elles ont mis plus de dix minutes à y arriver…
Charmantes créatures…
N’importe lequel aurait fait l’affaire, dois-je en conclure !
Devrions-nous être rassurés par l’idée que nos partenaires se souviennent
rarement de nos parties intimes ?
Après tout, le cliché des hommes qui exagèrent la taille de leur pénis est bien réel et tout le monde est un peu complexé vis-à-vis de son 21ème doigt.
La « dick amnesia » pourrait donc permettre de détendre un peu l’atmosphère en société et même dans l’intimité.
Une sexothérapeute célèbre explique qu’il y a de nombreuses raisons
responsables de ce phénomène, notamment « l’excitation sexuelle, qui peut
supprimer les fonctions exécutives », ce qui mène à l’oubli, l’amnésie.
Il a aussi été démontré que l’augmentation du cortisol, plus connu sous le nom « d’hormone du stress », altère la mémoire…
« Si vous êtes stressé avant un rapport sexuel, ou pendant, par exemple si vous vous inquiétez de votre performance ou de votre look, il est possible que vous oubliiez quelques détails concernant l’appareil génital de votre partenaire », suggère-t-elle.
Toutefois, la sexothérapeute affirme que dans ce cas, on peut tout à fait
oublier d’autres éléments, comme la couleur du t-shirt que ce dernier portait.
D’autres facteurs peuvent aussi être responsables de cette amnésie : « L’alcool peut contribuer à la perte de mémoire », poursuit-elle.
« Combinez-le avec le stress, l’excitation et le manque de sommeil, et vous avez la recette parfaite pour une dick amnesia. »
Personnellement, je n’ai guère la mémoire visuelle des vulves visitées : Je suis occupé à autre chose.
En revanche, au toucher, je suis capable d’identifier sa propriétaire à peu près dans tous les cas…
Enfin, la troisième information pour le moins capitale et qui ne
vous aura probablement pas échappé : Les bites masculines aurait pris de
l’ampleur.
Presque 25 % en 30 ans !
Parce que figurez-vous que ça reste un sujet de recherche financé par vos impôts !
Certes, comme ils disent, il n’y a pas que la taille qui compte, mais tout
de même.
Une équipe de scientifiques, qui a assemblé les résultats de soixante-quinze (75 !) travaux de recherches se focalisant sur les dimensions de pénis en érection, en a déduit que leur longueur moyenne avait augmenté de 25 % en près de trente années.
L’ensemble des études compilées forme une méta-analyse portant au total
sur 55.761 pénis en érection, mesurés entre 1942 et 2021.
Ce n’est plus les 11.000 verges d’Apollinaire…
Et personne ne m’avait tenu au courant.
La principale conclusion, c’est que la longueur du phallus moyen est passée de 12,19 centimètres en 1992 à 15,24 centimètres en 2021 !
Va-t-on encore accuser les nanoparticules ?
Faut-il se réjouir de cette nouvelle ou s’en moquer comme de sa première culotte ?
À première vue, il y aurait plutôt lieu de sabrer le champagne.
Quelques spécialistes de la santé sexuelle et reproductive affirment en effet qu’avoir un petit pénis tendrait à compliquer la conception d’un enfant.
D’autres sont plus mesurés, assurant que la taille du sexe n’a aucun lien avec la fertilité.
Les auteurs de la méta-analyse se demandent surtout comment interpréter le fait que, tandis que les pénis s’allongent, des indicateurs tels que le taux de testostérone, le nombre de spermatozoïdes, la libido et la fertilité sont tous à la baisse.
Pour un coauteur de l’étude et néanmoins urologue dans le civil, on aurait pu s’attendre à ce que les sexes se rétractent eux aussi avec le temps, comme les petits-doigts des pieds, mais ça n’a pas été pas le cas.
« Nous avons observé la longueur de pénis flaccides, allongés et en
érection, et créé une vaste base de données à partir des mesures obtenues »,
explique le spécialiste qui n’a rien trouvé de mieux pour occuper ses loisirs.
« Nos conclusions se sont avérées très différentes de celles constatées en matière de fertilité et de santé sexuelle. »
Euh, c’est bien, mais est-ce que les réceptacles ont suivi le mouvement ?
Autrement dit, les vulves ont-elles grandi aussi ?
On n’en sait rien…
Mais pourquoi le gabarit des pénis a-t-il à ce point évolué, et ce partout
dans le monde ?
À ce stade, les spécialistes n’en savent absolument rien.
Il leur est même difficile de formuler des hypothèses.
Peut-être une analyse groupée des dimensions des vulves permettrait-elle justement de réaliser que cette inflation, en plus d'être mondiale, touche tous les sexes de manière égale.
Pour le moment, une telle étude n’existe pas, ce qui n’aurait rien d’étonnant ― on sait bien que depuis toujours, une moitié de la planète passe bien plus de temps que l’autre à se mesurer l’entrejambe et à tenter de pisser le plus loin possible !
Quand ça ne joue pas au foot, au tiercé ou à vider des chopines…
En tout cas, le sujet est sérieux, notamment pour des raisons de santé reproductive :
« Un changement global dans le développement doit nous interroger, car notre
système reproductif est l’un des éléments les plus importants de la biologie
humaine », explique notre « trouveur ».
« Un changement aussi rapide peut indiquer que quelque chose de puissant est en train d’arriver à nos organismes. »
Précisant que la longueur du pénis est en partie contrôlée par l’hormone
chorionique gonadotrope (HCG), produite dans le cerveau par l’hypophyse, les
scientifiques ajoutent que des perturbateurs endocriniens peuvent avoir joué un
rôle sur cette croissance inattendue.
Une simple hypothèse qui ne pourra être validée ou invalidée que grâce à des travaux supplémentaires (appel aux dons pour la recherche à peine déguisé…).
Bref, pour l’heure, on accuserait déjà les nanoparticules sans aucune preuve scientifique, une fois de plus…
Profitez de votre week-end pour une fois qu’il est plus long que de
coutume !
Bien à vous toutes et tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A
ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA
DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE »
!
Mais il y en a d’autres….
Le changement de couleur de nos cheveux lié au vieillissement résulte d’un épuisement des ressources de cellules responsables de la pigmentation.
On s’en serait douter, à moins que ce soit une des conséquences des contrariétés que nous surmontons tous les jours…
Publiée dans Nature, elle permet de mieux comprendre comment les cellules souches mélanocytaires (productrices de mélanine) colorent les cheveux en gris, puis en blanc avec l’âge.
Le phénomène est directement lié à la perte de plasticité des cellules souches mélanocytaires (CSM), qui se déplacent normalement le long du follicule pileux et permettent la pigmentation des cheveux.
D’après les auteurs, la perte de la fonction caméléon des CSM pourrait être à l’origine du grisonnement et de la perte de couleur des cheveux.
Elles ne peuvent pas retourner dans le compartiment germinal, où des protéines les activent normalement en cellules pigmentaires responsables de la couleur capillaire.
Et non exposées à des protéines activatrices, les cellules souches mélanocytaires ne produisaient plus de pigment.
En revanche, les cellules qui ont continué à se mouvoir ont poursuivi leur maturation et la production de pigment pendant les deux années de l’étude.
Ceci dit, les « trouveurs » n’ont pas cherché à savoir si le stress (syndrome de Marie-Antoinette) jouait un rôle dans le blocage de cellules souches mélanocytaires.
Donc le mystère n’est pas totalement éclairci.
Car, j’ai ainsi découvert qu’il a été également question « d’amnésie du pénis ».
Et que je ne savais même pas que ça pouvait exister.
Le mien se souvient de tout…
Pour de nombreuses personnes, la réponse est tristement non !
La « dick amnesia » concerne les cas où l’on se souvient très bien de l’homme à qui il appartient, mais pas de cette partie du corps.
Lors d’une conférence de presse à Cannes, en 1966, pour le film Crash de David Cronenberg, quelqu’un avait fait remarquer que le film montrait bien plus de femmes nues que d’hommes nus et a demandé si ce choix était contractuel ou artistique.
Ce à quoi l’acteur vedette a répondu, en plaisantant : « Je pense que c’est une question de géographie. Dans la plupart des scènes, nous avons des rapports sexuels et dans ces moments-là, on ne voit pas le pénis. »
Réponse curieuse : Ce cas d’amnésie viendrait-il tout simplement d’un problème géographique ?
En 2015, une étude sur les préférences de taille des phallus chez les femmes a suggéré que la dimension pouvait jouer.
« Les gens se souviennent généralement si un pénis était petit, moyen ou grand », concluait l’étude.
Seulement, même si la plupart des femmes ont été capables de reconnaître immédiatement un pénis parmi plusieurs modèles selon la taille et la circonférence, la moitié d’entre elles ont mis plus de dix minutes à y arriver…
Charmantes créatures…
N’importe lequel aurait fait l’affaire, dois-je en conclure !
Après tout, le cliché des hommes qui exagèrent la taille de leur pénis est bien réel et tout le monde est un peu complexé vis-à-vis de son 21ème doigt.
La « dick amnesia » pourrait donc permettre de détendre un peu l’atmosphère en société et même dans l’intimité.
Il a aussi été démontré que l’augmentation du cortisol, plus connu sous le nom « d’hormone du stress », altère la mémoire…
« Si vous êtes stressé avant un rapport sexuel, ou pendant, par exemple si vous vous inquiétez de votre performance ou de votre look, il est possible que vous oubliiez quelques détails concernant l’appareil génital de votre partenaire », suggère-t-elle.
D’autres facteurs peuvent aussi être responsables de cette amnésie : « L’alcool peut contribuer à la perte de mémoire », poursuit-elle.
« Combinez-le avec le stress, l’excitation et le manque de sommeil, et vous avez la recette parfaite pour une dick amnesia. »
Personnellement, je n’ai guère la mémoire visuelle des vulves visitées : Je suis occupé à autre chose.
En revanche, au toucher, je suis capable d’identifier sa propriétaire à peu près dans tous les cas…
Presque 25 % en 30 ans !
Parce que figurez-vous que ça reste un sujet de recherche financé par vos impôts !
Une équipe de scientifiques, qui a assemblé les résultats de soixante-quinze (75 !) travaux de recherches se focalisant sur les dimensions de pénis en érection, en a déduit que leur longueur moyenne avait augmenté de 25 % en près de trente années.
Ce n’est plus les 11.000 verges d’Apollinaire…
Et personne ne m’avait tenu au courant.
La principale conclusion, c’est que la longueur du phallus moyen est passée de 12,19 centimètres en 1992 à 15,24 centimètres en 2021 !
Va-t-on encore accuser les nanoparticules ?
Faut-il se réjouir de cette nouvelle ou s’en moquer comme de sa première culotte ?
Quelques spécialistes de la santé sexuelle et reproductive affirment en effet qu’avoir un petit pénis tendrait à compliquer la conception d’un enfant.
D’autres sont plus mesurés, assurant que la taille du sexe n’a aucun lien avec la fertilité.
Les auteurs de la méta-analyse se demandent surtout comment interpréter le fait que, tandis que les pénis s’allongent, des indicateurs tels que le taux de testostérone, le nombre de spermatozoïdes, la libido et la fertilité sont tous à la baisse.
Pour un coauteur de l’étude et néanmoins urologue dans le civil, on aurait pu s’attendre à ce que les sexes se rétractent eux aussi avec le temps, comme les petits-doigts des pieds, mais ça n’a pas été pas le cas.
« Nos conclusions se sont avérées très différentes de celles constatées en matière de fertilité et de santé sexuelle. »
Euh, c’est bien, mais est-ce que les réceptacles ont suivi le mouvement ?
Autrement dit, les vulves ont-elles grandi aussi ?
On n’en sait rien…
À ce stade, les spécialistes n’en savent absolument rien.
Il leur est même difficile de formuler des hypothèses.
Peut-être une analyse groupée des dimensions des vulves permettrait-elle justement de réaliser que cette inflation, en plus d'être mondiale, touche tous les sexes de manière égale.
Pour le moment, une telle étude n’existe pas, ce qui n’aurait rien d’étonnant ― on sait bien que depuis toujours, une moitié de la planète passe bien plus de temps que l’autre à se mesurer l’entrejambe et à tenter de pisser le plus loin possible !
Quand ça ne joue pas au foot, au tiercé ou à vider des chopines…
« Un changement aussi rapide peut indiquer que quelque chose de puissant est en train d’arriver à nos organismes. »
Une simple hypothèse qui ne pourra être validée ou invalidée que grâce à des travaux supplémentaires (appel aux dons pour la recherche à peine déguisé…).
Bref, pour l’heure, on accuserait déjà les nanoparticules sans aucune preuve scientifique, une fois de plus…
Bien à vous toutes et tous !
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