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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 29 mai 2023

Les bienfaits du vin rouge pour la santé

Esprit es-tu là, au fond de mon verre de vin ?
 
Non, en fait, je profite que l’Esprit Saint – le troisième personnage de la Chrétienté – soit débarqué hier pour vous parler d’un problème qu’il va être difficile de surmonter en… « Corsica Bella-Tchi-tchi » !
La production de ce médicament universel qu’est le pinard !
Et je ne me moque pas.
Si de nos jours il est prouvé que la consommation d’alcool est dangereuse pour la santé et doit s’effectuer avec modération, des études montrent qu’une consommation modérée peut offrir des bénéfices sur la santé.
 
Connaissez-vous l’œnothérapie ? Cette science populaire et ancestrale qui consiste à traiter de façon préventive ou curative de nombreux maux et maladies humaines. En d’autres termes, savoir consommer le bon vin en bonne quantité et au bon moment pour être en bonne santé !
Même si ce n’est pas remboursé par la « Sécu »…
Et c’est notamment le cas dans le cadre d’une consommation modérée de vin rouge et des antioxydants qu’il contient.
L’œnothérapie trouve ses racines dans l’histoire même de la médecine. En effet, Hippocrate lui-même disait « le vin est une chose merveilleusement appropriée à l'homme si, en santé comme en maladie, on l'administre avec à propos et juste mesure, suivant la constitution individuelle ».
Or, Hippocrate est considéré comme étant le père de la médecine moderne, et tout médecin doit aujourd’hui prêter le serment d’Hippocrate avant de pouvoir exercer et ce n’est sûrement sans raison.
 
La question de savoir si le vin rouge présente des avantages notables pour la santé est encore sujette à débat. Cependant, des études ont montré que la consommation quotidienne d’une quantité modérée de vin rouge, dont la teneur en alcool est comprise entre 12 et 15 %, contribue à la prévention d’un certain nombre de maladies, dont les maladies cardiovasculaires.
Il convient tout d’abord de rappeler que la différence entre une consommation modérée et excessive est mince. Une consommation excessive de vin peut être préjudiciable pour la santé physique.
D’un autre côté, une quantité trop faible ne vous apportera pas les vertus dont bénéficient habituellement les buveurs modérés.
 
Dans le détail, les antioxydants contenus dans le vin blanc peuvent contribuer à protéger le cœur et les poumons, à réguler la glycémie, à prévenir le vieillissement, à lutter contre les rhumes et à améliorer les fonctions cérébrales. 
Les principales variétés de vin blanc en « Gauloisie-spirituelle » sont le chardonnay, le sauvignon blanc, le pinot gris et le riesling.
Les vins blancs sont les plus acides, ce qui signifie qu’ils sont les pires pour les dents.
En outre, le vin blanc contient beaucoup moins d’antioxydants, bons pour le cœur et prévenant le cancer, que le vin rouge, et contient à peu près la même quantité de calories.
Les vins rouges, dont le goût et la couleur peuvent varier, sont préparés en écrasant et en faisant fermenter des raisins entiers de couleur foncée. Il existe de nombreuses variétés de vin rouge, dont les plus courantes en « Hexagonie » sont le merlot, le pinot noir, le cabernet sauvignon, le shiraz, et le gamay.
 
Les raisins plus foncés sont plus riches en anti oxydant comme le resvératrol, l’épicatéchine, la catéchine et les proanthocyanidines.
Parmi ceux-ci, le resvératrol et les proanthocyanidines sont principalement responsables du maintien de votre santé.
Les vins rouges sont également connus pour réduire le taux de mauvais cholestérol dans votre organisme.
Non seulement il régule le taux de cholestérol, mais il maintient également le cœur en bonne santé. Les polyphénols, un certain type d’antioxydants présents dans le vin rouge, empêchent la formation de caillots indésirables en maintenant la souplesse des vaisseaux sanguins. Toutefois, il ne faut pas oublier que la consommation excessive d’alcool endommage le cœur.
 
Le resvératrol, composé naturel présent dans la peau du raisin, régule le niveau de sucre dans le sang chez les personnes atteintes de diabète. La recherche a montré que les sujets qui ont pris 250 mg de suppléments de resvératrol une fois par jour pendant trois mois avaient des niveaux de glucose dans le sang plus bas que ceux qui n’en ont pas pris.
Il faut que je m’en occupe.
Le resvératrol contrôle également le cholestérol et la tension artérielle systolique.
Une consommation régulière et modérée de vin rouge peut réduire efficacement les risques de certains types de cancers tels que le cancer basocellulaire, du côlon, de la prostate, des ovaires, etc.
Mais ça reste controversé…
 
Les antioxydants présents dans les vins rouges traitent le rhume, car ils protègent les cellules contre les effets nocifs des radicaux libres.
Selon des recherches de quelques « trouveurs », le resvératrol présent dans les vins rouges inhibe la formation de la protéine bêta-amyloïde, un ingrédient clé de la plaque du cerveau des personnes atteintes d’Alzheimer.
Vous seriez heureux d’apprendre que le resvératrol aide également à contrôler votre poids : Le composé chimique piceatannol converti à partir du resvératrol réduit les cellules graisseuses de notre corps.
Selon d’autres « trouveurs », le piceatannol accélère les récepteurs d’insuline des cellules graisseuses, ce qui bloque les voies nécessaires à la croissance des cellules graisseuses immatures.
 
Une autre étude menée sur des personnes d’âge avancé (j’y arrive péniblement) a montré que la consommation quotidienne d’une quantité modérée d’alcool éloigne la dépression. Les personnes qui boivent du vin rouge sont moins susceptibles d’être déprimées que celles qui n’en boivent pas.
De plus la nature antibactérienne du vin rouge lui permet de traiter les irritations de l’estomac et autres troubles digestifs.
Il a également été prouvé que la consommation de vin réduit le risque d’infection par helicobacter pylori, une bactérie que l’on trouve habituellement dans l’estomac.
 
Ceci dit, on rappelle qu’une consommation excessive d’alcool peut ruiner les effets bénéfiques énoncés ci-avant et avoir un certain nombre d’effets négatifs sur l’organisme. On pense notamment à la cirrhose du foie, la prise de poids et une hausse de la tension artérielle.
Cependant, cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas vous permettre de boire votre vin rouge préféré de temps en temps. Idéalement, la consommation ne devrait pas dépasser 1 à 1,5 verre par jour pour les femmes et 1 à 2 verres par jour pour les hommes.
Il est également conseillé de ne pas boire de vin pendant 1 ou 2 jours entre les deux, afin de laisser un intervalle suffisant entre deux consommations.
Toutefois, il doit s’agir de votre limite de consommation totale et non du vin seul.
 
Il n’est pas toujours nécessaire de consommer le vin au verre uniquement. Vous pouvez l’utiliser comme ingrédient dans vos plats ou préparer une sauce au vin rouge pour accompagner votre dîner et en tirer les mêmes avantages. Le vin rouge présente également une foule d’autres avantages pour la santé, comme le traitement des maux de tête, la réduction de l’apport calorique en réduisant l’appétit.
 
Le « french paradox », c’est finalement une question simple : Comment peut-on, en « Gauloisie-culinaire », consommer autant de viande et de graisses animales tout en ayant des taux d’infarctus et de crises cardiaques inférieurs à ceux d’autres pays ?
La réponse, pensait-on alors, tenait dans un verre de vin rouge.
Et plus précisément, justement dans un des polyphénols du vin : Le resvératrol.
Les polyphénols sont des molécules présentes dans le raisin et qui s’infiltrent dans le vin en produisant de nombreux effets.
Le plus connu est le tanin, qui offre une texture au vin et ajoute des saveurs.
Le resvératrol présent de façon concentrée dans la peau du raisin, a un effet anti­oxydant, anti-inflammatoire et limitant les caillots sanguins.
Ces bénéfices ont été éclairés par quelques études, la plus large étant celle de l’organisation mondiale de la santé, effectuée sur plus 15 millions de personnes dans 25 pays.
Du sérieux, donc : L’étude a mis en avant les effets préventifs du vin rouge à dose modérée (1 à 3 verres par jour).
 
Mais ces études restent insuffisantes pour tirer une conclusion. On pourrait conclure en disant que si l’alcool que contient le vin est unanimement reconnu comme nocif pour la santé (surtout en grande quantité), les composés végétaux contenus dans le vin ont des bénéfices. D’où le potentiel effet bénéfique d’une consommation modérée !
Partant du principe que ce sont les molécules présentes dans la peau du raisin qui prodiguent des bienfaits, seul le vin rouge est concerné.
Pourquoi ? C’est parce que seul le vin rouge passe par l’étape de macération.
Lors de cette étape, les baies sont laissées en contact du jus pendant une période durant de quelques heures à quelques jours, permettant à ces polyphénols de s’infuser dans le vin.
Et les vins les plus concentrés en resvératrol sont ceux des cépages suivants :
Le malbec, qui remporte la palme par sa concentration et l’épaisseur de la peau de ses baies. On en retrouve dans une appellation qui a fait son renom : Les vins de cahors.
La petite syrah et le Saint-Laurent, qui sont deux cépages riches de ces polyphénols mais très peu cultivés chez nous.
Le pinot noir, cépage emblématique des vins de bourgogne, que l’on retrouve également en alsace, dans le jura et dans le vignoble du centre Loire.
Et enfin les cépages des vins de bordeaux (merlot et cabernet sauvignon majoritairement), qui obtiennent collectivement une concentration moyenne qui leur ouvre l’accès à ce classement.
 
Cependant, il n’existe pas de quantité de vin rouge qui vous permettra d’être en bonne santé ou d’améliorer votre santé. Un maximum de 1 à 3 verres par jour permet de bénéficier des effets antioxydants, anti-inflammatoires et anti-agrégants des molécules de resvératrol présent dans le vin rouge en limitant l’impact négatif de la consommation d’alcool que cela représente.
Ceci-dit, attention aux conclusions hâtives et aux généralités !
Chaque système immunitaire est différent, chaque personne est différente et votre corps réagit différemment aux différents stades de votre vie.
 
Attention donc, le vin ne doit pas être considéré comme un médicament !
C’est pour cette raison qu’il n’est pas remboursé par l’assurance-maladie et jamais prescrit par les carabins.
Ceci dit, si je vous parle de tout ça, c’est qu’il y a un problème en « Corsica Bella-Tchi-tchi » qui va devenir plus prégnant.
Nous élevons des cépages communs, mais également des pieds endémiques comme le Sciacarello, un cépage local, qui donne des vins fruités avec du corps.
Ou encore le Nielluccio, un autre cépage local qui donne des vins colorés et charpentés.
Le Barbarossa, cépage local du Carignan qui donne des vins corsés et colorés.
Le Grenache noir donne du corps, de la couleur au vin. Le Cinsault donne des vins souples, fruités et colorés. Le Mourvédre, donne des vins charpentés et le Syrah des vins colorés, tanniques, fruités.
Dans les blancs, il y a l’Ugni blanc, qui donne un vin blanc donne des vins fins, neveux. Et surtout le Vermentino qui offre un vin blanc de cépage local, pour vins blancs secs, avec une légère acidité.
Sans on cultive également le Muscat blanc à petits grains qui donne un vin blanc pour les vins doux naturels.
 
Et notre problème médical, en « Corsica Bella-Tchi-tchi », ça reste le réchauffement climatique.
La vigne est une liane qui existe depuis des millénaires et a toujours fait preuve d’une capacité d’adaptation étonnante.
Pour le moins, le changement climatique que nous vivons aujourd’hui n’aura-t-il aucun impact sur ce qui représente aujourd’hui, pour la Corse, à la fois une part importante de son patrimoine historique et un secteur économique à forte valeur ajoutée.
Mais si le risque est là, comment peut-on l’anticiper ?
 
Conscient de l’enjeu, le Crvi (pour Centru di ricerca viticula di corsica), implanté sur le corsic’agropôle de San-Giulianu, a placé cette problématique au cœur de son dernier plan stratégique qui vise à « développer des leviers opérationnels pour l’adaptation, la sécurisation et la valorisation du vignoble corse dans le contexte de changement climatique ».
 
Créé en 1982, le Crvi est beaucoup plus qu’un simple conservatoire des cépages corses. En réalité, c’est une petite exploitation viticole, avec son domaine de 4,4 hectares, son mini-chai, et sa cave de conservation, sur laquelle se sont greffés trois laboratoires : Un laboratoire d’analyse œnologique, un de microbiologie, enfin, un de physiopathologie de la vigne.
Dix salariés y travaillent, sans compter les stagiaires qui viennent de toutes les régions viticoles de « Gauloisie-viticole » : « Une équipe de spécialistes avec un ingénieur agricole, un ingénieur agronome, un œnologue, des biochimistes… Tous formés aux sciences de la vigne et du vin… Et toujours en éveil parce qu’ils participent à des groupes de travail, des colloques, et collaborent avec des équipes de recherche hors de Corse ».
 
Le centre s’intéresse à la fois aux terroirs, aux cépages, à la typification des vins et aux techniques de vinification. De quoi multiplier les essais expérimentaux, de la plantation de la vigne jusqu’à la production du vin lui-même : Autant de vins expérimentaux, qu’on ne trouve nulle part ailleurs et qui, soigneusement étiquetés, trônent dans des bouteilles alignées au sein d’un petit musée interne aménagé en sous-sol.
Car le Crvi réalise 80 mini-vinifications tous les ans, chacune permettant de produire une quinzaine de bouteilles. « Ces vins, reflet des expérimentation mises en place sur le terrain, sont ensuite analysés et dégustés ».
Quand ces essais se révèlent concluants, le Crvi peut en faire profiter les producteurs.
Inscrit au contrôle bois et plants de vigne, agréé par « Trans-agrimer », il a en effet le droit de diffuser des greffons : Ses 11,5 hectares de vignes mères de greffons lui permettent ainsi de distribuer les cépages auprès des pépiniéristes.
 
Le centre ne travaille pas en vase clos : Les vignerons y sont fortement impliqués. « Nous sommes une association loi 1901. Le conseil d’administration et l’assemblée générale sont exclusivement composées d’acteurs de la filière. »
Ainsi, les acteurs institutionnels comme la chambre d’agriculture, l’Odarc, la Safer ou encore le lycée agricole, sont représentés à l’assemblée générale, tout comme le monde coopératif – avec les quatre caves corses et les caves particulières – à travers Uva corse.
Et ce sont vingt vignerons, représentant toutes les AOP de Corse, qui constituent le conseil d’administration, présidé par une femme. Y siègent également les présidents des deux autres structures qui interviennent sur le vin en Corse, le conseil interprofessionnel des vins de Corse, et le GIAC (groupement intersyndical des appellations d’origine contrôlée de corse).
Et 70 % des essais sont en effet réalisés chez les producteurs qui n’hésitent pas à mettre une partie de leurs parcelles à la disposition du centre de recherche.
 
Depuis 2021, date de mise en œuvre du nouveau plan stratégique du Crvi, un fil directeur guide ces expérimentations : « L’idée, c’est de développer une véritable stratégie d’adaptation pour répondre à l’évolution climatique ». Pour y travailler, les chercheurs du Crvi peuvent jouer sur trois facteurs essentiels pour la vigne et le vin : Le contexte pédoclimatique, le matériel végétal et l’humain.
Le plan se décline en 33 actions, visant tout à la fois à mieux connaître les conditions de production, à faire en sorte de conserver le vivant – essentiel notamment pour maintenir la biodiversité – et à agir sur les pratiques de culture comme de vinification.
Au-delà de l’observation, différentes techniques sont expérimentées pour limiter les conséquences du dérèglement climatique.
Ainsi d’une action menée dans le domaine d’Alzipratu (Balagne), sur des plantations de Sciacarellu : « Un cépage extraordinaire, mais qui est très sensible au flétrissement… or le flétrissement augmente avec la sécheresse ».
Des filets d’ombrage, plus ou moins couvrants, à la taille tardive – qui décale la maturation des raisins – en passant par le paillage… « nous avons testé plusieurs leviers ».
Les caractéristiques d’anciens cépages retrouvés et assainis peuvent également contribuer à anticiper les dérèglements du climat : L’Uva biancona, récemment inscrite au catalogue, présente ainsi une maturité tardive très intéressante dans le cadre d’un réchauffement climatique.
 
Ces actions sur les cultures se combinent avec un travail sur la vinification : Chaleur et sécheresse peuvent modifier les caractéristiques des vins issus de certains cépages. L’assemblage avec d’autres vins, aux caractéristiques différentes, permet de corriger ces imperfections : Trop d’alcool, carence en acide notamment.
Ainsi, la biodiversité contribue-t-elle également à la résilience du vignoble.
La Corse semble bien dotée en la matière, et d’autant plus que, pour un même cépage, existent ce qu’on appelle des « clones », soigneusement répertoriés, qui sont en fait des individus ayant développé des caractéristiques spécifiques.
Le conservatoire du Crvi en compte 240 !
 
Si l’anticipation du changement climatique est au cœur des travaux du Crvi, le centre œuvre également pour répondre aux nouvelles attentes sociétales – par exemple pour la production de vins sans sulfites –, pour diversifier les produits – comme les fins mousseux de qualité réalisés avec des cépages rares, ou les vins oranges qui sont des vins blancs travaillés comme des rouges – et plus généralement pour améliorer la qualité – y compris dans le cadre de projets transversaux qui le conduisent à travailler avec d’autres filières agricoles, comme par exemple l’expérimentation de fûts de châtaigniers…
De quoi offrir au consommateur bien des plaisirs dans la dégustation de vins corses toujours plus inventifs.
C’est assez géant, finalement, qu’on pense à ma santé en préparant mes futures consommations à des lendemains plus ensoleillés encore…
 
En cette Pentecôte 2023 (à laquelle je n’avais aucune raison objective d’assister), je trouve passionnant que l’Esprit ne vienne pas qu’aux Apôtres mais aussi un peu aux vignerons… Corses !
Ça méritait bien un petit post défouloir dégoulinant d’optimisme.
 
Bien à vous toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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