Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 19 mai 2023

Règlement de comptes

Jean-Marc écrit à sa femme :
 
À toi, ma chère femme,
L’année dernière, j’ai essayé de te faire l’amour 365 fois.
J’ai réussi 36 fois, ce qui représente une moyenne d’une fois tous les 10 jours.
Ce qui suit est une liste des raisons qui font que je n’y suis pas parvenu plus souvent.
On va réveiller les enfants…34 fois
Il est trop tard…15 fois
Je suis trop fatiguée… 5 fois
Il est trop tôt… 52 fois
Il fait trop chaud…15 fois
Tu as fait semblant de dormir… 49 fois
Les voisins vont nous entendre… 9 fois
Tu as mal au dos… 2 fois
Tu as mal à la tête… 26 fois
Tu as un coup de soleil… 10 fois
Ma mère peut nous entendre… 36 fois
Je regarde la télé ce soir… 7 fois
J’ai mal partout…9 fois
Tu n’es pas d’humeur… 21 fois
Tu as été chez le coiffeur… 6 fois
Tu as tes règles… 14 fois
Tu dois aller aux toilettes… 19 fois
Les 36 fois où je suis parvenu à te faire l’amour, le résultat n’a pas été satisfaisant car :
6 fois tu t’es juste couchée et tu as fait la morte,
8 fois tu as entendu des craquements dans le grenier,
4 fois tu m’as dit de me dépêcher et d’en finir,
7 fois j’ai dû te réveiller pour te dire que j’avais fini,
et les autres fois, j’ai eu peur de t’avoir fait mal parce que j’ai senti que tu avais bougé…
 
Germaine répond à Jean-Marc :
 
À toi, mon cher mari,
Je pense que tu as commis quelques erreurs.
Voici les vraies raisons qui font que tu n’as pas eu ce que tu recherchais plus souvent…
Tu es rentré bourré et tu as essayé de baiser le chien… 7 fois
Tu n’es pas rentré à la maison du tout… 29 fois
Tu n’as pas réussi à éjaculer… 14 fois
Tu as éjaculé très (trop) tôt… 26 fois
Tu as éjaculé avant de me pénétrer… 18 fois
Tu as eu des crampes aux jambes… 9 fois
Tu travaillais trop tard… 52 fois
Tu as eu de l’urticaire, probablement attrapé sur un siège de toilettes… 21 fois
Tu t’es battu et tu as pris un coup de pied aux parties… 4 fois
Tu t’es coincé la chose dans ta braguette… 8 fois
Tu as pris froid, et ton nez coulait… 14 fois
Tu avais une esquille de bois sous la peau… 4 fois
Tu t’es emmêlé les pieds dans un fil et tu t’es éclaté le tibia… 8 fois
Tu étais tellement bourré que tu t’es couché dans le mauvais sens du lit, et a pris des coups de pied dans la figure en essayant d’embrasser mes pieds… 8 fois
Tu as oublié d’y penser en rentrant à la maison… 25 fois
Tu as éjaculé dans ton pyjama en lisant une revue porno… 8 fois
Quand je me suis couchée en faisant la morte, c’est que je faisais les draps.
D’autre part, je ne disais pas qu’il y avait des craquements dans le grenier, mais plutôt : « tu veux que je me mette sur le dos ou à genou ? »
La fois où je t’ai demandé de te dépêcher, c’est parce que tu avais pété et que j’étais pressée de respirer.
Et pour les autres fois, il faut que tu saches qu’il y a six mois, j’ai appelé les alcooliques anonymes pour toi, et un de leurs représentants passe tous les après-midi quand tu n’es pas là.
 
Les « tue-l’amour » recensés par Jean-Marc :
 
― Es-tu dedans, je ne sens rien?
 
― Faut-il que je paie pour ça?
 
― Sais-tu que tu es pas mal dans le noir?
 
― Hé ! Ma mère porte le même soutien-gorge !
 
― Vite ! Mon fim commence bientôt !
 
― Wow ! Ce sont des vrais ?!
 
― Tu me fais penser à ta sœur.
 
― Certain que tu as déjà fait l’amour auparavant ?
 
― Tu me fais penser à ton frère.
 
― Hé ! Ta mère est vraiment pas mal. Bien roulée.
 
― Moi, j’aime pas avoir un homme dans mon lit le matin.
 
― Ah Je le savais bien que tu portais un soutien-gorge rembourré…
 
― J’espère que ça ne te dérange pas, je garde mes bottes.
 
― Non, non, ça va, ne t’inquiète pas, j’en ai déjà vu des petites.
 
― Pauvre fille, mes seins sont plus gros que les tiens.
 
― Mais tu saignes !!!
― Ça ne te dérange pas si je dis à mes copines que tu éjacules en deux minutes ?
 
― Tu ne transpires pas beaucoup pour un gros.
 
Jean-Marc raconte à Jean-Paul, un soir assis dCevant une bière :
(Par exception et pour information, ceci n’est pas une blague).
« ― Connais-tu vous l’origine du mot croque-mort ?
― Pas vraiment. C’est le type qui vérifie que tu es bien mort en te mordant ?
― C’est exact.
La recherche dans les textes en vieux francilien-natif permet de trouver la réponse.
Dans les temps anciens, pour s’assurer qu’une personne était bien décédée, l’usage voulait que la personne en charge de cette vérification, le croque-mort, morde violemment un des doigts de pied de la victime (en général un pouce, le gros orteil).
Si rien ne se passait, l’issue était fatale et la mise en terre inéluctable.
Cette fonction de croque-mort, qui était une vraie charge, (comme les bourreaux), se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps.
Or, il arriva une 1ère catastrophe : Le dernier croque-mort, bien qu’ayant eu de nombreux enfants, n’eut aucun garçon.
Sa fille aînée reprit donc sa charge, après réunion et aval favorable du conseil des sages compétents dans ce type de question.
Seconde surprise, la première victime qu’elle a eu à traiter avait une grave maladie, qui l’avait conduite à être amputée des 2 pieds…
Pire encore, la gangrène l’avait en partie gagnée et on lui avait coupé les 2 jambes jusqu’à la hauteur des cuisses.
La jeune fille examina la situation… et mordit donc avec précautions le premier membre inférieur qu’elle put trouver…
Ce fut à cette époque et dans ces circonstances, très précisément, qu’on passa de l’expression « croque-mort » à… « pompe funèbre » ! »
 
Jean-Marc offre le restaurant à Germaine pour fêter leur dixième anniversaire de mariage.
Alors que le serveur s’approche pour leur remettre les menus, Germainee lorgne le contenu des assiettes sur les tables voisines pour trouver l’inspiration.
Tout à coup, elle donne un petit coup de pied discret à son mari :
« Chéri, retourne-toi et regarde. Je crois que c’est Victor Hugo à la table à côté… »
Jean-Marc se retourne machinalement et répond d’un air consterné :
« Chérie, Victor Hugo est mort depuis longtemps. »
Germaine est en proie au doute réplique :
« Tu es sûr ? »
Et quelques secondes plus tard, elle donne un autre coup de pied à son mari :
« Non, regarde… Il a bougé ! »
 
Germaine et Marie-Chantal philosophent devant une tasse de thé.
« Tu sais, les hommes c’est comme les grenouilles : ça ne pense qu’à sauter. »
 
C’est l’histoire d’un borgne qui traverse au feu rouge.
Il voit une belle fille et lui fait un clin d’œil.
Il meurt écrasé.
 
Jean-Jacques rencontre Jean-Paul.
Ce dernier remarque que son ami ne semble pas aller très bien :
« ― Tu es tout pâle. Es-tu malade ?
― Épouvantable. Je ne dors plus.
― Qu’est-ce qui se passe ?
― Je ronfle, et mes ronflements m’empêchent de dormir.
― Il faut faire quelque chose…
― En effet. À partir de ce soir je vais dormir dans la chambre des invités. »
 
« ― Quel est le comble du mauvais goût pour un fantôme ?
Faire du mauvais esprit ! »
 
Deux copines d’université se rencontrent par hasard. Elles ne se sont pas vues depuis 3 ans.
« ― Germaine ! Comment vas-tu ?
― Pas si mal. Je viens de commencer dans un important cabinet d’ingénieurs. C’est intéressant. Des gros dossiers. Et toi ?
― Ben je travaille à la Défense. Ça roule.
― Et les hommes ?
― Je cherche toujours l’homme idéal, et je te jure que ce n’est pas facile.
― Moi, j’ai décidé de ne pas prendre le problème différemment. Je me suis mariée à un crétin, et je cherche toujours l’homme idéal. »
 
« ― Le comble du mauvais goût pour un vampire ?
― Faire du mauvais sang ! »
 
Marie-Chantal devisant avec Germaine, devant une tasse de thé :
« Ma femme de ménage est un vrai bijou.
Elle est tellement honnête que rien n’a disparu depuis qu’elle travaille chez moi.
Pas même un grain de poussière. »
 
« ― Quel est le cosmonaute le plus malchanceux d’URSS ?
― Ch’ais pas !
― Youri Gagarine !
― Bé non… son vol a été réussi.
― Tu parles, il s’échappe de l’attraction terrestre, fait le tour de la planète et c’est pour retomber en Russie ! »
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire