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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 10 mai 2023

Quel épisode !

Tout le monde l’aura vue…
 
C’était vers la fin du début de la cérémonie du couronnement de « C 3 » en l’abbaye de Westminster : Une inquiétante silhouette a été filmée à ses dépens.
Ça aura duré à peine une poignée de secondes, mais retransmises en mondovision !
 
Pour l’essentiel, la cérémonie a été conforme à ce que l’on en attendait, fidèle à la tradition de la monarchie britannique et sans surprise de taille.
Sauf que là, il y a eu une succession de surprises.
D’abord le roy qui part trop tôt de Buckingham-Palace, ou dont le lourd carrosse va trop vite, tel qu’il est obligé t’attendre 5 bonnes minutes enfermé à l’intérieur avant de se décider à se bouger le kul, manifestement déjà contrarié.
En réalité, on attendait son aîné, le prince de Galles qui a eu du mal à arriver avant son père au bras de sa charmante épouse (la sœur… Pilpa, dont je ne vous raconte même pas la « chute de rein »).
Bref, l’ordre d’arrivée est inversé dans la précipitation, ce qui a agacé le roy qui garde toujours sa tête à claque.
 
Et puis c’est ce détail fugitif mais très étrange filmé par les caméras de la télé britannique qui tourne en boucle sur les réseaux sociaux. Repérée par des téléspectateurs attentifs malgré la brièveté de son passage, une silhouette sombre apparaît dans l’encadrement de la porte de Westminster, juste après l’entrée des gardes. Et, sans doute par l’effet d’un jeu de formes et de lumière, c’est une figure lugubre qui semble se dessiner à contre-jour : Celle de la grande faucheuse, encapuchonnée et munie de son sinistre instrument de travail !
Rien de moins…
 
Certains sujets de Sa Majesté, un peu superstitieux, n’ont pas manqué de voir dans cette apparition un funeste présage.
J’en rigole encore : Il y a eu tellement de choses qui se sont passées sans que personne ne les relève, si vous saviez…
Personnellement, j’étais « bien placé » pour en faire l’inventaire que je dois vous resservir à l’occasion du roman d’été 2024 (« La tête dans les étoiles® ». Celui de l’été 2023, « Menaces de chaos® » ayant reçu son « bon à tirer » et j’en attends les premières épreuves pour vous l’annoncer) et je n’étais pas le seul à le faire, figurez-vous.
Un bataillon de scénaristes de chez EON étaient également sur place avec quelques caméras et des drones autorisés dans le ciel en plus de ceux des bobbies et des services du ministère de l’intérieur, les SIS : C’est qu’il fallait des images des 80 « hauts-personnages » qui auront fait le déplacement.
S’il y avait de la tête couronnée dans le quartier et des milliers et des milliers de badauds, fans de la couronne dans les rues de la capitale de l’empire britannique, il fallait pouvoir réutiliser tous les rushs.
Plus une poignée de républicain… mais trois fois rien.
 
Le lendemain, je reçois un message des gros bras de Miss Brocolis, la patronne des « James Bond » !
Le prochain opus tournera autour de ce couronnement et comment l’agent 007 aura pu éviter le pire pour tous « ces messieurs-dames » venus parfois de très loin pour participer à la fête (et baffrer de la royale quiche végan !), elle ne veut pas que je lui pique l’idée.
C’est que 007 c’est l’antithèse de « Charlotte ». L’un est « bagarreur » et ses films aiment bien être parsemés d’explosions et de poursuites infernales avec « grands fracas » dans des décors de préférence somptueux.
Alors que « Charlotte », il fait tout dans la discrétion plutôt que dans le « m’as-t- vu » et fait fonctionner ses neurones plutôt que son pétard !
En bref, il « fait faire » au lieu « de faire » lui-même.
C’est plus élaboré.
 
L’échange de messages devenait houleux et au lieu de me proposer d’écrire la trame du prochain 007 à partir de ce que nous avions pu tous voir… entre les lignes…, les meks de la Miss ont préféré me menacer.
Finalement, je leur ai laissé la primeur : Je ne sortirai mon opus au plus tôt qu’à l’été 2024. À eux d’en profiter pour tourner leur film durant les 12 mois qui vont suivre.
Mais à chacun sa version et je pense savoir que la mienne sera plus proche de ce qui s’est réellement passé et que vous n’avez pas vu, parce que vous ne deviez pas le voir.
Alors que la sienne sera probablement plus spectaculaire en tordant un peu le cou à la réalité historique.
Peu importe.
 
Peu importe parce que j’irai au-delà : Une partie du spectacle était dans les rues de « Paris-sur-la-Seine », désertées par le public. On aurait dit les Champs Élysées, sous la pluie, un 11 novembre des années d’occupation !
Que des flics et des officiels partout, un désert au-delà, les touristes éloignés de tout et aucune ferveur populaire et pas une seule tête couronnée !
Que des ambassadeurs vaguement parqués dans un coin à se faire caguer.
Les Champs étaient occupés uniquement par une armée de képis et de bérets d’occupation venue flatter le drapeau tricolore…
« Jupiter » a déjà démissionné du peuple et personne ne le sait encore.
Ça me changeait de la ferveur londonienne et des hectolitres de bière mis en perce jusque dans les squares !
 
« Jupiter » a filé (à l’anglaise) en banlieue de Lugdunum pendant que je me rendais à Moscou par des chemins détournés avec la complicité de mes « potes-popovs », trop vieux pour être mobilisés.
Les autres se planquent, sont exilés, ou sont déjà mobilisés…
Sur la Place Rouge, en réalité à côté, les quelques dictateurs encore en exercice (5 ou 6, pas plus) attendaient une vague de drones… Bé même pas !
Là encore, une haute densité d’uniformes et de « médailles-au-vent », quelques troupes à pied et un peu de matériel roulant.
Alors qu’à Londres la RAF avait fait son show au-dessus du Mall, à « Paris-sur-la-plage », rien que des aéronefs de la flicaille, et à Moscou, rien.
Mais partout des snipers et des guetteurs sur les toits : Quelle époque !
 
Une apparition au balcon du bal des cocus nouvellement couronnés à Buckingham (parce que bon, autant le roi que la reine « qu’on sort », sont des cocus qui ont pondu des gamins avec d’autres), autant rien à « Paris-sur-la-Seine », même pas une remise de médaille (ou alors je l’ai loupée) et à Moscou, une allocution de 10 minutes dont une de silence pour dire que la Russie était entrée en guerre contre l’Occident ravagé du neurone et qu’elle allait la gagner.
Mais sans être étouffé par l’enthousiasme des vainqueurs putatifs…
C’est qu’au même moment, le patron des Wagner accusait, ailleurs et n’étant pas prévenu je n’y étais pas (de toute façon je ne supporte pas vraiment cette face de rat), en faisant son numéro de charme tentant une dernière manœuvre pour avoir la tête de « Choïgour », le « sinistre-pote » de « Poux-tine » de ses armées…
C’est que ça va mal pour eux du côté de l’Est de l’Ukraine où même les « affreux » refusent de se battre sans munitions et ceux qui les ont, filent avec vers l’arrière à la première occasion.
Quand je vous dis que la contre-offensive de Kiev a commencé, ce n’est pas quelques drones qui vont arrêter « l’épuration du moral des troupes russes »…
 
Il faut aussi dire que « Poux-tine » aura perdu son « missile invincible », abattu par un vulgaire Patriot des années 90 et qu’on attend toujours la vague de 300 m de haut qui doit réduire la Perfide-Albion à l’état d’un vaste marécage de ruines diverses !
Quelle époque, mais quelle époque…
Mais ça ne l’empêche pas de faire son discours sur la « guerre patriotique », qu’il étend désormais et depuis quelques temps, à tout l’Occident.
Vous ne saviez peut-être pas parce que vous n’étiez pas encore né(e)s, moâ non plus d’ailleurs, mais moâ je me souviens tout de même que cette « guerre patriotique » n’aurait jamais eu lieu s’il n’y avait pas eu le fameux pacte Ribbentrop-Molotov.
 
Ce pacte à peine signé le 23 août 1939, Hitler envahit la Pologne, le 1er septembre. La « Gauloisie-éternelle » et la « Perdie-Albion » entraient alors en guerre.
Quelques mois plus tard, le 30 novembre 1939, Staline attaquait la petite et vaillante Finlande pour tenter de l’annexer et se prendre la première déculottée de l’Armée Rouge entre les dents.
Rappelons que soixante parlementaires communistes « Gauloisiens », qui avaient refusé de condamner le pacte germano-soviétique, furent déchus de leur mandat en janvier 1940.
Que dans les usines tricolores d’armement, une partie non négligeable des syndicalistes communistes opèrent des sabotages, certains seront même fusillés.
Des communistes désertent de l’armée « Gauloisienne » pour fuir en URSS où la soupe est meilleure.
Le plus célèbre fut Maurice Thorez, secrétaire général du PCF, que de Gaulle fera revenir de Moscou, à la fin 1944, pour des raisons de politique, compte tenu du poids des communistes dans la résistance intérieure.
 
Par conséquent, et c’est dans les livres d’Histoire, lorsque la Russie soviétique (à présent néo-soviétique) célèbre sa « grande victoire patriotique », elle « oublie » les horreurs staliniennes et sa collusion avec les nazis durant près de deux ans de guerre contre mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rendait si mal…), de septembre 1939 à juin 1941, date à laquelle Hitler lança son opération Barbarossa sur la Russie.
Certes, l’URSS a payé un très lourd tribut durant cette Seconde Guerre mondiale (plus de vingt millions de morts, soixante-dix fois plus que les pertes « ricaines »).
Et nous, nous avons envoyé l’escadrille « Normandie-Niemen » combattre la Luftwaffe nazie depuis la base aérienne d’Ivanovo…
 
Mais la démocratie Outre-Atlantique ― quoi qu’on pense de ses nombreux travers ― n’avait pas, elle, été alliée avec les nazis ni n’avait été attaquée par eux : Ses fils sont pourtant venus mourir sur nos plages et nos campagnes, pour nous et pour la liberté.
Et l’on ne peut pas non plus passer sous silence le sort des nations « libérées » par l’URSS, durant le demi-siècle qui suivit la fin de la guerre, mais c’est un autre sujet.
Des faits qu’il faut pouvoir remettre en perspective à travers cette « opération militaire spéciale » en Ukraine qui aura d’ailleurs commencé exactement au même motif que celle de 1939 : Combattre l’épuration linguistique.
Dans le temps les minorités germanophones dans les Sudètes, maintenant les minorités russophones dans le Donbass.
Tout le monde connait la suite, même « Poux-tine »…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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