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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 12 mai 2023

Abréviations de Jean-Marc

Qui fait toujours ce qu’il lui plait en mai.
 
Son système d’identification des seins :
Seins parfaits : (o)(o)
Seins de silicone : ( * )( * ) ( + ) ( + ) ( $ )( $ )
Gros mamelons : (@)(@)
Grandeur 34 A : oo
Grandeur 38 D : ( O )( O )
Style Wonder Bra : (oYo)
Seins frileux : ( ^ )( ^ )
Débalancement : (o)(O)
Mamelons percés : (Q)(Q)
Mamelons pendants : (p)(p)
Morsure de vampire : (:o)(o)
Style grand-mère : o/o/
À plat contre la porte de douche : ( – )( – )
Égratigné (ouch) : (/)(o)
Troisième mamelon : (%)(o)
Style écrasé : (^o)(o)
Style Playboy : ( o Y o )
 
L’inspecteur d’école après avoir terminé sa visite demande :
« Personne n’a de question à me poser ? »
Jean-Marc, un élève, lève la main et demande :
« Quand partez-vous ? »
 
M. Ver de terre et sa femme rencontrent une de leurs amies.
« Tiens, où est donc votre mari ? » demande monsieur Ver.
« À la pêche ! » de répondre l’amie.
 
Question de Jean-Marc à Jean-Paul :
« ― Quelle est la différence entre Madonna et son livre ?
― Je ne vois pas : Ils ont le même sujet, non ?
― Non ! Il n’y en a pas : Ils ont tous les deux été tirés à 250.000 exemplaires. »
 
« ― Que se met Madonna derrière les oreilles pour attirer les hommes ?
― Ses genoux ! »
 
Deux vieilles filles vont acheter des bananes.
« Trois pour 1 euros » dit le marchand.
« Que ferons-nous avec la troisième ? » dit la première.
« On la mangera… » répond l’autre.
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur bière post-méridienne :
« ― Que font les Chinois avec les pelures de bananes ?
― Bé… euh…
― Ils font comme nous… Ils les jettent, banane ! »
 
Parlant du retour de l’ancien dans la mode avec une petite copine de son âge, une fillette de 11 ans fait remarquer :
« Tu sais, il paraît que maman a aussi porté des chaussures à talon compensé, à l’époque ! »
Sa petite sœur, 4 ans, intervient pour demander :
« C’est où, l’Époque ? »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« ― Comment appelle-t-on un Français qui vit en Alaska ?
― Je sais : Un con gelé ! »
 
Après l’avoir créé et installé au paradis terrestre, Dieu dit à Adam :
« ― Je vais concevoir pour toi une femme. Cette compagne sera pour toi, un complément dont tu ne pourras te passer. Elle t’accompagnera partout, fera ce que tu voudras et vous ferez l’amour, aussi souvent que tu en as envie.
― Combien cela me coûtera ? » lui demande Adam.
« Les yeux de la tête » répondit Dieu.
« Ouais, qu’est-ce que je pourrais avoir pour une côte flottante ? »
 
Jean-Marc confie à Jean-Paul, un de ses amis, dans un bar :
« ― Je vais te dire une chose, ma femme est très écœurée de moi.
― Mais pourquoi ? » lui demande Jean-Paul.
« ― Parce que très tôt, le matin, j’ai l’habitude de faire mes petits besoins… pas à 6 h 29, pas à 6 h 37, non, à six heures trente pile.
― Mais voyons, y’a rien là. T’es juste chanceux d’être d’un naturel aussi régulier. Ta femme n’a pas un mot à dire là-dessus. Pourquoi est-elle écœurée ?
― Parce que je me lève à sept heures ! ».
C’était une revenue, celle du « Chi » qui raconte que le matin, il suit toujours le même rituel : « Je fais pipi, après je fais caca et ensuite je me lève… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, pour fêter le dixième anniversaire de leur amitié décident de se partir en affaires et d’ouvrir un bordel le 10 du dixième mois, avec dix chambres et dix filles.
Par le recrutement, ils n’ont réussi à trouver que 9 filles.
Le premier dit à l’autre :
« Dans la dixième chambre, on n’a qu’à mettre une poupée gonflable. On s’en servira pour les gars chauds. Ils ne verront pas la différence. »
À la soirée d’ouverture, vers les 10 heures, arrive Jean-Pascal, un vieux copain de Jean-Paul, complèment rond et demande une chambre et une fille.
Les deux gars décident de lui donner la chambre numéro 10.
Dix minutes plus tard, Jean-Pascal revient dans le hall du bordel bien heureux. Nos deux compères sont bien curieux de savoir comment ça s’est passé.
Jean-Pascal leur dit :
« Quand je suis arrivé dans la chambre, j’ai commencé par lui caresser les cheveux, aucune réaction.
Elle bougeait pas.
Je lui fais une petite caresse sur la hanche, elle avait la peau bien tendue.
J’ai décidé de lui prendre une petite morsure sur la fesse.
Là, mes vieux, elle a réagi, pis pas à peu près : Elle t’a fait un saut d’une demi-mètre sur le lit.
Elle a fait trois fois le tour de la chambre à la course, pis elle a sacré son camp par la fenêtre. »
 
Dans un bar, Jean-Marc se fait passer pour un médecin devant une femme.
Ils finissent la soirée au lit.
Après avoir fait l’amour, la femme dit à Jean-Marc :
« Tu sais, je te crois lorsque tu dis que tu es médecin ! »
Jean-Marc la regarde avec un grand sourire et lui dit :
« Ah, vraiment, cela me fait plaisir ! »
Et la femme répond :
« Oui, je te crois, je peux même te dire que tu es anesthésiste car je n’ai absolument RIEN ressenti ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul se moquent d’eux-mêmes :
« ― Comment appelle-t-on un homme qui a perdu son intelligence ?
 Bé un veuf, forcément ! »
 
Une revue et corrigée :
Un jeune postulant pour un emploi dans un grand magasin à rayons est embauché.
Il se fait proposer par son coach de bien observer sa façon de faire pour être un bon vendeur.
Les deux employés sont accostés par un premier client qui leur demande des graines de gazon…
« Bien sûr ! » s’empresse de dire le coach au client, tout en faisant un clin d’œil à sa jeune recrue.
« ― En sac de 12 ou de 25 kilos ?
― 25 ! » dit le client.
« Voilà ! » dit le coach qui enchaine. « Une tondeuse avec ça ? »
« Pourquoi une tondeuse ? » demande le client.
« Les graines vont pousser, il va falloir couper le gazon…
― Je n’y avais pas pensé », s’écrit le client. « C’est d’accord, je l’achète ! »
Et le client quitte le magasin fier de lui. Le coach l’est tout autant.
La recrue, quant à elle, est très impressionnée.
Pour s’assurer que son élève a bien compris, il lui propose un deuxième essai.
Un deuxième client approche justement et demande un boyau d’arrosage…
« Bien sûr ! » dit le vendeur. « Un de 25 ou de 50 mètres ? »
« 50 ! » dit le client.
« Tenez ! » dit le vendeur. « Une tondeuse avec ça ? »
« Pourquoi une tondeuse ? » demande le client.
« Eh bien, le gazon va pousser… »
Le client dit : « J’la prends ! »
WOW ! pense alors la recrue, comment en ferais-je autant ?
« À ton tour » dit le superviseur à sa recrue, qui se faisait interpeller au même moment par un troisième client qui, pour rendre service à sa femme, voulait se procurer des serviettes hygiéniques.
« ― Certainement ! En boîte de 25 ou de 50 serviettes ?
― Euh… Je vais en prendre 50. C’est sûrement plus économique.
― Voilà ! » dit le jeune.
Et, voulant impressionner son maître, il lance au client :
« ― Une tondeuse avec ça ?
― Pourquoi une tondeuse ? » se demandait le client, intrigué par une telle demande.
« Eh bien, de toute façon, ta fin de semaine tombe à l’eau, alors, autant en profiter pour tondre la pelouse. »
Ça vaut l’histoire de Dumè et du Grand bazar d’Ajaccio qui reçoit un client venu pour un paquet de Tampax et qui repart avec tout l’attirail de pêche, bateau, remorque et Mercedes compris…
 
Toujours Jean-Marc et Jean-Paul, mais en début de soirée, devant une énième bière :
« ― Quelle est la différence entre une ceinture et une cravate ?
― C’est pas pareil !
― Mais encore ?
― Bé la ceinture sert à tenir les pantalons et la cravate indique la direction du terrain de jeu ! »
 
Ça se passe à l’école. La maîtresse demande à ses élèves : « Vous allez me dessiner la chose la plus excitante d’après-vous. »
L’un des enfants dessine une espèce de zig-zag.
« Qu’est-ce c’est ? » demande la maîtresse.
« ― Ça, c’est un éclair. Dans une tempête, j’ai vu un orage et c’est vraiment excitant ! »
― C’est vrai, c’est pas mal. »
Un autre petit gars dessine simplement un calendrier.
« Ah ! Mais je ne vois pas le rapport » dit la maîtresse.
« ― Oui, c’est une feuille de calendrier qui représente un mois.
― Mais je ne comprends pas. Il n’y a rien d’excitant là-dedans !
― C’est ce que vous pensez, madame. Ma sœur, elle, en a déjà passé deux et tout le monde est très excité dans la maison ! »
 
Jean-Marc arrive dans un bar et demande une bière.
Il en boit une gorgée et la remet sur le comptoir quand tout à coup un singe arrive sur le comptoir et fait ostensiblement pipi dans la bière.
Jean-Marc demande au serveur à qui est le singe ?
Ce dernier lui répond qu’il appartient au joueur de piano.
Alors Jean-Marc va voir le pianiste et lui demande :
« Vous savez, votre singe a fait pipi dans ma bière ! »
Le pianiste lui répond :
« Non, mais si vous me donnez l’air, je peux essayer de la jouer. »
 
La revanche :
« ― Pourquoi les femmes sifflent mieux que les hommes ?
― Parce qu’elles ont une cervelle d’oiseau. »
 
« Un homme c’est comme un vidéo.
Avance, recule, avance, recule, stop, éjecte. »
 
« Sais-tu quelle est la cause principale du cancer du pénis ? » demande Jean-Paul à son pote Jean-Marc.
« ― Aucune idée. Je ne savais même pas que ça existait…
― Le rouge à lèvres. »
 
Bon week-end à toutes et tous !
Attention, la semaine prochaine va être courte…
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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