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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 11 mai 2023

C’est mon « muet n° 1 » qui a la bonne réponse

Attaque de drones contre le Kremlin, les hypothèses
 
Avec le recul nécessaire, l’attaque par deux drones à 20 minutes d’intervalle quelques jours avant les festivités du « jour de gloire » de la « Sainte-Russie » sur les hordes nazies, avaient de quoi étonner.
Comment un pays soi-disant au summum de sa puissance militaire, avec ses ogives « invincibles » et ses armes sans équivalent dans le monde, peut-elle laisser passer des machines volantes à peine améliorées que celles qu’on trouve encore sur les étagères des rayons de la FNAC ?
 
Sitôt abattus, la question qui se posait sur toutes les lèvres était de savoir qui a envoyé deux drones sur le Kremlin ?
Et accessoirement, tout de suite après, que dit ce geste de l’évolution de la guerre en Ukraine ?
 
Pour tous, toute cette histoire est un mystère et pourrait bien le rester à jamais, à part bien sûr pour ceux qui en sont à l’origine.
Et pour tenter de comprendre, il peut donc être nécessaire de plonger dans les puits sans fond des différents raisonnements possibles, des logiques les saugrenus, pour en examiner toutes les possibilités.
Les responsables russes montrent bien entendu l’Ukraine du doigt et affirment que l’attaque est une tentative d’assassinat du président « Poux-tine » (qui n’était pas là…), ce qui donnerait à Moscou toute latitude pour répondre de « façon proportionnée », c’est-à-dire assassiner le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Trop rapide, trop cohérente entre les sources, trop évidente, pour être acceptable : Ils nous ont tellement habitué à mentir et se contredire, que ce n’est pas crédible.
 
Là, j’en rigolais déjà entre deux gorgeons de vodka : Pour certains observateurs, cette revendication (réfutée par les responsables ukrainiens, bien entendu) est une preuve que les attaques de drones ont pu être une « opération sous fausse bannière » concoctée par « Poux-tine » et ses sbires de façon à manquer « Poux-tine » (ou tout autre Russe) tout en leur donnant une excuse pour tuer Zelensky.
Remarquable de machiavélisme.
Et de souligner que « Poux-tine » n’en serait pas à sa première fausse bannière :
En 1999, juste après que le président « Bobo-Rice-El-tsine » l’a nommé « Premier sinistre », plusieurs bâtiments ont fait l’objet d’attaques à la bombe à Moscou et dans d'autres villes russes.
On a su beaucoup plus tard que les coupables étaient des agents de la police secrète russe qui voulaient exciter la colère populaire contre les terroristes musulmans, ce que fit précisément « Poux-tine » en utilisant ces attaques comme des excuses pour intensifier la guerre en Tchétchénie !
Cette opération, qui a souvent été comparée à l’incendie du Reichstag par les nazis, a facilité l’ascension du « Tsar » à la barre du Kremlin après le départ de « Bobo-Rice ».
Ça, c’est dans les livres d’Histoire…
 
Pour les drones de la semaine dernière cependant, la théorie de la fausse bannière me semble un peu exagérée : Qu’il en a fallu deux godets de vodka (polonaise, la russe monte aux cheveux…) pour que je m’en remette.
« Poux-tine » a déjà tenté de tuer Zelensky plusieurs fois. Il n’a aucunement besoin d’imaginer un nouveau prétexte pour recommencer ou redoubler de violence contre une quelconque autre cible en Ukraine : Il y arrive très bien tout seul !
Exit cette explication-là…
Donc on reformule la question différemment.
 
Ces drones ont pu être conçus pour perturber les esprits russes, pour les rendre nerveux vis-à-vis du maintien au pouvoir de « Poux-tine ».
Là encore, j’en éclate de rire à force de recueillir les avis de mes « potes Popovs », que j’ai osé les mélanges : Un glaçon mouillé au whisky écossais, cette fois-ci…
L’idée est que des drones s’écrasant contre le Kremlin créent l’impression que la guerre rend tous les Russes vulnérables, où qu’ils soient, y compris les principaux dirigeants de l’État et ça ne peut pas être une sensation agréable pour des gens qui attendent que leur chef leur garantisse au moins leur sécurité, y compris la sienne.
Admettons…
Dès lors, il serait possible que la mégalomanie de « Poux-tine » ait atteint de tels sommets qu’il en soit arrivé à penser que le seul fait d’être mis en danger par des tueurs ukrainiens déchaînerait le patriotisme du peuple russe et redoublerait son soutien à la guerre !
Ce n’est pas impossible, mais absolument rien n’indique que la guerre ait besoin d’un tel renouveau d’enthousiasme : Sa poigne absolue, son contrôle des médias nationaux, sa suppression de toutes les critiques et sa capacité à mobiliser des vagues infinies de nouvelles recrues semblent lui assurer tout le soutien dont il a besoin !
Trop drôle finalement…
D’autant que le problème de « Poux-tine », désormais, ce n’est pas les bras « désignés volontaires » pour se faire trouer le cuir, mais bien les machines et munitions qui manquent : La Russie ne produit, péniblement, que 20 chars par mois, là où l’Ukraine en détruit 150 dans le même intervalle.
Quant aux munitions, elles manquent même aux « Wagner », tels qu’ils font comme les autres : Ils laissent le terrain aux Ukrainiens dès qu’ils sont à sec.
On peut même rajouter que la Russie tire des missiles « invincibles » qui valent chacun une fortune pour des cibles sans importance stratégique et qui, parfois se font abattre par la DCA du niveau de l’ère soviétique…
Un gâchis !
Pour autant, qui sait comment fonctionne l’esprit de « Poux-tine » malade et affaibli comme jamais au point qu’il use d’un sosie pour son mini-discours du 9 mai à la « gloire de la Sainte-Russie » assaillie de partout ?
 
Alors, une autre possibilité : Les drones ont été envoyés par des rebelles russes, soit des citoyens ordinaires opposés à la guerre, soit des officiers militaires dissidents.
J’ai attaqué à ce moment-là ma réserve de Cognac pour varier les ivresses…
Car la plupart des citoyens opposés à la guerre, et à « Poux-tine », se sont exilés ou ont été jetés en prison, et quelques saboteurs aventureux ont pu rester pour faire autant de dégâts que possible, même si c’est loin d’être certain.
Car à Moscou, mes « petits-kamarades-potes-Popovs » rapportent qu’on murmure depuis longtemps que de nombreux officiers se méfient de cette guerre, certains depuis le début, et de plus en plus à mesure que son cours catastrophique tue ou mutile tant de leurs soldats les plus brillants et gâche le fruit de vingt années de réformes militaires.
Si l’un de ces groupes voulait affaiblir le « Tsar », montrer la porosité du ciel au-dessus du Kremlin, ce serait une bonne stratégie.
Bé voyons !!!
 
Quand on en a fini d’en rire, il ne reste plus que l’accusation du Kremlin : Ce serait l’Ukraine, la responsable.
Si c’est vrai, il est peu probable que les tirs étaient supposés tuer « Poux-tine ».
Pour commencer, il ne dort pas au Kremlin, et si cela avait été le cas cette nuit-là, ce ne sont pas deux drones faiblement chargés et programmés pour détonner en l’air qui auraient pu troubler son sommeil. Il aurait fallu un tapis de bombes, type B52 au Vietnam !
 
Mais comme pour la théorie des saboteurs de l’intérieur, les drones ont pu être conçus pour perturber les esprits russes, pour les rendre nerveux vis-à-vis du maintien au pouvoir de « Poux-tine ».
Dans ce sens, l’attaque peut avoir ciblé deux types de Russes : Les citoyens ordinaires dont les fils et les maris ont été transformés en chair à canon pour la guerre de « Poux-tine », et l’élite, qui constate désormais que « Poux-tine » ne peut pas se protéger totalement lui-même, et par conséquent encore moins étendre son voile protecteur sur leurs propres vies et leurs fortunes.
Autrement dit, c’est dans tous les cas une « opérations de communication ».
C’est ce qui ressort des vapeurs d’alcool quand je suis parti à la recherche de ma bouteille de Calvados…
 
Et alors, est-il techniquement possible que ce soit l’Ukraine qui ait lancé cette attaque ?
Quatre-cent-trente kilomètres environ séparent la frontière russo-ukrainienne du centre de Moscou.
Donc oui, un drone pourrait aller aussi loin, surtout s’il n’est armé que d’une bombe relativement petite, comme cela semble avoir été le cas, et de faibles charges, ça aurait largement suffi si la cible n’était pas un Russe en particulier mais seulement de susciter la peur chez les Russes en général.
Avec un message : On peut aussi porter la guerre chez vous (contrairement à ce qu’en prétend le leader de Kiev).
« Il me semble que les dirigeants politiques de l’Ukraine font de leur mieux pour déstabiliser la situation politique intérieure russe. »
Probablement, oui…
 
C’est que le président américain et d’autres alliés occidentaux insistent pour que l’Ukraine n’utilise pas d’armes américaines ou de l’Otan pour frapper des cibles à l’intérieur de la Russie, de peur de franchir une des « lignes rouges » de « Poux-tine » et de voir dégénérer la guerre.
Cette inquiétude est la principale raison pour laquelle « Baille-Dan » ne veut pas donner à l’Ukraine d’avions de combat F-16 ou de missiles ATACMS.
Par conséquent, « Poux-tine » à tort de croire que l’opération aurait été « télécommandée » depuis Washington qui fait faire ce qu’il veut à Kiev, d’après sa rhétorique du 9 (et antérieur…)
Quoi qu’il en soit, il semble que rien n’interdise aux Ukrainiens de frapper le territoire russe avec leurs propres armes…
Cela fait un moment qu’ils le font, d’ailleurs.
Ces derniers jours, certaines attaques ont presque certainement été du fait de l’Ukraine, contre des chemins de fer russes, des centrales électriques, des raffineries de pétrole et, surtout, contre un dépôt de pétrole en Crimée, que la Russie considère évidemment comme territoire russe à part entière.
 
Un spécialiste des relations entre civils et militaires et chercheur invité au Conseil européen des relations internationales, est plus convaincant parmi ceux qui pensent que c’est l'Ukraine qui a lancé les drones ou qui, en tout cas, trouvent cette théorie plus crédible que les autres : « Il me semble que les dirigeants politiques de l’Ukraine font de leur mieux pour déstabiliser la situation politique intérieure russe », explique-t-il dans une interview accordée à Meduza, un des principaux journaux en ligne publiés par des Russes en exil (donc sujette à caution).
L’attaque, dit-il, « est une nouvelle illustration du fait que (…) Poutine est en train de perdre ».
Cela « fait peur aux gens (…) (de voir) que Moscou et le Kremlin ne sont pas à l’abri, qu’il y a encore quelque chose qui cloche ».
Quelque chose… hilarant !
Ce sont plusieurs choses qui clochent : Ça fait plus d’un an que l’Ukraine aurait dû être annexée, référendum de réunification entériné et que les armes auraient dû se taire.
Et on n’y est toujours pas : On attendait l’estocade des russes après le dégel, on en est à compter les jours de printemps de la contre-offensive des ukrainiens…
C’est dire si tout cela « cloche ».
 
Et puis la lumière est venue une fois de plus grâce à un glaçon noyé dans un verre de Cointreau (sortant lui-même du congélateur).
Mon « Muet n° 1 » suggère qu’en réalité, ce qui était visé ce n’était que le drapeau russe qui flottait sur le sommet de la coupole du Sénat du Kremlin.
Bé oui, logique : Une chambre haute à la botte, ça ne devrait pas avoir droit à ce symbole pour rester coincée dans les bas-fonds de la gadoue politique locale.
Et que donc les « Popovs-récalcitrants » se sont montés une petite opération assez facile pour faire tomber ce symbole : On a bien nos « Black-Block », nos « gilets-jaunes », nos « Bonnets-rouges », nos « Insoumis » qui parlent de guillotine (symboliquement en disent-ils…) et nos « Groupe Union Défense » qui paradent en cagoule noire sur les boulevards, mes « kamarades-moscovites » peuvent avoir leurs propres clowns, non ?
 
On n’en saura pas plus. Mais avouez que la séquence aura été éblouissante : L’UK couronnait dans le faste son nouveau souverain à la face du monde, « Jupiter » se prolongeait tout seul entouré de la troupe sur les champs désertés, « Poux-tine » se trainait au fond de son lit de douleur à se faire remplacer par un sosie de peur de se faire étriper par un drone, « Xi-Ping-pong » s’énervait qu’on puisse prendre des sanctions contre quelques entreprises de son cru, « Kim-tout-fou » vidait dans la solitude de son palais quelques boutanches pour ne pas me laisser seul à le faire, alors que les britanniques vidaient leur vessie pleine de bière n’importe où en ville puisqu’il n’y a plus de toilettes publiques…
Quelle insoutenable légèreté de notre époque, finalement.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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