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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 5 mai 2023

En mai, Jean-Marc fait ce qu’il lui plaît !

Il rencontre Jean-Patrick
 
Tous les deux discutent :
« ― Je vois que ça va mieux avec ta femme !
― Qu’est-ce que tu dis là ? C’est de pire en pire !
― Ben… Je vous ai vu, hier. Vous coupiez du bois ensemble pour la cheminée.
― Du bois ? Ouais… On partageait les meubles ! »
 
« Savez-vous comment fait-on pour savoir la vraie nature de son patron ?
Lorsque le patron est dans son bureau, on fait entrer un chat avec lui dans le bureau.
Si le patron sort c’est parce que c’est un rat, si le chat sort c’est parce que le patron est un chien. »
 
C’est un petit gars qui demande à sa mère :
« ― Maman, quand je suis venu au monde, qui m’a donné mon intelligence ?
― C’est sûrement ton père », répond la mère. « Car moi, j’ai encore la mienne. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul se croisent dans la rue.
L’un d’eux dit à l’autre :
« ― T’as pas mis de caleçons aujourd’hui ?
― Comment le sais-tu ?
― T’as pas mis de pantalon non plus… »
 
Jean-Marc raconte :
« Un jour j’ai dit à ma femme que je voulais me présenter en politique et elle m’a dit : « Es-tu fou ? »
Alors j’ai décidé de consulter un psychiatre pour en avoir le cœur net.
Pendant une heure et demie, j’ai été questionné par ce docteur et il m’a confirmé après l’examen que j’étais le candidat idéal, et il dit : « Voici les raisons :
1 - Vous ne savez pas ce que vous dites.
2 - Quand vous parlez ça ne veut rien dire.
3 - Après avoir parlé, vous ne vous souvenez pas de ce que vous avez dit. »
 
Les devinettes de Jean-Marc et de Jean-Paul, tous les deux assis en terrasse chacun devant une bière :
« ― Pourquoi les femmes ne veulent-elles plus se marier ?
― Elles préfèrent sûrement avoir du bacon dans le frigo plutôt qu’un gros porc dans le salon. »
 
C’est l’histoire d’une belle fille, avec toutes les belles rondeurs aux bons endroits.
Elle va se confesser et le curé ne peut s’empêcher de regarder ses formes et il en est tout émoustillé, il transpire, devient tout rouge et regrette profondément de ne pas avoir fait un autre métier.
Une fois la confession terminée, il est pris de remords, va devant la croix et commence à prier :
« Seigneur pardonnez-moi, j’ai eu des mauvaises pensées.
Mais franchement, regardez cette fille avec les longs cheveux.
Regardez ses formes généreuses, vous n’auriez pas envie de vous blottir sur sa poitrine ?
De découvrir ses formes avec des caresses ?
De sentir ses lèvres sur votre peau ? »
À ce moment la statue se met à s’agiter et dit :
« Mais détaches-moi ! Mais détaches-moi ! »
 
Un employé de la voirie annonce à son contremaître qu’il a cassé son manche de pelle et il lui demande quoi faire.
« Je ne sais pas, je vais demander au contre-maître. »
Il appelle le contre-maître et ce dernier lui répond :
« Je ne sais quoi faire, je vais appeler au chef de chantier. »
Il appelle et le chef de chantier, et il lui répond :
« Prenez une pause-café, je vais convoquer un comité de direction ».
 
Le nouveau vicaire qui est à ses premières confessions dans une paroisse.
Une jeune fille s’accuse d’avoir fait une fellation à son ami.
Le vicaire embêté se demande quelle pénitence donner dans ce cas, il demande à la jeune fille de patienter un instant, il sort du confessionnal et va voir le vieux curé et lui dit :
« ― Combien donnez-vous à une fille pour une fellation ?
― Moi ? Je donne 20,00 €… »
 
Une vieille de chez les vieilles revenues :
« Lorsque je nais, je suis noir.
Lorsque je grandis, je suis noir.
Lorsque je suis malade, je suis noir.
Lorsque j’ai froid, je suis noir.
Lorsque j’ai peur, je suis noir.
Lorsque je vais au soleil, je suis noir.
Et lorsque je meurs, je suis et je reste noir.
Toi, homme blanc, tu nais, tu es rose.
Tu grandis, tu es pêche.
Tu es malade, tu es vert.
Tu as froid tu es bleu.
Tu as peur, tu es blanc.
Tu vas au soleil, tu es rouge.
Et lorsque tu meurs, tu es mauve.
Et tu oses me dire que je suis un homme de couleur… »
Dans l’originale, elle était adressée à Jean-Marie Le Pen et elle finissait par l’homme noir…
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une nouvelle bière :
« ― Sais-tu comment on appelle une Lada avec un toit ouvrant ?
― Oui : Une poubelle ! »
 
Un ingénieur, un physicien et un mathématicien assistent à une conférence aux États-Unis.
Ayant peu d’argent, ils descendent dans un hôtel miteux.
Dans leur chambre miteuse, se trouve un lit miteux et une télévision non moins miteuse.
C’est tellement miteux qu’il n’y a même pas de gicleur pour les incendies.
À côté de la baignoire, miteuse, il y a un sceau et les inscriptions suivantes : « En cas d’incendie, prendre le sceau, le remplir à l’aide de l’eau de la baignoire et jeter l’eau sur le feu -la direction-. »
Dans la nuit, le physicien se réveille, il y a plein de fumée dans sa chambre, son téléviseur miteux est en feu.
Il se lève, remplit le sceau et jette toute l’eau sur le feu.
Résultat, il y a de l’eau partout, mais le feu est éteint, il peut retourner se coucher.
Même chose dans la chambre de l’ingénieur : Son téléviseur tout aussi miteux flambe.
Il sort son calepin et son crayon, effectue quelques calculs, met la quantité d’eau nécessaire dans le sceau, puis jette l’eau sur le téléviseur miteux.
Résultat, le feu est éteint et il n’y a pas d’eau sur le plancher, il retourne se coucher.
Même chose chez le mathématicien.
Il analyse la situation, il regarde le feu, puis il regarde le sceau à côté du bain.
Il se dit : « Il existe une solution à ce problème. Je trouverai bien. »
Puis il retourne se coucher dans son lite miteux.
 
Trois petits garçons, sur le toit d’un édifice, regardent, sur la rue, une Corvette et une Cadillac stationnées. Le premier dit :
« ― J’aimerais être tout en or, je prendrais mon petit doigt pour acheter la corvette en bas.
― Moi », dit le deuxième, « j’aimerais être tout en argent, je prendrais mon pouce et j’achèterais la Cadillac.
― Moi », dit le troisième, « j’aimerais être tout frisé…
― Tu es malade le poil, ça ne vaut rien !
― Ma sœur en a juste un petit rond de poils frisés entre les jambes et la Corvette et la Cadillac lui appartiennent. »
 
Un homme de 80 ans se rend à la maternité.
Sa jeune épouse de 30 ans vient d’accoucher. L’infirmière le félicite mais s’étonne :
« À votre âge, comment avez-vous fait ? »
Fier de lui, il répond :
« Vous savez, la bonne mécanique, c’est increvable. Il suffit de faire tourner le moteur de temps en temps pour qu’il ne se grippe pas. »
L’année suivante, le vieil homme et l’infirmière se rencontre à nouveau à l’hôpital pour un heureux événement.
Un autre enfant ! Se rappelant la naissance précédente, l’infirmière lance :
« Vous êtes vraiment étonnant, Monsieur. »
Comme l’année précédente, il répond :
« La bonne mécanique, c’est increvable. »
Et l’infirmière remarque :
« Peut-être mais vous devriez penser à la vidange d’huile parce que ce bébé-là, il est tout noir ! »
La secrétaire de Jean-Marc chine sur le boulevard.
Elle voit dans un comptoir vitré un thermos.
Ne sachant pas trop ce que c’était, elle décide donc de demander au vendeur.
Celui-ci lui explique que le thermos sert à conserver ce qui est froid, froid, et ce qui est chaud, chaud.
Tellement emballée, elle en achète un.
Le lendemain elle apporte son thermos à son travail et le met en évidence sur son bureau.
Lorsque Jean-Marc passe, il lui demande qu’est-ce que c’est.
Elle prend un malin plaisir à lui expliquer :
« Ça sert à conserver les aliments chauds, chauds, et ceux qui sont froids, froids. »
Alors Jean-Marc lui demande ce qu’elle avait mis dans son thermos.
Toute souriante elle s’exclama : « Une glace à la vanille et café chaud ! »
 
Une brune et une décolorée sont en 6ème année à l’école.
Laquelle a le plus beau corps ?
La décolorée, car elle a 18 ans.
 
Un vieil homme est sur son lit de mort.
Son fils est à son chevet.
Soudain, une délicieuse odeur de tarte aux pommes à la cannelle lui vient aux narines.
« ― Veux-tu aller m’en chercher un morceau, mon fils ?
― Bien sûr, papa ! »
Il se rend à la cuisine, puis revient vers son père les mains vides en disant :
« Maman a dit que la tarte c’est pour après l’enterrement. »
 
C’est l’heure de partir pour l’école.
Le petit-Jean-Marc traîne interminablement.
« Qu’est-ce que tu fais ? » lui demande sa mère.
« Je cherche mon sac d’école » répond Jean-Marc.
« Il est là ! » lui dit sa mère en lui montrant où est le sac d’école.
« Oh ! S’il te plaît, maman, laisse-moi le chercher encore un peu ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« ― Quelle est la différence entre une ampoule et une jolie fille ?
― Aucune idée !
― Une ampoule c’est une lumière, mais une jolie fille, c’est plus facile à brancher ! »
 
Une dame se promène à cheval dans le bois.
Elle croise un lapin.
« Bonjour ! » lui dit le lapin.
Après un moment de stupéfaction, la dame s’exclame :
« ― Je ne savais pas que les lapins pouvaient parler.
― Moi non plus », lui répond le cheval.
 
Toujours Jean-Marc et Jean-Paul :
« ― Sais-tu pourquoi ma femme m’a fait acheter une tondeuse à gazon électrique ?
― Pour ne pas polluer ?
― Non ! Pour retrouver son chemin ! »
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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