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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 25 mai 2023

Miracle « écolologique » !

La planète est sauvée !!!
 
Quand on y songe, il aura fallu 25 COP pour trouver la solution miracle et c’est à des « sachants-Gauloisiens » qu’on doit d’avoir trouvé la solution au « réchauffement global » de notre caillou commun !
Heureusement qu’ils existent, finalement !
L’humanité toute entière leur en sera éternellement reconnaissante, finalement.
 
Bon d’accord, l’essentiel est venu non pas d’un « X-Mines-ENÂ-Ponts » mais d’un simple diplômé de l’École supérieure d’électricité (qui a loupé l’ENS), néanmoins titulaire d’un DEA de mathématiques de Paris V. Et il aura suivi une formation en économie au Centre d’études des programmes économiques (CEPE).
D’accord aussi, le gars est commissaire général de « Trans-Stratégie », travaille au Commissariat général à la stratégie et à la prospective, professe la politique économique à « Sciences-Pô » et l’économie et de politiques publiques à l’Hertie School de Berlin.
Pas sorti de la cuisse de « Jupiter », mais c’est un « Strauβ-Khâgnien » (de chez « Déesse-Khâ ») et c’est tout de même un proche de notre « Jupiter » à nous.
Et pour ne rien gâcher, c’est le fils de son père, ancien préfet, ancien ministre de l’agriculture jusqu’en 1966, membre du Club de Rome et de sa mère, donc petit petit-fils de son aïeul arrière-petit-neveu de Jules Ferry et de l’ékole Publique obligatoire pour tous…
Bref, pas n’importe qui, puisqu’il aurait même tenu la plume de « Jupiter » pour abroger la taxe d’habitation (pas pour tous : J’en paye encore…) et l’ISF !
Vous allez voir comme c’est drôle.
 
Parce que bon, quand on pense au temps à chercher une solution au réchauffement climatique alors qu’elle était là sous nos yeux, à toutes ces nuits et ces mois d’angoisse (bien entretenus par des « fausses barbes hirsutes ») pour un problème qu’on peut finalement résoudre si facilement, j’en reste « baba » devant le génie qu’abrite mon pays !
On dit qu’en « Gauloisie », tous les drames se terminent par une chanson ! Eh bien c’est faux : À chaque problème, la solution est trouvée dans un impôt nouveau !
Tu plantes un problème (en général créé de toute pièce par un fonctionnaire) et au bout du bout tu récoltes un impôt (ou une taxe) nouveau.
Méthode infaillible : Augmenter les impôts, mais pas sur n’importe qui, seulement taxer les riches, hein, et ce sera justice bien administrée !
 
Le pays attendait avec une impatience grandissante, et sans le savoir, le rapport de « l’économiste » Jean Pisani-Ferry sur la transition écologique, remis ce lundi à « Lili-Bête-Borgne » (« première sinistre en exercice ») et il va non seulement permettre de sauver le pays, mais aussi servir d’exemple au reste du monde (forcément ravi !)
La « Gauloisie-impétueuse » est par conséquent devenu le seul pays au monde à avoir trouvé la solution au réchauffement climatique global.
Résumons : Le coût de la transition écologique va être gigantesque. Près de 70 milliards d’investissements annuels (on m’a dit 66, mais avec l’inflation…)
Là où ça devenait intéressant, c’est de savoir comment les financer.
Avec une méthode infaillible qui repose sur les deux mamelles de la politique : La dette et l’impôt sur la fortune !
La dette, bien sûr, il faut l’augmenter et comme elle sert à financer le sauvetage de la planète, elle ne doit pas nous inquiéter : Ce sont les « d’jeuns » qui paieront, puisque la dette finance leur avenir (même à ceux pas encore nés) !
Et puis mieux vaut vivre avec une dette encore plus abyssale et sauver la planète que mourir de chaleur ou inondé avec une dette et des dépenses publiques sous contrôle, n’est-ce pas ?
Sauf que comme on ne peut pas tout financer par de la dette (pourquoi ? si elle est si indolore ?), il suffit d’augmenter les impôts pour financer le reste.
Comme d’habitude.
Le niveau de prélèvements étant déjà tellement élevé, une couche de plus ne devrait pas faire la différence, voyons donc !
 
Oui, mais pas n’importe quel impôt. On pouvait se méfier avec l’arrière-petit-neveu…
On se souvient encore qu’il est l’instigateur de plusieurs mesures phares proposées par « Jupiter » dont le transfert partiel du revenu des retraités vers les salariés par le biais d’une augmentation de la CSG devant être compensée pour la plupart des salariés par une suppression des cotisations chômage et maladie.
Vous vous souvenez ? Les « vieux » ont été « d’jeuns ».
On les obligeait à cotiser sur la maladie, le chômage et les retraites.
Tant que les salaires rentraient, pas de problème : Après tout, c’est le consommateur qui paye tout ça dans les prix de la camelote qu’on lui refile tout au long de la vie, le bonus étant quand on peut exporter ladite camelote.
Sauf que ça revient finalement tellement cher qu’on n’exporte plus beaucoup et qu’au contraire on importe les charges sociales à la ramasse des pays d’Asie ou du Maghreb depuis des décennies…
Passons : Ils ne se sont pas encore réveillés sur le sujet !
Bé une fois que les « d’jeuns » deviennent vieux, le malin, il explique que la dette sociale (financée par la CSG inventée par « Roro-Card », PSU de gôche de la gôche-Soce), c’est à cause des ex-d’jeuns qui n’ont pas assez cotisé et qu’il faut donc les racketter une seconde fois tant qu’ils vivent encore assez longtemps…
Le pire c’est que l’arnaque a fonctionné à merveille : Tout le monde y est passé, mais les « actifs » ont bien reçu une ristourne sur leur charges salariales, pas les retraités !
 
Bon, là, il s’agit d’inventer un « impôt miracle ».
Un impôt sur les riches, tiens donc, ce ne serait, une fois de plus, que justice !
Oui mais pas sur les milliardaires et les super riches : Ils ne sont pas assez nombreux !
Non, un impôt sur seulement les 10 % de la population les « plus aisés ».
Les « ceux-ce » qui ne fréquentent pas les « restau-du-cœur ».
Ces salauds de riches sont coupables de tous les maux, figurez-vous.
Et quand ils ne le sont plus, ruinés par les prélèvements obligatoires, ils fréquentent enfin les « restau-du-cœur » comme tous les « sans dents » qui se respectent, tu diou !
Par ailleurs, comme leur patrimoine foncier est déjà taxé à l’IFI, il suffira de taxer le reste, leur patrimoine financier, celui qu’ils ont accumulé, évidemment de façon malhonnête, pendant toute leur vie.
Pan dans les dents !
 
Autrement dit, et c’est là que c’est très drôle, au moment où « Jupiter » énonce qu’il faut soutenir les « classes-moyennes », l’arrière-petit-neveu réinvente l’ISF (sans les œuvres d’art et les antiquités, naturellement…) alors même qu’il aura été un artisan de son abrogation (partielle).
Question : Et ça ne se coupe pas une jugulaire en se rasant le matin ?
Non je suis sûr qu’il se rase électrique à signature carbone élevée… tant qu’à faire !
Bref, moins de croissance, plus de dette, rétablissement de l’ISF.
Exactement le contraire de la ligne de « Jupiter » depuis 2017.
 
Et Jean Pisani-Ferry parle, pour bien vous persuader qu’il a forcément raison d’un endettement « légitime » (le ruban autour du paquet pour le rendre présentable) et une imposition « exceptionnelle des plus aisés » (appelée à durer… une fois de plus).
La « réorientation du progrès technique », la sobriété énergétique, et une coûteuse décarbonation nécessite « un accroissement des prélèvements obligatoires ».
Pour atteindre ses objectifs climatiques (fixé par les « sachants » après un vaste débat démocratique qui aura fait l’unanimité… entre eux !), mon pays doit mener une « révolution industrielle au grand galop », pilotée par les politiques publiques efficaces et financée notamment par un « prélèvement exceptionnel et temporaire » qui « pourrait être assis sur le patrimoine financier des ménages les plus aisés ».
Telle est la conclusion du rapport sur « les incidences économiques de l’action pour le climat ».
J’ai relu, pour être sûr de ne pas me tromper…
 
« L’arrière-petit-neveu » faisait partie en 2017 des principaux conseillers économiques de la campagne présidentielle de « Jupiter », qualifie cette mutation d’« indispensable » pour le climat mais aussi de « bonne chose » d’un point de vue économique, car les énergies renouvelables « nous surprennent par le fait que le progrès vient plus vite et que les coûts sont plus bas » qu’anticipé.
Pour atteindre en 2030 les objectifs de réduction les émissions de gaz à effet de serre (GES) de la « Gauloisie-déjà-la-plus-propre-d’Europe » de 47,5 % par rapport à 2005, comme l’indique un règlement européen du 19 avril, et viser ainsi la neutralité carbone en 2050, « il va nous falloir faire en dix ans ce que nous avons eu de la peine à faire en trente ans », nous assure-t-il.
 
Dans le détail, cette « accélération brutale » reposera sur trois mécanismes.
Le premier, la « réorientation du progrès technique vers des technologies vertes », jouera surtout à long terme, le temps que l’efficacité des énergies renouvelables dépasse celle des énergies fossiles, principales responsables des émissions de GES.
On n’est donc pas près d’en voir le début des effets…
À plus court terme, c’est-à-dire d’ici 2030, la sobriété, la réduction des consommations d’énergie qui ne découle pas de gains d’efficacité énergétique, comptera pour « environ 15 % » à la réduction des émissions.
Rien, des nèfles…
Bonne nouvelle, « la pratique du vélo ou le changement de mode alimentaire peuvent se faire sans dégradation du bien-être », note le rapport.
Personnellement, j’en doute : Partir « à la mer » (ou remonter les pierres des murets des cimetières de mes aïeux) à vélo, je ne suis pas certain que mon bien-être s’en ressentira mieux…
Mais la transformation « reposera principalement » à court terme sur « la substitution de capital aux énergies fossiles », estiment les auteurs du rapport, ce qui « traduit la nécessité d’investir pour (en) sortir et le fait que la production décarbonée est généralement plus intensive en capital ».
Autrement dit, ça va vous coûter plus cher que cher…
 
C’est le cas pour la production d’électricité nucléaire ou renouvelable, la rénovation des bâtiments (un immeuble neutre en énergie est plus coûteux à construire qu’un immeuble moins performant, là où on nous crie sur les toits qu’on n’en a pas assez : cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2023/05/les-sachants-me-font-doucement-rire.html), les transports individuels (avec le remplacement de véhicules thermiques par des véhicules électriques, actuellement plus coûteux à l’achat, mais dont le coût d’usage est plus faible, à condition de construire plus de centrales nucléaires, de renforcer le réseau de distribution et avoir des bornes de recharges accessibles un peu partout…) ou les transports collectifs (construction d’infrastructures, notamment ferroviaires).
Je m’en fous, j’ai vendu mon « veau diesel », à 5,5 L/100 à l’export et acheter une 7 L/100 à esssence… Mais avec la bonne pastille « Crit’air »…
 
Dans les dix ans à venir, cette décarbonation de l’économie « va appeler un supplément d’investissements d’ampleur », insiste le document pour mieux vous prévenir que la piqûre va être douloureuse.
Tous secteurs confondus, la facture est évaluée à « environ 66 milliards par an à l’horizon 2030, soit 2,3 points de PIB », par rapport à un scénario sans action climatique.
Et on va les trouver où au juste ?
Mes poches sont déjà vides avant même de se remplir avec tous les prélèvements « à la source » qu’on a inventé !
 
Cet effort d’investissement pour réduire voire éliminer la dépendance aux énergies fossiles ne sera récompensé qu’au bout de « dix ou vingt ans » pour les ménages et les entreprises.
Je serai mort et c’est à moâ qu’on demande des efforts ?
La transition, qui aura un effet positif à long terme, va donc d’abord « probablement induire un coût économique et social » d’ici 2030 (ce n’est pas que probable, c’est une certitude), et « se paiera temporairement d’un ralentissement de la productivité de l’ordre d’un quart de point de croissance en moins par an ».
Quelle hérésie !
On nous avait juré que la croissance serait formidable quand elle sera « verte » !
Demandez donc aux « écololos » : Ils ne juraient que par ça et le nombre d’emploi « verts » ainsi créés qu’on se demandait encore il y a peu pourquoi on n’avait pas commencé plus tôt, à l’occasion du dernier millénaire passé…
 
Sauf qu’avancer autant d’argent dans l’espoir – même fondé – de lendemains qui chantent ne va pas sans difficultés.
Pour les ménages, la transition est « spontanément inégalitaire », avertit le rapport. Je veux…
Même pour les classes moyennes, la rénovation du logement et le changement du vecteur de chauffage d’une part, l’acquisition d’un véhicule électrique en lieu et place d’un véhicule thermique d’autre part, appellent un investissement de l’ordre « d’une année de revenu ».
Plus que ça, je peux en témoigner…
Et puis à mon âge et avec toutes mes ALD, plus personne ne veut me prêter, même sur gage !
 
De sorte que « même si l’investissement est rentable, il n’est pas nécessairement finançable sans soutien public », et que le coût économique de la transition « ne sera politiquement et socialement accepté que s’il est équitablement réparti ».
Un langage de technocrate qui ne sait rien de la « vraie vie » des « sans-dents qui puent le diesel et la clope »…
Et ça a la prétention de conseiller ceux qui nous gouvernent ?
 
Par conséquent, pour soutenir les ménages et les entreprises, les finances publiques seront donc mises à l’épreuve : « Compte tenu des dépenses nouvelles comme de la baisse temporaire des recettes liée au ralentissement de la croissance, le risque sur la dette publique est de l’ordre de 10 points de PIB en 2030, 15 points en 2035, 25 points en 2040 », évalue le rapport.
Une paille…
On est très loin des « 2,3 points de PIB » annoncés ci-avant !
Et ceci même en supposant que les baisses de recettes liées à la fiscalité sur les combustibles fossiles soient compensées.
 
Comment financer la transition ? Bé déjà, avec 25 points de PIB en moins, il ne faut pas rêver : Personne n’y arrivera.
Mais on nous vend tout de même du rêve, du miracle, puisque le premier levier est « le redéploiement des dépenses et des dépenses fiscales » (l’Arlésienne de la Vème République depuis la loi de finances de 1959) défavorables à l’environnement.
Lesquelles s’élèvent en 2023 à un peu plus de 10 milliards d’euros, hors mesures exceptionnelles de protection des consommateurs contre les hausses de prix de l’énergie, « dont 6 milliards environ de dépenses fiscales brunes, essentiellement des détaxes de combustibles pour certaines professions ».
Et encore, ces subventions aux énergies fossiles sont calculées ici a minima, car la non-taxation du kérosène des jets-privés n’est pas prise en compte, mais celles du fioul de nos pêcheurs au grand-large, si…
 
Ensuite, les « outrecuidants » et néanmoins « sachants » estiment qu’on « ne doit pas exclure » le recours à l’endettement : « À partir du moment où on a un plan crédible, un rendement en face des investissements, on peut convaincre les agences de notation financière et les marchés du fait que cet endettement est légitime ».
Dans tes rêves, l’ami : Ça ne fonctionne pas comme ça.
Ceci dit, comme « tout miser sur l’endettement serait imprudent » et afin de « montrer que tout le monde participe à l’effort », « un accroissement des prélèvements obligatoires sera probablement nécessaire », avance le rapport.
Celui-ci « pourrait notamment prendre la forme d’un prélèvement exceptionnel, temporaire » (j’adore la formule…) et « être assis sur le patrimoine financier des ménages les plus aisés ».
Et le fat d’assurer qu’il ne s’agirait « pas d’un rétablissement de l’impôt sur la fortune ni de la fiscalité du capital ».
C’est comme le Canada-Dry qui n’en est pas, naturellement…
En précisant toutefois qu’à ses yeux, la proposition s’appliquerait aux 10 % des « Gauloisiens » « les plus riches ».
 
Autrement dit, il propose de réformer la fiscalité, mais pas vraiment, de revenir en arrière, mais pas vraiment, d’alourdir l’ardoise, mais pas vraiment, de plomber l’économie mais avec les félicitations des agences de notation.
« Tu es sûr qu’il est économiste, ce gars-là ? »
En tout cas il est payé avec nos impôts pour raconter des konneries, ça c’est sûr.
Dommage, pour avoir inventer « la » solution que tout le monde cherche depuis des décennies, alerté par les « écolologistes » subventionnés (et dopés) aux « impôts/subventions internationaux » et prendre le risque de détruire ce qui reste des ruines de nos économies, il aurait pu finir « prix Nobel »…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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