Ils me font bien rire…
Parce que c’est marqué « naturel », le gaz
serait « écololo ».
Plié de rire…
C’est un peu comme ma Grand-mère, (celle de mon « cimetière » même si j’en ai eu deux, cf. I-Cube (l'exilé): Aujourd’hui c’est l’ascension (flibustier20260.blogspot.com)) qui ne jurait que par la nourriture « saine » parce que « naturelle » à donner à ses petits-enfants et de na pas être capable de m’expliquer ce qu’était, au moins pour elle, de la nourriture « artificielle »…
Je veux bien qu’un légume qui aurait été transformée
n’est pas si « naturel » que ça, mais c’était juste un déport de sa propre
cuisine (avec ses recettes à elle… qui en valaient bien d’autres, notamment les
miennes, mais pas mieux).
C’est là qu’il faut se rappeler que le 6 juillet dernier (2022), alors que j’étais en Balagne (« Corsica-Bella-Tchi-tchi »), dans un élan de clairvoyance qui touche au comique époustouflant, le Parlement européen a décidé de labelliser « verte » ― ou au moins « de transition » ― la production d’électricité nucléaire tout comme la production à partir de gaz fossile.
Quoi ? Un gaz fossile, comme le charbon et l’anthracite qui devient « vert » ?
Quel joli rêve que voilà !
Le nucléaire encore, je veux bien : L’uranium n’est jamais qu’un minéral « naturel », à l’état natif, juste un peu enrichi en usine, mais le gaz, c’est tout de même une « méthanisation » de déchets organiques…
Mais le Parlement européen, altruiste et sûr de ses
compétences scientifiques, l’aura voté ainsi.
Donc, et à partir de désormais, la production d’électricité dans les centrales nucléaires et dans les centrales à gaz ― sous certaines conditions tout de même ― sera désormais considérée comme « verte ».
« Naturelle », quoi !
Pusiqu’on vous dit que c’était marqué dessus…
Enfin… plus exactement « vert de transition ». N’exagérons pas tout de même…
Certes de quoi permettre des investissements dans ces
deux filières tout en restant dans le cadre de l’objectif de
neutralité carbone décrété par l’Union
européenne (UE) pour 2050.
Parce que c’est bien de cela qu’il s’agit (et non pas
des recettes du cuisine de ma grand-mère).
De « neutralité carbone » rien de plus.
Et c’est là que je suis pris d’un fou-rire entre deux apéros-matinaux au bar de la plage quand je lis ça dans le « canard-local ».
Et puis je suis rentré sur le continent après avoir essuyé un « ouragan du siècle » et au-delà des arguments dogmatiques, j’ai essayé de comprendre.
Pour ce qui est du nucléaire d’abord. Rappelons qu’en
2021, le Centre commun de recherche, le laboratoire de recherche scientifique
et technique de l’Union européenne, avait publié un rapport qui concluait qu’il
« n’existe
aucune preuve scientifique que l’énergie nucléaire nuit
davantage à la santé humaine ou à l’environnement
que d’autres technologies de production d’électricité déjà incluses dans
la taxonomie de l’UE en tant qu’activités soutenant l’atténuation du changement
climatique ».
Ah le « changement climatique », cette tarte
à la crème…
Un premier pas…
Si ça chauffe, c’est tout simplement parce que ça s’agite. Et n’importe quelle énergie finit en chaleur et en poussière qui se disperse.
Lois de la physique obligent.
« Les impacts de l’énergie nucléaire sont pour la plupart comparables à ceux de l’hydroélectricité et des énergies renouvelables, en ce qui concerne les effets non radiologiques », précisait très logiquement encore ce rapport.
Plus récemment, une étude le confirmait.
Le nucléaire émet extrêmement peu d’équivalent CO2 par kilowattheure (gCO2e/kWh) produit.
Et en plus, en « Gauloisie » (comme par ailleurs), bien moins que le solaire ou l’éolien, par exemple.
Seuls les ignorants et les dogmatiques en discutent encore…
Le nucléaire « Gauloisien » (et encore d’ailleurs),
c’est moins de 4 gCO2e/kWh !
Pas plus…
3,7 exactement, tout compris.
Dans un communiqué publié suite au vote du Parlement européen, le réseau « Sortir du nucléaire » qualifie tout de même, pour être têtu, l’énergie nucléaire de « dangereuse, polluante, productrice de déchets ingérables, et trop lente et trop coûteuse pour constituer un levier pertinent face à l’urgence climatique ».
Oui mais elle est « pilotable » et théoriquement
infinie.
Et de plus la plupart de ces arguments semblent être à balayer d’un revers de main eu égard à l’objectif de la taxonomie européenne. Rappelons-le, cet objectif, c’est celui de la neutralité carbone. Même si la taxonomie pose quelques conditions au nucléaire. Des conditions relatives notamment à la gestion de ses déchets et aux mesures de sécurité, et qui limitent la qualification « d’énergie de transition » à l’horizon 2045.
Mais les solutions existent et vont être mises en
place au fil du temps.
Dès lors, la seule vraie question qui peut, peut-être,
se poser, c’est celle de l’urgence climatique imposée par les « ayatollahs-climatiques ».
Parce que les centrales nucléaires existantes sont là pour y répondre. Et les experts le disent et le répètent : C’est dès à présent qu’il faut investir dans le nucléaire de demain. Et justement pour ne pas prendre de retard sur les objectifs de neutralité carbone !
Certainement pas ― comme certains pronucléaires peuvent le laisser croire ― pour s’opposer aux énergies dites renouvelables (et non pilotables).
Car à la fin, toutes les énergies bas-carbone seront bonnes à être mobilisées, même si certaines coûtent déjà une blinde au « kon-tribuable » qui n’en peut plus (mais il est légalement réputé être indéfiniment solvable…).
Bref, les « écololos » pris en flagrant délit d’incohérence (sauf à vouloir nous ramener comme « Poux-tine » en Ukraine du XVIIIème siècle…) et à leur au propre jeu de leurs dogmes-dogmatiques…
Et alors, qu’en est-il du gaz ? Celui que beaucoup
aiment à qualifier de gaz « naturel » et que les antinucléaires adore
à pousser, alors qu’il n’est en réalité autre qu’un gaz fossile : « Oui, mais le
gaz n’est inclus dans la taxonomie européenne que sous
certaines conditions », répondent les
progaz.
Si, par exemple, la centrale à gaz en question
remplace une centrale à charbon ou au fioul, ça devient un « pain béni ».
Mais ce, avant 2030.
Également, si la centrale à gaz n’émet pas plus de 100 gCO2e/kWh…
Eh oui, vous avez bien lu, 100 gCO2e/kWh. Comparé aux 4 gCO2e/kWh du nucléaire, ça fait froid dans le dos.
Un écart de 1 à 25…
Y’a même pas photo !
D’autant que l’intégration du gaz « fossile-naturel »
à la taxonomie « verte » devient encore
un peu plus incompréhensible quand on sait que des chercheurs « Teutons »
démontrent aujourd’hui que le gaz fossile ne peut pas être considéré comme « une technologie
de transition vers un système d’énergie 100 % renouvelable tel que défini par l’Accord
de Paris sur le climat ».
Car selon eux, le gaz fossile n’est « en aucun cas » une
alternative à préférer au charbon ou au pétrole !
Parce qu’il n’est pas seulement responsable d’émissions
de dioxyde de carbone (CO2) (qui plonge plus bas que l’air que nous
respirons pour être plus lourd, 1,5 fois), mais aussi d’émissions de méthane
(CH4), nettement plus léger (densité 0,6) pour filer tout droit dans la stratosphère,
et ce tout au long de la chaîne de valeur, par le biais d’émissions fugitives
de ce puissant gaz à effet de serre qui n’ont jusque-là pas été assez prises en
compte dans le bilan carbone du gaz fossile.
Ces chercheurs « Teutons » estiment même
que, grâce à leur approche interdisciplinaire, une expansion de l’infrastructure
gazière « cimenterait la
dépendance aux combustibles fossiles et aux émissions liées pendant des
décennies. Avec des coûts économiques énormes
retardant le développement d’un système énergétique 100 %
renouvelable. »
De quoi, donc, freiner la transition énergétique tout en entraînant d’énormes risques économiques : « La crise énergétique, climatique et géopolitique entourant les combustibles fossiles met aujourd’hui en évidence la nécessité d’une sortie du gaz fossile, qui doit être organisée et mise en œuvre par la société dans son ensemble. »
C’est la conclusion de ces chercheurs.
La vraie question qui se pose, finalement, c’est
peut-être de savoir comment deux moyens de production aussi différents du point
de vue de leur impact sur notre climat ont pu être soumis à un seul et même
vote au Parlement européen…
On en connaît les causes : La folie des « grünen teutons » antinucléaires « primaires et viscéraux », financés à travers les ONG par les industriels US et leurs gouvernants depuis deux générations, qui ont poussé jusqu’à « Mère-Quelle » à fermer ses centrales à tourbe, au lignite et au charbon, et dans la foulée celles qui font dans le nucléaire !
Et de promettre des achats de Gaz Russe qui ont investi des milliards pour leur livrer directement par gazoduc à travers la Baltique, sans passer ni par les « Polaks », ni par les Ukrainiens…
Inutile de dire qu’il y a de quoi en rire : L’objectifs des « Ricains » c’était d’assurer des débouchés pour leur propre gaz issu de la fracturation de ses gisements schisteux, chose qu’on s’est même interdit de faire de notre côté pour ne pas leur mettre la pression, en pensant que le nucléaire « Gauloisiens » n’auraient même pas à assurer l’intérim… et deviendrait obsolète sous peu, faut d’entretien (et d’ingénieurs).
Erreurs funestes et successives…
Que peut-être il aura fallu aux « pétroleux
ricains » de déclencher une guerre autour de l’Ukraine pour pousser leurs pions
un peu plus loin et jeter les « teutons » dans les bras des « Ruskoffs ».
Ceux-ci éliminés avec le sabotage du Nord-Stream, les écololos « Gauloisiens » ayant fait leur part de boulot depuis « Tonton Yoyo » et sa « sinistre écololo » (Vois-Née) qui auront enterré le nucléaire civil tricolore (qui faisait le l’ombre aux entreprises « ricaines » du secteur), le retour sur investissement aurait pu être « gagnant », sauf que ça aura dérapé avec la résistance de Kiev, d’ailleurs paradoxalement soutenue, hors de proportion par Washington.
Qui voit là l’occasion d’affaiblir durablement Moscou sans verser le sang des « boys », mais c’est un autre sujet.
La « géopolitique », décidément, n’est pas à
une invraisemblance près.
De quoi franchement en rigoler un bon moment.
D’ailleurs, sur le moment, je ne m’en suis pas privé pour m’enfiler double dose de « douces liqueurs » locales.
Car l’ordre logique (de la raison) et la nature des choses reprennent lentement leur place : Espérons seulement que chacun aura retenu les leçons ainsi données par l’Histoire !
Plié de rire…
C’est un peu comme ma Grand-mère, (celle de mon « cimetière » même si j’en ai eu deux, cf. I-Cube (l'exilé): Aujourd’hui c’est l’ascension (flibustier20260.blogspot.com)) qui ne jurait que par la nourriture « saine » parce que « naturelle » à donner à ses petits-enfants et de na pas être capable de m’expliquer ce qu’était, au moins pour elle, de la nourriture « artificielle »…
C’est là qu’il faut se rappeler que le 6 juillet dernier (2022), alors que j’étais en Balagne (« Corsica-Bella-Tchi-tchi »), dans un élan de clairvoyance qui touche au comique époustouflant, le Parlement européen a décidé de labelliser « verte » ― ou au moins « de transition » ― la production d’électricité nucléaire tout comme la production à partir de gaz fossile.
Quoi ? Un gaz fossile, comme le charbon et l’anthracite qui devient « vert » ?
Quel joli rêve que voilà !
Le nucléaire encore, je veux bien : L’uranium n’est jamais qu’un minéral « naturel », à l’état natif, juste un peu enrichi en usine, mais le gaz, c’est tout de même une « méthanisation » de déchets organiques…
Donc, et à partir de désormais, la production d’électricité dans les centrales nucléaires et dans les centrales à gaz ― sous certaines conditions tout de même ― sera désormais considérée comme « verte ».
Pusiqu’on vous dit que c’était marqué dessus…
Enfin… plus exactement « vert de transition ». N’exagérons pas tout de même…
De « neutralité carbone » rien de plus.
Et c’est là que je suis pris d’un fou-rire entre deux apéros-matinaux au bar de la plage quand je lis ça dans le « canard-local ».
Et puis je suis rentré sur le continent après avoir essuyé un « ouragan du siècle » et au-delà des arguments dogmatiques, j’ai essayé de comprendre.
Un premier pas…
Si ça chauffe, c’est tout simplement parce que ça s’agite. Et n’importe quelle énergie finit en chaleur et en poussière qui se disperse.
Lois de la physique obligent.
« Les impacts de l’énergie nucléaire sont pour la plupart comparables à ceux de l’hydroélectricité et des énergies renouvelables, en ce qui concerne les effets non radiologiques », précisait très logiquement encore ce rapport.
Le nucléaire émet extrêmement peu d’équivalent CO2 par kilowattheure (gCO2e/kWh) produit.
Et en plus, en « Gauloisie » (comme par ailleurs), bien moins que le solaire ou l’éolien, par exemple.
Seuls les ignorants et les dogmatiques en discutent encore…
3,7 exactement, tout compris.
Dans un communiqué publié suite au vote du Parlement européen, le réseau « Sortir du nucléaire » qualifie tout de même, pour être têtu, l’énergie nucléaire de « dangereuse, polluante, productrice de déchets ingérables, et trop lente et trop coûteuse pour constituer un levier pertinent face à l’urgence climatique ».
Et de plus la plupart de ces arguments semblent être à balayer d’un revers de main eu égard à l’objectif de la taxonomie européenne. Rappelons-le, cet objectif, c’est celui de la neutralité carbone. Même si la taxonomie pose quelques conditions au nucléaire. Des conditions relatives notamment à la gestion de ses déchets et aux mesures de sécurité, et qui limitent la qualification « d’énergie de transition » à l’horizon 2045.
Parce que les centrales nucléaires existantes sont là pour y répondre. Et les experts le disent et le répètent : C’est dès à présent qu’il faut investir dans le nucléaire de demain. Et justement pour ne pas prendre de retard sur les objectifs de neutralité carbone !
Certainement pas ― comme certains pronucléaires peuvent le laisser croire ― pour s’opposer aux énergies dites renouvelables (et non pilotables).
Car à la fin, toutes les énergies bas-carbone seront bonnes à être mobilisées, même si certaines coûtent déjà une blinde au « kon-tribuable » qui n’en peut plus (mais il est légalement réputé être indéfiniment solvable…).
Bref, les « écololos » pris en flagrant délit d’incohérence (sauf à vouloir nous ramener comme « Poux-tine » en Ukraine du XVIIIème siècle…) et à leur au propre jeu de leurs dogmes-dogmatiques…
Également, si la centrale à gaz n’émet pas plus de 100 gCO2e/kWh…
Eh oui, vous avez bien lu, 100 gCO2e/kWh. Comparé aux 4 gCO2e/kWh du nucléaire, ça fait froid dans le dos.
Un écart de 1 à 25…
Y’a même pas photo !
De quoi, donc, freiner la transition énergétique tout en entraînant d’énormes risques économiques : « La crise énergétique, climatique et géopolitique entourant les combustibles fossiles met aujourd’hui en évidence la nécessité d’une sortie du gaz fossile, qui doit être organisée et mise en œuvre par la société dans son ensemble. »
On en connaît les causes : La folie des « grünen teutons » antinucléaires « primaires et viscéraux », financés à travers les ONG par les industriels US et leurs gouvernants depuis deux générations, qui ont poussé jusqu’à « Mère-Quelle » à fermer ses centrales à tourbe, au lignite et au charbon, et dans la foulée celles qui font dans le nucléaire !
Et de promettre des achats de Gaz Russe qui ont investi des milliards pour leur livrer directement par gazoduc à travers la Baltique, sans passer ni par les « Polaks », ni par les Ukrainiens…
Inutile de dire qu’il y a de quoi en rire : L’objectifs des « Ricains » c’était d’assurer des débouchés pour leur propre gaz issu de la fracturation de ses gisements schisteux, chose qu’on s’est même interdit de faire de notre côté pour ne pas leur mettre la pression, en pensant que le nucléaire « Gauloisiens » n’auraient même pas à assurer l’intérim… et deviendrait obsolète sous peu, faut d’entretien (et d’ingénieurs).
Erreurs funestes et successives…
Ceux-ci éliminés avec le sabotage du Nord-Stream, les écololos « Gauloisiens » ayant fait leur part de boulot depuis « Tonton Yoyo » et sa « sinistre écololo » (Vois-Née) qui auront enterré le nucléaire civil tricolore (qui faisait le l’ombre aux entreprises « ricaines » du secteur), le retour sur investissement aurait pu être « gagnant », sauf que ça aura dérapé avec la résistance de Kiev, d’ailleurs paradoxalement soutenue, hors de proportion par Washington.
Qui voit là l’occasion d’affaiblir durablement Moscou sans verser le sang des « boys », mais c’est un autre sujet.
De quoi franchement en rigoler un bon moment.
D’ailleurs, sur le moment, je ne m’en suis pas privé pour m’enfiler double dose de « douces liqueurs » locales.
Car l’ordre logique (de la raison) et la nature des choses reprennent lentement leur place : Espérons seulement que chacun aura retenu les leçons ainsi données par l’Histoire !
Pour mémoire : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
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