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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 11 novembre 2022

Finalement, je commence à ne plus être trop essoufflé.

Et Jean-Marc se remémore ses jeunes années
 
La maîtresse d’école demandait à un Jean-Luc :
« ― Nommes-moi un continent.
― Mon grand-père est incontinent. »
 
La même dit un jour à ses élèves :
« Cet après-midi, nous allons recevoir Monsieur l’Inspecteur. Je veux que votre accueil soit parfait et que vous souhaitiez le bonjour à M. l’Inspecteur. »
À 13 heures, M. l’Inspecteur arrive et tous les élèves disent ensemble :
« Bonjour M. l’Inspecteur ! »
M. l’Inspecteur, tout fier, demande à la maîtresse de lui nommer l’élève le plus doué. M. l’Inspecteur dit :
« La France rentre trois (3) fois dans le Québec, de plus, Londres est la Capital de l’Angleterre, et M. Giscard-d’Estaing est un très bon président.
Par conséquent, quel âge ai-je ? »
Et Jean-Gaspard de lui répondre :
« Vous avez 40 ans M. l’Inspecteur. »
M. l’Inspecteur lui dit :
« Mais c’est fantastique, comment as-tu deviné mon âge ? »
Jean-Gaspard de répondre :
« J’ai une sœur de 20 ans qui est à moitié folle. »
 
Aujourd’hui, c’est la classe de catéchisme.
La prof a décidé de faire réfléchir tout son petit monde sur Jésus, et pose la question suivante :
« Puisque le Bon Dieu est ressuscité d’entre les morts le troisième jour, où se trouve-t-il maintenant ? »
Jean-Richard lève la main et dit :
« Le Bon Dieu est au Paradis ! »
Marie-Yvonne lève la main et dit :
« Le Bon Dieu est dans mon cœur ! »
Le petit Jean-Marc, tout excité et en pleine forme (comme d’habitude), lève la main, se lève et crie presque :
« Je sais ! Je sais ! Le Bon Dieu est dans notre salle de bains !!! »
Toute la classe se tourne vers lui.
La prof lui demande pourquoi il dit ça…
« Parce que tous les matins, mon père se lève, va à la porte de la salle de bains et frappe plusieurs coups dedans en criant : “BON DIEU, T’ES ENCORE LÀ !?!” »
 
Jean-Marc, adulte et devant une bière bien fraîche avec Jean-Paul se posent des devinettes pour passer le temps.
« ― Quelle est la différence entre une soupe chaude et une femme ?
― Ch’ais pas !
― Bin, c’est pourtant simple : La soupe chaude, plus tu la brasses plus elle refroidie, la femme plus tu la brasses plus elle devient chaude ! »
 
« ― Quelle est la différence entre un alligator et un crocodile ?
― J’en saurien !
― Y’a caïman pas de différence… »
 
« ― Quelle est la différence entre une tempête de neige et un homme ?
― Comment veux-tu que je sache… L’une est glaciale et l’autre chaud ?
― Tout le monde sait pourtant qu’il n’y en a pas : Tu ne sais pas comment tu vas avoir de centimètres, ni comment ça va durer de temps ! »
 
« ― Quel est le comble de l’innocence ?
― Ça je sais : Une adolescente qui se met de la crème contre l’acné sur les tétons. »
 
« ― Et le comble de la paresse ?
― À ton avis ?
― Être couché sur une belle femme et attendre qu’il y ait un tremblement de terre pour la suite… »
 
« ― Qu’est-ce que Hillary Clinton dit à son mari Bill lorsqu’elle se lève la nuit pour aller au petit coin ?
― Sois sage ?
― Non ! Surveille ma place Bill : Je reviens ! »
 
Deux jeunes enfants jouaient dehors durant l’été, lorsqu’il y en a un qui dit à l’autre :
« Il y a un condom dans le patio. »
L’autre lui répond :
« C’est quoi un patio ? »
 
« ― Quelle est la différence entre une religieuse et un arbre de Noël ?
― Je sais : Il n’y en a pas, les deux ont des boules qui ne servent pas. »
 
« ― Quel est le comble de la compétition ?
― Aucune idée…
― Un gars qui pisse à côté d’une cascade. »
 
« ― Pourquoi les cercueils des Politiciens sont-ils pleins de trous ?
― Je ne savais pas.
― C’est pour permettre aux vers d’aller vomir ! »
 
« ― Tu ne peux pas savoir ça : Que dit le macho à sa femme en fin de soirée ?
― Si je sais : Viens donc te coucher avec moi, sacrée chanceuse ! »
 
Une vieille dame va voir un spécialiste pour ses yeux.
Sa vue baisse, elle est pratiquement aveugle.
Elle raconte son problème à ce jeune surdoué à cheveux longs, barbe hirsute, chemise en dehors des pantalons.
Après l’avoir écouté attentivement, il lui conseille de fumer du pot.
Un mois plus tard, une voisine qui savait qu’elle se faisait traiter lui demande :
« ― Pis, Mémère, est-ce que vos yeux sont mieux depuis que vous fumez du pot ?
― Heu ! Non, mais maintenant, je m’en fous. »
 
Un type se tient debout sur le bord de la route au milieu d’une très sombre nuit en faisant du stop.
En même temps une terrible tempête se déchaîne.
Quelque temps plus tard personne ne s’est arrêté.
La tempête et l’orage sont si forts qu’il est impossible de voir plus loin que 3 mètres devant soi.
Tout à coup il voit une voiture qui s’approche lentement et qui s’arrête.
Le gars sans se poser de questions monte dans la voiture et ferme la porte, lorsqu’il se retourne il se rend compte qu’il n’y a personne à la place du conducteur.
La voiture démarre doucement, il voit que sur la route il y a un virage en approche, effrayé, il commence à prier.
Le gars n’a pas fini d’être étonné lorsque juste avant d’arriver sur le virage, la porte du conducteur s’entre-ouvre et une main entre pour faire tourner le volant dans le virage.
Paralysé par sa peur il s’accroche avec toutes ses forces à son siège.
Il reste immobile et voit que la même chose arrive à chaque fois qu’il y a un virage sur la route.
La tempête augmente encore en force, et le gars terrorisé, descend de la voiture et part en courant jusqu’au village le plus proche, entre dans le bar, demande deux tequilas doubles et en tremblant commence à raconter à tous ce qui lui est arrivé.
Environ une demi-heure plus tard arrivent deux gars complètement trempés, l’air exténués et l’un dit à l’autre :
« Regarde là-bas, c’est l’idiot qui est monté dans la voiture pendant qu’on la poussait ! »
 
Un ouvrier pose un tapis chez un client.
Après avoir terminé l’installation, il prend une pause pour fumer une cigarette.
Il ne trouve pas son paquet de cigarettes. Il retourne à l’intérieur et voit une bosse sous le tapis qu’il vient d’installer.
Ne voulant pas défaire son travail pour un paquet de cigarette, il sort son marteau et écrase la bosse lorsqu’il entend la voix de la cliente derrière:
« ― Est-ce à vous le paquet de cigarette ?
― Ouais… Merci bien !
― Au fait, auriez-vous vu le hamster de mon fils ? Il n’est pas dans sa cage ! »
 
Le président d’une grosse société laisse sa voiture chez le concessionnaire Mercedes et prend l’autobus pour se rendre au bureau.
Chose qu’il n’a pas fait depuis une vingtaine d’années.
En attendant le bus, il examine un ado aux cheveux multicolores.
S’apercevant de l’attention que lui porte le monsieur à l’allure impeccable, le jeune le regarde dans les yeux et lui dit:
« ― Je parie que vous n’avez jamais rien fait d’excitant et de différent dans votre vie !
― Attention ! Il ne faut pas se fier aux apparences. Il y a quelques années, dans une partouze assez mouvementée, j’ai fourré un perroquet et en regardant vos cheveux multicolores, je me demandais si vous n’étiez-pas mon fils. »
 
Un ver de terre arrive devant un plat de spaghetti :
« Cool, une méga-partouze ! »
 
« Un programme informatique, c’est comme la masturbation.
Quand on le fait, on pense que c’est bien, et après on se demande pourquoi on l’a fait… »
 
Jean-Charles arrive chez son médecin.
« Bonjour Docteur, j’ai un grave problème, je perds la mémoire ! »
Le toubib lui demande :
« Depuis quand ? »
Et Jean-Charles de répondre :
« Depuis quand, quoi ? »
 
Le petit Jean-Marc rentre de l’église et confie à sa mère :
« Tu sais, m’man, j’ai pris la résolution d’être toujours honnête.
Alors, quand monsieur le curé est passé avec un grand plateau plein d’argent, je lui ai dit : Non merci ! »
 
Le même, à peu près à la même époque de sa vie, Jean-Marc demande à son père :
« ― Papa c’est quoi la différence entre “En principe et En réalité” ?
― Va demander à ta mère si elle ferait l’amour avec n’importe qui pour un million d’euro ? »
Jean-Marc s’exécute et la mère répond :
« Eh bien non ! »
Il retourne voir son père, lui annonce la réponse de sa mère et repose la même question.
Son père lui dit :
« Va demander à ta grande sœur si elle ferait l’amour avec n’importe qui pour un million ? »
Le petit s’exécute et la grande sœur répond :
« Eh bien non ! »
Jean-Marc retourne voir son père, lui annonce la réponse de sa grande sœur et repose la même question.
Son père lui dit alors :
« Eh bien tu vois, ‘‘En principe’’ nous devrions avoir dans la maison, deux millions et ‘‘En réalité’’ nous avons deux salopent qui baisent pour rien. »
 
Un jour que Jean-Marc est en retard pour rentrer du travail, son épouse est très nerveuse et en parle à sa mère au téléphone et lui dit :
« ― Je suis sûre qu’il voit une autre femme.
― Pourquoi voir toujours le pire ? Peut-être qu’il a simplement eu un accident… »
 
Les bières aidant, Jean-Marc philosophe avec Jean-Paul :
« ― Tu savais que le mariage est la principale cause de divorce.
― Oui mais l’amour rend aveugle et le mariage rend la vue… »
 
Fidèle à ses habitudes, une petite vieille assiste à la messe du matin, tout à coup le curé dit :
« Que tous ceux qui ont commis le péché d’impureté s’avancent. »
La petite vieille, un tantinet dur d’oreille, demande à son voisin :
« Qu’est-ce que vient de dire monsieur le curé ? »
Ce dernier répond :
« Il a dit que tous ceux qui désirent un bonbon s’avancent. »
La petite vieille, chancelante et s’appuyant sur sa canne, avance de peine et de misère.
Le curé offusqué lui lance alors :
« Vous ? Madame ? À votre âge, vous n’avez pas honte ? »
Et la petite vieille rétorque :
« C’est pas parce que je n’ai plus mes dents que je ne suis pas capable d’en sucer une de temps en temps vous savez ! »
 
Une « vieille déjà revenue » :
Un camion est immobilisé au feu rouge. Derrière, une dame descend de son véhicule, frappe à la vitre du chauffeur et crie : « Je suis Peggy et vous perdez de votre cargaison ! »
Le camionneur veut répondre, mais le feu passe au vert. Trop tard, il avance laissant la femme sur place.
Au feu suivant, le même manège reprend et, encore une fois, le chauffeur n’a pas le temps de lui répondre.
Au troisième feu, la jeune-femme persévérante, cogne de plus belle sur la vitre du camionneur. Elle hurle et gesticule…
« ― MONSIEUR, je suis Peggy et vous perdez de la cargaison sur la route !
― Quoi ?
― Vous perdez toute votre cargaison.
― OK ! Moi c’est Éric et je conduis une saleuse pour faire fondre la neige. »
 
Une authentique pour finir :
Une journaliste avait passé quelques années au Koweït et avait fait une chronique sur le rôle de l’homme et de la femme quelques années avant la guerre du golfe.
Elle trouvait inconcevable le fait que les femmes doivent marcher à 3 mètres derrière leur mari.
Dernièrement, elle est retournée au Koweït et a remarqué que maintenant ce sont les hommes qui marchent quelques mètres derrière leur épouse.
Elle s’approche alors d’une femme pour obtenir plus d’information et elle dit :
« C’est merveilleux, mais qu’est-ce qui a permis aux femmes de faire un tel renversement des rôles ? »
Et la femme lui répond :
« Les mines restées enfouies dans le sol… »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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