Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 16 novembre 2022

Le cas néo-zélandais

Et la religion du « Great Reset »
 
Rapprochement audacieux, et pourtant…
Car aujourd’hui les pays anglophones semblent être à la pointe du « Great Reset » et de la suppression des libertés individuelles.
Vous, je ne sais pas, mais j’ai été frappé par l’exemple néo-zélandais. Après avoir envisagé de taxer le pet de leurs vaches, ce petit pays de cinq millions d’habitants, loin de Taïwan et de l’Ukraine ou du Proche-Orient, qui n’est menacé par personne pour être perdu au milieu de rien outre des mers réputées hostiles, son gouvernement vient de publier les recommandations de son service de renseignement intérieur pour identifier la « radicalisation terroriste ».
Tout repose sur l’idée que la violence verbale serait le signe avant-coureur d’un passage à l’acte terroriste, comme la « drague lourdingue » un avant-goût de fornication « non-sollicitée ».
Un excellent prétexte pour réprimer les discours opposés à la politique gouvernementale et inciter les citoyens à signaler des manifestations de « radicalisation ».
 
Le travail entrepris en Nouvelle-Zélande se réfère à la tuerie de Christchurch et on a alors du mal à croire que des discours jugés violents conduisent à la répétition d’un massacre faisant cinquante morts et cinquante blessés. Surtout quand on donne comme point de départ de la dérive de plus en plus répandue vers la violence la « parole-verbale » radicalisée, tel que le présente ce rapport dénonçant également l’opposition aux directives du gouvernement concernant le « Conard-virus ».
En effet, le 23 septembre 2022, le Premier ministre néo-zélandais, a développé l’idée, dans son discours, selon laquelle la liberté d’expression était « potentiellement dangereuse ».
Pourquoi ? Parce qu’elle ne serait que le masque de la désinformation !
Dans un raisonnement d’une bêtise désarmante il explique que les guerres d’aujourd’hui peuvent exister parce que, malgré tous les efforts faits pour limiter la course aux armements, en particulier nucléaires, il existe des pays qui utilisent une arme nouvelle, inédite, la désinformation et le mensonge.
Voilà pourquoi il faudrait bannir la liberté d’expression : Si « Poux-tine » n’avait pas eu la possibilité de mentir, il n’y aurait pas la guerre !
C’est si simple…
 
Si vous contrôlez la liberté d’expression, forcément vous n’aurez plus ni pandémie, ni guerre, ni changement climatique, puisque vous empêcherez ceux qui répandent des thèses erronées d’inciter au refus des vaccins, à la violence ou à la pollution !
Logique…
Autrement dit, il faut combattre, pour le plus grand bien de la multitude ce qui est un fondement de la démocratie, la liberté d’expression, de la science, la libre confrontation des opinions et de la paix civile, et in fine la protection des libertés individuelles elles-mêmes !
Conclusion gouvernementale, si votre voisin, à qui votre tête ne revient pas, est incité à contacter le service du renseignement intérieur de son propre pays pour vous signaler, quel rapport cela a-t-il avec la culture de liberté dans laquelle nous avons grandi, et dont nous pensions que le monde anglo-saxon était le plus farouche défenseur ?
 
Il me semble ainsi que la plupart des gens ne sont pas au courant et ignorent tout des écrits ou des déclarations du fondateur de ce programme, également Président du « World Economic Forum », le fameux Klaus Schwab, conseillé depuis quelques années par le non moins fameux Yuval Noal Harari, auteur des best-sellers « Sapiens » et « Homo Deus » qui a fait la Une des chroniqueurs littéraires il y a encore peu.
Pourtant, ils sont assez clairs mais leurs dires ou écrits ont été assez peu relayés.
 
À titre d’exemple on peut citer Harari : « Le pouvoir des humains va glisser progressivement vers les ordinateurs et la plupart des humains vont devenir économiquement inutiles et sans pouvoirs politiques. »
Voilà qui est dit : Nous avions les « essentiels », ceux qui pouvaient braver en toute légalité la « mise en garde à vue domiciliaire » pour cause de pandémie et le bestiaire se complète désormais des « inutiles », autrement dit, tous ceux qui ne sont pas « essentiels » (même pas de la chair à canon chère à « Poux-tine »), et vous n’aviez même pas tiqué, la trouille au ventre de tomber malade !
On peut également reprendre la prédiction lancée à Davos en 2016 par Klaus Schwab soi-même : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » qui est bien l’objectif de ce Nouvel Ordre Mondial que Davos et le « Deep State » américain mettent graduellement en place avec comme horizon 2030.
 
L’apologie du transhumanisme promu par Davos est d’ailleurs incontestablement une nouvelle « spiritualité », dont l’objectif est une forme nouvelle d’immortalité que pourrait attendre ce « nouvel homme numérique » décrit ainsi en 2009 dans le projet « Human Connectome » du National Institut of Health : « Un effort ambitieux pour cartographier les voies neuronales qui sous-tendent le fonctionnement du cerveau humain (…).
Si ces voies pouvaient être complètement cartographiées et traduites en 0 et 1 numériques, les données pourraient être téléchargées sur un ordinateur, où elles pourraient survivre indéfiniment ».
Ce rêve délirant de l’immortalité volée aux dieux…
 
L’une des icones du mouvement transhumaniste, Ray Kurzweil embauché par Google en 2013, estime ainsi que l’innovation technologique exponentielle permettra de vaincre la mort et donnera naissance à terme à des machines plus intelligentes que les humains.
Peut-être, peut-être pas…
Mais pour pouvoir en arriver à ce stade, il est important de mettre parallèlement la population sous contrôle total et là, l’agenda du « Grand Reset » donne tous les éléments de ce contrôle.
Tout est parfaitement décrit sur le site même du World Economic Forum grâce à des graphiques interactifs extrêmement éloquents : À titre d’exemple celui sur la Gouvernance Internet va jusqu’à non seulement mettre en place l’identité numérique obligatoire, mais également établir des règles de pilotage des valeurs, de la géopolitique, et définir le rôle de la société civile, etc…
Cette « gouvernance » prévoit même le contrôle intégral des pensées et appartenances politiques (sauf les miennes : Je suis inclassable pour être « foulosophe » disait de moâ un de mes admirateurs…), des consommations & déplacements, des propriétés et actifs financiers, de vos Loisirs et Arts et culture.
Il s’opérera grâce à l’identité numérique, l’influence géopolitique, la surveillance de la société civile, les parcours de santé, etc…, le tout étant la plupart du temps organisé à travers des blockchains qui préservent l’anonymat des dirigeants réels de ces organisations.
Quelle que part, c’est déjà partiellement en place en Chine, bien plus en avance que d’autres parties du monde sur ce plan-là du « contrôle intégral ».
Mais nous y arrivons également peu ou prou.
 
Et curieusement, depuis quelques mois nous assistons dans de nombreux pays théoriquement démocratiques, à une réelle volonté de mettre en place ce que l’on peut désormais appeler des « Ministères de la Vérité », au sens Orwellien du terme.
Au Canada avec le « Ministère de la vérité et de la réconciliation ».
Aux USA avec le « Conseil de la Gouvernance et de la Désinformation »
En « Gauloisie-éternelle » avec l’annonce, par la Secrétaire d’État à la Citoyenneté, de la mise en place des assises des dérives sectaires et du complotisme, associant ainsi toute pensée non conforme à la Doxa à l’appartenance à une secte.
S’il s’agit bien de dérives totalitaires et peut-être ne sont-elles pas où le croient nos « sachants » si l’on se réfère à l’usage qui en a été fait à l’occasion de la propagande vaccinale…
Et enfin depuis octobre dernier au niveau européen : Le DSA (Digital service act) qui définit un principe selon lequel ce qui est illégal hors ligne est illégal en ligne avec en particulier le fait d’atténuer les risques systémiques tels que la manipulation de l’information ou la désinformation (droits fondamentaux, processus électoraux, santé publique, etc.).
 
Comme le dit très bien un grand professeur de psychologie qui a beaucoup travaillé sur la psychose de masse, les meilleurs moyens d’instaurer un système totalitaire consistent à provoquer la peur des populations, ce qui peut se réaliser en période de pandémie (« Conard-virus » le bienvenu), en stimulant les divisions entre différentes communautés religieuses ou autres (le wokisme), ou en faisant en sorte que les liens sociaux soient de plus en plus distendus (mondialisme, télétravail, jeux vidéo, mondes virtuels du metaverse où s’échangent tout de même de vrais dollars).
Une population qui a peur se soumet beaucoup plus facilement, le professeur allant jusqu’à comparer cette psychose de masse à un état d’hypnose !
Milgram n’avait pas anticipé ça avec sa célèbre expérience sur la soumission à la « blouse-blanche »… représentant « l’autorité ».
Or, depuis trois ans ces processus se sont accélérés avec le « Conard-virus », les obligations vaccinales et les privations de liberté qu’elles ont entraînées (interdictions de déplacements, de contacts, suspensions ou licenciements de salariés) et continuent avec la Guerre en Ukraine, les augmentations de prix et les risques de pénurie et, surtout, au prétexte du « CLIMAT » et ses « grandes souffrances » promises à l’humanité submergée (qui éclipse partiellement la peur d’Hiroshima d’antan).
 
Cette accélération du processus se produit également avec un refus total de tout débat, qu’il soit scientifique, climatique ou encore géopolitique, chaque opposant devenant un « complotiste » ou un blasphémateur qui sera condamné au bûcher médiatique et politique, avec l’appui des instances gouvernementales, par ailleurs grandes pourvoyeuses de subventions (même s’il ne s’agit que de dettes ou d’impôts supportés par le plus grand nombre qui n’ont pas voté pour ça…)
Si aujourd’hui ne pas se soumettre aux nouvelles obligations devenues des dogmes impératifs (vaccination, consommation d’électricité, chauffage, déplacements, etc…) est déjà un délit puni d’une manière ou d’une autre, cela deviendra bientôt un crime, les autorités, comme en Nouvelle-Zélande, semblant prêtes à recommander aux citoyens la délation et la dénonciation des récalcitrants.
Les fascistes de l’entre-deux guerres mondiales aussi…
Le pire, c’est que beaucoup sont déjà d’accord, sûrs d’œuvrer pour « le camp du bien ».
À quand le marquage au fer rouge (au moins sur la puce de votre carte d’identité), si ce n’est le tatouage (éventuellement sous-cutané) d’une puce ou d’une étoile ?
 
Le refus du débat est déjà en lui-même une atteinte grave à tous les fondements démocratiques et c’est également l’une des caractéristiques des idéologies totalitaires, qu’elles soient matérialistes comme le communisme ou bien religieuses.
Autrement dit, déjà dans nos pays où l’on plonge avec ravissement dans la « démocrature ». Et on laisse les Talibans appliquer la Charia le plus dur ailleurs, en n’oubliant pas de détourner le regard sur le voile des iraniennes pour s’occuper, surtout quand on est de « gôche », de celui de nos femmes jusque dans l’espace public qu’il faudrait défendre…
Certains n’hésitent d’ailleurs plus à affirmer que les anciennes spiritualités doivent être détruites comme le souhaite par exemple un membre du Congrès Américain évoquant les normes sociales de la Russie considérées comme régressives (faisant référence aux chrétiens orthodoxes…) ou comme le démontrent les critiques constantes faites aux sociétés chrétiennes, catholiques en particulier, qui sont effectivement à l’opposé du wokisme ou de certaines lois comme l’avortement, le mariage entre individus du même sexe, ou l’euthanasie, tous ces réactionnaires rétrogrades et accusés de pédophilies !
 
Dans le même ordre d’idées « Gratte-la-Tune-berg » expliquait récemment « qu’il était temps de faire tomber l’Occident raciste, oppressif et capitaliste. C’est tout le but du « climat ». L’occident doit mourir et laisser la place ».
Elle est mignonne la gamine à répéter ce qu’on lui dit de dire…
De nombreuses personnes commencent à s’émouvoir de ce nouvel ordre mondial : La « guerre mondiale du contrôle du cerveau humain n’est rien d’autre qu’une guerre de civilisation. »
Les penseurs de l’Islam, s’ils ne sont pas encore spécifiquement visés par les tenants de la nouvelle religion transhumaniste, qui les considère sans doute aujourd’hui comme des alliés objectifs dans le cadre de la lutte contre la civilisation occidentale d’essence chrétienne, ils ne vont pas tarder à l’être car ce nouvel ordre mondial est également à l’opposé d’un bon nombre de valeurs du Coran.
En effet, à lire Cheikh Omar Dourmane, professeur de sciences islamique à la Faculté des Sciences islamiques de Paris, les six finalités suprêmes de l’Islam qui guident les différentes prescriptions de la charia sont : La préservation de la vie humaine, la préservation de la raison humaine, la préservation des religions, la préservation des biens, la préservation des libertés et la préservation de la famille.
Or, ces « valeurs » s’opposent par la recherche d’un « bien commun » fondé sur des valeurs sociales et morales fortes à l’individualisme consumériste qui s’est progressivement mis en place depuis la fin de la seconde guerre mondiale, nous conduisant aujourd’hui aux errements mortifères que nous observons.
 
Car le projet de Davos va plus loin dans le fameux agenda 2030. Après avoir pris le contrôle des âmes et de leur avenir, il revient sur terre et son matérialisme postmarxiste. Demain, nous serons amenés à accepter ne plus rien posséder. Des terres agricoles ou constructibles, bâties même, ne pouvant plus appartenir à des personnes physiques ou même à des personnes morales non accréditées sous contrôle de nos « sachants » (le mieux pour tous, naturellement) : C’est prévu comme ça.
Mais vous aurez, peut-être et tout de même, le droit de vous « approprier » ce que vous êtes autorisé à métaboliser en l’ingérant.
Pour ce qui est de fabriquer du CO2 en respirant… ça pourrait se discuter plus tard.
 
Un démantèlement du bâti et du foncier ? Plus de propriétaires immobiliers à moyen terme ? Des fonds de pensions mondiaux propriétaires d’agglomérations ou de régions entières ?
C’est cela le projet des méga-États.
La maxime du Forum économique mondial est, à l’horizon des années 2030, d’atteindre le fameux « Vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux » que je vous rappelai ci-avant et se veut universel et total.
Total, totalitaire ? À l’image d’un système féodal ou communiste collectiviste à outrance qui se rejoignent quelque part, dans les médias, des messages plus ou moins explicites poussent avec, pour fond de raison, les avatars de la transition énergétique sous couvert du changement climatique… c’est bien ce vers quoi on amène lentement les nouvelles générations (X, Y, Millénium et autres « laissés-pour-compte » avachis devant leurs manettes de game-boy).
 
Le président de l’Institut du management des services immobiliers, dans une tribune sur Capital, pose clairement et sans faux-semblants cette contrainte « constitutionnelle » sur le droit à la propriété. La loi Lagleize (2019) avait déjà fait du bruit dans le Landerneau des investisseurs immobiliers sans atteindre la masse des propriétaires « Gauloisiens » et faisait poindre une généralisation du démantèlement foncier-bâti.
Celle-ci est appliquée dans les OHF ― Observatoires de l’habitat et du foncier ― impliqués dans les programmes locaux de l’habitat (PLH) de la loi Climat et Résilience et dont les prérogatives ont fait l’objet d’un décret, fin octobre 2022.
Avec, en parallèle, la multiplication de contraintes règlementaires et de normes à respecter, l’interdiction de louer voire, après, d’habiter des « passoires thermiques », une taxe foncière gloutonne, largement augmentée pour les résidence de loisir dites secondaires, les propriétaires ainsi terrassés seraient dégoûtés de posséder un bien immobilier et, pour être « heureux », rallieraient, de facto, le statut de locataires-migrants et de citoyens mobiles…
Je ne plaisante pas : Vous pouvez relire la loi et tout ce qui a été annoncé et commenté autour.
C’est « en marche » (même pas en rêve) !
 
Les professionnels des services de l’immobilier (syndics, agents, promoteurs, organismes de contrôles) y voient aussi une manne de chiffre d’affaires et de pouvoir de décision sur leurs clients loin des préoccupations des propriétaires ainsi forcés et aliénés.
Le ministre du Logement actuel souhaite que les passoires thermiques ne soient plus louables sur Airbnb. Qu’adviendra-t-il d’un manoir dans le Perche ou d’une ferme typique Beauceronne ?
Des exceptions ou un retour à la ruine de tous ces édifices comme à la période « romantique » du XIXème siècle, à moins qu’ils ne soient rachetés par des multinationales ou quelques « oligarques » seuls capables de les réhabiliter.
S’agit-il d’en faire des lieux « communs » et normés à l’international pour faire de nos pays de gigantesques parcs d’attractions, comme bientôt l’Île de la cité Parigote ?
 
Avec un grand ministère de « la » Transition, donc de l’Environnement, qui intégrerait le logement, l’industrie, l’énergie, l’agriculture, la défense… (tout quoi !), nous verrions la société et la civilisation entière glisser vers un diktat énergétique sans précédent, seul critère de choix politiques et sociétaux inaltérable et incontournable.
Les citoyens dégoûtés, culpabilisés, dénoncés et taxés, leurs terres, immeubles et pavillons seraient rachetés par des sociétés tentaculaires sans doute ces fameux fonds de pensions (qui versent les retraites après avoir capté les cotisations et épargne des « jeunes pousses » tout au long d’une vie de labeur), vu les montants en jeu…
On peut citer, Vanguard, BlackRock, les Llyod’s et probablement encore quelques autres…
 
Dur de stopper cette vision cauchemardesque, dystopique mais… mondialement « en marche ». Ce n’est plus la lutte des classes, ni celle des places, mais la lutte pour le pouvoir sempiternel sur toute chose et tout être.
Testée par des événements hors normes (migrations, pandémie, terrorisme), la résilience à l’inconcevable a été éprouvée.
Faudra-t-il aller jusqu’au bout du système pour éveiller les esprits à des formes de résistance nécessaires en ce début de millénaire de peur ?
Car personnellement, je n’y crois pas : Bien sûr on peut écraser des individus, même très nombreux et très révoltés.
Mais à quoi cela servirait-il d’asservir le plus grand nombre pour le bénéfice de seulement quelques « happy-few » : Ceux-là, certes détenteurs exclusifs de la culture et du savoir, savent bien que ce n’est pas durable.
L’Histoire l’a déjà démontré à de nombreuses reprises : Tout les empires finissent par s’effondrer et jusque-là, personne n’a jamais pu atteindre l’éternité et l’immortalité.
D’ailleurs, entre nous, je plains bien l’Éternel (et celui qui y parviendra) : Qu’est-ce qu’on doit se faire caguer à être immortel !
Heureusement que tout a une fin…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire