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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 7 novembre 2022

En ce qui me concerne, ce n’est plus un sujet…

J’ai dépassé l’âge de l’obsolescence programmée !
 
Notez que j’ai eu du mal avec mes « accidents de la vie » successifs et je n’aurai pas parié très cher, il y a encore quelques années, sur ma mise au « rencard social » qu’est la « mise à la retraite ».
Après tout, c’est la cinquième fois que « je fais du rab » et l’assurance-maladie dépense un pognon de dingue pour « me prolonger » au détriment de l’assurance-vieillesse, il faut bien le préciser !
Remarquez, d’un autre côté, j’ai cotisé un maximum pendant près de 40 ans sans rien demander à personne, tout en payant moult impôts et taxes, tel que j’ai calculé une fois qu’il fallait que je vive plus que centenaire pour récupérer tout le pognon qu’on aura pu me racketter.
À la fin, j’imagine que la CNAV & Cie vont filer un jour un coup de bigophone à ma Caisse primaire de « Sec-soc » pour les inciter à arrêter les frais…
C’est qu’un « vieux » qui ne s’est jamais inquiéter de sa santé, a dû s’arrêter une fois une journée en quatre décennies, ça finit par être usé de partout.
Pas encore une loque, mais en bonne voie de le devenir.
Passons…
 
Je me posais la question, l’autre fois, s’il valait mieux avoir des « seniors-chômeurs », malades, incapables ou invalides, ou des préretraités, retraités et autres « obsolètes » à supporter (d’autant que ce sont des râleurs qui n’en ont jamais assez…).
Tout en vous précisant que d’un coup, par effet couperet, de cotisant pas forcément actif tous les jours (j’ai eu comme beaucoup des « accidents de parcours » professionnels en inactivité forcée), je suis devenu pensionné, non cotisant (ou alors pas beaucoup, parce qu’on m’en pique tout de même encore un paquet avant même que je puisse en disposer…), tout en restant « semi-actif »…
Disons que ça ne rapporte plus beaucoup et de toute façon, je n’ai guère envie d’en remettre au pot commun des prélèvements obligatoires, ce qui ne ferait qu’en rajouter inutilement (sans aucun droit en plus, quoi…)
Et que je me suis tourné vers autrui : Comment font les autres ?
Mes « potes » de labeur, je sais à peu près : Ils s’en tirent plus ou moins bien, parfois ne veulent pas décrocher alors que d’autres persistent.
Moâ, j’écris « mes romans » et cultive enfin mes liens familiaux et amicaux…
Je veux dire « ailleurs », dans les autres pays.
 
Or, il est vrai de dire qu’avec un âge légal de départ à la retraite de 62 ans, la « Gauloisie-retraitée » fait figure de dernier paradis des retraités dans un univers européen qui a beaucoup évolué ces dernières années.
« Jupiter » s’est dit ouvert à revoir l’âge légal à 64 ans (au lieu de 65 ans à l’horizon 2031, ce que j’ai anticipé de mon côté, m’en tenant aux décisions de Bismarck) si la durée de cotisation est allongée.
Bien : Je ne lui dois rien.
Ni aux autres.
Quant à nos voisins européens, ils ont quasiment tous déjà modifié leur régime de retraite avec à peu près les mêmes flexibilités : Départ anticipé pour les carrières longues, les métiers pénibles, des décotes de pension. Certains pays à l’Est ou au centre de l’Europe, comme l’Autriche, la Croatie ou la Slovénie, articulent d’ailleurs politique des retraites et politique familiale en accordant des avantages aux femmes.
Cela dit, la tendance s’estompe et l’équivalence prévaut de plus en plus (comme en « Tchèquie »).
Les variations sur l’âge légal sont de l’ordre d’un à deux ans d’un pays à l'autre. Mais tous sont déjà au-delà des 62 ans, à part la Grèce, et la Suède qui est un cas particulier.
Petit tour d’horizon sur ce qu’on ignore régulièrement en « Gauloisie-sociale-avancée »…
 
Les « Ritaliens », longtemps très généreux, ont effectué une série de réformes justifiée par une démographie déclinante et préoccupante : La part des personnes de plus de 65 ans passera de 37 % aujourd’hui à 65 % en 2045 et à 74 % en 2050.
Depuis le 1er janvier 2019, l’âge minimal a été porté progressivement à 67 ans avec une période de cotisation d’au moins 20 ans.
Mais il est possible d’exercer un droit à une retraite anticipée si vous justifiez d’au moins 42 ans et 10 mois de cotisation pour les hommes et 41 ans et 10 mois pour les femmes.
Naturellement, il existe d’autres schémas de retraites anticipées pour les femmes, idem pour les militaires, les ecclésiastiques (normal, c’est épuisant…), les journalistes (normal : C’est une caste à privilèges) et les douaniers (64 ans et 38 années de cotisation, dont 35 ans dans la même carrière).
 
Les « Teutons » évoluent dans les mêmes eaux et pour les mêmes raisons démographiques : Pour les personnes nées entre le 1er janvier 1947 et le 31 décembre 1958, la limite d’âge normale de 65 ans a été décalée d’un mois par classe et pour les classes 1959 à 1963, le décalage est de deux mois par classe.
Enfin, pour les personnes nées après le 1er janvier 1964, la limite d’âge normale a été portée à 67 ans. Mais ils peuvent continuer à travailler au-delà sans perte de pension.
Nos amis Belges (Wallons et Flamands réunis) vont progressivement s’aligner sur les « Teutons ». Pour l’instant, l’âge légal est de 65 ans. Il sera porté à 66 ans en 2025 et 67 ans en 2030.
Les carrières longues bénéficient d’un départ anticipé à 62 ans pour 40 années de cotisation.
Chez les « Bataves », l’âge légal est établi en 2022 à 66 ans et 7 mois.
En 2023, il sera porté à 66 ans et 10 mois, puis à 67 ans en 2024 et 2025.
À partir de 2026, l’âge légal de la pension sera uniquement relevé si l’espérance de vie continue d’augmenter.
Ils sont prévenus…
Ce sont les effets du « Papy-boum » et de la bonne santé générale des populations : Ils ne fument pas assez !
 
On retrouve la même idée chez les « Lusitaniens » : 66 ans et 7 mois en 2022. Depuis 2014, l’évolution de l’espérance de vie moyenne à 65 ans permet d’ajuster l’âge légal. Le droit à une pension anticipée est possible en cas de chômage de longue durée involontaire, ainsi que pour des métiers pénibles (mineurs, travailleurs maritimes, contrôleurs du ciel, danseurs…) ou de longue carrière contributive.
Les « Irish » ont fixé l’âge légal à 66 ans.
Mais les Danois repoussent la retraite le plus loin : Là encore, c’est aussi l’espérance de vie qui détermine l’âge légal de départ en retraite, notamment pour les Finlandais chez les personnes nées en 1965 et plus tard.
Le calcul sera ajusté quand elles auront atteint l’âge de 62 ans (donc à partir de 2027).
En attendant et depuis 2017, la patrie de Sibelius allonge l’âge légal progressivement de 3 mois par an pour passer de 63 à 65 ans en 2027.
 
Pour revenir aux Danois, ils sont, à ce jour, les Européens de l’UE qui ont le plus reculé l’âge légal de la retraite. L’année de naissance conditionne l’âge légal de départ à la retraite : 67 ans pour les personnes nées entre 1955 et décembre 1962, 68 ans pour celles nées entre 1963 et décembre 1967, 69 ans pour celles nées après le 1er janvier 1967. Donc, à partir de 2035, les Danois pourront bénéficier d’une retraite à taux plein à 69 ans.
Rincés par une longue vie de labeur, ils n’auront pas trop à attendre avant de rejoindre leurs ancêtres, le devoir de cotisant accompli…
Mais une retraite anticipée est possible à partir de 60 ans à condition d’avoir cotisé 30 ans, d’avoir droit aux prestations de chômage et de résider au Danemark.
En « Hélénie », l’âge légal de la retraite est également fixé à 67 ans en justifiant d’au moins 15 années d’assurance (4.500 jours de travail).
Mais le départ peut être anticipé, sans perte de pension, à 62 ans au bout de 40 années de cotisation (12.000 jours de travail).
Les Grecs utilisent la notion de « jours travaillés » et peuvent continuer à travailler à des âges canoniques si ça leur convient.
Toutefois, il existe des modalités de retraite anticipée à taux réduit pour les carrières pénibles ou en cas d’enfant handicapé.
 
Les « Polaks » croisent la politique familiale et la politique des pensions. Depuis 2017, la retraite est de droit à 60 ans pour les femmes, 65 ans pour les hommes.
Il leur faut attester de 20 ans de cotisation pour les femmes et 25 ans pour les hommes.
Les retraites anticipées sont possibles pour certaines catégories de travailleurs en fonction de la pénibilité (militaires, sauveteurs, ambulanciers, métiers dangereux en rapport avec le traitement de l’amiante, la production de plomb ou de cadmium, etc.).
Les douaniers, les journalistes ont aussi un régime plus favorable même sans avoir été soumis à la proximité de métaux lourds…
Mais pas les ecclésiastiques, quant aux danseurs …
En fait, la Pologne différencie nettement les femmes et les hommes selon les métiers artistiques. Ainsi les métiers de danseur, acrobate, gymnaste, cascadeur peuvent partir en retraite à 40 ans pour les femmes et 45 ans pour les hommes.
La fourchette est entre 45 ans et 50 ans selon les genres dans les carrières de chanteur soliste, musicien jouant des instruments à vent, dresseur d’animaux prédateurs.
La fourchette est entre 50 et 55 ans pour les choristes, jongleurs, comédiens de cirque, acteurs de théâtre de marionnettes.
Les comédiennes et chefs d’orchestre peuvent partir en retraite dès 55 ans.
Les musiciens jouant des cordes, ceux jouant des percussions et des claviers, les photographes, les directeurs de la photographie peuvent partir en retraite à 55 ans ou 60 ans selon leur genre.
 
En Slovaquie, depuis le 1er janvier 2021, l’âge de la retraite repose sur l’année de naissance, le sexe et le nombre d’enfants élevés avec un âge maximum de retraite de 64 ans pour les hommes comme pour les femmes. Mais il faut avoir cotisé 15 ans.
En Hongrie, presque comme en « Gauloisie », l’âge légal est de 62 ans pour les personnes nées avant 1952 et augmente de 6 mois par année de naissance.
Si bien qu’en 2022, pour toutes les personnes nées en 1957 et après, l’âge légal est fixé à 65 ans.
Seules les femmes peuvent jouir d’un départ anticipé après 40 ans de cotisation.
Les mères de 5 enfants et plus disposent d’un régime plus favorable, mais doivent justifier de 33 ans de cotisation minimum.
 
Sur l’île de Malte, l’âge légal sera progressivement allongé à 65 ans à partir de 2027.
Cet âge légal s’appliquera aux Maltais nés après le 1er janvier 1962.
Pour les classes précédentes, l’âge légal s’étale entre 62 ans (personnes nées entre 1952 et 1955), 63 ans (personnes nées entre 1956 et 1958), 64 ans (personnes nées entre 1959 et 1961).
Cependant, les Maltais qui souhaitent continuer à travailler ne perdent pas leur pension.
Il existe des possibilités de pension anticipée sous certaines conditions de cotisations minimales, selon les tranches d'âge.
À Chypre, à 65 ans, les travailleurs ont le droit de partir en retraite.
Un départ anticipé à 63 ans est prévu pour les travailleurs des mines (pendant au moins 3 ans) : Pour 5 ans au moins travaillés à la mine, ils peuvent gagner un mois de retraite anticipée dans la limite d’un départ fixé à l’âge de 58 ans.
C’est la seule exception prévue dans la législation chypriote avec le cas particulier des personnes atteintes de thalassémie (maladie héréditaire), qui sévit dans le pourtour méditerranéen.
Car comme vous le savez, les mines de Chypre sont réputées depuis l’antiquité.
 
En Espagne, l’âge légal est fixé à 65 ans avec au moins 37 ans et 6 mois de cotisation. Il existe un régime flexible si vous prouvez que vous allez travailler à temps partiel (moins de 50 % de la journée).
On peut alors concilier pension et travail à temps partiel et bénéficier des mêmes droits en matière de santé qu’un retraité ordinaire.
Il est aussi possible de prendre sa retraite de manière anticipée dans plusieurs cas : Cotisant mutualiste avant 1967, travailleur handicapé, chômage involontaire, pénibilité (activité dangereuse, en rapport avec des matières toxiques ou conditions insalubres…).
 
Au Luxembourg, l’âge légal est fixé à 65 ans à partir de 120 mois de périodes d’assurance obligatoire. On peut anticiper son départ à 57 ans à condition de justifier de 480 mois de cotisation (40 ans) ou à 60 ans dans les mêmes conditions.
Contrairement à d’autres systèmes, la pension est retirée si le retraité exerce une activité professionnelle non salariée rapportant un revenu qui dépasse un tiers du salaire social minimum par an ou exerce une activité salariée rapportant un revenu qui dépasse la moyenne des cinq salaires les plus élevés de la carrière.
Si en Suède il n’existe pas d'âge légal de départ à la retraite mais une période entre 62 ans minimum et 68 ans, voire plus si vous et votre employeur êtes d’accord pour continuer de cotiser.
La pension garantie et le complément de pension sont accordés à partir du 65ème anniversaire dans les branches professionnelles.
Il faut avoir vécu en Suède pendant au moins 40 ans entre 16 et 64 ans pour bénéficier de la retraite garantie à taux plein.
Ceux qui n’ont pas effectué toute leur carrière en Suède voient le montant de pension minoré d’un 1/40ème pour chaque année manquante.
Sachez que la Suède possède différents types de pension : Un régime général de la part de la Caisse des retraites suédoise basé sur les revenus de référence pour la retraite. Mais la majeure partie des Suédois cotisent en plus à un régime de retraite professionnelle auprès de leur employeur.
Enfin, il est possible de souscrire à une retraite privée complémentaire.
 
La Bulgarie ne distinguera plus les femmes des hommes d’ici 2030 : L’âge de la retraite et l’ancienneté requis vont progressivement augmenter pour atteindre 65 ans pour les deux genres, avec 40 ans d’ancienneté pour les hommes et 37 pour les femmes.
En 2022, le différentiel est encore important : 61 ans et 10 mois pour les femmes avec une durée d’affiliation de 36 ans et 2 mois ; 64 ans et 4 mois pour les hommes et une durée d'affiliation de 39 ans et 2 mois.
 
En Lituanie, depuis 2012, l’âge légal de la retraite est progressivement relevé, à raison de 2 mois par an pour les hommes et de 4 mois par an pour les femmes, afin d’atteindre 65 ans pour tous en 2026.
Il faut toutefois justifier d’une durée minimale d’affiliation à l’assurance pension de 15 ans pour en bénéficier.
En Lettonie, l’âge légal est de 64 ans et 3 mois pour un minimum de 15 ans de cotisation.
Le même âge de départ à la retraite est appliqué pour les femmes et pour les hommes. Un départ anticipé de deux ans est permis à condition d’avoir cotisé 30 ans.
Il est fait un cas particulier des parents ayant 25 ans de cotisation et qui ont eu 5 enfants ou un enfant handicapé à charge pendant au moins 8 ans. Dans ce cas, le départ à la retraite peut être anticipé de 5 ans.
Les femmes handicapées à vie, les personnes de petite taille et atteintes de nanisme, les non-voyants et les personnes ayant travaillé dans des conditions difficiles et dangereuses ont également le droit à une retraite anticipée.
En Estonie, depuis 2016, il n’y a plus de différence entre l’âge légal des femmes et celui des hommes : 63 ans pour tous, avec un minimum de 15 ans de cotisation.
Et depuis 2017, l’âge légal progresse pour atteindre 65 ans en 2026.
 
En bref, l’UE toute entière s’aligne progressivement sur l’arrivée à l’âge minimum de 65 ans pour déclencher les droits à une retraite.
Hors les pays « Nordiques » et la Grèce qui repoussent cet âge à 67 ans.
Ce n’est plus seulement le « club-med » ni les « PIGS » qui sont les plus généreux en matière de retraite, non, le « fil rouge », c’est la démographie et l’espérance de vie desdits pays.
Et là, il y a des différences : Plus tu vieillis tard, plus les régimes et « gouvernants » t’obligent à cotiser longtemps et tard…
Où donc se situe la « Gauloisie-des-Lumières » ?
Eh bien, vu tout ce qu’on fume et picole, on y meurt « jeune », finalement.
Donc on peut cotiser moins et partir en retraite plus tôt.
 
Conclusion iconoclaste : Pour sauver les régimes de retraite de nos gamins, il faut persister à picoler et fumer un maximum.
De toute façon, on ne fume que des taxes (enroulées dans un peu de tabac) et on picole de la taxe sociale sur les alcools forts et de la capsule-congé.
Un choix de société ?
J’en rigole encore, puisque l’académie de médecine m’oblige à devenir sobre et m’offre des patchs et des gommettes de nicotine.
Impeccable, je ne me sens pas mieux (au contraire, ce qui confirme que quand tu vas consulter un toubib, forcément tu en ressors malade…), mais je ne veux non plus pas les contrarier de m’avoir « sauvé la vie » à tant de reprises. Ce serait un manque de reconnaissance indigne de ma part…
Et tant pis si par la même occasion j’en récupérerai une partie de mes contributions passées à la « bonne santé » (financière… quoique…) de la Nation !

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