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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 8 novembre 2022

Questions du moment…

Il y en a plein, mais deux m’interrogent.
 
1 ― Où en sont les enquêtes sur l’explosion des gazoducs Nord Stream en mer Baltique ?
Elles se poursuivent. Toutefois, s’il est quasiment acquis qu’il s’agit bien d’un sabotage, la question de la responsabilité de celui-ci est entière.
En effet, c’est une certitude, les deux gazoducs Nord Stream 1 et Nord Stream 2 qui relient la « Sainte-Russie » à la « Teutonnie » en mer Baltique ont bien été sabotés. La question, c’est par qui ?
Pour faire simple, d’un côté, les Russes qui accusent des militaires anglais d’avoir dirigé et coordonné ce sabotage, tout en expliquant que les Occidentaux leur interdisent la zone pour mener leur propre enquête.
De l’autre, trois enquêtes distinctes menées dans le plus grand secret par le Danemark, la Suède et la « Teutonnie ».
Et que disent-elles, ces enquêtes ?
 
Le 27 septembre, les sismographes suédois détectent une violente secousse au fond de la mer Baltique au sud de l’île de Bornholm, un site viking qui appartient au Danemark.
Quelques heures plus tard, les mêmes sismographes relèvent une série d’explosions sous-marines un peu plus loin, au large de la côte Nord-Est de l’île. D’une puissance de 2,3 sur l’échelle de Richter.
Le résultat, le lendemain matin, ce sont ces énormes nappes de méthane bouillonnant à la surface de l’océan.
 
Un mois plus tard, les premières images sous-marines ont été rendues publiques.
On y voit des trous béants dans les deux pipelines sur près de 50 mètres, du métal tordu.
Donc, pas de doute, il y a bien eu sabotage.
Dès le 29 septembre, la Suède et le Danemark ont d’ailleurs adressé une lettre au Conseil de Sécurité de l’ONU précisant que plusieurs centaines de kilos d’explosifs avaient été utilisés.
C’est tout ce que les enquêteurs ont bien voulu divulguer. Pour le reste, on est encore au stade des hypothèses.
 
Pourquoi autant de secrets ?
D’abord à cause du contexte. La guerre qui continue en Ukraine, qui reste une guerre à l’issue plus qu’incertaine.
Ensuite, les sanctions économiques contre la « Sainte-Russie » et la crise énergétique qui en résulte. Mais surtout, les conséquences de l’enquête sont telles que les services de renseignements veulent réunir des preuves irréfutables, tangibles, certaines et pas seulement se baser sur des spéculations.
C’est ce qu’a expliqué la semaine dépassée le commandant Kristoffersen, un officier de la marine danoise : « Des conclusions provisoires ou non coordonnées pourraient entraîner des réactions qui ne seraient pas utiles à ce stade », indiquait-il. En d’autres termes, une escalade militaire incontrôlable.
 
C’est là où on s’approche des romans d’espionnage. Les services secrets des pays concernés enquêtent tous azimuts. On agite des contacts dans le monde entier. On tente de remonter le circuit des explosifs utilisés. On essaie de voir qui s’est approché de la zone avant les explosions. On échange des informations entre services de renseignements.
Il y a aussi une enquête sur zone, sous la mer.
Il faut plonger à 80 mètres de profondeur.
C’est le tabloïd suédois Expressen qui a publié les premières images sous-marines grâce à un opérateur norvégien de drones submersibles, Blue Eye Robotics.
Ces images montrent un trou béant de 50 mètres de long, mais, bizarrement, très peu de débris sur zone. Alors soit l’explosion et le gaz qui s’est échappé des pipelines ont repoussé très loin les débris, ou alors ils ont déjà été enlevés par les enquêteurs…
 
Effectivement, les Suédois auraient procédé à une inspection sous-marine du site et collecté des pièces à convictions.
Les services de renseignement danois ont également effectué plusieurs inspections des fuites.
Quant aux enquêteurs « teutons », ils ont envoyé un navire équipé de drones sous-marins et un robot de plongée pour passer au peigne fin les fonds marins à la recherche de preuves.
À l’heure actuelle, les autorités danoises interdisent toujours le trafic maritime, commercial et militaire, au-dessus du lieu de l’explosion. En revanche, les patrouilles sont incessantes pour sécuriser tous les autres réseaux de câbles et de pipelines dans la Baltique, notamment ceux qui relient la Norvège à la Grande-Bretagne et au continent européen et autour d’un autre gazoduc, le Baltic Pipe, qui transporte du gaz norvégien vers la Pologne.
 
Du coup, les « Popovs », eux, n’ont pas pu mener leur propre enquête sur le lieu des explosions.
Pourtant les gazoducs, qui courent sur plus de 1.200 kilomètres et ont coûté chacun plus de 12 milliards d’euros, appartiennent au russe Gazprom.
D’où les déclarations du porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, qui accuse les « Teutons », les « Gauloisiens-pas-concernés » et les Danois de mener une enquête « à huis clos » avec la seule intention de « rejeter la faute sur la Russie ».
 
Personnellement, je me bidonne : Vu le contexte, la simultanéité des explosions, les dires imputés à « Liz-bête-Trousse » (le « c’est fait » twisté au « ricain ») et le peu de mouvement militaire avant les explosions sur leurs lieux, il y a toujours deux thèses en présence qu’il est difficile de démêler.
Facile, sinon très facile pour les russes de faire transiter des charges explosives importantes dans leur « pipe » et de déclencher une explosion à distance ou simplement « retardée ».
Mais quel intérêt ?
Pas commode pour les « ricains » d’en faire autant sous les yeux des marines des pays riverains, et pourtant « Baille-dan » avait signé la mort du pipeline.
Quant au « twist » de l’anglaise, il peut se rapporter à n’importe quoi d’autre et la seule conjonction temporelle serait un « pur hasard ».
D’ici à ce qu’il s’agisse d’un « coup à trois bandes » de « Poux-tine », il n’y a donc pas loin.
Une affaire à suivre…
 
2 ― Il en est une autre : Le « Conard-virus ».
On s’achemine doucement vers une « sortie diplomatique »… celle d’un « incident de lanoratoire »…
J’adore l’élégance du dire.
Au moins, le terme ménage les susceptibilités de tout le monde et surtout des premiers concernés de « l’empire du milieu ».
 
« Situation grave », « dangers graves », « conséquences graves »… impossible de trouver les faits distinctement écrits dans les rapports officiels, tout est sous-entendu…
C’est pourquoi Toy Reid, diplomate américain spécialiste de la Chine ― et parlant donc couramment le mandarin ― a décrypté tous les documents relatifs au début de la pandémie du « Conard-virus », quand il est apparu.
Dans le détail, il s’agit de rapports du Parti communiste chinois publiés chaque semaine et qui sont censés prouver que le parti atteint ses objectifs.
Mais le vocabulaire employé est généralement difficile à comprendre pour la population.
 
C’est pourquoi le Sénat américain a demandé une enquête sur ces documents officiels qui a donné lieu à un rapport provisoire publié ce jeudi 3 novembre dernier. Dedans, Toy Reid et son équipe d’enquêteurs, grâce à leurs analyses des textes, estiment que la pandémie de « Conard-virus » serait « plus probablement qu’improbablement le résultat d’un incident lié à la recherche » dans un laboratoire à Wuhan, en Chine.
Ce qu’on savait depuis le début, notez bien… En tout cas, j’avais repris ce qui n’était alors qu’une hypothèse dans le roman de l’été 2020 (« Dans le sillage de Charlotte® », série « Les enquêtes de Charlotte® » aux éditions I3)
Car il faut savoir lire entre les lignes… des sanctions et des directives prises par le Parti communiste ce jour-là : « Bien que (nous ayons pris) diverses mesures de prévention et de protection, il est néanmoins nécessaire que le personnel du laboratoire opère avec beaucoup de prudence pour éviter les erreurs de fonctionnement qui peuvent être dangereuses. (…) Chaque fois que cela s'est produit, les membres de la branche du Zhengdian Lab Party se sont toujours précipités en première ligne et ont pris des mesures concrètes ».
Selon Toy Reid, ces extraits font références à un problème en cours au laboratoire de Wuhan et à des mesures disciplinaires du Parti, qui aurait pris « des mesures concrètes ».
 
Autre indice selon ledit expert : Le Dr Ji Changzheng aurait été envoyé par le parti dans le laboratoire. Officiellement, la raison de cette visite était une session de formation… Un prétexte selon le rapport, qui souligne que le Dr Ji Changzheng n’a rencontré que les membres seniors du laboratoire et a donné des conseils oraux importants et des instructions écrites venant (ou pouvant provenir selon le site Pro Publica) de Xi Jinping et de Li Keqiang, l’ancien Premier ministre chinois.
Le Dr Ji Changzheng aurait notamment évoqué « de nombreux cas d’incidents de sécurité nationaux et à l’étranger au cours des dernières années », faisant à nouveau référence à des « dangers cachés » qui « ont révélé la situation complexe et grave à laquelle sont actuellement confrontés les travaux de (bio)sécurité ».
On ne peut plus être clair !
 
Le site d’investigation Pro Publica et le média Vanity Fair ont obtenu le rapport complet, interviewé Toy Reid et soumis son analyse à trois experts indépendants qui ont vérifié ses conclusions.
Résultat : L’enquête du Sénat et celle des journalistes sont globalement parvenus aux mêmes conclusions. Selon eux, le « Conard-virus » aurait pu s’échapper du laboratoire à cause d’un incident lié à la recherche scientifique.
Ils soulignent également que les tentatives de la Chine pour arrêter ou démonter les enquêtes sur le laboratoire de Wuhan nuisent à sa crédibilité.
Le gouvernement a notamment refusé qu’une équipe indépendante d’experts vienne dans le laboratoire de Wuhan pour investiguer sur les origines du virus.
Seul, je vous rappelle, l’OMS a pu pénétrer dans quelques zones de ce laboratoire P4 installés par des « Gauloisiens-patriotes », mais après que les équipes sur place ait fait le ménage (quarantaine obligée pour les inspecteurs : Les chinois redoutaient d’être recontaminés…, si, si !) et seulement dans les locaux qu’ils voulaient bien montrer (secret-défense obligeant également…).
 
Reste à avoir confirmation par les autorités du pays, mais ça peut attendre.
Puisqu’elles ont « fait le ménage », nous n’avons plus rien à craindre, mais eux restent toujours confinés par touche et par région, politique « Zéro-Covid » oblige tout autant, même si ça fout le boxon dans les exportations, au point que, nous dit-on, Pékin se rêve en « puissance importatrice » et fait des ronds de jambe à « Ôlaf-Schlotés » (à moins que ce soit l’inverse, depuis que celui-là leur a vendu une partie du port de Hambourg, ville dont il a été Bürgermeister).
Vous savez quoi ? C’est cela qui m’inquiète le plus : Reviendra-t-il, avec la fine fleur de l’industrie « teutonne » qui l’accompagne, avec une nouvelle souche qui règlerait le problème de la surpopulation planétaire.
 
Mais ce sont d’autres sujets : J’y reviendrai. 

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